On apprécie le sens de l’obstination chez Sony, qui poursuit sa quête de l’appareil de lecture avec stylet, reposant sur de l’encre électronique. On savoure aussi toute l’ironie de la démarche, qui consiste à produire des appareils coûteux et nettement moins pratiques qu’une tablette. Le DPT-CP1 aurait pu tenter de faire un effort.