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François Gaquère

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Dossier

Programme, invités : La Grande Librairie, l'invitation à lire de François Busnel

Émission phare de la littérature sur le service public, La Grande Librairie, présentée par François Busnel, fait preuve d'une longévité que beaucoup lui envient. Créée en 2008 par son présentateur lui-même pour la chaîne France 5, l'émission hebdomadaire convie un ou plusieurs invités pour aborder différents thèmes, en lien avec des ouvrages récemment parus.

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Dossier

Le théâtre du XVIIe au XXIe siècle - Programme de français 1ère

Pour la classe de Première en voie générale, le curriculum de français présente quatre domaines d'exploration. Pour l'année académique 2023-2024, le sujet "Le théâtre du XVIIe siècle au XXIe siècle" a été renouvelé.

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Les livres de Françoise Bourdin : la romancière aux millions de lecteurs

Née à Paris en 1952, Françoise Bourdin est, en 2012, au 4e rang des écrivains français les plus vendus avec 15 millions d'exemplaires. Celle qui voulait « Plaire au plus grand nombre » est décédée le 25 décembre 2022. Symbole de ces auteurs hyper-prolifiques, elle publiait un à deux romans par an et nous laisse près de cinquante livres.

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Dossier

Le Prix de la littérature arabe

Créé en 2013, le Prix de la littérature arabe est la seule récompense française distinguant la création littéraire arabe : il salue le roman ou le recueil de nouvelles d'un écrivain ressortissant de la Ligue arabe et auteur d'un ouvrage écrit en arabe et traduit en français ou directement écrit en français.

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Dossier

La Bibliothèque nationale de France (BnF)

La Bibliothèque nationale de France, abrégée en BnF, est un établissement patrimonial français des plus importants : c'est par exemple cette institution qui assume le dépôt légal des livres, et qui conserve un exemplaire de tous les ouvrages publiés en France. À l'origine bibliothèque du roi au moment de sa création, au XIVe siècle, elle est naturellement devenue la bibliothèque de l'ensemble du peuple français.

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Hervé Le Tellier

Hervé Le Tellier est un écrivain, romancier, poète, journaliste et membre de l'Oulipo (Ouvroir de littérature potentielle) français, né en 1957 à Paris.

Extraits

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Religion

Le dialogue irénique Bossuet-Leibniz. La réunion des églises en échec (1691-1702)

Il est peu de mots qui aient connu, en notre siècle, une plus belle fortune que celui d'oecuménisme ou d'esprit oecuménique. Que signifie-t-il ? Quel est cet esprit ? C'est le contraire de la méfiance, de l'hostilité, qui a trop longtemps divisé les Eglises chrétiennes. C'est un esprit de compréhension mutuelle, un esprit de fraternité. Mais le but final, l'idéal secret du Mouvement, c'est la restauration, tant désirée, de l'Unité chrétienne, telle que le Christ l'a voulue pour les siens. Nous en sommes bien loin encore, hélas ! Mais des pas ont été faits, et il s'en fait, de temps à autre, de très prometteurs, de très importants. Tout récemment, à la fin du Concile du Vatican II, si profondément pénétré d'esprit oecuménique, a eu lieu la levée de la double excommunication de 1054, entre l'Eglise catholique romaine et l'Eglise orthodoxe de Constantinople. Bossuet et Leibniz, dont on trouvera ici la correspondance, se sont heurtés, presque dès le début de leur échange de lettres, sur des questions latérales, sans intérêt en elles-mêmes. Leibniz voulait que Bossuet lui accordât que le Concile de Trente n'était pas un Concile oecuménique, ce que Bossuet ne voulut jamais lui concéder. Mais qu'on ouvre le livre que voici. M. le chanoine Gaquère y a réuni toutes les pièces du dossier. Il y a joint un commentaire discret et sûr. Et sa conclusion sera toute pleine de la déception que l'on éprouve en face d'un échec, qu'on ne peut s'empêcher de trouver bien piteux, alors que de si grands esprits y avaient dépensé toute leur science et leur génie !

01/1966

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Religion

Vers l'unité chrétienne. James Drumond et Bossuet, leur correspondance

Pourquoi cette étude sur James Drummond, personnage discuté en son pays d'Angleterre, et presque inconnu en France ? C'est que le lord chancelier d'Ecosse du temps des derniers Stuarts, à la fin du XVIIe et au début du XVIIIe siècle, a joué, sur la scène politique, un rôle considérable, qu'il s'est montré, sinon un héros et un martyr, du moins un chevalier loyal et fidèle à son prince jusque dans les plus dures épreuves ; c'est que les circonstances et les suites de sa conversion de l'anglicanisme au catholicisme font revivre l'histoire douloureuse des guerres civiles engendrées Outre-Manche par le schisme et l'intolérance ; c'est que, enfin, ses relations et sa correspondance avec notre Bossuet constituent un nouveau témoignage de la charité que pratiqua le savant évêque de Meaux, dans ses rapports avec les protestants et dans ses tentatives de réunion, et des fruits de conversion que ses savants ouvrages de controverse portèrent jusqu'au-delà des frontières du royaume de France. Si le sujet ne présente qu'un intérêt rétrospectif, en ce XXe siècle où la Grande-Bretagne donne au monde l'exemple de la stabilité politique et de la concorde civique, par contre, il ne manque pas d'actualité, à notre époque d'oecuménisme où les diverses confessions chrétiennes éprouvent, en Grande-Bretagne comme dans l'univers, la nostalgie de l'unité romaine.

