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Tout a commencé par un article publié dans Forbes, et consacré aux « Meilleures et pires formations pour trouver un emploi ». Le magazine économique entendait comparer les diplômes et formations, et dégager celui qui promet « les meilleures opportunités sur le long terme, au regard du salaire et des possibilités de promotion ». Et la palme du pire revient... aux sciences de l'information et bibliothéconomie.

Le 23 avril prochain, le monde entier sera invité à célébrer la journée du droit d'auteur, de la lecture, de la librairie, de la traduction, des livres en général, et collatéralement de leurs auteurs. L'UNESCO vient de prévoir le coup et amorce déjà la communication pour l'occasion. Surtout qu'à cette occasion, un hommage tout particulier sera rendu. 

L'écrivain dans la bibliothèque, voilà un nom qui promet. Cette conférence se tiendra à l'Auditorium de la Grande Bibliothèque de Montréal le samedi 12 février.

La section livres rares et manuscrits de l'IFLA, The International Federation of Library Associations de livres rares et manuscrits, a présenté son programme pour l'année 2012.

Lundi 9 Mai 2011 • 19h • Centre Pompidou, Petite Salle

Ça va de mal en pis pour Wikileaks. Après les multiples rebondissements pour l'hébergement du site, qui désormais a été obligé de poser ses valises en Suisse, c'est au tour de Paypal qui empêche maintenant de faire le moindre don à destination du site. De même qu'Amazon avait considéré que Wikileaks violait les conditions d'utilisation de son hébergement libre-service, de même, Paypal considère que sa politique commerciale « interdit l'usage du service de paiement en ligne pour encourager, promouvoir ou faciliter toute activité illégale ».

Bibliothèques : enquête sur l'utilisation d'Internet par les visiteurs

Patrick Bazin © Didier Nicole, Bibliothèque municipale de Lyon

Bordeaux : après les travaux, un directeur pour la bibliothèque

À Lyon, sciences et lettres se retrouvent en Ecole Normale Supérieure

la photo d’une jeune femme belle et démodée des années 50, tramée par des motifs évoquant les tatouages au henné que l’on appelle Mahenni que se dessinent sur les mains les femmes musulmanes.