« Son manuscrit terminé, Lawrence laissait à l’éditeur ou à des collaborateurs le soin de couper ce que l’esprit public ne pourrait supporter : on n’est pas le premier romancier de son pays sans savoir qu’il y a lieu de compter avec la bêtise humaine. » Ainsi commence la préface d’André Malraux pour la traduction française de L’Amant de Lady Chatterley, publié chez Gallimard en 1932.