Dans un Los Angeles saturé de dollars et d'excès, Bret Easton Ellis peint au scalpel le portrait d'une société gangrenée par le vice et la superficialité. Epouses délaissées, blondes stupides " puant l'huile solaire et le sexe ", stars de rock : ses personnages, pareils à des zombies, errent dans le vide immense d'une vie sans saveur... " Ellis fait précisément à la littérature ce que Basquiat a fait à la peinture : la réveiller." Frédéric Beigbeder, Elle Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Bernard Willerval
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