Recherche

Peut-on encore sauver l'Eglise ?

Extraits

ActuaLitté

Religion

Peut-on encore sauver l'Eglise ?

Le diagnostic est que l’Église catholique est très malade après la politique de deux papes, Jean-Paul II et Benoît XVI, qui ont tenté et tentent de la « restaurer » dans le sens le plus traditionnel (rigorisme constamment réaffirmé en matière morale, « discipline » ecclésiastique renforcées, traditionalisme liturgique…). Tout cela aboutit aux affaires retentissantes de début 2009 : réhabilitation d’un évêque négationniste, évêque condamnant l’avortement d’une petite fille, pape condamnant le préservatif…Un peu plus tard, éclate le scandale des prêtres pédophiles. L’Église catholique est affectée d’une crise sans précédent en Europe : absence de prêtres, départ des fidèles… Küng pense qu’un système romain – de puissance, de fermeture, d’arrogance – a fait son temps. Il critique le juridisme, le cléricalisme, la méfiance envers la sexualité humaine, le système de gouvernement médiéval, la mentalité de croisade, le refus de toute réforme, le mépris de la science aujourd’hui comme hier, le refus de la démocratie – réservée aux autres –, le goût de l’autoritarisme et du secret, la haine du moderne, l’autocélébration et l’autoconservation internes qui se refusent à toute autocritique digne de ce nom, etc. Il propose également toute une série de remèdes (qu’on peut déduire de sa critique) pour « guérir » l’Église catholique : des réformes fondées sur l’Évangile, et non pour faire plaisir à l’esprit du temps (accusation récurrente contre Küng).

09/2012

ActuaLitté

Pédagogie

Peut-on encore sauver l'école ?

Toutes les tentatives de réforme de l'école ont échoué. Doit-on se résigner à cette situation comme à une fatalité et tolérer indéfiniment ce double jeu qui consiste à la fois à dénoncer la faillite de l'école et à célébrer comme le meilleur du monde un modèle scolaire qui se sclérose ? Malgré des moyens financiers relativement importants et un niveau de compétence des enseignants comparable à celui des autres pays occidentaux, le système éducatif français - du primaire au supérieur - est en péril. Sous l'habillage des valeurs républicaines et démocratiques, l'école se trouve insidieusement confisquée au profit de certains groupes sociaux qui en font l'instrument de leur suprématie. Dénier à l'école un rôle de production des élites serait absurde. Mais détourner l'école de sa mission de valorisation de tous les talents, de promotion sociale et d'intégration culturelle serait attenter, à brève échéance, à la cohésion nationale elle-même. Faut-il prendre le risque de la vérifier quand il sera trop tard pour y remédier ?

09/2000

ActuaLitté

Pédagogie

Oui, on peut sauver l'école

L'Ecole est au centre des préoccupations des Français et fait partie intégrante de l'histoire de notre pays. C'est pourquoi la question scolaire est au cœur du débat politique. Depuis une dizaine d'années, l'école républicaine a dû affronter des défis nouveaux : scolarisation massive de nouveaux enfants, hétérogénéité croissante des élèves, apparition de la violence dans les collèges et les lycées. Par ailleurs, l'école a subi tout naturellement les difficultés économiques et sociales qui ont frappé la société tout entière ; alors que, dans le même temps, l'école et les enseignants perdaient leur monopole de la transmission des savoirs. Et pourtant, oui, on peut sauver l'école ! Oui, mais comment...

04/2001

ActuaLitté

Sciences politiques

Peut-on encore être conservateur ?

Peut-on être conservateur en France aujourd'hui ? Notre pays semble rétif au conservatisme : doté d'un Etat centralisateur peu soucieux des coutumes, porté sur les idées abstraites, mû par des passions politiques qui n'ont jamais vraiment laissé de place à la préservation du passé... , les conservateurs y sont comme relégués au second plan, derrière les libéraux, les gaullistes et les réactionnaires. C'est l'impossibilité d'un conservatisme "à la française" que tente de résoudre ici Armand Rouvier en revenant sur l'histoire de cette notion politique depuis Montaigne jusqu'à la IIIe République en passant par l'âge d'or du conservatisme dans le XIXe siècle de Chateaubriand. Peut-on encore être conservateur ? apporte ainsi des clés indispensables pour comprendre la recomposition politique à l'oeuvre aujourd'hui.

01/2023

ActuaLitté

BD tout public

Peut-on encore rire de tout ?

