La transition risque d'être bien plus rapide que celle des clients vers le numérique, mais surtout bien plus douloureuse, pour les éditeurs. Coutumiers des envois de programmes par voie postale, mais également des invitations à des cocktails ou autres vernissages, la hausse du prix du timbre va faire mal. Mais surtout, la distribution va prendre un peu de retard, si l'on ne s'acquitte pas de la gabelle.