La semaine passée, directeur de Lire en Poche, un salon dédié aux livres de poche qui se tient chaque année à Gradignan (Gironde), nous communiquait une lettre ouverte interpellant Vincent Monadé, président du Centre national du livre. Ce courrier interrogeait la nécessité de rémunérer des auteurs, au cours de manifestations littéraires, en posant comme constat premier que beaucoup de salon du livre n'avaient pas les moyens, tout bonnement, de le faire.