De ce tremblement de terre dont nous imaginions qu'il nous avait réellement mis au monde, je devinais que les maisons étaient désormais des écrans de papier à l'abri desquels nous saurions écrire, dessiner et laisser traîner le pinceau de l'aquarelle. Plus rien désormais ne devait être solide ni aucun corps survivre à la perpétuelle mort du Christ qui a fait tout le poème de notre enfance.
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