Apple Amazon FreeTime

Hier, Google publiait sur la plateforme Reddit un mail en provenance d'Amazon. Dans la correspondance, la firme américaine n’y va pas par quatre chemins : elle ne vendra plus l’Apple TV, le Chromecast de Google et le Nexus Player (Google, itou), et ce, à compter du 29 octobre prochain. Amazon ne cache même pas la raison d’un tel acte : les appareils ne permettent pas d’accéder à son service de streaming, l'Amazon Prime Vidéo.

La question d'une entente entre éditeurs étasuniens et la société Apple occupe tout à la fois Bruxelles et la justice américaine. L'arrivée de l'iPad couplée à l'iBookstore avait fait augmenter le prix de vente des livres numériques, du fait du contrat d'agence. Et en a découlé ce qui devait arriver : Apple s'est fait épingler, pour une possible collusion. 

James Bridle n'est pas le dernier venu dans le monde numérique. Plusieurs de ses expériences ont eu les honneurs de la presse, à juste titre.

La vidéo circule sur internet à la vitesse de la lumière, démontrant que si l'on n'a pas la forcé médiatique et l'envergure d'un géant de la technologie, on n'a pas pas froid aux yeux...

L'absence d'Apple et d'Amazon ralentirait le marché de l'ebook

Vente exclusive : Toys R Us gagne en appel contre Amazon

Appel au boycott contre les ebooks trop chers d'Amazon

Ces dernières semaines, Amazon, engagé dans une lutte sans merci contre le groupe Hachette aux États-Unis, a fait parler la poudre. Et Jeff Bezos s'est même offert des arguments de poids, en ranimant d'entre les morts George Orwell, pour en faire un vieux réactionnaire. Sauf que, comme ActuaLitté l'avait montré, Amazon avait négligemment oublié de citer correctement les propos du romancier.

 L'État du Texas a entamé une enquête visant les accords de prix entre les éditeurs, Amazon et Apple dans le domaine du livre numérique. Une enquête semblable est déjà en cours dans le Connecticut.

Le tweet a jailli comme uni diable de sa boîte voilà quelques longues minutes, mais désormais, la communication d'Amazon est nette, vis-à-vis de la politique commerciale d'Apple.

Avec la crise touchant la librairie et autres soucis d'interopérabilité des ebooks, certains redoutent un avenir où le marché serait confiné entre les mains d'une seule firme. La conférence FutureBook organisée par The Bookseller aura donné l'occasion à Seni Glaister, directrice générale pour The Book People, de déclamer un discours passionné appelant le gouvernement britannique à un véritable passage à l'action. Accordant son respect à Amazon pour sa contribution à la création du marché numérique, mais pointant l'impossibilité pour les libraires de le concurrencer sur le créneau, elle invite l'Etat à mettre un terme au monopole du géant.

La nouvelle de l’accord passé entre Amazon et Apple n’a pas été saluée que par la Commission européenne. Le Börsenverein, association des éditeurs et libraires allemands, à l’origine de l’enquête, n’a pas manqué l’occasion de commenter la nouvelle. De même que la fédération internationale et européenne des libraires.

Le 3 août dernier, en l'espace d'une heure, le journaliste américain Mat Homan se faisait pirater l'ensemble de sa vie numérique. En cause, une faille de sécurité dans laquelle se sont engouffrés de malins pirates.

Apple vient d'annoncer la restauration de la Bibliothèque Carnegie, à Washington D.C., dans le but d'en faire un magasin moderne et interactif. Aucune date d'ouverture n'a été révélée pour le moment, mais le programme de ce qui s'y fera a été dévoilé au public.

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D’une année sur l’autre, Amazon transpose ses initiatives à ses plateformes européennes. Après l’expérimentation américaine, voici donc l’arrivée de la solution Follow, ou Suivre en français. Cette solution permet aux clients d’être tenus informés de l’activité des auteurs, et leurs actualités. Autrement dit, tout ce qui pourra entraîner une vente de livre.

À l’occasion de la semaine de la librairie indépendante, qui se déroule du 17 au 24 juin, plus de 80 enseignes du Royaume-Uni marquent le coup : elles cosignent une lettre ouverte aux éditeurs, les appelant à se détourner d’Amazon pendant une semaine par an, dans le cadre de ces sept jours tournés vers les plus petites structures souvent motivées par la passion des livres.

L’affaire ne va pas changer le cours du monde, mais désormais, les utilisateurs de Apple Pay, solution de paiement mobile, pourront l'utiliser pour tout ce qui touche à l’environnement iTunes, App Store, ainsi que Apple Book. De quoi simplifier les dépenses pour les possesseurs de machine Mac OS et iOS, en somme.

Il y a six mois, Amazon lançait son service FreeTime accessible sur abonnement. Depuis, la plate-forme pour Kindle Fire permet la lecture de milliers de titres jeunesse sans restrictions, l'utilisation d'applications, de chaînes TV comme Nickelodeon, Sesame Street et le réseau Disney, ainsi que des jeux d'éveil pour les 3-8 ans.

Apple confond BD et logiciel, et censure un titre de l'Apple Store

Après avoir révolutionné le monde de la téléphonie mobile puis celui des tablettes, Apple travaillerait à l'élaboration d'un stylo connecté. C'est du moins ce que laisse transparaître un dépôt de brevet que vient de faire la société aux Etats-Unis.

La Securities and Exchange Commission (SEC), l'organisme fédéral américain de réglementation et de contrôle des marchés financiers, vient de faire état des différents documents que lui ont transmis les grands groupes cotés aux Etats-Unis. Cela permet notamment de prendre connaissance des salaires des dirigeants d'Apple.

Apple propose maintenant des comics et romans graphiques, au sein d'un espace dédié au genre dans son catalogue. Il est possible d'y trouverX-Men, Spiderman, les New Avengers (dont le premier tome de la série serait offert au lecteur).

C'est une grande nouvelle pour le monde italien, et presque une épiphanie pour l'édition : la maison d'édition du Vatican, Libreria Editrice Vaticana, vient de signer un accord avec la firme Apple. En jeu, la commercialisation des livres publiés, en version numérique, directement dans l'iBookstore. 

Apple s'est fait redoutablement peur en connaissant une gigantesque panne de ses services en ligne. Cependant, tout est progressivement rentré dans l'ordre durant la journée de jeudi 12 mars 2015.

Depuis que le moniteur a été nommé pour surveiller les agissements d'Apple, la firme n'a jamais vraiment caché son mécontentement. Et pour cause : c'est à elle qu'il revient de payer les honoraires de l'intéressé, lesquels sont pour le moins considérables. Mais voilà, Lawrence Buterman vient de riposter, et dans une lettre rendue publique, il accuse la firme d'avoir lancé une campagne de dénigrement systématique contre Michael Bromwich. Le fameux moniteur.

Allez, je vous dis, une marque de high-tech, comme ça... Mieux, je vous dis, citez-moi la marque phare pour vous actuellement. Quoi ? Zadig et Voltaire ? Ah, petits canailloux... Non, c'est Apple la bonne réponse. La Très Bonne Réponse.

A chaque vente effectuée via le kiosque numérique d’iTunes, 30 % de commission revient directement dans les mains d’Apple. Les éditeurs souffrent fortement mais ne peuvent se priver du marché gigantesque que représente les possesseurs d’iPhones, iPods et autres iPads.