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Début août, la société E Ink Holdings, spécialisée dans la fabrication d'écrans utilisant l'encre électronique, s'est engagée à acheter les actions de son concurrent Sipix. Les deux sociétés ont signé un accord autour de cette vente, qui aboutira à la rencontre de deux technologies : l'encre électronique et les technologies LCD. 

Une semaine après la mise en vente massive sur eBay des tablettes Nook de seconde main à prix réduits ( notre actualitté ), Barnes & Noble revoit à la baisse le prix de vente de ses tablettes neuves. La stratégie du distributeur américain répond ainsi à la concurrence qui menace de cantonner les produits B&N à un second rôle sur le marché. 

Le rassemblement annuel de la Society for Information Display (SID) s'est tenu en juin dernier à Boston, le temps de quelques jours qui ont réunis technophiles et constructeurs. Le SID 2012 a notamment été marqué par les démonstrations de la société E-Ink, qui a dévoilé son nouvel écran, le Triton 2, mais également de nouveaux usages de la technologie d'encre électronique.

L'entreprise américaine de conseil et de recherche Gartner vient de publier une nouvelle analyse : la lecture sur écran n'est pas du tout la priorité des détenteurs d'appareils numériques, pourtant 50 % d'entre eux préfèrent lire des livres sur écran que sur papier.

Qualcomm a profité du SID (Society Information Display) pour présenter trois nouveaux écrans basés sur la technologie Mirasol, qui permet d'afficher des couleurs sans recourir à un rétro-éclairage du type LCD. Bien que prometteuse, la technologie Mirasol semble en perpétuel développement, et aucune date de sortie n'a été annoncée.

Infographics Labs vient de sortir un petit visuel... infographique, présentant les goûts du public américain pour la lecture numérique. C'est que la lecture numérique, les appareils, à encre électronique ou écran LCD, que l'on parle de smartphone ou d'ordinateurs, tout cela vous bouscule un petit monde de lecture avec des pages de papier...

 Les lecteurs le savent bien : pour ne pas lâcher un ebook de 300 pages, mieux vaut opter pour une lecture sur un écran à encre électronique. Et disposer d'un peu de temps devant soi. Moins gourmande en énergie, dotée d'un affichage plus confortable, la technologie epaper est un indispensable, mais qui doit encore s'atteler à des développements conséquents comme la couleur, et ce afin de s'imposer face au LCD, la solution technologique mise en avant par les tablettes, qui ont assurément le vent en poupe.

Le spécialiste des pneumatiques et caoutchouc, c'est moins connu peut-être, était également très impliqué dans l'encre électronique. Cependant, la société vient de décider de se retirer de ce secteur, « après un examen minutieux de ses orientations ».

Une nouvelle étude portant sur l'avenir des tablettes dans le monde numérique, et le monde tout court, fait prendre conscience des évolutions du point de vue du consommateur. ABI Research explique que les achats, tous secteurs confondus, se feront de plus en plus sur des tablettes qu'au travers d'ordinateurs de bureau. 

Annoncée depuis plus d'un an, la tablette-téléphone d'Asus, l'Eee Pad Memo ME171, a enfin été mise en vente, mais à Taiwan au prix de 499$. Pas plus d'infos sur une sortie dans d'autres pays pour l'instant. 

Les écrans à encre électronique (E-Ink) surprennent un peu une fois la lumière éteinte : impossible de lire dans le noir ! La technologie des lecteurs eBook, plus performante question confort de lecture que les écrans LCD rétroéclairés, pêche un peu côté maniabilité. Qu'à cela ne tienne, Barnes & Noble joue les illuminés et va ajouter un système d'éclairage intégré à son modèle de Nook Simple Touch à venir.

La presse numérique vous semble moribonde car toujours cantonnée à la simple transposition du papier sur l'écran LCD ? Úropa+2032 pourrait faire votre bonheur : cette « fiction numérique déguisée en magazine d'actualité, imaginaire [...] mais si possible vrai-semblable » (dixit ses auteurs, Bernar Islaire et Laurence Erlich) surprend par son dispositif, puis retient l'attention par son sujet : une intrigue politico-économique sur fond de présidentielles européennes.

Samsung s'était lancé dans une nouvelle aventure avec Samsung Display. Mais la division spécialisée dans la fabrication d'écrans vient d'être victime d'espionnage industriel sur la nouvelle technologie de ses écrans AMOLED.

