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Symphonie en la mineur, « italienne » (conducteur A4)

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Musique, danse

Symphonie en la mineur, « italienne » (conducteur A4)

Bien que dûment signalée dans tous les catalogues et biographies du musicien, la Symphonie italienne de Vincent d'Indy resta longtemps inédite. Alors qu'il vient à peine de fêter ses dix-huit ans, son baccalauréat ès lettres fraîchement obtenu, sa grand-mère Résia tient à lui offrir un somptueux voyage de deux mois en Italie, au berceau même de l'art, de la civilisation et du christianisme. Récompense accordée pour les efforts fournis et les résultats obtenus, ou moyen plus inavouable de chercher à le détourner d'un projet de carrière militaire, ce véritable Grand Tour allait s'avérer autrement fructueux.
En effet, propre à enflammer un jeune esprit empreint de romantisme, la patrie de Dante et de Michel-Ange devait non seulement lui inspirer l'une de ses premières oeuvres d'envergure, mais guider définitivement ses pas vers une carrière bien éloignée des fastidieuses études de droit auxquelles on aurait voulu pouvoir l'astreindre. Avant même son départ avait germé l'idée d'une vaste symphonie à programme, dont le premier canevas fut ébauché dans l'enthousiasme des différentes étapes de son périple entre Rome, Naples, Florence et Venise, puis lors d'un séjour en Allemagne et en Suisse.
Travailleur acharné, homme de culture avide de grandeur et de perfection, il fallait un esprit puissant et volontaire pour concevoir un tel projet et le mener à terme. Mais fût-elle réelle ne réduisons pas cet ouvrage à une simple prouesse d'écriture : à travers ces pages tour à tour grandioses ou poétiques, nobles ou piquantes, profondes ou fantasques, l'auteur parvient avant tout à atteindre son objectif premier, celui de prouver qu'il a bel et bien une "âme d'Artiste" ...
Après des années d'un injuste oubli, à nous maintenant d'en découvrir les multiples richesses... 1 petite flûte, 2 flûtes, 2 clarinettes, 2 hautbois, 2 bassons, 4 cors, 2 trompettes, 3 trombones, timbales, cordes

12/2018

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Musique, danse

Symphonie en la mineur, « italienne » (conducteur A3)

Bien que dûment signalée dans tous les catalogues et biographies du musicien, la Symphonie italienne de Vincent d'Indy resta longtemps inédite. Alors qu'il vient à peine de fêter ses dix-huit ans, son baccalauréat ès lettres fraîchement obtenu, sa grand-mère Résia tient à lui offrir un somptueux voyage de deux mois en Italie, au berceau même de l'art, de la civilisation et du christianisme. Récompense accordée pour les efforts fournis et les résultats obtenus, ou moyen plus inavouable de chercher à le détourner d'un projet de carrière militaire, ce véritable Grand Tour allait s'avérer autrement fructueux.
En effet, propre à enflammer un jeune esprit empreint de romantisme, la patrie de Dante et de Michel-Ange devait non seulement lui inspirer l'une de ses premières oeuvres d'envergure, mais guider définitivement ses pas vers une carrière bien éloignée des fastidieuses études de droit auxquelles on aurait voulu pouvoir l'astreindre. Avant même son départ avait germé l'idée d'une vaste symphonie à programme, dont le premier canevas fut ébauché dans l'enthousiasme des différentes étapes de son périple entre Rome, Naples, Florence et Venise, puis lors d'un séjour en Allemagne et en Suisse.
Travailleur acharné, homme de culture avide de grandeur et de perfection, il fallait un esprit puissant et volontaire pour concevoir un tel projet et le mener à terme. Mais fût-elle réelle ne réduisons pas cet ouvrage à une simple prouesse d'écriture : à travers ces pages tour à tour grandioses ou poétiques, nobles ou piquantes, profondes ou fantasques, l'auteur parvient avant tout à atteindre son objectif premier, celui de prouver qu'il a bel et bien une "d'Artiste" ...
Après des années d'un injuste oubli, à nous maintenant d'en découvrir les multiples richesses... 1 petite flûte, 2 flûtes, 2 clarinettes, 2 hautbois, 2 bassons, 4 cors, 2 trompettes, 3 trombones, timbales, cordes

