1931. Dans la douceur de Madrid, Gelin et ses parents savourent la victoire : la République vient d’être proclamée, sans coup de feu, proprement. Les regards se tournent vers l’avenir. Pourtant, la menace de l’extrême droite assombrit la liesse et vient saper les espoirs de la famille. Bercé par des idéaux résolument libéraux, égalitaristes et anticléricaux, Gelin, avec la fougue de ses quinze ans, s’engage «pour botter le cul des fachas». Mais ses convictions se heurtent vite â la réalité du champ de bataille. Sous des allures de conte initiatique, Je mourrai une autrefois est le récit d’un monde fracassé par une guerre fratricide où seul l’amour inébranlable de la liberté vaut pour ne pas sombrer. Isabelle Alonso donne vie â un grand roman espagnol, optimiste et émouvant.
Par
Isabelle Alonso Chez
Editions Héloïse d'Ormesson
Dommage qu'Isabelle Alonso bien que son roman soit intéressant se soit toujours plus oi moins égaré avec son amie Florence Montreynaud dans des positions misandres en ne jetant toute la faute sur les pères divorcés (voir son débat avec Cali), anti-voile, anti-travailleuses du sexe en faisant l'amalgame avec des personnes esclaves de proxénètes mafieux et anti-voile dont la vision de la laïcité rejoint le fameux groupuscule très droitier Printemps républicain. Les Chiennes de garde comme les autres groupsucules aux positions similaires c'est du feminisme urbain de salon ce qui est aux anti-podes du Planning familial.
1 Commentaire
Aurelien Terrassier
08/04/2023 à 18:58
Dommage qu'Isabelle Alonso bien que son roman soit intéressant se soit toujours plus oi moins égaré avec son amie Florence Montreynaud dans des positions misandres en ne jetant toute la faute sur les pères divorcés (voir son débat avec Cali), anti-voile, anti-travailleuses du sexe en faisant l'amalgame avec des personnes esclaves de proxénètes mafieux et anti-voile dont la vision de la laïcité rejoint le fameux groupuscule très droitier Printemps républicain. Les Chiennes de garde comme les autres groupsucules aux positions similaires c'est du feminisme urbain de salon ce qui est aux anti-podes du Planning familial.