Le cinéma s’est largement attribué une part de la littérature d’horreur, de par la facilité de l’image. Ce n’est pas sans peine que la littérature pouvait tenter de regagner ce qu’on lui avait dérobé : le feu sacré de l’angoisse, la transpiration de la peur, le caleçon humide d’urine de frayeur.