Boulette de parcours, pour le ministre de l'Éducation québécois, Yves Bolduc, qui depuis quelques jours se fait légèrement houspiller. Pour avoir assuré que les bibliothèques scolaires n'avaient pas besoin de livres supplémentaires, et que les enfants ne mourraient pas de leur absence, il avait subi les foudres de la Toile. « J'ai pris en compte les critiques », assure-t-il maintenant.