10/2018

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Musique, danse

Symphonie n°1 (conducteur A3). en sol mineur

Méhul est peut-être, sous la Révolution, le Consulat et l'Empire, le seul compositeur français d'envergure à avoir parfaitement compris et assimilé les dernières perfections de la musique de son temps. Formé par un Allemand, puis par un Alsacien, il s'est donné pour but, lors de la composition de ses symphonies, de montrer "qu'un Français peut suivre de loin Haydn et Mozart" . Haydn reste le grand modèle de Méhul ; franc-maçon, celui-ci était membre du Concert de la Loge olympique qui commanda au maître viennois, si populaire alors en France, ses six Symphonies parisiennes. En 1807, au sommet de son art, Méhul a su assurer, au service de l'opéra comique, la réciproque fertilisation des musiques allemande et française et de son propre génie orchestral. La découverte des deux premières symphonies de Beethoven constitue alors le choc qui le conduira, en l'espace de trois années, à composer ses cinq symphonies. La première symphonie, en sol mineur, frappe d'­emblée par ce double constat : sa maîtrise formelle tout d'abord, et l'économie des moyens mis en oeuvre, remarquable chez un compositeur qu'on disait bruyant (absence des trompettes, des trombones, utilisation rare des timbales), au service d'une force expressive évidente. Le premier mouvement est un allegro de forme sonate bithématique ; le premier thème, qui laisse la part belle aux grands intervalles dramatiques et aux arpèges, contient, dans une formule d'accompagnement des basses, le matériau de base (une levée sur un tétracorde ascendant) du deuxième thème, exposé en si bémol majeur. Après le développement, c'est curieusement ce deuxième thème qui sera réexposé le premier, en sol majeur ? ; procédé d'inversion, fréquent chez Méhul, qui permet au mouvement de se clore avec toute la force dramatique du premier thème. Le deuxième mouvement est un andante dont les variations contrastées montrent tout ce que Méhul doit à Haydn. Schumann, en 1838, dira de cette symphonie : "la ressemblance du dernier mouvement avec le premier de la Symphonie en do mineur de Beethoven et des scher­zos de ces deux symphonies est remarquable" . La cinquième de Beethoven et la première de Méhul ne doivent en fait rien l'une à l'autre, ayant été composées à peu près en même temps ; si le menuet de la sympho­nie de Méhul (dont la première partie est confiée aux seuls pizzicatos des cordes) est un scherzo d'esprit très beethovenien, il n'est guère dans la lettre de la cinquième symphonie. En revanche, on comprend mieux comment le thème principal du quatrième mouvement (allegro agitato), avec sa levée de trois croches répétées, a pu frapper Schumann. Ce thème est un moto perpetuo, avec une broderie de la dominante caractéristique du style de Méhul. Le deuxième thème, plus mélodique, par sa brièveté et sa répétitivité conserve la tension dramatique qui parcourt le mouvement entier jusqu'à sa fin. François Bernard

10/2018

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Littérature française

Symphonie en psy mineur

La place du musicien dans la cité a-t-elle vraiment évolué depuis le XVIIIe siècle ? Quelle réalité se cache derrière le faste du concert ? Comment gérer la perversité d'un chef d'orchestre ? Est-il possible de combiner l'idéal de son art avec la loi du marché ? Dans ces nouvelles, les artistes s'allongent sur le divan pour nous offrir une symphonie intime et inédite.

10/2019

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Musique classique

Symphonie n° 1 en ré majeur (conducteur A4)

Face à l'évolution de la symphonie impulsée par Beethoven au début du xixe siècle, nombreux furent les compositeurs à se détourner de ce genre considérant ses neuf symphonies comme un idéal insurpassable. Les plus audacieux associeront un contenu extra-musical (poème, texte, conte, légende...) pour faire évoluer le genre vers la symphonie à programme (Berlioz, La Symphonie Fantastique en 1830) ou vers le poème symphonique (Liszt, Mazeppa en 1851). Malgré le creux apparent de la production symphonique française entre 1830 et 1860, il faut souligner que la symphonie, bien que subissant un certain désintérêt, n'a pas cessé d'exister. Farrenc, Reber, Bizet et Gounod par exemple sont de ceux à s'être penchés sur le genre symphonique dans l'héritage beethovénien sans pour autant avoir cherché à le développer outre mesure. Cette Première Symphonie, datant de 1855, semble être l'un des premiers succès consolateurs de Gounod après l'échec de ses deux oeuvres lyriques, La Nonne sanglante et Sapho. Sa bonne réception incite d'ailleurs le compositeur à écrire sa Deuxième Symphonie comme il le dit lui- même au travers de ses Mémoires d'un artiste : Je me consolai de mon déboire en écrivant une symphonie (no 1, en ré) pour la Société des Jeunes artistes, qui venait d'être fondée par Pasdeloup et dont tous les concerts avaient lieu salle Herz, rue de la Victoire. Cette symphonie fut bien accueillie, et cet accueil me décida à en écrire pour la même société, une seconde (no 2, en mi bémol), qui obtint aussi un certain succès. Ces deux oeuvres montrent des traits similaires comme la découpe traditionnelle en quatre mouvements ou encore l'effectif instrumental. Pour autant, la Première Symphonie ne mérite pas de s'éclipser devant la seconde composée la même année. Elle déploie une qualité mélodique remarquable dans son premier mouvement. Le travail orchestral et l'énergie poignante du compositeur laissent également entrevoir le caractère théâtral qu'il développera dans sa Deuxième Symphonie et ses opéras. Le deuxième mouvement emprunte sans doute son caractère et son inspiration au second mouvement de la Septième Symphonie de Beethoven. Gounod fait preuve ici d'une grande finesse orchestrale et d'une certaine sobriété, proposant même un passage fugué. Le Scherzo, quant à lui, semble puiser son énergie dans de multiples contrastes, somme toute opératiques. Il souligne avec fluidité l'intérêt marqué du compositeur pour le genre dramatique. Le quatrième mouvement, commençant par une introduction dans un tempo plus lent, ne manque pas de dévoiler son infatigable vivacité. Gounod n'hésite d'ailleurs pas à déployer l'intégralité de l'orchestre lorsque nécessaire. Fidèle au modèle classique et assurément différente de sa soeur, cette Première Symphonie, d'une énergie remarquable, mérite une écoute attentive afin d'en saisir toutes les richesses.

