Love me if you can

Les voyages forment la jeunesse, et parfois un illustrateur : Maxwell Tilse, Londonien, 23 ans, est actuellement en plein tour d'Europe et, pour garder un maximum de souvenirs de son voyage, s'est doté d'un carnet. Ici, pas de notes, mais uniquement des illustrations, splendides.

Tous les parents n'ont pas le don de JRR Tolkien, pour embarquer leur progéniture dans de fantastiques aventures, quand bien même celles-ci concerneraient le Père Noël. Pourtant, au mois de décembre 1925, le romancier s'est fendu d'une lettre qu'il signe du nom du vieux barbu rouge et blanc. La première de ce qui deviendra une véritable tradition familiale : au cours des 23 années qui suivront, il rédigera, après la naissance de son premier fils, des lettres, sous la forme de Contes du Pôle Nord.

Peut-on faire de l'argent sur le dos de la poésie ? Oui. C'est terrible, non ? Si. Et le public, le grand, le profane, qui n'entend probablement rien aux versifications enrage. Surtout quand l'auteur du poème en question est le directeur des finances et des ressources du Conseil de le district londonien de Croydon, dont le texte, Poetry in Commotion, est paru dans le journal local.