Fenêtres dormantes et porte sur le toit

Présent depuis 2003 en librairie la célèbre souris journaliste débarque sur dans l'émission .

Geronimo Stilton a été créé par l'auteure italienne Elisabetta Dami et ce sont, en France, les éditions Albin Michel jeunesse qui l'éditent depuis le début. La série a été traduite dans plus de trente langues et est présente dans une centaine de pays.

L'adaptation télévisuelle, quant à elle, existe depuis 2007 et c'est M6 qui en a fait la commande aux Studios Moonscoop (animateurs des dessins animés Tara Duncan, Titeuf, Code Lyoco et bien d'autres…).

Moonscoop a demandé à plusieurs auteurs de participer aux différents scénarios dont l'auteure, amie du site Les Histoires Sans Fin.com, Carina Rozenfeld (La quête des Livres-Monde, Doregon,…).

Donc, après la série de romans pour les 8-10 ans (le numéro 59 paraît le 5 octobre prochain), la série animée, il y a également les bande-dessinées, différents objets hétéroclites aux couleurs de notre héros à moustache et surtout, pour le moment uniquement en version italienne, différentes applications pour smartphone… on peut se demander si Elisabetta Dami n'avait pas prévu tout ça en créant un héros, grand patron du Groupe Média Stilton…

Diffusion de la série animée du lundi au vendredi à 12h30 et le samedi à 9h50 dans Zouzous sur France 5.

Fred Ricou

Sonnez trompettes, résonnez musettes, Kobo vient d'ajouter une plateforme à sa besace, en proposant désormais Kobo eReader pour le système d'exploitation Android.

Avec déjà à son actif les PC, iPhone, iPad, BlackBerry, cette application - gratuite - permettra aux possesseurs d'appareils sous Android de profiter de la librairie et du catalogue Kobo.

Pour le PDG de la firme, Michael Serbinis, cette plateforme représente le plus important taux de croissance sur le marché du mobile et l'ensemble des smartphones Android pourra profiter de la même chose que leurs semblables tournant sur d'autres OS.

À savoir quelque deux millions de titres, dont certains gratuits, et une grande partie de best-sellers vendus pour 10 $.

La version Android est très semblable à celle que l'on trouve sur iPhone, cependant quelques petites choses manquent, comme la possibilité de transférer des ebooks sur le Reader directement via une connexion USB, ou encore modifier le fond et la couleur, de même que les polices. En outre, on ne peut pas lire en mode paysage, un truc vraiment dommage.

Évidemment, on trouvera très peu d'ouvrages en français et à ce titre, plusieurs utilisateurs vous recommanderont encore Aldiko, pour trouver des titres. En outre, l'application n'est pas non plus très bien notée par les android marketeurs (deux étoiles et demie).

À chacun de se faire une idée...

Barnes & Noble se lance comme prévu à l'assaut de l'iPad avec une application gratuite qui fourmille d'options, BN eReader for iPad. Barnes & Noble a pris le temps de développer son application à première vue, le résultat valait bien un peu de patience.

L'application donne bien évidemment accès au Barnes & Noble eBookstore et à un logiciel de lecture d'ebooks. On peut aussi synchroniser cette application avec son PC (à condition d'y avoir installé le lecteur ebook Barnes & Noble). Grâce à cette option on peut par exemple noter le passage du livre où on arrête sa lecture sur iPad et ouvrir l'ebook sur son PC exactement à cet endroit. La synchronisation sera possible plus tard avec iPhone et iPod Touch.

On pourra aussi personnaliser l'application : changer les couleurs et la taille du texte, changer les couleurs des fonds, des liens, choisir la présentation de la bibliothèque (en grille avec les couvertures ou en liste avec des informations sur l'ouvrage).
Au nombre des options, il faudra compter sur les marque-pages, le surlignage, la prise de note, le dictionnaire intégré, la possibilité de recherche un mot sur Google ou sur Wikipédia, la lecture d'extraits d'ebooks gratuitement.

Ce qui sera quand même l'option la plus appréciable reste la possibilité de prêter un ebook pendant 14 jours à un ami (pourvu qu'il ait le lecteur Barnes & Noble sur son PC, sur son iPad ou sur son iPhone).

Cette option baptisée LendMe est la seule dans son genre sur iPad pour l'instant.

PREMIER JOURNAL d’INFORMATION AUTO – MOTO sur EBOOK.

Des médias s’unissent pour partager du contenu sur internet.

