Dans L'Homme-machine (1751), l'analogie du corps de l'homme et de celui de l'animal avec une machine perd son statut de thèse physiologique, fondée sur la métaphysique et la physique, pour constituer un argument matérialiste, antichrétien et entrer en dialogue avec la tradition.
Par
Julien Offray de La Mettrie Chez
Editions Classiques Garnier
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