La semaine dernière, des hackers affiliés au mouvement Antisec, ont revendiqué la publication de plus d'un million d'identifiants de terminaux Apple. Les pirates se sont vantés d'avoir acquis ces informations en profitant d'une faille sur un ordinateur portable d'un membre du FBI, en dénonçant une surveillance informatique abusive orchestrée par le bureau fédéral. L'organisation américaine a immédiatement démenti cette accusation. Et nouveau rebondissement : le PDG de la maison d'édition Blue Toad a déclaré ce lundi que les serveurs de sa société constituent la source de fuite la plus probable.