La démocratie vient de frapper. Et avec elle le Journal officiel, dont la séance de remue-méninges mensuelle vient de faire une victime. En effet, dans son numéro du 4 avril, le JORF vient de décider que le vocabulaire français s'était officiellement enrichi du terme «liseuse» pour désigner un lecteur ebooK.

C'est finalement sans conséquence que Samsung s'était retiré du marché de l'encre électronique, arrêtant de produire ses lecteurs ebook. Le géant coréen avait déjà décidé de se lancer dans une tout autre aventure : celle des écrans electrowetting. Et c'est ainsi qu'en janvier 2011, le rachat de la société Liquavista était annoncé. 

Ces derniers jours, il suffisait pratiquement de sortir de chez soi pour avoir un aperçu de l'importance du Salon du Livre pour les fabricants d' e-readers et de tablettes : avec une campagne de publicité massive, Amazon fait de son arrivée sur le Salon un évènement. Mais ce sont en fait quatre fabricants (Bookeen, Kobo et Sony, en plus de celui précédemment cité) qui sont présents sur le Salon : petit tour des stands et décompte des points.

Décidément, on n'arrête plus le progrès. Les tablettes de lectures de livres numériques sont des sources sans fin d'innovations pour les concepteurs et autres développeurs –plus vulgairement appelés « hackers ».

C'est peut-être la fin des écrans à niveaux de gris Kindle. Des rumeurs courent comme quoi Amazon préparerait un Kindle avec écran couleur.

C'est un des responsables de Barnes & Noble, William Lynch, qui a lâché l'information, au détour d'une longue interview accordée au New York Times. 

Avec le lancement de la tablette « Tahiti », annoncée lors du CES 2012, Orange UK devient ainsi le premier opérateur à lancer sa propre tablette en Grande-Bretagne.

À l'approche de Noël, la question commence à se poser plus directement, pour ceux qui souhaiteraient adopter un appareil de lecture numérique. Le choix est complexe, parce que les machines sont encore mal connues. Mais au moins peut-on encore les diviser en deux grandes catégories : les écrans ‘noir et blanc' et les écrans couleur.

Depuis le lancement de la boutique d'Amazon, le terme liseuse vient de prendre un peu plus d'aplomb encore. Facilité démagogique évidente, les problèmes de terminologie pour désigner les appareils de lecture à encre électronique n'en finissent pas. Histoire d'une hérésie linguistique...

Le libraire Barnes & Noble a décidé d'imposer quelques limitations aux clients qui achèteront son Nook Tablet, l'appareil à écran LCD de 7 pouces. Une restriction annoncée sur Twitter. 

La croissance des lecteurs ebook sera à la mesure de l'engouement pour les oeuvres disponibles. C'est une évidence. Mais dans le même temps, assure la firme IDTechEx, le marché va de lui-même grossir, avec des perspectives intéressantes, établies jusqu'en 2017.

Les écrans Mirasol, toujours promis mais pas encore commercialisés, seraient à présent en bonne voie pour équiper les tablettes, lecteurs de livres numériques et smartphones d'ici la fin de l'année 2012. Cela fait encore très loin. Toutefois, pour la société Qualcomm, à l'origine de cette technologie, c'est le prix de la perfection.

France Loisirs a lancé hier un nouvel appareil pour pallier l'échec commercial du Oyo, copie du Fnacbook (soit un appareil lent, avec un écran de mauvaise qualité et une interface déplorable).

Les innovations dans l'industrie du numérique n'en finissent plus, surtout avant Noël. Ce serait au tour de Barnes & Nobles de lancer un nouveau produit sur le marché : la tablette Nook Color 2.

La société française Bookeen, spécialisée dans le lecteur ebook, vient d'annoncer le lancement de son nouveau lecteur ebook Cybook Odyssey, doté d'une nouvelle technologie d'encre électronique, le High Speed Ink System (HSIS), après deux ans de recherche et de développement par les ingénieurs de cette société.

Kurt Pertersdorff, porte-parole de la société Liquavista, est revenu au cours d'une conférence sur les projets de la société, dont on n'avait plus trop entendu parler ces derniers temps...

Dans un communiqué, l'éditeur numérique Dédicaces vient d'annoncer qu'il commercialisera prochainement un lecteur de livres numériques maison. Proposé à 150 $ CA, le modèle sera vendu dans un premier temps pour 110 $ CA.