Benoît XVI

Même si de nombreux internautes ont rapidement tourné à l'ironie, voire à la moquerie, l'arrivée du Pape sur le réseau social Twitter, c'est pourtant là un nouvel engagement révélateur de la volonté, pour le Vatican, de ne pas passer à côté des moyens modernes de communication. Mais, bien au contraire, d'en tirer le meilleur parti possible.

Tout en sortant le troisième tome de sa trilogie consacrée à la vie de Jésus, L'enfance de Jésus (voir notre actualitté), le pape Benoît XVI a réussi, avec efficacité, à étouffer le scandale déclenché par Paolo Gabriele et son récent procès. Condamné à 18 mois de prison, peine qu'il effectue au Vatican, le secrétaire a finalement été reconnu coupable de vol aggravé.

Avant de devenir Benoît XVI, le cardinal Joseph Ratzinger avait entamé l'écriture d'une trilogie consacrée à la vie de Jésus. Mais, surpris dans ce projet par sa nomination comme pape, le temps se faisait rare pour avancer dans ce long travail de recherches et d'écriture, rapporte Le Point.  

Exclusif : La société Leseneve-Lethilelleux, plus connue pour son activité d'éditeur de livre comme Desclée de Brouwer, a été mise en redressement judiciaire depuis le 9 octobre, a-ton appris de sources judiciaires. 

Gianluigi Nuzzi, journaliste italien qui avait publié les documents secrets du Vatican, fournis vraisemblablement par le majordome du Pape est intervenu dans le procès. Avec une voix qui pourrait porter, ce dernier réclame que l'on gracie Paolo Gabriele, qui a écopé d'une peine de 18 mois de prison. 

C'est une grande nouvelle pour le monde italien, et presque une épiphanie pour l'édition : la maison d'édition du Vatican, Libreria Editrice Vaticana, vient de signer un accord avec la firme Apple. En jeu, la commercialisation des livres publiés, en version numérique, directement dans l'iBookstore. 

Le journaliste et écrivain espagnol Francesc Escribano, auteur d'une biographie autour de l'évêque Pedro Casaldaliga, a décidé d'adapter son ouvrage (Descalzo sobre tierra roja. Vida del obispo Pere Casaldáliga) à l'écran pour la télévision espagnole, rapporte l'AFP.

Mis à mal lors de l'affaire « VatiLeaks » qui a diffusé de nombreux documents confidentiels dans les médias italiens et allemands, les secrets du Vatican de Benoît XVI ne reposent pas encore tout à fait en paix. Cependant, après la mise en résidence du majordome Paolo Gabriele, le Saint-Siège vient d'exprimer « sa réprobation ferme et totale » envers toutes les accusations portées.

Le pape Benoît XVI a choisi le responsable de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi (CDF) hier : en nommant l'évêque allemand Gerhard Ludwig Müller à ce poste, il confie le poste de gardien du dogme à son « éditeur », puisque Müller est en charge des oeuvres de Joseph Ratzinger depuis 2008.

C'est dans la lettre d'information de la société Aptara que l'on découvrira la confidence : le Vatican lit désormais en numérique. Ou du moins fait-il lire en numérique, avec la publication depuis mai, du premier ouvrage, et en EPUB, s'il vous plaît. 

Qui peut bien avoir joué aux gorges profondes dans cette histoire ? Et l'a-t-il simplement fait exprès, ou doit-on envisager la piste d'un petit naïf - un Innocent XIV ? - qui aurait tout révélé des secrets du Saint-Siège, sans se rendre compte des portes qu'il ouvrait ? 

Coup de tonnerre au Vatican, alors qu'un livre vient de sortir, contenant des documents internes au Saint-Siège, qui mettent en lumière toutes les luttes intestines pour l'accès au pouvoir. Et d'ores et déjà, le Vatileaks a fait monter le pape Benoït XVI au créneau, qui a diligenté une enquête et prévenu qu'il prendrait des mesures juridiques contre les responsables. 

Les rumeurs de décès vont vite sur le réseau de microblogging, Twitter. Nombre de personnalités se sont vues enterrées un peu à la hâte, ou comme le disait Mark Twain : « Les nouvelles concernant ma mort ont été quelque peu exagérées ! »

A l'occasion du septième anniversaire du début du pontificat de Benoît XVI, le cardinal Tarcisio Bertone s'est exprimé sur la personnalité de ce dernier dans les colonnes du Messagero, un quotidien romain.