A l'heure du politiquement correct triomphant et du "Nous vieillirons tous ensemble", Cabu ne respecte rien ni personne. Quelle que soit la cible, sa jubilation est intacte et son trait acéré. Crayon en main, ce pacifiste devient le plus impitoyable des tueurs en série. Chacune de ses caricatures est une bombe et il n'y a pas d'innocentes victimes. Oui, et Cabu le prouve ici, on peut rire de tout mais pas avec n'importe qui, si l'on en croit Pierre Desproges.

03/2012

ActuaLitté

Actualité et médias

Comment peut-on encore être socialiste ?

Depuis près de vingt ans, Julien Dray est l'empêcheur de ronronner en rond du Parti socialiste. C'est un rebelle bougon venu de la planète gauchiste afin de réveiller la social-démocratie ; une sorte de Cassandre qui constate quotidiennement l'abandon des classes populaires par les élites, fussent-elles roses. De plus, et pour aggraver son cas, cet agitateur, inventeur de SOS-Racisme en 1984, partisan d'une grande politique de naturalisation des immigrés, est également l'avocat inlassable d'une politique sécuritaire de gauche... Révolté par la défaite du 21 avril, refusant la logique du bouc émissaire (ce " sus à Jospin " entonné par ceux qui étaient ses thuriféraires), Julien Dray fouille les blessures de son camp, les met à vif, n'épargne rien ni personne, y compris lui-même. Il raconte cette lente dérive, commencée sous François Mitterrand, et achevée sous Jospin, qui a coupé le PS de sa mémoire, de son peuple, de sa gauche ; une irrésistible concession aux airs du temps qui a fait le lit du néolibéralisme, et laisse aujourd'hui les socialistes fourbus et démunis. Et Julien Dray de plaider pour une gauche refondée, mariant enfin les partis de gouvernement et les chevau-légers des mobilisations anti-mondialistes, des cortèges de Gênes ou de Porto Alegre... Parce que l'espoir, dit-il, ne meurt jamais...

04/2003

ActuaLitté

Notions

Peut-on encore croire au progrès ?

"Le progrès ? Disons que c'est une vision du monde où le présent devient plus important que le passé et fait espérer en l'avenir", nous dit le sociologue Jean Viard. C'est aussi "un désir et une certitude", selon le philosophe Pierre-Henri Tavoillot. Il "crée les conditions du bonheur", précise l'économiste Claudia Senik. Mais il est "piégé", nous alerte la philosophe et psychanalyste Cynthia Fleury. C'est pourquoi il nous faut "savoir le repenser", d'après Karine Safa, philosophe. Notamment en distinguant "le progrès comme un programme abstrait et les progrès dans la vie de tout un chacun", suggère Nicolas Bouzou, économiste. "Croire au progrès, c'était accepter de sacrifier du présent personnel pour fabriquer du futur collectif. En sommes-nous encore là ? " s'interroge le physicien Etienne Klein. Dans ce passionnant ouvrage, des penseurs de notre temps croisent leurs regards sur une question essentielle - celle du progrès et de sa perception dans notre société : une lecture revigorante. Nicolas Bouzou Cynthia Fleury Etienne Klein Karine Safa Claudia Senik Pierre-Henri Tavoillot Jean Viard

06/2023

ActuaLitté

Notions

Comment peut-on encore être “marxiste” ?

L'édifice du marxisme en tant que mouvement de pensée et mouvement politique reposait sur un certain nombre de présuppositions dont plus une seule n'a d'existence tangible aujourd'hui. La réalisation du marxisme au XXe siècle sous les formes du communisme historique ou du "socialisme réel" s'est révélée si catastrophique qu'on ne voit pas ce qui pourrait rester des idées du grand philosophe. Le marxisme orthodoxe, celui qui servit de doctrine aux partis socialistes de l'Internationale ouvrière, aux partis communistes de l'Internationale communiste et aux divers groupes issus du trotskisme, ce marxisme-là est mort et bien mort. Et les opérations de "reconstruction", "refondation" et "réhabilitation" sont vouées à l'échec. Il reste cependant un bon usage de Marx et même d'un certain marxisme qui fournit des outils pour comprendre notre temps. Comprendre l'échec du marxisme et du communisme à l'aide des outils théoriques légués par Marx : tel est le premier objectif de ce travail. L'évolution du mode de production capitaliste est par ailleurs conforme aux grandes tendances analysées par Marx, tendances qui ne deviennent absolument claires et incontestables qu'aujourd'hui. Nous ne vivons pas une époque d'excès du capital financier, comme on le lit un peu partout, mais plutôt une époque de pleine réalisation de tout ce que le capital contenait en germe, mais qui était encore empêché par les rapports sociaux et les idées du monde d'avant le capitalisme. Quand Marx montre avec brio que le règne du capital est un règne révolutionnaire, il dit quelque chose qui n'a presque pas été compris par les marxistes, lesquels à force d'annoncer la révolution tous les quatre matins se retrouvent le bec dans l'eau parce que la seule force révolutionnaire qui se dresse devant eux est celle du capital ! Enfin, si on veut être fidèle à l'esprit de Marx et non à la lettre, il faut raser, de la cave au grenier, tout l'édifice du marxisme et repenser à la racine, c'est-à-dire radicalement, ce que pourrait être une véritable émancipation des opprimés, de tous ces damnés de la terre aujourd'hui privés de voix. Face à la course folle du capital, il faut penser les moyens de sauver le monde, de sauver un monde vivable, un monde humain pour tous les hommes que porte cette planète. Et là encore, on trouvera de bonnes pistes chez Marx.