02/2022

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Musique classique

Symphonie n° 1 en ré majeur (conducteur A3)

Face à l'évolution de la symphonie impulsée par Beethoven au début du xixe siècle, nombreux furent les compositeurs à se détourner de ce genre considérant ses neuf symphonies comme un idéal insurpassable. Les plus audacieux associeront un contenu extra-musical (poème, texte, conte, légende...) pour faire évoluer le genre vers la symphonie à programme (Berlioz, La Symphonie Fantastique en 1830) ou vers le poème symphonique (Liszt, Mazeppa en 1851). Malgré le creux apparent de la production symphonique française entre 1830 et 1860, il faut souligner que la symphonie, bien que subissant un certain désintérêt, n'a pas cessé d'exister. Farrenc, Reber, Bizet et Gounod par exemple sont de ceux à s'être penchés sur le genre symphonique dans l'héritage beethovénien sans pour autant avoir cherché à le développer outre mesure. Cette Première Symphonie, datant de 1855, semble être l'un des premiers succès consolateurs de Gounod après l'échec de ses deux oeuvres lyriques, La Nonne sanglante et Sapho. Sa bonne réception incite d'ailleurs le compositeur à écrire sa Deuxième Symphonie comme il le dit lui- même au travers de ses Mémoires d'un artiste : Je me consolai de mon déboire en écrivant une symphonie (no 1, en ré) pour la Société des Jeunes artistes, qui venait d'être fondée par Pasdeloup et dont tous les concerts avaient lieu salle Herz, rue de la Victoire. Cette symphonie fut bien accueillie, et cet accueil me décida à en écrire pour la même société, une seconde (no 2, en mi bémol), qui obtint aussi un certain succès. Ces deux oeuvres montrent des traits similaires comme la découpe traditionnelle en quatre mouvements ou encore l'effectif instrumental. Pour autant, la Première Symphonie ne mérite pas de s'éclipser devant la seconde composée la même année. Elle déploie une qualité mélodique remarquable dans son premier mouvement. Le travail orchestral et l'énergie poignante du compositeur laissent également entrevoir le caractère théâtral qu'il développera dans sa Deuxième Symphonie et ses opéras. Le deuxième mouvement emprunte sans doute son caractère et son inspiration au second mouvement de la Septième Symphonie de Beethoven. Gounod fait preuve ici d'une grande finesse orchestrale et d'une certaine sobriété, proposant même un passage fugué. Le Scherzo, quant à lui, semble puiser son énergie dans de multiples contrastes, somme toute opératiques. Il souligne avec fluidité l'intérêt marqué du compositeur pour le genre dramatique. Le quatrième mouvement, commençant par une introduction dans un tempo plus lent, ne manque pas de dévoiler son infatigable vivacité. Gounod n'hésite d'ailleurs pas à déployer l'intégralité de l'orchestre lorsque nécessaire. Fidèle au modèle classique et assurément différente de sa soeur, cette Première Symphonie, d'une énergie remarquable, mérite une écoute attentive afin d'en saisir toutes les richesses.

02/2022

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Musique, danse

Sonate pour violon et piano (conducteur). en fa dièse mineur

La Sonate pour violon et piano en fa dièse mineur date de 1907. S'inscrivant dans une forme classique, les quatre mouvements - allegro moderato, allegretto, largo, et allegro molto - sont tous teintés d'une mélancolie et d'une gravité rares chez un musicien âgé de tout juste 17 ans. Loin de toute grandiloquence et d'éclats théâtraux, la musique s'exprime davantage par l'intimisme et l'intériorité, traits marquants du caractère du compositeur. Même le second mouvement, sorte de scherzo, ne témoigne guère de légèreté, d'insouciance et de gaieté juvénile. Lors des funérailles de Hans Sturzenegger, le largo de cette oeuvre prémonitoire fut joué en guise de requiem. La prédominance du registre grave, aussi bien au piano qu'au violon et durant toute la sonate, accentue encore le caractère profond et la mélancolie qui en découle. Cette constatation nous a amenés tout naturellement à proposer, en même temps que la version pour violon, une version pour alto.

