Retour sur un casse livresque pas banal, en Italie. Marino Massimo De Caro, l'ex-directeur de la plus ancienne institution de prêt napolitaine, qui se trouvait impliqué dans le vol de quelques milliers de livres rares au sein de la bibliothèque Girolamini, est actuellement jugé pour son forfait. Charge revient désormais aux procureurs de comprendre comment il aura été possible de subtiliser autant de livres, y compris des éditions plusieurs fois centenaires, d'oeuvres signées Aristote, Descartes, Galilée ou encore Machiavel...