Bouzingoth, bouzingot, bousingot, bousingo : l'orthographe du mot n'est pas moins instable que son sens. Improvisateur de cabaret ou jeune républicain cherchant sa barricade, révolté métaphysique ou produit paresseux de la bohème, voire simple chapeau de cuir bouilli : la silhouette romantique du bousingo ne se précise qu'en face de son ennemi juré, le chiffreur. Bien, mais qu'est-ce qu'un chiffreur ? Demandez-le au bousingo.
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