Dans ce livre encore méconnu par rapport au reste de son œuvre, Thomas de Quincey relate avec un souci de vraisemblance déconcertant la fin de vie de l’un des plus grands esprits de son temps, Emmanuel Kant, au travers de la narration fictive de son contemporain Wasianski. Mais derrière l’apparence du faux témoignage biographique s’y esquisse en fait une peinture à la fois chirurgicale et iconoclaste de la vieillesse comme déliquescence.