Du XVIIe au XVIIIe siècle, les romanciers ont très souvent adopté une voix féminine. Quels énoncés autorise cette plume pseudo-féminine ? L'enquête part des "genres féminins" au XVIIe siècle puis s'intéresse à la voix de Marianne chez Marivaux et examine sa postérité jusqu'à La Religieuse et La Nouvelle Héloïse.
Par
Florence Dujour Chez
Editions Classiques Garnier
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