Dans but d’offrir des articles pour le futur utilisateur de tablette Ebook et d’internet Mobile, nous sommes en cours d’élaboration du premier journal d’information sur l’Automobile et la Moto.
Cette idée s'articule autour de deux pivots indispensables déjà réalisés : un moteur de recherche et un dictionnaire encyclopédique, l’ensemble représente 18 années de travail et de Passion.
Détail :
Sujets traités : Evénements - infos actualités auto et moto : A la une en continu (au fil de l’eau) 10 à 15 articles courts chaque jour.
Compétitions et Véhicules Sportifs : Résultats, essais et fiches techniques tous les lundis.
Véhicules Contemporains : Essais et ou comparatifs, fiches techniques, tous les mercredis.
Véhicules Anciens : Essais et ou comparatifs, fiches techniques comprenant l’historique des évolutions, tous les vendredis.
Dossiers Enquêtes : Technologie, Interviews, Musées, Restauration, Sécurité, Ecologie, Industrie, Salons, , Histoire des Marques tous les quinze jours.

Moteur de recherche : avec aide à l’écriture, connecté à 11 bases de données interactives,
57 000* lignes actuellement : Voitures 23 100 réf, Motos 4 800 réf, Marques 8 800 réf, Véhicules Divers 700 réf, Hommes 6 300 réf, Compétition 1 600 réf, Technique 800 réf, Histoire 1 500 réf, Musées 300 réf, Généralités 600 réf, Annuaire 8 500 réf.

Dictionnaire Encyclopédique : Ouvert sur 38 000* mots clés originaux, associés à un très grand nombre de liens hypertextes, (Aujourd’hui + de 1 000 articles et lexiques). Au futur, rédigé par des contributeurs sélectionnés issus des clubs de l’annuaire sous contrôle d’un modérateur (voir Larousse.fr)
Annonces : Petites annonces de vente ou recherche de véhicules avec photos enregistrées par prospection téléphonique dynamique auprès des professionnels. (avec système d’aide à la décision du client)
Annonces de recherche et vente de pièces d’occasion avec programme d’aide à l’insertion de personnes au RSA. (démarche sociale)

Agenda : Calendrier des manifestations, expositions, courses, concentration, bourses, A.G. Club.

Alertes : SMS ou Mail après inscription suivant les intérêts (sujet) et ou région (agenda).

Les Titres ; AUTOCYBER et MOTOCYBER

Plusieurs publications de la PQR et autres journaux généralistes ou magazines communautaires ont accepté de participer au projet ainsi que de grands sites d'informations.

Ces affiliés qui ont signé des lettres d’intention partageront à très faible coût ce contenu sur leurs sites internet.

L’instigateur du projet prévoit de lancer à l'automne une plateforme payante, qui permettrait aux abonnés d'accéder au détail du contenu ainsi qu’à partir des sites affiliés et les rétribuer.

Les Evénements - infos actualités auto et moto du jour resteront gratuites, seuls les trois rubriques et les dossiers seront payants.

Pour en savoir plus, questionnez-moi ?

Pierre LACHET - 06 88 06 14 96 – Email : lachet.pierre@autocyber.com

Après avoir mis fin à une longue saga de romans avec le dernier volet de la trilogie des dieux, Bernard Werber revient avec cette fois-ci un recueil de nouvelles. C'est certainement pour l'auteur et pour ses lecteurs une façon de respirer un coup avant de se lancer dans un autre projet d'envergure. Un peu à la manière de ses romans, l'écrivain propose une pause récréative dans son oeuvre. Il affirme d'ailleurs dans l'avant-propos : « La nouvelle me semble la base même de l'artisanat d'auteur. C'est là qu'on peut tester des formes, des mécanismes, des points de vue, des procédés de narration différents. »

Ainsi nous voilà face à un recueil de 17 nouvelles classées en deux catégories « les futurs possibles » et « les passés probables ». Les nouvelles classées dans « les futurs possibles » sont généralement des nouvelles d'anticipations laissant une grande place à l'imaginaire. Celles classées dans « les passés probables » sont plus ancrées dans le réel avec quelques notes de cynisme.

Certains thèmes chers à Werber sont présents dans ce recueil. Ainsi on retrouvera la société des fourmis, l'humanité qui se détruit puis tente de se reconstruire, les vies antérieures, ou encore l'homme incompris par ses contemporains. Les métiers des personnages ont aussi une grande importance. C'est comme si on faisait une petite plongée dans des univers différents largement influencés par la profession des personnages. C'est même une sorte de fil conducteur dans le recueil. On découvre en partie le monde des détectives privés, des journalistes de campagne, des humoristes, des gardes du corps et on en passe.

Ce livre est dans une grande mesure distrayant, on y trouve de bonnes idées et des pistes de réflexions intéressantes. Malheureusement Werber utilise toujours les mêmes recettes et s'il révélait dans 'Le mystère des dieux' que tout est régi par le tour de main, il faut bien avouer et à regret que là, la mayonnaise n'a pas pris.