04/2018

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Musique, danse

Concerto pour piano (conducteur). en si mineur op. 3

Le Concerto pour piano en si mineur op. 3 (MoszWV 160) fut composé pendant la période berlinoise de Moszkowski à la Neue Akademie der Tonkunst où il devint professeur en 1872 alors qu'il était encore étudiant. Avec son ami et collègue Philip Scharwenka, il loua la salle de la Sing-Akademie à Berlin pour un concert d'oeuvres originales. La première représentation du concerto pour piano eut lieu le samedi 27 février 1875, sous la direction de Ludwig von Brenner avec le compositeur au piano.
La Symphonie en ré mineur (MoszWV 146) et le Caprice op. 4 (MoszWV 3) étaient également au programme. Le concert fut un succès et Anton Rubinstein en rendit compte positivement. Toutefois, le concerto pour piano est resté inédit à ce jour. Bien que les premières compo­sitions de Moszkowski fussent publiées depuis 1874 et qu'il réservât l'opus 3 à une grande maison d'édition française qu'il avait en tête, il ne trouva pas d'éditeur tout de suite.
Il prit ensuite de la distance vis-à-vis de cette oeuvre qu'il ne désirait plus publier. Il reprit le manuscrit déjà vendu afin de réviser son travail. Tout en rejetant son premier concerto pour piano qu'il jugeait sans valeur, il salua son deuxième concerto pour piano en mi bémol majeur op. 59 (MoszWV 162) comme son meilleur travail. Le premier concerto devint néanmoins connu du public grâce à l'enthousiasme de son dédicataire, Franz Liszt, auquel Moszkowski l'avait joué au printemps 1875 à Weimar.
Liszt organisa un concert privé pour la baronne Olga von Meyendorff, au cours duquel il joua lui-même la partie d'orchestre sur le second piano. On ne connaît pas d'autre exécution publique du Premier Concerto pour piano. Après la mort du compo­siteur, son élève Bernard Pollack essaya de le faire publier chez Peters, mais ne put ni trouver le manuscrit ni convaincre Henri Hinrichsen, le directeur éditorial.
Le concerto était réputé perdu jusqu'à ce qu'il soit retrouvé sous la forme d'une partition manuscrite avec d'autres oeuvres et journaux intimes dans une succession léguée à la Bibliothèque nationale de France. Cent trente-neuf ans après la première représentation publique, une seconde création a eu lieu le 9 janvier 2014 à la Philharmonie de Varsovie avec le pianiste bulgare Ludmil Angelov, le chef d'orchestre Vladimir Kiradjiev et l'Orchestre symphonique Artur Malawski de Rzeszów.

05/2015

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Tarots

Tarot en mode mineur. Arcanes mineurs, les 4 piliers du Tarot

Le caractère fascinant du Tarot parle à notre inconscient depuis des siècles. Son utilisation divinatoire, apportant des réponses et révélant des vérités cachées, garde un cachet ésotérique, mais bien plus précieux est son usage en tant que support de projection pour favoriser la prise de parole, stimuler l'autoanalyse et provoquer la prise de conscience de soi, que ce soit à des fins thérapeutiques ou dans son cheminement personnel. Les 78 arcanes du Tarot nous tendent un miroir symbolique qui reflète notre présent et notre présence au monde. Ils nous interrogent et nous aident à poser les bonnes questions. Le Tarot constitue une somme philosophique incomparable, un livre secret de sagesse qui suscite respect, prudence et reconnaissance. Les 22 arcanes majeurs, grâce à leurs représentations figuratives, forment une sorte de miroir de soi, un catalogue des grands symboles universels inscrits dans l'inconscient collectif. A l'inverse, les 56 arcanes mineurs représentent un sujet mystérieux et moins exploré. Cependant, leur capacité à stimuler l'imaginaire et la créativité, à dépasser l'image pour exhumer l'archétype qui lui a donné naissance, ouvre un vaste champ de possibilités. Il suffit de mettre en oeuvre toute une méthodologie fondée sur la symbolique des nombres et l'évocation d'archétypes enracinés dans notre corps et notre vécu. Cet ouvrage propose un nouveau regard sur les arcanes mineurs en les réinscrivant dans l'univers symbolique du Tarot où ils ont une place privilégiée.

02/2021

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Littérature française

Sur la terrasse de Monte-Carlo, symphonie-fantaisiste en bleu majeur et en vers mineurs

Traitement du bubon chancrelleux par le procédé de Fontan : son application au traitement des maladies externes / par le docteur René Legault,...Date de l'édition originale : 1918Appartient à l'ensemble documentaire : Aquit1Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces œuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces œuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur sur le site hachettebnf.fr

06/2016

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Littérature française (poches)

La Place du conducteur

Lise, trente-quatre ans, part en vacances, vêtue d'un incroyable ensemble, jaune, orange, mauve-bleu et rouge. " Pourquoi tout le monde a-t-il peur de moi ? " demande-t-elle. Et, si quelqu'un enfin n'a pas peur, elle le repousse : " Vous n'êtes pas mon genre d'homme. " Au terme d'aventures extravagantes, Lise finit enfin par trouver celui qu'elle cherche : son assassin.