01/1963

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Religion

Les suprêmes appels de Bossuet à l'unité chrétienne (1668-1691)

Le grand rêve de Bossuet La Réunion des Eglises, conçue par Bossuet, comme un Retour des protestants, au sein de l'Eglise romaine, en de fraternelles retrouvailles, fut le grand et sublime rêve de l'illustre docteur. A cette tâche difficile, quasi impossible humainement, il devait consacrer le meilleur de sa vie de prêtre et d'apôtre, conjointement avec ses autres et prodigieuses activités spirituelles, intellectuelles, pastorales, durant un demi-siècle, dans la conviction qu'il nourrissait que, à une époque d'intolérance et de ressentiments, le seul moyen d'y réussir était l'instruction, la persuasion, la charité, la prière. Trois périodes On peut répartir son action irénique sur trois périodes. Elles sont marquées : 1) par sa controverse, puis son dialogue irénique avec le ministre messin, Paul Ferry, de 1652 à 1668 ; 2) par ses controverses avec les principaux ministres : Claude, Jurieu, Basnage, Burnet, de 1668 à 1691 ; 3) par son dialogue irénique avec le savant philosophe allemand, Leibniz (1691.1702). Nous avons raconté, en deux volumes précédents, les première et troisième phases, closes l'une et l'autre par un échec. La seconde phase, que nous abordons dans le présent volume, fut de beaucoup la plus mouvementée, l'évêque de Meaux s'étant alors heurté, chez les divers ministres, ses interlocuteurs, à une passion, sinon à une agressivité qu'il n'avait pas rencontrées chez le modéré Paul Ferry, ni chez le sage Leibniz. Nous nous y arrêterons à ses principaux actes, à savoir : 1) L'Exposition de la Doctrine Catholique sur les matières de controverse (1671) ; La Conférence avec le ministre Jean Claude (1678) ; Le Traité de la Communion sous les deux Espèces (1682) ; L'Histoire des Variations des Eglises protestantes (1688) ; Les Six Avertissements aux Protestants (1689-1691). Les deux premiers traités, le premier surtout, "Chef d'oeuvre des Chefs-d'oeuvre", "écrit pour l'éternité" selon Brémond, présentant un intérêt capital, pour notre époque actulle de recherche oecuménique, nous en reproduirons, en outre, le texte intégral, au risque de nous répéter, après les avoir présentés.

01/1969

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Religion

Bossuet en ses ascendances

Circumduxit eum (Dominus) et docuit et custodivit quasi pupillam oculi (Deut. XXXII. - 10). Le Seigneur l'a conduit par la main, l'a enseigné, l'a préservé, comme la prunelle de son œil ! C'est en ces termes lyriques du livre du Deutéronome que Jacques Bossuet, qui lisait la Bible, en attendant la délivrance de sa bru, salua la naissance de son petit-fils, Jacques-Bénigne, le 27 septembre 1627, à Dijon. Paroles assurément prophétiques, si l'on considère l'éclat dont Bossuet allait illuminer son siècle et la postérité. Mais ne traduisaient-elles pas aussi, et très fidèlement, les prévenances dont le ciel avait pris soin d'entourer cet enfant prédestiné, en le faisant naître à cette époque, en terre bourguignonne, de souche si exceptionnellement vigoureuse ? Nul homme, dans le plan divin, ne devient, comme il ne nait tout entier. Ce qu'il est, s'il le doit en partie à lui-même et à son comportement personnel, comme à son temps et aux événements déterminants qui ont traversé son existence, il n'en est pas moins redevable aux ressources latentes de sa nature, héritées de ses ancêtres, en sa terre natale, de telle sorte que son génie et sa vie ne s'expliquent pleinement qu'à la lumière de ses origines. A ce titre, c'est déjà travailler à deviner et à comprendre Bossuet que d'étudier sa préhistoire et de remonter la double lignée de ses ancêtres. Il nous livre, en ses ascendances, une préparation de lui-même.

01/1965

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Religion

Le théâtre devant la conscience chrétienne. De saint Jean Chrysostome à Pie XII et à Vatican II

L'histoire des rapports de l'Eglise avec le théâtre a connu, au cours des siècles, de multiples alternatives de faveur et d'hostilité réciproques. Le conflit qui les a, le plus souvent, et violemment, opposées l'une à l'autre constitue un long drame qui s'est déroulé, de saint Jean Chrysostome au pape Pie XII, de Bossuet au Père Carré, pour aboutir, de nos jours, à la réconciliation des deux institutions, et à la reconnaissance officielle, par le Concile Vatican II, du "noble art du théâtre".

01/1965

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Religion

Le dialogue irénique Bossuet-Paul Ferry à Metz (1652-1669)

La recherche de l'Unité chrétienne, par la réunion fraternelle des diverses confessions et le retour des "frères séparés", au sein de l'Eglise catholique, devait être, durant cinquante ans, de 1650 à 1702, l'objet principal des préoccupations et du zèle sacerdotal de Bossuet, persuadé qu'était celui-ci que l'unité était possible et qu'elle se ferait, préparé qu'il était à y travailler par sa haute culture théologique et sa solide formation scolastique, par son sens de l'ordre et de l'autorité, de la tradition, de l'unité, par son tempérament de conciliateur, autant que de lutteur, par son talent de controversiste.

01/1967

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