La visite du Pape Benoît XVI sur l'île de Fidel Castro n'est vraiment pas passée inaperçue. Aussi bien politique que politique - dans la mesure où toute forme de religion vise une dimension politique - le passage de six jours au Mexique et à Cuba a permis au représentant du catholicisme quelques petites remarques. 

Une communion, certes avec le corps, l'esprit et le reste du Christ, mais avant tout, des retrouvailles, pour les Cubains résidant à Miami et à La Havane. La messe prononcée par le Pape Benoît XVI aura été l'occasion d'un véritable pèlerinage, pour cette grande première. 

Federico Lombardi, porte-parole du Vatican, a publié une longue note dénonçant les attaques médiatiques dont fait actuellement l'objet le Saint-Siège dans de nombreux journaux italiens, rapporte l'AFP. Pour le père jésuite, « l'administration américaine a eu Wikileaks, le Vatican a maintenant son Vatileaks ».

La lutte de l'église contre les cas de prêtres pédophiles tenait déjà à coeur du cardinal Joseph Ratzinger, qui n'était pas encore le Pape Benoît XVI. Or, selon un livre de Bernard Lecomte, publié cette semaine, le futur pape avait, dès 1988, tenté d'avertir sa hiérarchie et de faire bouger les choses.

Trésors de livres, « un écrin pour les livres anciens » est une nouvelle orientation que le Salon du livre de Paris tient à donner à sa manifestation. Avec 600 m² ouverts « aux livres anciens et modernes de collection », c'est un espace privilégié pour tous les amateurs d'objets qui se tâtent, se reniflent et plus si affinités. Aux dires du Salon, on y retrouvera « livres anciens, livres modernes à tirages limités, livres rares et ouvrages à prix plus abordables ». L'occasion de mettre en valeur le patrimoine imprimé, durant la manifestation, du 16 au 19 mars. 

Alors que Benoît XVI annonçait la création de vingt-deux nouveaux cardinaux, les biographies de ces derniers, transmises à la presse, étaient tout simplement copiées de Wikipedia. Faisant fi de ses propres sources d'information, le Saint-Siège a préféré reprendre ce que l'on pouvait trouver sur Internet.

Le livre Mon frère, le pape, déjà paru en Allemagne présentant une conversation entre le journaliste Michael Hesemann et Georg Ratzinger va paraître en France jeudi aux Éditions Bayard.

Personne n'a oublié ce petit livre qui, par une bête erreur de traduction, a transformé la position papale sur la contraception. Benoît XVI, d'un coup d'un seul, prônait ainsi la contraception artificielle - la sacro pas sainte capote - alors qu'il n'en est en fait rien.

Interdire Harry Potter ? Le plus grand succès jamais découvert dans l'édition ? Mais quel fou pourrait avoir dans l'idée de ... Ah, un diocèse catholique de Pologne ? Bon...

Le dernier livre du pape, Jésus de Nazareth, qui retrace la seconde partie de la vie de Jésus, a été salué pour son ouverture d’esprit, notamment en ce qui concerne la relation entre les juifs et les catholiques (notre

Déjà en 1965, le Vatican annonçait, dans la déclaration Nostra Aetate, que le peuple juif n’était pas collectivement responsable de la mort du christ, toutefois cette idée demeurait et servait de justification pour perpétuer l’antisémitisme. C’est sans doute pourquoi le pape Benoît XVI a cru bon de réitérer cette affirmation dans le second tome de son livre : Jésus de Nazareth, à paraître dans le courant du mois.

 Compilant une série d’entretiens réalisés avec le journaliste allemand Peter Seewald, le livre est paru en librairies le 24 novembre dernier.

Des erreurs de ce genre, ça fait sourire. Probablement pas l'éditeur du livre, qui a dû tomber sur le râble de son traducteur, pour le plus grand plaisir des journalistes qui peuvent en remettre une couche sur les intenables positions papales...

L'année dernière, le pape avait créé le buzz en annonçant que l'usage du préservatif aidait à la propagation du SIDA. Dans son nouveau livre, Light of The World (Lumière du Monde), le pontife revient sur ses propos.

Ce n'est pas la première fois qu'internet subit de plein fouet les attaques religieuses, et les inquiétudes papales répondent aujourd'hui étrangement à un livre paru voilà quelques jours : Sur les traces de Big Brother.

Pas rancunier de ce que quelques hurluberlus lui reprochent d'être dirigeant d'un État qu'ils ne considèrent pas comme tel, Sa Sainteté Benoît XVI, actuellement en visite outre-Manche a tenu a faire un présent à la Reine.