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Jasmin Darznik

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Littérature anglo-saxonne

Les bohemiennes. Partie 2 [EDITION EN GROS CARACTERES

Dorothea Lange, 20 ans, ne supporte plus sa vie étriquée, coincée entre ses parents et son job d'assistante photographe, seul poste auquel elle peut prétendre en tant que femme. Elle s'enfuit à San Francisco avec l'espoir de pouvoir y faire carrière. A son arrivée, victime d'un vol qui la prive de toutes ses économies, elle accepte l'aide de Caroline Lee. Cette dernière l'héberge et l'introduit au sein du Monkey Block, haut lieu de la bohème. Portraitiste douée, Dorothea va créer son studio grâce à de riches relations, mais la Grande Dépression bouleverse sa vie confortable et la force à photographier " ceux de la rue ", révélant un talent que l'on peut encore admirer aujourd'hui. .

05/2023

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Littérature anglo-saxonne

Les bohemiennes. Partie 1 [EDITION EN GROS CARACTERES

Dorothea Lange, 20 ans, ne supporte plus sa vie étriquée, coincée entre ses parents et son job d'assistante photographe, seul poste auquel elle peut prétendre en tant que femme. Elle s'enfuit à San Francisco avec l'espoir de pouvoir y faire carrière. A son arrivée, victime d'un vol qui la prive de toutes ses économies, elle accepte l'aide de Caroline Lee. Cette dernière l'héberge et l'introduit au sein du Monkey Block, haut lieu de la bohème. Portraitiste douée, Dorothea va créer son studio grâce à de riches relations, mais la Grande Dépression bouleverse sa vie confortable et la force à photographier " ceux de la rue ", révélant un talent que l'on peut encore admirer aujourd'hui. .

05/2023

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Littérature anglo-saxonne

Une fille comme il faut

" Le monde se réduisait à nous deux, ma mère et moi, jusqu'à ce que je devienne une fille américaine. C'est alors qu'elle a commencé à me parler de la Bonne Fille. Elle vivait en Iran. Elle ne répondait pas, elle ne parlait pas tout court. Elle était un modèle de politesse et de décence. Elle ne sortait pas toute seule dans la rue. Quand un homme la regardait, elle baissait les yeux. " Jasmin n'a que trois ans quand elle arrive aux Etats-Unis. De ses origines iraniennes, elle ne sait rien. Des années plus tard, à la mort de son père, Jasmin tombe sur la photo d'une femme en tenue de mariée. Elle reconnaît distinctement sa mère. A ses côtés, un homme qu'elle n'a jamais vu. Refusant d'abord de lui révéler le mystère de ses origines familiales, Lili envoie finalement à sa fille une série de cassettes : de déchirantes confessions sur l'histoire qui fut la sienne avant son exil. Son mariage à l'âge de treize ans, les abus dont elle a été victime, et la fille qu'elle a été contrainte d'abandonner pour avoir une chance d'échapper à l'enfer. " Une histoire inoubliable. " Bookpage " Un hommage à l'incroyable résilience des femmes iraniennes. " MS Magazine " Avec ce livre, Darznik signe un poignant hommage à la vie et aux combats de sa mère. " Booklist " Un récit édifiant, qui en dit long sur place des femmes dans la société iranienne, sur ce qu'elles endurent, mais aussi sur leur incroyable capacité à résister. " Kirkus

01/2022

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Littérature étrangère

L'oiseau captif

Forough Farrokhzad a grandi à Téhéran dans les années 1930, au sein d'une famille de sept enfants. Dans la maison règne une discipline de fer, et les enfants n'appellent pas leur père "papa", mais "Colonel". Très tôt, Forough manifeste un vif intérêt pour la poésie persane et dévore les recueils que ses frères étudient, eux qui ont la chance d'aller à l'école. A l'âge de seize ans, Forough épouse son amour de jeunesse, Parviz, sur décision de son père qui tient à éviter un scandale. Mais alors que beaucoup de jeunes filles n'ont pas la chance de choisir leur mari, Forough ne tarde pas à déchanter : l'homme qu'elle a épousé n'est pas exactement celui qu'elle imaginait. Alors elle se remet à écrire et entre ses vers se devine quelqu'un qui ne fait pas semblant de vivre. Une femme, une vraie. Et même une poétesse. Une qui, sans même s'en rendre compte, va révolutionner la scène littéraire iranienne en écrivant sur le sentiment amoureux, le désir et l'amour charnel, des thèmes traditionnels de la poésie persane, mais qui, venant d'une femme, vont provoquer un séisme sans précédent dans la société iranienne et vaudront à Forough Farrokhzad une réputation sulfureuse. Le portrait émouvant d'une femme qui n'a reculé devant rien pour chanter la beauté du désir féminin.

10/2018

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Littérature française

Villa Jasmin

Comme au générique d'un film, Villa jasmin s'ouvre sur une vieille photographie prise à Tunis. Un homme la regarde et se souvient. Le cliché lui suffit à faire surgir un monde englouti, coloré et joyeux, à reformer le puzzle d'une histoire familiale brisée par l'Histoire. Le narrateur, omniprésent, navigue à sa guise dans le temps et dans l'espace. Il retrouve avec ses parents les jours heureux d'avant sa naissance, l'odeur têtue du jasmin de la Tunisie du Protectorat, la nonchalance de l'avant-guerre. C'est la douce présence de sa mère, Odette, le courage de son père, Serge, un juif, socialiste et franc-maçon. C'est l'Occupation, quand le drapeau nazi flotte sur la villa et qu'un jeune fasciste français règne cruellement sur le pays. C'est la résistance du père, déporté en Allemagne, relâché par miracle et libérateur de Paris. Dans une fresque qui mêle, des deux côtés de la Méditerranée, les collabos de Paris et les combattants antifascistes, les Allemands et leurs victimes, Villa jasmin dévoile des aspects peu connus de la colonisation et de la Seconde Guerre mondiale. Mais c'est aussi un chant d'amour offert par l'auteur à la mémoire de ceux, exilés du côté de la Mort, qui ne cessent de frapper à la porte des vivants, contre l'oubli.

04/2003

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Littérature étrangère

Hôtel Jasmin

Le jour de ses vingt-trois ans, Roland Tarpenbek se décide à signaler à la police la disparition de sa mère, Christiane, avec qui il est en froid. Cette institutrice d'une quarantaine d'années n'a plus donné signe de vie depuis des semaines, après avoir fait la une de la presse à scandales pour avoir insulté une de ses élèves, réfugiée somalienne. Mais Roland ne parvient pas à croire à cette histoire : certes, sa mère est fantasque et peu sociable, mais adresser des injures racistes à une enfant ? Difficile à avaler. Les autorités n'étant pas alarmées, dans ce contexte, par la disparition de Christiane, Roland fait appel à une détective privée qui, armée de son dictaphone, va demander à chacun des proches de Mme Tarbenbek de lui livrer un portrait sans fard de l'intéressée. Peu à peu, les pièces du puzzle s'assemblent... Qui est réellement Christiane ? Elle qui déteste l'idée même de voyager, aurait-elle fini par mettre les voiles ? Et que s'est-il réellement passé dans sa salle de classe ? Roman délicieusement loufoque, Hôtel Jasmin nous conduit de Hambourg au Caire, sur les traces d'une femme veut fuir sa vie.

04/2018

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