02/1987

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Littérature anglo-saxonne

La place du conducteur

"Un chef-d'oeuvre à la fois traître et piquant. " The New Yorker Après seize ans de bons et loyaux services au sein d'un cabinet d'experts-comptables, Lise, trente-quatre ans, décide de tout abandonner et de partir seule dans le Sud, en quête de nouvelles sensations... et d'un homme " de son genre ". Vêtue d'un incroyable ensemble jaune, orange, mauve, bleu, rouge et blanc, et au terme d'aventures tout aussi improbables, Lise finit par trouver celui qu'elle cherche : son assassin. Paru en 1970 et adapté au cinéma avec Elizabeth Taylor dans le rôle de Lise, ce roman de Muriel Spark, l'une des plus grandes écrivaines écossaises du XXe siècle, est un petit bijou d'une grande précision, aussi extravagant qu'imprévisible. " Dans la vie, Muriel Spark était un peu devin, un peu médium, un peu sorcière... et bien sûr elle l'était plus encore en tant qu'auteur. " Christine Jordis

04/2023

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Littérature française

En love mineur

"Le train poursuivait sa course dans la nuit tombante, en s'arrêtant toutes les cinq ou dix minutes. La narratrice se dit que ça pourrait donner un bon début d'histoire, un soir un train, une intersection entre deux trajectoires, une collision et puis, le champ des possibles qui s'ouvre en délicatesse. C'était un bon début. Ca démarrait au quart de tour. Elle se sentait sure d'elle, maitresse de la situation et de la tournure que pourrait prendre cette rencontre".

12/2017

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Poésie

Symphonie en bleu

La couleur bleue occupe la poésie et la littérature à partir du Moyen Age. Dès qu'elle devient la couleur de la Vierge Marie, elle acquiert une immense valeur sensorielle. Le manteau royal lui aussi va devenir bleu. Protection céleste et protection terrestre. "De nos jours, [le bleu est] la couleur préférée de l'homme occidental" (Annie Mollard-Desfour). Au fur et à mesure, le ciel, l'eau, les lieux, les animaux, l'art, tout se fait bleu. Les peintres on leur période bleue. La poésie devient bleue. Le rêve est bleu. La liberté, l'évasion, l'idéal, la joie de vivre, doivent être bleus, pour le bien-être. Le bleu c'est la tendresse, les sentiments, l'âme heureuse, et même la mélancolie.

11/2019

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Poésie

Symphonie en turbulence

L'Afrique L'obligeant continent noir, berceau de spiritualité Ajamais un berceau bâti par des résistants, d'éminents savants Foyer des muses s'abreuvant sur le Zambèze, le Nil, l'Ogoué Refuge des êtres les plus rares, des plus belles pensées de l'histoire Impératrice opulente mais extérieurement minimisée Qu'à cela ne tienne, je l'aime à la folie, je me glorifie Udu, calebasse, balafon, tam-tam font danser l'âme, Enivrer de souffles et d'ombres l'arène bohème.

10/2020

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Histoire des idées politiques

La symphonie rouge. Radiographie de la révolution (Symphonie en rouge majeur)

Ce document est l'extrait de l'interrogatoire de Christian Rakowsky, agent des banquiers " Rothschild ", ambassadeur soviétique en Grande-Bretagne en 1923 et France en 1925. Arrêté dans la nuit du 28 janvier 1938 après avoir tenté de renverser Staline, il fut jugé lors des procès trotskistes pour haute trahison. L'accusé ayant fait clairement comprendre qu'il pouvait faire des révélations sur des sujets du plus haut intérêt, espérant que cela pourrait lui valoir la vie sauve, Staline avait alors commandé à l'un de ses agents de mener l'interrogatoire qui fut conduit en français. Le docteur Josef Landowsky (l'auteur du manuscrit) était présent aux fins de droguer Rakowsky en mettant dans son verre, à son insu, des pilules à effets euphorisants. Derrière la cloison, un magnétophone enregistrait la conversation. Le Dr Josef Landowsky eut ensuite à traduire l'interrogatoire en langue Russe et à en tirer deux exemplaires pour Staline. Secrètement, le docteur eut l'audace d'en faire une troisième copie carbone et de la cacher... " La Symphonie Rouge " (chapitre " Radiographie de la Révolution " de l'ouvrage " Symphonie en Rouge Majeur ") est la traduction de plusieurs cahiers retrouvés sur le corps du Docteur Landowsky, découvert mort sur le front de Leningrad au cours de la Seconde Guerre mondiale. Ce texte n'était pas censé devenir publique. Il révèle entre autres, comment Wall Street a financé le parti nazi, pourquoi la finance internationale a créé Hitler pour ensuite l'anéantir, quels étaient les réels objectifs du Communisme, dans quelle mesure la Franc-Maçonnerie opère sur la scène politique internationale... Certainement le document le plus troublant et le plus explosif de notre histoire récente.

11/2021

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Romance et érotique LGBT

Symphonie

Symphonie, c'est un recueil de trois nouvelles boy's love : "Le monstre sous le lit" , "Le garçon fleur" et "Le garçon arc-en-ciel" . Leur point commun ? L'irruption du fantastique dans un monde où l'on ne croit que ce que l'on voit . D'abord publiées en ligne, c'est finalement en format papier que ces histoires voient le jour, de sorte que chacun puisse les redécouvrir d'une autre manière.