01/2024

ActuaLitté

Développement durable-Ecologie

L'Agroécologie peut nous sauver. Entretiens

Ingénieur agronome, Marc Dufumier a découvert l'agroécologie à 22 ans, non sur les bancs d'AgroParisTech où il était étudiant, mais à Madagascar, lorsque des femmes analphabètes l'ont initié à une agriculture paysanne respectueuse de l'Homme et de son environnement. Devenu professeur à AgroParisTech et expert sur des missions de terrain aux quatre coins du monde, il est aujourd'hui l'un des spécialistes les plus reconnus dans le domaine de l'agroécologie. Alliant rigueur scientifique et engagement, Marc Dufumier explique dans ces entretiens avec le journaliste Olivier Le Naire en quoi la révolution agroécologique est une réponse concrète, réalisable et globale à beaucoup des maux de notre monde moderne dont la famine, la malbouffe, l'obésité, la pollution, le réchauffement climatique, la perte de biodiversité, les inégalités mondiales ou les migrations contraintes. Selon lui, tous ces problèmes étant liés, leurs solutions ne peuvent plus être étudiées séparément. Pour nourrir les 10 milliards d'habitants que nous serons bientõt, il faut donc à la fois renoncer à la privatisation des semences, à l'emploi des produits pesticides et aux dérives du commerce mondial, mais surtout amener les citoyens à prendre conscience que leur sort, comme celui de la planète, est entre leurs mains et non entre celles des lobbys industriels. Concrète, vivante, optimiste et à la portée de tous, cette conversation redonnera espoir à toutes celles et tous ceux qui seraient tentés de baisser les bras.

05/2019

ActuaLitté

Ecrits sur l'art

Seule l'imagination peut nous sauver

Une observation unique des coulisses de la scène internationale des arts Un récit picaresque qui, tel un road movie, vous emmène de Tomorrowland aux coulisses du KVS, et du Louvre à l'autre bout du monde. D'une peinture murale de Piero della Francesca à Sansepolcro, qui sauva le village des bombardements, à une fresque murale à Santiago de Chili qui commémore les atrocités afin les conjurer à jamais. Avec des histoires sur Prince, Nand Buyl, Adam Driver, Jan Fabre, Anne Teresa De Keersmaeker et bien d'autres artistes ayant joué un rôle dans la vie et l'oeuvre de Michael De Cock. Dans ce récit entraînant, Michael De Cock s'affranchit de ses démons, emporte les lecteurs. trices sur les ailes de la passion de l'art et confère par moments tout son sens au titre de l'ouvrage. Un vibrant hommage à l'imagination.

12/2023

ActuaLitté

Histoire internationale

Peut-on sauver le Cameroun ? Bâtissons ensemble l'avenir

Un demi-siècle après son indépendance, le Cameroun peine encore à trouver un modèle propre de gouvernance qui soit efficace et capable de stimuler le développement équitable et participatif de ses populations. Sauver le Cameroun, c'est mettre un terme à cette dérive pour rebâtir ensemble un Etat de droit et des institutions fortes. Dans la perspective des élections présidentielles de 2011, le Dr Metangmo invite ses compatriotes à proposer et soutenir de nouvelles approches de développement et de gouvernance capables de restaurer la confiance et l'enthousiasme des Camerounaises et Camerounais. Il se départ de la démarche électorale habituelle centrée sur le candidat avec son programme qui demande à être élu pour résoudre les problèmes du peuple. Au contraire, il propose d'associer dès le départ les populations à l'identification des priorités et au développement des programmes pour renforcer leur sentiment d'appartenance à la nation et leur appropriation des solutions retenues. Cette approche assure la pérennisation des changements obtenus et réactualise l'attachement aux valeurs humaines et républicaines de paix, liberté, solidarité, justice, équité et égalité. Sauver le Cameroun est le seul choix que nous avons et l'action, c'est maintenant.

