Sous la rubrique Troumatisme - Pas de garantie, nous avons rassemblé quelques contributions de nos collègues, choisies pour avoir été écrites lors du premier confinement et qui interrogent le réel auquel nous avons en l'occurrence affaire. Nous avons abordé le corps parlant et son mystère à partir de la guenille, si bien nommée par J. - A. Miller pour qualifier ce qui reste du corps dès lors qu'on l'abandonne sur le divan, que l'on se dépouille du corps actif et que l'on quitte le corps imaginaire, la stature érigée de soi-même. Reste alors ce pauvre corps malade de la maladie des parlants. Ce pauvre corps parlant dont Lacan faisait un mystère dans son Séminaire XX et un problème relevant d'un nouage borroméen dans son Séminaire XXIII : "Le parlêtre, disait-il alors, adore son corps, parce qu'il croit qu'il l'a".
Par
Ecole de la cause freudienne Chez
Ecole de la cause freudienne
Commenter ce livre