Après la grogne des auteurs britanniques, et la lettre adressée au premier ministre, David Cameron, cette idée d'interdire les envois de livres aux prisonniers continue de faire jaser. Le ministre de la Justice, Chris Grayling, à l'origine du projet, vient de se prendre une volée de bois vert. L'Inspecteur en chef des prisons, Nick Hardwick, parle d'une « erreur ». Laquelle pourrait coûter cher…