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Auguste Pawlak

Extraits

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Littérature française

Toute une vie pour le dire…. Tome 2

Bien que parvenue à l'âge adulte, Rose continue sa vie cauchemardesque chez ses horribles patrons, qui vont même jusqu'à déployer un odieux stratagème pour l'empêcher d'accéder, peut-être, un jour, à une vie plus normale. Jusqu'à ce qu'enfin, la chance lui sourie, sous la forme d'une heureuse opportunité. Le mariage lui apportera la liberté qu'elle espérait tant, mais à laquelle elle ne voulait même plus croire. Son mari, après lui avoir permis, enfin, de connaitre quelques années de bonheur, et surtout d'avoir des enfants qu'elle adore et qui, heureusement, le lui rendent bien, s'avère finalement instable, alcoolique et peu courageux. A la fin de sa vie, elle ose enfin, pour la première fois, prendre une vraie décision pour elle-même : elle divorce.

06/2021

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Biographies

Tout pour le dire... Tome 1

Toute une vie pour le dire... , est la biographie de Rose Telquest enfant et jeune fille. Rose déclare tout de go être née sous une mauvaise étoile. En peu de mots, elle vous convainc de la justesse de son affirmation. Avant ses premiers pas, elle subit la méchanceté de sa mère qui, dixit sa grand-mère, a du venin à la place du sang. Son père, modeste et très doux, est complètement effacé. Dès qu'elle grandit, elle doit rapidement supporter d'autres supplices : un frère très exigeant et brutal, un instituteur sadique, et même un curé qui la sodomise dès l'âge de huit ans ! A 14 ans à peine, après avoir terminé ses faibles études, sa mère la confie comme bonne à tout faire à des gens de la ville "bien sous tous rapports" qui s'avèrent très vite être de véritables esclavagistes.

06/2021

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Poésie

Auguste

Cet ouvrage est consacré à une multitude de thèmes dont le principal est "on peut lire de tout et avec n'importe quoi" .

04/2021

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Littérature française

Auguste

" Oui, il est ainsi mon père. Je ne peux m'empêcher d'avoir pitié de son manque d'imagination et d'enthousiasme. Moi, je veux connaître le monde ; moi, je veux voir des paysages qui font peur, des sauvages dans les forêts tropicales qui mangent... Oui, bien sûr, il y a des inconvénients. Je trouverai la solution. Mon père ! Notre intrusion de cette nuit va secouer un peu son apathie, va mettre un peu de piment dans sa vie. En fait, cette aventure va lui faire du bien en secouant la monotonie de ses jours". Nicolas est alors loin d'imaginer ce que ces mots peuvent avoir d'ironiquement cruel, lui qui sera en partie responsable de la mort de son père... Un drame qui entraîne, chez le jeune homme, une faille identitaire, un abysse à combler par la découverte du passé et de la personnalité d'un père trop mésestimé. Commence ainsi pour l'adolescent une quête surprenante, qui dévoile le passé tortueux d'un être qui dut, lui aussi, trouver son salut et sa rédemption. Travaillé par les thèmes de la filiation, de la connaissance de soi et du rachat, soumis à tout un jeu de miroir et de reflets, le nouveau roman d'Antonia San Vicente del Valle nous entraîne dans un périple géographique et intérieur sensible et bouleversant.

06/2014

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Littérature française

Une vie pour le dire. Part 2

Rose était formatée pour être hyper docile face à toute personne ayant par définition familiale autorité sur elle : mère et frère brutaux, instituteur indigne, curé pédophile, puis son abject et odieux couple de patrons qu'elle a subis jusqu'à l'âge de 23 ans. Pendant presque toute sa vie, Rose s'est ainsi pliée sans protester à tout ce qui s'est présenté à elle. Elle a subi et accepté tout, même les pires sévices, sans se plaindre, sans formuler ni révéler quoi que ce soit à qui que ce soit, même à son mari ou à ses enfants que cependant elle adore. Et heureusement ces derniers le lui rendent bien.

05/2019

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Musique, danse

Le petit Auguste alphabétique. Anthologie universelle des clows, augustes, excentriques et autres comiques

«Etre clown, c'est choisir d'assimiler l'inassimilable. C'est accepter de juxtaposer des anges, des monstres et des démons. C'est créer une bulle d'inattendu précisément là où on peut s'attendre à tout. Clownesque... Le jeu clownesque est une synthèse, quelque chose qui tient du pow-wow et du sabbat : être clown, c'est un prétexte pour dire l'état du monde. C'est une histoire de passion. Une ode à l'amour. Avec un clin d'oeil à la colère, à la jalousie et à la passion dévorante pour les choses les plus futiles. C'est de ces contrepoints légers que naît l'équilibre, toujours instable, du peuple clown. Chacun des clowns qui composent, habillent et habitent cette longue fresque vivante possède un univers singulier. Comme tout un chacun. Mais le clown est une loupe, un miroir déformant et un regard d'une justesse infinie puisqu'il n'y a là aucune vérité, mais une infinité de possibles... Cette succession d'instants clownesques, disséminés d'un bord du monde à l'autre, comme les pierres les plus fines d'un collier d'acier brut, est sans doute la plus belle façon de conjurer la morosité du quotidien, mais c'est aussi un habile prétexte pour suggérer qu'au-delà du rire subsiste, encore et toujours, l'émotion...»

03/2015

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