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Oskar Kokoschka

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Monographies

Oskar Kokoschka. Les garçons qui rêvent

Ce livre illustré de huit lithographies en couleurs - Les Enfants qui rêvent - propose un conte écrit et illustré par Kokoschka et publié en 1908, dédié par l'artiste à Gustave Klimt, son maître. Le graphisme porte l'empreinte de l'Art Nouveau : l'arabesque conduit les figures dans des paysages idylliques, une nature mystique comme chez Hodler. Les illustrations comme le texte relèvent du songe, du rêve érotique. Nuits étoilées, voyages sur mer et fuite hors du temps, désirs amoureux, végétation paradisiaque et fantastique manifestent un univers imaginaire. Peintre autrichien, Oskar Kokoschka (1886-1980) a été l'élève de Gustav Klimt. Très vite il s'éloigne de l'Art Nouveau : et suit une voie expressioniste. Il s'installe d'abord à Berlin ensuite à Dresde (1919-1924), après avoir été gravement blessé pendant la Première Guerre. Rentre à Vienne en 1933 qu'il quitte pour Prague oú il rencontre celle qui deviendra sa femme, Olda Palkowska. Son art considéré 'dégénéré' l'oblige à partir d'abord à Londres avant de se fixer définitivement à Villeneuve, en Suisse. La Fondation Kokoschka est accueillie au Musée Jenisch de Vevey.

11/2022

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Poches Littérature internation

Mirages du passé

Les cinq textes rassemblés dans ce recueil ont été écrits à diverses périodes de la vie de Kokoschka. Ils s'étendent des années agitées que le jeune peintre expressionniste passe à Berlin, à Vienne ou sur le front de l'Est pendant la Première Guerre mondiale, jusqu'aux épisodes de sa vie amoureuse et aventureuse à Chypre, en Afrique et ailleurs.

10/1984

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Beaux arts

Les garcons rêveurs. Suivi de Le blanc-tueur

S'il doit être à juste titre considéré comme un peintre majeur du XXe siècle, qualité à laquelle il faudrait ajouter ses talents de graveur, de dessinateur et de décorateur, Oskar Kokoschka (1886-1980) n'en demeure pas moins un écrivain de langue allemande de premier plan. Son oeuvre écrite compte en effet une autobiographie, de nombreux articles et essais, des pièces de théâtre, et quantités de fictions dont Les garçons rêveurs. Ce texte qui se présente sous la forme d'un poème à l'onirisme débordant, verra le jour en 1907, accompagné de huit lithographies originales réalisées alors par Oskar Kokoschka. A ce texte il a semblé judicieux d'associer, dans le présent cahier, une nouvelle écrite la même année, intitulée : Le blanc-tueur, jusqu'à ce jour inédite en français, et qui doit être regardée, car déclarée comme telle par son auteur, comme une suite à ces garçons riveurs.