03/2022

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Littérature française

La Xe symphonie

La Xe symphonie perdue au poker ! Karl, le neveu de Beethoven, dérobe à son oncle qui est en train de l'écrire, plusieurs pages de la Xe symphonie. Depuis lors les partitions passent de main en main, du début du XIXe jusqu'à nos jours. Elles épousent les vicissitudes de la vie de leurs différents détenteurs jusqu'au jour où par pur hasard, l'un des héros du roman trouve une lettre faisant référence à un secret. Le héros se met alors en tête de percer le secret. Va-t-il y arriver ? Une seule chose est sûre : il va vivre une curieuse aventure qui va modifier le cours de sa vie.

03/2020

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Littérature française

La dixième symphonie

Un jeune homme, orphelin de mère et rejeté par un père enseignant d'école primaire, frustré d'avoir été éconduit par sa belle famille quand il vivait encore ave sa jeune compagne défunte, vivant avec sa tante à la briqueterie, quartier populeux et peuplé majoritairement des musulmans dans la ville de Yaoundé, refuse de poursuivre ses études pour apprendre à jouer le piano. Malgré le coût élevé de la formation en musique classique, sa tante qui tient à la réussite de son neveu, accepte son choix de ne plus poursuivre ses études pour se livrer à sa passion musicale. Par ses contacts, il va rejoindre l'un des clubs les plus prestigieux de Yaoundé où ne viennent que les enfants des hauts commis de l'Etat et des corps diplomatiques. Hué au début, c'est son génie va le distinguer et créer autour de lui des jalousies. Il va se lier d'amitié avec le fils d'un haut commis de l'Etat qui est impressionné par sa virtuosité et le fait connaître à son père. Ce dernier amoureux de l'art et de la musique classique tombe sous le charme du jeune apprenti de la musique classique. Plus tard, c'est la fille du monsieur qui tombe aussi amoureuse du jeune apprenti de la musique. Cette relation d'amour va jeter un froid dans les relations entre les deux familles. Bien plus, la mort de la jeune fille du promoteur du club de musique classique, assassinée sans que son meurtre ne soit élucidé va compliquer le destin du jeune apprenti de la musique. Sans preuve de culpabilité d'un éventuel meurtrier, le jeune apprenti de la musique est jeté en prison ; ce qui va plonger sa tante dans le trouble. Il faudra attendre l'intervention de la fille du personnage important de Yaoundé, amoureuse du jeune apprenti de la musique pour pousser son père à faire ramener son fils assassin des Etats-Unis afin qu'il vienne purger sa peine, en lieu et place du jeune apprenti de la musique. Ce dernier, maintenant libéré peut reprendre son aventure et surtout son amour avec la jeune fille du personnage important. Mais ladite jeune fille est maladive ; après des interventions chirurgicales, elle décide de célébrer son mariage malgré son état de santé critique. Après l'union du mariage à la Cathédrale-Notre-Dame-Des-Victoires de Yaoundé, la jeune épouse doit rejoindre la Fondation Chantal Biya où elle est internée ; alors que le jeune époux, lors de la cérémonie au Hilton hôtel peut encore égayer les convives en espérant jouer la dixième symphonie.

10/2015

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Romans historiques

La symphonie interdite

Le 27 avril 1967, le grand chef d'orchestre autrichien Yachouv Edelman dirige de façon éblouissante le Philharmoniker de Berlin. Alors que les musiciens interprètent la Huitième de Mahler, il succombe à son pupitre. L'autopsie ne tarde pas à révéler qu'il a été victime d'un empoisonnement. D'autres musiciens sont frappés à leur tour. Tous ont en commun d'avoir été déportés à Theresienstadt lors de la seconde guerre mondiale et d'y avoir animé l'orchestre symphonique du camp. L'inspecteur Bauer, chargé de l'enquête, tente d'en apprendre plus sur ces victimes et cet épisode douloureux de leur passé commun. Aux côtés d'une enquêtrice du Mossad et d'un collègue autrichien, Bauer nous entraîne en Autriche, à Prague et à Grenoble pour un étrange parcours initiatique dans l'horreur de la déportation. Finira-t-il par percer le mystère qui liait ces rescapés ? Avec comme fil directeur l'œuvre de Gustav Mahler, qui transcende les passions humaines et leur violence, l'auteur nous entraîne à la fois dans une réalité historique méconnue et dans un roman policier captivant.

