Connu pour ses reportages au sein des bagnes de la Guyane ou dans les asiles psychiatriques, le journaliste Albert Londres rend compte, en 1924, d'un autre milieu où se croisent les fous et les forçats : le Tour de France. Entre le 22 juin et le 20 juillet 1924, il couvre différentes étapes, laissant voir, presque un siècle plus tard, que certaines choses ont changé... Et d'autres non.