Avec La Dolce Vita qui parcourt l’Italie des années 1959 à 1979 puis avec Les Nouveaux Monstres qui poursuit le voyage des années 1978 à 2014, je pensais que Simonetta Greggio devait en avoir plus ou moins terminé avec l(a psych)’analyse (très) critique de son pays d’origine et des pages sombres qu’il avait inscrites à son palmarès après les années de fascisme mussolinien.