11/2019

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Ecrits sur l'art

L'oeil immuable. Articles, conférences et essais sur l’art

De Kokoschka, on retient surtout en France les peintures viennoises des années 1910, celles qui le rattachent à la Sécession, à Klimt et à Schiele dans l'"apocalypse joyeuse" de l'empire austro-hongrois. C'est risquer d'ignorer que ce peintre bientôt exilé se sentit toute sa vie beaucoup plus proche de l'art grec et baroque, qu'il pensait sans frontière, que de tous les mouvements ponctuels et des étiquettes mortifères de la critique ; et que, loin de se contenter de capter dans des portraits d'aristocrates phtisiques une ambiance de fin de monde, il fut un inlassable objecteur de conscience, résolu à ouvrir les yeux de ses contemporains à la dimension proprement culturelle des catastrophes passées et à venir. Le présent recueil d'articles, de conférences et d'essais remédie à ce danger en donnant la parole à Kokoschka lui-même. Cet ensemble de textes choisis en 1975 par l'auteur comme les plus représentatifs de sa pensée et de son engagement en matière d'art, est inauguré par les quelques brefs mais denses essais d'esthétique de sa jeunesse, où il énonce la conviction qu'il ne fera au fond que déplier et réaffirmer par la suite : celle du primat en art de la "conscience" individuelle de l'artiste, chargé de garder les yeux ouverts, de transmettre sa vision singulière à autrui et ainsi de mettre en forme et d'humaniser le monde. Cette formule, où il décèle l'essence même de l'art et du concept d'humanité tel que la culture européenne l'a hérité des Grecs, il en relève ensuite l'illustration idéale chez les artistes qu'il admire - Altdorfer, Rembrandt, Maulbertsch, Van Gogh, Munch... - et la faillite complète chez ceux qu'il pourfend avec une férocité constante : les artistes abstraits à partir de Kandinsky, responsables selon lui du bannissement de la figure humaine et du monde hors de l'art, et donc complices d'un appauvrissement de notre expérience qui aurait concouru aux atrocités du XXe siècle. C'est que les prises de position de Kokoschka excèdent amplement la discussion esthétique. S'élargissant aux dimensions d'une critique culturelle, elles font retour sur des moments-clefs de l'histoire de l'Europe - théâtre selon lui, depuis les guerres médiques, d'un affrontement permanent entre les penchants humains et barbares de l'homme - pour détecter des tendances de fond et mieux agir sur le présent. Le peintre se distingua en effet par son action dans le domaine de la pédagogie, documentée dans la troisième partie par les textes issus de son expérience d'"Ecole du regard" à Salzbourg de 1953 à 1964, dans laquelle il offrit à plusieurs centaines de jeunes gens de leur apprendre à "voir de leurs propres yeux". La quatrième partie, enfin, retrace quelques étapes décisives de son propre parcours et réaffirme les principes qui guidèrent notamment son oeuvre de portraitiste, d'allégoriste, de dessinateur et même de scénographe. C'est dire que ce volume, révélant l'écrivain, inconnu en France, qui double le peintre Kokoschka, enrichit l'expérience d'une peinture novatrice qui sut réactualiser la tradition pour penser le présent, tout en méritant d'être rangé parmi les ouvrages remarquables de la Kulturkritik du XXe siècle.

04/2021

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Romans historiques

Oskar Schindler

"Le temps est venu pour moi, Bithiah, de te raconter… Que souhaites-tu me relater, Bubbee ? L'histoire d'un homme, ma petite puce, d'un Juste qui s'appelait Oskar Schindler". Ainsi débute le long récit d'Azrièla, juive polonaise rescapée de la barbarie nazie. Sauvée par Emilie et Oskar Schindler, elle revient à Cracovie avec Bithiah, sa petite-fille, pour lui décrire ce qu'elle a vécu durant la seconde guerre mondiale mais aussi pour lui raconter la vie de ses sauveurs. Oskar Schindler, membre du parti nazi, résida cinq ans à Cracovie. Pendant cette période, il tenta, dans une usine remise sur pied, de sauver plus de 1200 juifs, hommes, femmes, enfants, au péril de sa vie et de celle de son épouse Emilie, qui joua également un rôle déterminant. Si Azriéla revient longuement sur ces heures tragiques et sa vie dans le ghetto juif de Cracovie, elle décrit aussi l'enfance d'Emilie et d'Oskar, leur rencontre, leur vie en Argentine après-guerre, leur séparation... Au fil des pages, ce roman historique fidèle aux lieux et aux événements retrace la destinée d'un couple hors norme. Longtemps resté dans l'anonymat, Oskar Schindler est désormais connu dans le monde entier grâce au film de Spielberg, La Liste de Schindler. Un roman a inspiré le scénario mais, jusqu'à maintenant, aucun auteur français n'était revenu sur l'ensemble de la vie de Schindler. Jean-Marc Harel-Ramond comble donc un vide avec ce récit sensible et plein d'humanité qui mêle fiction et grande histoire. Un séjour à

09/2016

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Monographies

Connaissance des Arts Hors-série N° 9970 : Kokoschka

Kokoschka. Musée d'art moderne de Paris. Grand maître de l'expressionnisme, élève de Klimt, Oscar Kokoschka est un maître de la couleur. Ce hors-série qui accompagne l'exposition monographique que lui consacre le musée d'art moderne de Paris explore l'ensemble de la carrière de celui qui s'est intéressé aux genres, au portrait, au paysage, et même à la peinture d'histoire.

09/2022

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