08/2010

ActuaLitté

Pédagogie

Peut-on encore parler de méthodes pédagogiques ?

Si on définit une méthode pédagogique comme un ensemble de moyens raisonnés pour arriver à un but, elle suppose une cohérence entre les finalités de l'enseignement et les pratiques enseignantes en précisant la façon d'être et d'agir à l'égard des élèves. La demande de méthodes qui délivreraient les enseignants de leur obligation d'invention nous a incités à nous poser cette question : peut-on encore parler de méthodes pédagogiques ? Nous avons examiné la notion ainsi que les injonctions formulées par la hiérarchie des systèmes éducatifs et les demandes pressantes de méthodes exprimées par les "novices". Le recours à l'étude de l'activité des enseignants et l'exploration de la complexité de leur agir ont permis une étude fine de leurs pratiques étudiées dans quatre disciplines : éducation physique et sportive, enseignement de la lecture et de l'orthographe ainsi que géographie. Cet ouvrage collectif fait le point sur les réponses qui peuvent être apportées par la recherche à six grandes questions : existe-t-il des méthodes qui s'appliqueraient en classe ? Par quoi remplacer le discours général et flou sur les méthodes pédagogiques ? Comment traiter la demande de méthode exprimée par les personnes en formation ? Que nous disent les recherches sur les pratiques et l'activité des enseignants dans des disciplines et des niveaux de scolarité différents ? Peut-on élaborer une théorie de la coopération entre enseignants, formateurs et chercheurs afin d'améliorer les pratiques d'enseignement-apprentissage à partir d'une analyse des situations ? Cette théorie peut-elle montrer en quoi les pratiques d'enseignement sont liées aux pratiques d'apprentissage ainsi qu'établir que l'environnement des professeurs est aussi constitué de l'activité des élèves et que l'activité du maître fait partie également de l'environnement des apprenants ?

02/2019

ActuaLitté

Sociologie

Comment peut-on (encore) être une femme

Il n'a jamais été aussi facile d'être une femme : on al droit de vote, la pilule, et depuis 1727 personne ne nous a fait de procès pour sorcellerie. Cependant, quelques questions agaçantes persistent : pourquoi doit-on se faire épiler le maillot en ticket de métro ? Quelle position adopter face au Botox ? Est-ce que les hommes nous haïssent secrètement ? Pourquoi les soutiens-gorge font si mal ? Et pourquoi tout le monde veut savoir quand on fera un bébé ? Moitié mémoires, moitié coup de gueule, Comment peut-on (encore) être une femme ? répond à ces questions tout en nous racontant l'adolescence, le boulot, les strips clubs, l'amour, les kilos en trop, le shopping, l'avortement, la maternité et bien plus encore.

05/2014

ActuaLitté

Livres 3 ans et +

Sauve qui peut !

Un jeune lièvre peureux est réveillé de sa sieste par un bruit. Affolé, il se met à courir en criant "Sauve qui peut ! Le ciel nous tombe sur la tête ! " Et il entraîne dans sa fuite tous les animaux qu'il rencontre : daims, tigres, sangliers, et même les éléphants. Jusqu'à ce qu'un lion s'en mêle et découvre l'origine du bruit !

