Dans la tentaculaire « affaire Bygmalion », les services publics ont également pris un coup dans l'aile : France Télévisions, alors dirigée par Patrick de Carolis, aurait également réglé quelques factures à Bygmalion, sans qu'aucun appel d'offres, pourtant obligatoire, ne soit préalablement effectué. La ministre de la Culture Aurélie Filippetti a invité à éviter « tout amalgame » entre la présidence de Carolis et celle de Pflimlin. Mais un peu de contexte ne fait pas de mal.