05/2012

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Poésie

La symphonie héroïque

La Symphonie héroïque, dont la plupart des poèmes sont composés en vers d'une facture assez classique, est une évocation vibrante et lyrique de la vie et de la mort des poilus de la Grande Guerre, traversée d'un souffle épique indéniable. Le poète y témoigne avec force et émotion des souffrances et des espoirs de cette génération sacrifiée, du départ pour le front au dernier coup de feu avant l'armistice. Il y décrit avec réalisme et précision le quotidien des soldats qui s'efforcent de conserver un semblant d'humanité au milieu des horreurs et des atrocités qu'ils vivent, mais surtout il dénonce l'absurdité de cette guerre et l'imposture cynique de ceux qui la glorifient. La poésie d'Henry Jacques est assurément le fruit d'une élaboration pudique dont les élans et raccourcis sont saisissants ; nous sommes dans la littérature au bon sens du terme. Le poète réussit à tirer le durable du quotidien et à élever jusqu'à l'exemple le fait divers, pour nous dire au plus intime de notre être combien il faut préférer à la raison des armes les armes de la raison.

04/2017

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Littérature française

La symphonie oubliée

"Combien de musiciennes attendent dans les greniers de l'Histoire qu'un bon génie les réveille ? " Les destins croisés de Debora Waldman, cheffe d'orchestre, et Charlotte Sohy, compositrice, à un siècle d'écart. Lors d'un festival dédié aux musiciennes, la cheffe d'orchestre Debora Waldman rencontre François-Henri Labey, ancien directeur de conservatoire. Il lui parle de sa grand-mère, Charlotte Sohy, compositrice méconnue de la première moitié du XXe siècle, et propose de lui montrer quelques partitions. Aussitôt, Debora se prend de passion pour l'histoire de cette femme, qui parvint à concilier son énergie créatrice, son rôle de mère de sept enfants et sa vie amoureuse - son travail étant intimement lié à celui de son mari, le compositeur Marcel Labey. Contre vents et marées, Debora décide de créer la symphonie inédite de Charlotte, écrite pendant la Première Guerre mondiale. Peu à peu se dévoile à elle un continent de musique inexploré : celui des femmes compositrices qui furent pourtant, pour certaines, des actrices majeures du monde artistique. Formidable aventure d'une symphonie sortie de l'oubli, ce récit retrace aussi les destins croisés de deux musiciennes portées par la même passion à un siècle d'écart : deux femmes puissantes, dont l'histoire nous entraîne de la foisonnante vie culturelle de la Belle Epoque à l'Israël des kibboutz où Debora, enfant, découvrit sa vocation.

05/2021

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Homme

La symphonie neuronale

A quoi sert la musique ? Sans doute seriez-vous tenté de répondre qu'il s'agit d'un passe-temps agréable ou d'un art, mais rien de vraiment essentiel. Pour la première fois, un livre démontre le contraire. La musique est une nécessité biologique pour l'être humain : elle contribue à construire notre cerveau et a probablement joué un rôle décisif pour la survie de l'espèce. En racontant les découvertes scientifiques majeures de ces vingt dernières années, les auteurs expliquent comment la musique relie, même avant la naissance, notre intelligence cognitive à notre intelligence affective, et crée une "symphonie neuronale" aux multiples bienfaits pour l'éducation et la santé tout au long de l'existence. La musique contribue au développement de l'enfant, favorise la sociabilité et s'avère être un excellent soutien scolaire. Elle permet de lutter contre le vieillissement cognitif et de remédier aux pathologies du cerveau. Profitez, vous aussi, du pouvoir de la musique !

02/2023

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Littérature française

La Symphonie pastorale

"Combien heureux les hommes, s'ils pouvaient ignorer le mal ! "Un pasteur du Jura suisse relate dans son journal intime sa rencontre inattendue avec Gertrude, une jeune fille aveugle laissée orpheline. Après l'avoir recueillie, il l'éduque dans la religion protestante en se donnant pour but de préserver à tout prix son innocence. Sauvage au premier abord, Gertrude se révèle pure et sensible : le pasteur en tombe amoureux, tout comme son fils... La Symphonie pastorale (1919) est autant le récit d'une éducation impossible que du déni d'un homme face à ses pulsions intimes. Dans cette variation ironique sur le mythe de l'enfant sauvage, Gide donne à voir, non sans cruauté, toute l'ambiguïté morale qui se loge dans les bonnes intentions.

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Littérature française

La symphonie inachevée

Prosper a perdu sa femme dans un regrettable accident. Des années après le drame, l'ouvrier agricole ne parvient toujours pas à s'extraire du mal-être dans lequel il s'est englué. A tel point qu'il ne voit pas les sentiments, profonds et sincères, que nourrit à son égard Germaine, son amie et collègue. Un jour, il croise la route d'une élégante jeune femme qui lui fait aussitôt tourner la tête. Il n'a alors plus qu'une obsession : séduire cette bourgeoise et la faire sienne. Prosper se lance à corps perdu dans cette quête, refusant de voir qu'elle est vouée à l'échec... A travers les états d'âme de ses attachants personnages, Christiane Talbot brode avec réalisme et finesse, sur des thèmes ô combien délicats, un roman bouleversant.

