Au Secours pardon, Beigdeder vous implore
La vie de critique ressemble à celle du traducteur. On navigue près de la rive où il ne faut pas s’échouer, tout en évitant les écueils (les recueils ?) qui ne manqueront pas de pourfendre votre embarcation.
Et sans parti pris aucun, Au Secouяs paяdon me faisait redouter les nefs d’Ulysse, balloté de Charybde en Scylla.
Hélas, je ne me suis pas trompé. Mais notre dernière critique de Au Secouяs paяdon vous expliquera pourquoi.
Do cvidania, dourak !
28/11/2007 - 11:00