Dans ce recueil, Soisik Libert parle du peintre à travers le poète, dle invite sur une scène des voix, des mains, des volontés célébrant le geste, la couleur et la matière, qui veulent conquérir, non pour elles-mêmes, mais pour en répandre les rayons, une part de lumière éternelle, une mouvante esquisse vers laquelle se porteraient d'autres regards, ayant voulu dissiper la menace de l'ombre, pour allumer une espérance, dans ce qui est fragile, perméable et douloureux, une étincelle au coeur du doute, qui les ferait chatoyer. Comme le ferait une fable.
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