09/2016

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Littérature française

La Symphonie pastorale

A la fin du XlXème siècle, dans le Jura Suisse, un pasteur marié recueille une orpheline dont la seule famille vient de mourir. Dès que celle-ci passe le seuil de sa maison, il s'attire la déception et la tristesse de sa femme. Puis plus tard celle de son fils Jacques, quand il s'avère que celui-ci aussi tombe amoureux de la jeune fille. Car grâce aux bons soins du pasteur, à son attention permanente, la jeune sauvage et muette devient une jeune femme vertueuse, élevée dans la foi protestante. Quand Gertrude retrouve la vue après une opération, elle prend conscience que ce n'est pas le vieux pasteur ridé qu'elle aimait, mais son jeune et beau fils Jacques. Tourmentée, elle tente de se noyer et meurt quelques jours plus tard.

04/2024

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Thrillers

Mélodie en puzzle mineur Tome 8 : Mélodie en puzzle mineur

Jim, jeune avocat passionné, est engagé par un homme commun, d'apparence ordinaire. Au fur et à mesure du temps, Jim va apprendre à connaitre son client. L'affaire judiciaire sera menée correctement par Jim, avec conviction, expertise et maîtrise. Par un tragique accident, Jim perd le contrôle. De là, une offrande viendra bouleverser la vision de la vie de Jim. Ce chamboulement entrainera le jeune avocat dans une quête de la vérité, l'emmenant dans un voyage dantesque où il découvrira la passion réflexologique morbide de son client. La part ténébreuse de ce dernier se révélera à la lumière. Ce voyage impactera, transformera la vision de Jim. Le Livre VIII – Mélodie en puzzle mineur guide le touriste dans une capitale mettant en relief la vie de Jim, d'autres vies et d'autres évènements, le tout, orchestré par la mélodie d'un thriller atmosphérique.

05/2022

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Littérature française

Tryptique en ré mineur

Belgrade, années 1970. Milena, une jeune scénariste, entame une relation épistolaire avec Sam, l'un des deux Américains qu'elle a rencontrés lors d'un séjour à Paris. Berlin, années 1930. Clara, fille unique d'un couple d'avocats juifs et Lily, sÅur aînée d'une famille ouvrière, se rencontrent et tentent de s'aimer. France, 2020. En plein confinement, une romancière parisienne endeuillée reçoit une cantine remplie des lettres de Milena. Sonia RistiÄ, par son talent de conteuse, noue pour le lecteur les liens translucides qui traversent les siècles. Liens d'amour, liens de folie, liens de liberté farouche, liens d'écriture ou de création. Elle recrée ce que la mémoire et le temps ont effacé. Dans cette Chambre à soi moderne, elle tisse un fil entre ces femmes mues par leur indépendance, leur créativité et leur fière détermination à vivre un amour qui soit à la hauteur de leur liberté.

08/2022

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Science-fiction

Fugue en ogre mineur

Où sont passé les ogres ? Les forêts ont été déboisées. Les châteaux sont désormais hantés par les touristes. Les grottes par des joueurs de djembé. C'est absolument faux. N'importe quel enfant vous le dira. Certains ont squatté nos caves, y apparaissent et disparaissent. D'autres ont choisi de se lancer dans le prêt-à-porter grandes tailles. Les mauvaises langues disent qu'ils s'éclatent aux Etats-Unis. Quelques-uns sont restés dans leur propre monde et envoient, de temps en temps, de terribles cauchemars à nos chères têtes blondes. Ils vivent à la frontière entre notre monde et le leur. Les cinq auteurs de ce livre, toutes des femmes, en ont coincé dans leur enfance et les réveillent le temps d'une nouvelle. Mais ne vous méprenez pas. Ils ne resteront pas dans nos pages. Ils ont la clé.

12/2009

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Littérature française

Suite en do mineur

Perdu dans Jérusalem, le narrateur se maudit de n'avoir su refuser le voyage organisé que lui a offert son neveu à l'occasion de ses cinquante ans. Tout l'agace, à commencer par le groupe de touristes avec qui il est contraint de se déplacer, lui le célibataire endurci qui n'aime rien tant que le calme de sa petite librairie à Bar-sur-Aube. Au moins se félicite-t-il, à la vue de tous les ultra-orthodoxes arpentant la Via Dolorosa, que ses arrière-grands-parents aient atterri en France après avoir quitté leur shtetl ukrainien. Mais Robert Stobetzky est également très troublé : dans une silhouette familière, il croit avoir reconnu la jeune femme avec qui, l'été 1969, il a vécu trois semaines de bonheur intense sous les toits parisiens. Vingt-six ans plus tard, il comprend, à la violence de son désarroi, qu'il ne s'est jamais remis de leur rupture. Pour tenter de surmonter ce nouvel abandon, l'orphelin dont les parents sont morts tous deux alors qu'il n'avait que onze ans était parti s'installer en Champagne. Errant dans Jérusalem, cet homme désormais au mitan de sa vie se remémore ses années de solitude, éclairées par la lecture et la révélation de la musique, quand la Suite en do mineur de Bach, entendue par hasard à la radio, l'avait littéralement foudroyé. Sans doute lui fallait-il le fantôme de Madeleine, entrevu dans cette ville toute pétrie de passée pour accepter enfin de remonter le fil de son existence.

03/2021