Dans le terrible amour des mères, elle a tout emporté, la jeunesse de son fils, les galons de son fils, les fiançailles de son fils, la retraite de son fils, tout sauf la peur que le commandant François Clouet avait d'elle. Il l'honore et la hait, il ne parle que d'elle, devant un arbre il dit : cet arbre me fixe comme ma mère...
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