03/2019

ActuaLitté

Science-fiction

Sauve qui peut

"Michel Landier ouvrit un oeil et vit tout de suite Angélique qui se réveillait en même temps que lui. Mais curieusement, ils n'étaient pas dans leur chambre de Marolles-en-Brie. Etaient-ils dans une chambre d'hôtel ? Possible car il portait un pyjama tandis qu'à la maison, il préférait dormir tout nu. La pièce était petite, très dépouillée, des murs blancs, une moquette noire, deux petites tables de nuit au chevet du lit, une couette blanche, une télévision fixée au mur et une petite fenêtre. Angélique avait dû le tenir par la main toute la nuit. Elle était radieuse, elle lui souriait et ils s'embrassèrent tendrement sur la bouche comme ils en avaient l'habitude... autrefois... Etaient-ils en vacances ? Michel sortit du lit en premier, se dirigea tout de suite vers la fenêtre et releva le rideau. Viens voir, c'est incroyable ! Angélique accourut. Ils virent l'astéroïde brillant comme un diamant. Ils le virent soudain s'enflammer. Une lueur de plus en plus intense, insupportable, aveuglante. Mais en bas, ils voyaient la Terre, grosse comme un ballon captif, comme celui de Disneyland. Ils voyaient bien les deux Amériques et cet astéroïde qui s'en rapprochait de plus en plus. Puis ils virent le gigantesque embrasement... Michel serra son épouse dans ses bras, elle appuya sa tête contre la sienne. Des larmes coulaient sur ses joues. Ils virent nettement les gerbes de feu projetées en l'air puis, au bout de quelques minutes, la planète disparut derrière un écran de nuages brunâtres... C'était fini. La Terre venait d'être percutée".

10/2021

ActuaLitté

Pompiers

Sauve qui peut

Tenter d'attraper un singe dans un arbre. Emmener à l'hôpital un garçon qui s'est coincé le kiki dans sa braguette. Se faire charger par un sanglier alors que l'on éteint un feu de broussailles. Sauver un homme qui a fait un malaise cardiaque alors qu'il " jouait " avec sa poupée gonflable. Intervenir sur un carambolage causé par un hérisson sur la route... Ce livre rassemble, avec humour et tendresse, des centaines d'anecdotes bien réelles vécues par Patrice. Pompier volontaire durant 22 ans, il en a vu des vertes et des pas mûres. Autant de tranches de vie, tour à tour drôles, savoureuses, sensibles et parfois dramatiques. A chaque fois, c'est le petit théâtre de la comédie humaine qui se joue devant nos yeux. On y pleure quelquefois et on rit beaucoup. Un reflet de notre société qui est aussi un vibrant hommage aux soldats du feu, prêts à risquer leurs vies pour sauver les nôtres.

05/2022

ActuaLitté

Sociologie

L'école peut-elle sauver la démocratie ?

La massification des systèmes scolaires depuis les années 1960 a été portée par trois promesses. L'école démocratique de masse devait être plus juste et moins inégalitaire que la vieille école républicaine. Cette école devait aussi développer les compétences, favoriser la croissance et être utile à tous les élèves. Enfin, elle devait favoriser la confiance et l'adhésion aux valeurs de la démocratie. Ce livre se propose de tirer les leçons du long processus de massification, et le bilan est pour le moins nuancé. L'école démocratique de masse a sans doute réduit les inégalités scolaires, mais elle a surtout transformé le mode de production de ces inégalités en accentuant la compétition dégageant les vainqueurs et les vaincus de la massification. La multiplication des diplômes a également creusé les écarts, depuis les plus rentables jusqu'à ceux qui n'apportent plus grand chose. Enfin, avec la massification, les plus diplômés adhèrent aux valeurs démocratiques et libérales, pendant que ceux qui le sont moins perdent confiance, s'abstiennent ou choisissent les forces populistes et autoritaires. En définitive, la massification scolaire a été très favorable aux vainqueurs, beaucoup moins aux vaincus. Or les inégalités scolaires ne sont pas seulement une injustice ; leurs effets menacent la cohésion sociale et la démocratie elles-mêmes. L'égalité des chances ne peut pas être notre seul idéal de justice.

08/2020

ActuaLitté

Littérature française

Tu peux encore...

Amandine vit dans un foyer pour personnes handicapées. Ses possibilités d'action et ses relations avec le personnel ne sont pas toujours faciles. Cependant, à la fin, une éclaircie laisse présager de meilleurs lendemains car elle peut encore...

08/2014

ActuaLitté

Livres 3 ans et +

Mademoiselle Sauve-qui-peut

C'est l'histoire d'une petite fille qui ne songeait qu'à jouer de mauvais tours à tout le monde. Des tours qui ne faisaient plus rire qu'elle. D'ailleurs, on l'appelait Mademoiselle Sauve-qui-peut. Un jour, sa mère, excédée, lui dit : "Tiens va plutôt chez ta grand-mère. Porte-lui cette galette et ce petit pot de beurre".

03/1999

ActuaLitté

Littérature française

Sauve qui peut Madrid !

