Tout avait débuté en octobre, quand la maison Thierry Magnier prend connaissance d’un mail interne des Affaires sociales de Paris. Deux ouvrages de l’éditeur sont pointés du doigt et déconseillés, par prudence. On les éloignera sagement des enfants, dans le doute. Et enfin, l’histoire semble s’achever.