Certaines formules déjà trop utilisées dans les autres livres de l'auteur réapparaissent. Ce qui pouvait lui être pardonné tant qu'elles étaient employées dans un cycle dont les codes et les bases étaient posés depuis plusieurs romans. Là ça devient un peu trop redondant et on finit par avoir l'impression de suivre un cours magistral. Pire même parfois Werber nous pose les résultats de ses réflexions comme ça à l'état brut avec des petits un, petits deux et petits trois. Le lecteur n'est-il pas capable de comprendre tout seul sans explications...? Bien loin de soutenir l'histoire cette intervention casse le lecteur dans son élan, détruisant pour un temps l'univers qu'il s'était construit. Pour se remettre dans l'histoire, il est un obligé de prendre sur lui et de faire un grand effort. C'est le cas notamment pour la nouvelle 'La stratégie de l'épouvantail'. Et c'est vraiment dommage car la nouvelle en elle-même est assez savoureuse et sans prétention.

Publicité intempestive

Enfin dernier point négatif, qui lui aussi était présent dans 'Le mystère des dieux', l'autopromotion. Bon dans 'Le mystère des dieux' on voulait bien fermer les yeux étant donné qu'il s'agissait de la fin d'un grand cycle et que l'on se trouvait en quelque sorte face à une synthèse de tout ce qui avait été créé par l'auteur. Ce n'était même pas foncièrement une mauvaise idée. Malheureusement dans ce recueil ça tombe un peu comme un cheveu sur la soupe. D'autant plus que c'est fait dans une nouvelle d'anticipation qui se penche sur les évolutions possibles des grandes marques, ces entreprises géantes auxquelles rien ne résiste. Se faire de la publicité dans un texte comme ça c'est un peu décalé, non...

Bref, dans ce recueil on trouve quand même quelques perles, et généralement les idées et les histoires sont intéressantes. Hélas, les interventions didactiques et promotionnelles gâchent tout. De plus les recettes de l'auteur commencent à être usées et le risque de lasser les lecteurs est de plus en plus grand. C'est dommage parce que Bernard Werber a le talent de savoir créer des univers cohérents avec des histoires passionnantes. On espère vraiment qu'il saura se renouveler dans son prochain livre.

Retrouvez 'Paradis sur mesure' sur Place des libraires

La comédie « Mon Führer, La vrai véritable histoire d'Adolf Hitler », qui est sortie le 11 janvier sur les grands écrans allemands a débarqué ce mercredi 12 mars dans les salles obscures françaises.

On se souvient qu'en Allemagne ce film avait divisé les critiques et les spectateurs, la question étant de savoir si on pouvait faire une comédie avec Hitler en personnage principal. À ce propos le journal Tagesspiegel avait titré « Peut-on rire sur Hitler ? Bien sûr on peut. Hitler était affreux. Mais il était comme tous les dictateurs aussi affreusement ridicule », estimait-il. En outre, le spectateur risquait malgré lui de placer « le malheureux Monsieur nommé Adolf sur le piédestal d'une empathie collective ».

Le réalisateur suisse de confession juive Dani Levy estime quant à lui que la comédie « permet d'être plus subversif, de faire sauter les tabous. Elle peut exagérer, montrer des comportements de manière crue, et ainsi dénoncer leur bassesse. La comédie est plus percutante qu'une représentation authentique et sérieuse. »

En quelques mots le film décrit un Hitler en pleine dépression sentant que la guerre est perdue (l'action se passe entre 1944-1945). Pour le remettre sur pied, afin qu'il puisse faire un grand discours à Berlin « comme au bon vieux temps », son conseiller Goebbels tente de lui trouver un coach. Il se souvient alors qu'un détenu juif Grünbaum, était professeur de théâtre avant d'être déporté. Celui-ci sera sorti du camp de concentration où il était incarcéré pour devenir le coach d'Hitler.

Pour la petite histoire Hitler avait vraiment un professeur de théâtre mais il n'était pas juif. Le mélange du vrai et du faux, « Je n'ai eu aucun scrupule à mélanger le vrai et le faux. J'ai inventé les circonstances et l'histoire, tout en me fondant sur les connaissances qu'on a de cette époque » du risible et de l'horrible sont les ingrédients du film.

Le réalisateur du film n'a pas tout sacrifié à la comédie, il déclare à ce propos « j'ai toujours veillé à équilibrer les moments drôles avec des scènes qui rappelaient les horreurs du nazisme. Je voulais montrer Hitler comme un être humain, ce qui le rend encore plus monstrueux. Néanmoins, il ne devait jamais faire pitié. »