Ce sont des moments, des flashs, des épisodes, ce sont des histoires qui, dans un même mouvement, recomposent et éparpillent une enfance, une adolescence, une jeunesse madrilènes. D'abord sous la chape franquiste puis dans l'effervescence de la Movida. Instants heureux, instants tragiques s'entremêlent et explosent en un feu d'artifice de sensations et de sentiments qui effacent le passage du temps. Une impressionnante galerie de personnages très hauts en couleur, tantôt sortis d'un film de Bunuel, tantôt d'un film d'Almodovar, peuple ces textes dont l'ensemble, avec les rappels et les correspondances de l'un à l'autre, fait un roman mouvementé, bruyant, à l'image des rues populaires de Madrid, de ses nuits agitées. de ses contrastes sociaux. Il y a des nains, des prêtres, des militaires, des drogués, des alcooliques, des femmes vertueuses et définitivement vierges, des prostituées, des folles et des fous, des rats, un gorille et même une baleine...

10/2014

ActuaLitté

Littérature française

Sauve qui peut (la révolution)

Juin 1988. En vue des festivités commémoratives de l'année suivante, la très officielle Mission du Bicentenaire de la Révolution française du ministère de la Culture contacte Jean-Luc Godard pour lui proposer de réfléchir à un film autour de 1789. Roman fleuve, roman cascade, Sauve qui peut (la révolution) raconte le travail buissonnier de JLG sur ce projet de plus en plus improbable, qu'il intitule bientôt Quatre-vingt-treize et demi. C'est l'occasion pour le cinéaste de renouer avec l'ami Jacques, perdu de vue depuis leurs communes années Mao, devenu entre-temps historien, opportunément spécialiste de la période. Sous prétexte de consultations pseudo-scientifiques, le dialogue reprend entre les deux hommes. Le cinéaste musarde, découvre le charme bucolique de l'île de la Loire sur laquelle Jacques vit seul avec sa fille Rose, et fait connaissance avec la demoiselle qui n'a pas vingt ans. Et Jacques confie à Godard les affres de la grande impasse qui l'occupe, les aléas du grand livre dans lequel il se noie : une vie de Danton très... alternative. Le sens (giratoire) de l'histoire, l'agonie du cinéma, l'espérance de vie des révolutions et le vieillissement des révolutionnaires sont quelques-uns des motifs qui animent cette fugue grisante, poignée de déroutes magnifiques dont Thierry Froger nous fait à la fois captifs consentants et complices ravis, dans un geste joyeusement blasphématoire, d'une audace, d'une liberté et d'une maîtrise rares.

08/2016

ActuaLitté

Sociologie

Sauve qui peut la vie

"Dans ma famille, on se tuait de mère en fille. Mais c'est fini. Il y a longtemps déjà, je me suis promis que cela devait s'arrêter avec moi. Ou plutôt, avant moi. Sauve qui peut la vie ! J'aime cette expression. C'est le titre d'un film de Jean-Luc Godard de 1980. Mais lui, il avait mis des parenthèses à (la vie), comme une précision, une correction de trajectoire. Le sauve-qui-peut, c'est la débandade, la déroute. Le sauve qui peut la vie, c'est la ligne de fuite, l'échappée parfois belle. J'en fais volontiers ma devise. Il m'a fallu du temps pour comprendre que ce qui était une manière d'être - une tendance à parier sur l'embellie, un goût de l'esquive, un refus des passions mortifères, une appétence au bonheur envers et contre tout -, avait aussi profondément influencé ma façon de penser. Tel est le sujet de ce livre. Il commence par un récit familial, intime. C'est un registre auquel je m'étais jusqu'ici refusée. Moi qui ai si souvent sollicité, dans mes enquêtes, de longs entretiens biographiques, suis toujours restée discrète sur ma propre histoire et celle de ma famille. Certes, je montrais le bout du nez de mon implication, persuadée qu'il fallait assumer cette part motrice (et non maudite ! ) de toute recherche. Mais j'en restais là. Peut-être que chaque livre arrive à son heure. Cette fois, c'est donc mon récit qui est matière à réflexion. Je m'appuie sur lui pour développer quelques idées qui me tiennent à coeur. J'ai plus que jamais envie de les défendre aujourd'hui, face à la montée des préjugés, de l'injustice, de l'intolérance et contre l'accablement qui en résulte et se répand. Je souscris à cet "optimisme de la volonté" dont parlait Antonio Gramsci, qui n'est pas une détermination obtuse, ni une confiance naïve, mais bien la seule réponse possible au "pessimisme de l'intelligence". J'aimerais que ce texte, écrit sur fond de drames passés, collectifs et privés, soit une lecture revigorante, une sorte de fortifiant pour résister au mauvais temps présent." N.L.

