En choisissant d'afficher un sujet lié à la rentrée littéraire sur la couverture du premier numéro de sa nouvelle formule Livres Hebdo s'est inscrit dans le « temps médiatique ». L'angle choisi était plus audacieux : réaliser le portrait robot de l'auteur moyen, celui qui est le plus présent au cours de cette rentrée littéraire. Sauf que la présentation et la conclusion du dossier du magazine professionnel, déconnectés de la réalité des principaux intéressés, ont laissé nombre d'auteurs, d'autrices, de lecteurs et de lectrices pantois...