08/2015

ActuaLitté

Livres-jeux

Zélie & Micha. Sauve qui peut !

Enquête dans la fête foraine ! Zélie et Micha se préparent pour effrayer les visiteurs du château des horreurs. Chut, une classe d'enfants entre avec leur maîtresse. Bouh ! Mais personne ne réagit. Toute la classe est pétrifiée ! Au secours ! Zélie et Micha sont eux aussi pris au piège dans la fête foraine et en peuvent pas s'échapper. On dirait qu'un magicien leur a jeté un sort... Résous les énigmes et cherche des indices dans les manèges pour aider Zélie et Micha à trouver le coupable. Une histoire pour frissonner, dès 6 ans !

09/2023

ActuaLitté

Théâtre - Pièces

Sauve qui peut, la poésie !

La charmante bourgade de Menneville voit arriver un poète qui, dans son élan, sème le désordre : il veut coller des tirages de ses poésies sur tous les édifices publics. Il n'en faut pas davantage pour déclencher la révolte : à mort le poète, entend-on. Le maire calme tant bien que mal les esprits échauffés. Grâce à l'intervention de l'ambassadrice des nations-réunies (les successeurs de l'ONU), le village se ressaisit et libère illico le poète. Mais c'est bien maladroitement puisqu'un accident de parcours manque lui coûter la vie ! Tout le village s'unit pour réaliser un sauvetage mémorable. Apparaît alors le fin mot de l'histoire : le poète préfigure le déploiement dans le monde d'un plan de réchauffement poétique avec un mot d'ordre simple : écoutons-nous les uns les autres.

05/2022

ActuaLitté

Littérature étrangère

Le siège de l'église Saint-Sauveur

Au début du XIIIe siècle, détournée de son but initial par l'ambition du doge de Venise qui veut s'emparer d'un manteau de plumes conservé dans le trésor des empereurs de Byzance, l'armée de la quatrième croisade prend Constantinople et la met à sac. Quelques décennies plus tard, un monastère serbe dont les fenêtres s'ouvrent sur le passé, le présent et l'avenir, est assiégé par l'armée des Bulgares et des Coumans conduite par le redoutable prince Chichman. Celui-ci convoite une plume que le supérieur garde dans sa barbe comme dans un reliquaire. A la fin du XXe siècle, dans une Serbie cernée à la fois par ses propres démons et par les forces de l'OTAN, un jeune ornithologue prend le chemin des forêts bosniaques. L'imaginaire de Goran Petrovié s'empare ici du thème de la destruction et de la résistance pour en faire surgir une étonnante œuvre poétique qui joue avec la notion d'espace-temps, le langage, l'histoire, les genres littéraires et, de surprise en surprise, nous livre une histoire d'une beauté inouïe.

09/2006

ActuaLitté

Sociologie

Le photojournalisme peut-il sauver la presse ?

Hubert Henrotte est le fondateur avec quatre confrères des deux agences de photojournalisme GAMMA et SYGMA, qu'il a dirigées pendant plus de 30 ans. II revient sur la période où le photographe s'alliait au journalisme, sur l'identité du métier, sur la nécessité de créer une agence. Il raconte aussi les impératifs du métier de photographe qui trouve le terrain par lui-même. Depuis l'époque a change et le regard en arrière permet aujourd'hui de redéfinir cette profession qui semblerait en voie d'extinction. Il n'est pas le seul à se soucier du métier de photojournaliste et de l'avenir de la presse. Car les dirigeants de la presse et les photographes célèbres qu'il a interviewés ici avec la collaboration de Floris de Bonneville lui donnent leur vision de la situation actuelle et expliquent chacun leur façon de fonctionner dans leurs collaborations ou livrent leur regard sur le métier tel qu'il est aujourd'hui. Soucieuses de préserver une éthique du métier mais aussi son économie, qui, comme dans le passé, devait pouvoir les faire vivre, les personnes interviewées permettent de mieux connaître l'envers du décor d'un métier complexe, parfois au péril de la vie de celui qui l'exerce. L'auteur s'interroge sur l'avenir et fait des propositions, là aussi appuyées par les interviews des différents acteurs du journalisme et de la communication. L'ouvrage est une référence pour établir un état des lieux dans le secteur de l'information et pour proposer des réponses aux questions d'actualité.

06/2019

ActuaLitté

Techniques artistiques

Comment écrire peut vous sauver la vie

L'écriture peut vous sauver la vie comme elle m'a sauvée. Parce qu'exprimer ce qui ne peut plus se contenir permet de respirer à nouveau, de souffler, de mettre à distance. Se souvenir et raconter, c'est se libérer des noeuds du passé, l'apaiser, l'honorer. Ecrire, c'est aussi un luxe : celui de prendre le temps de vivre deux fois. Mais si écrire affranchit et apporte de l'oxygène, un texte bien construit peut changer la vie des autres, donner accès à une compréhension d'un aspect de la vie qui leur donnera un supplément d'âme tout en les amusant. Dans ce cas, les apprentis-auteurs sont amenés à fournir quelques efforts pour faire vivre des émotions au lecteur. Pour cela, il y a des étapes et des outils efficaces comme, entre autres, le pitch, le plan, la construction des personnages et de leurs trajectoires. Ecrire un livre est une aventure fantastique, un périple incomparable. Pour en apprécier au mieux tous les paysages, je souhaite que ce guide vous évite de tomber dans l'ornière des découragements, autant qu'il vous aide à échafauder votre matière littéraire. Ce livre n'est pas que le mien : les nombreux auteurs qui ont relevé le défi d'écrire sous ma houlette ont enrichi mon enseignement de questions à résoudre et de pistes à explorer, la lecture des écrivains que j'admire m'a permis d'apporter quelques réponses.

10/2022

ActuaLitté

Sports

Peut-on encore aimer le football ? La fable du monde

De plus en plus de football. De plus en plus, jusqu'à la nausée. De plus en plus, comme à l'infini : notre temps disponible, notre temps hors travail, hors obligation sociale, saturé, occupé par le spectacle du football. Est-il une évasion, cependant, ce spectacle ? Une escapade, comme l'est le théâtre classique ou l'opéra, hors du monde de la quotidienneté plus ou moins aliénée, plus ou moins inauthentique ? L'invasion permet-elle l'évasion ? Souvenons-nous d'un propos de Paul Valéry : "la vie moderne (...) remplace l'imagination par les images" . Aujourd'hui, le meurtre est accompli. Le monde est rempli d'images de football. Les coeurs et les cerveaux, les espoirs et les passions, les esprits et les âmes, le sont également. Le football a installé sa demeure au centre de la vie moderne. Faites-nous rêver, demande-t-on souvent à une équipe de football ! Dès que nous posons la question du contenu de ce rêve, la consternation nous saisit. A quoi pourriez-vous nous faire rêver, vous les joueurs ? Vous les équipes ? Tenter de répondre à cette question provoque un malaise : le rêve que le football serait censé offrir est sans contenu. Vide. A quoi servent-elles, ces images ? Où conduisent-elles ? Agrégé de Philosophie, Robert Redeker est l'auteur de nombreux livres. Il collabore également à plusieurs revues et journaux. Il a publié dernièrement Le soldat impossible (Pierre-Guillaume de Roux, 2014), Bienheureuse vieillesse (Le Rocher, 2015) , L'école fantôme (Desclée de Brouwer, 2016) et L'éclipse de la mort (Desclée de Brouwer, 2017). Il s'emploie également à la photographie et à la critique littéraire.

05/2018

ActuaLitté

Livres 3 ans et +

Encore un peu petite

Etre petite, ce n'est pas toujours drôle. On ne peut pas faire tout ce qu'on veut, et certainement pas toute seule. Patience ! Bientôt, la petite fille deviendra grande. Et quand elle aura grandi, qui sera-t-elle ? Un album tout en douceur sur la croissance des enfants, leurs attentes et leurs doutes, à lire avec les plus petits pour les accompagner sur ce chemin.

08/2019

ActuaLitté

Littérature française

Vivre encore un peu

"Elias Chanoum a cent quatre ans. Arrivé à cette extrémité, il n'aspire plus qu'à une chose, vivre encore un peu. Ce n'est pas seulement un espoir, c'est un projet. Sa femme en a assez, elle voudrait que Dieu l'emporte, tandis que les enfants, les petits-enfants le voient comme une créature éternelle, n'ayant plus aucune raison de mourir. Ca va être à moi, son gendre, de trancher."Un conte cruel qui mêle la famille et ses hystéries, un centenaire bien valide et l'ambivalence de l'amour qu'on lui porte, les secrets de la mémoire, les haines ancestrales dans un pays éternellement en guerre, le Liban.

01/2011