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Matérialisme et théorie de la connaissance. Essai sur le rapport de la philosophie à l'idéologie

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Philosophie

Matérialisme et théorie de la connaissance. Essai sur le rapport de la philosophie à l'idéologie

La théorie de la connaissance n'est-elle qu'un procédé inventé par la philosophie idéaliste, elle-même au service de l'idéologie bourgeoise, pour assurer le triomphe de la thèse du primat de la pensée sur l'être ? Est-elle par là même incompatible avec le matérialisme ? N'est-elle pas plutôt une démarche qui s'impose à la raison humaine indépendamment de tout présupposé idéologique ? Ces questions, qui seront examinées ici à partir d'une étude critique de textes d'Althusser, de Lecourt et de Marx lui-même, renvoient à la question plus générale du rapport que la philosophie entretient d'une part avec l'idéologie (et, par son intermédiaire, avec la politique), d'autre part avec les sciences. Elles conduisent en outre à un réexamen de la thèse marxiste du partage de la philosophie en deux camps : celui des matérialistes qui affirment le primat de l'être sur la pensée ; celui des idéalistes qui affirment le primat de la pensée sur l'être.

05/1998

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Histoire de la psychologie

Agnosticisme, essai sur quelques théories pessimistes de la connaissance

Agnosticisme : essai sur quelques théories pessimistes de la connaissance / par E. de Roberty Date de l'édition originale : 1892 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

02/2021

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Philosophie

Théorie générale de la connaissance

Publiée pour la première fois en 1918 - puis en 1925 dans la version définitive ici traduite -, la Théorie générale de la connaissance est l'ouvrage majeur du philosophe allemand Moritz Schlick (1882-1936), arrivé à Vienne en 1922 pour occuper la chaire qui avait été auparavant celle de Mach et de Boltzmann, et fondateur du Cercle de Vienne. Issue d'une réflexion sur les bouleversements scientifiques du début du xxe siècle, et en particulier sur la théorie de la relativité, dont il a été l'un des tout premiers à prendre la mesure, la philosophie de la connaissance de Schlick prend ses distances tant avec l'idée kantienne de principes synthétiques a priori imprimant leurs formes à la réalité qu'avec le positivisme et l'empirisme traditionnel, incapables, à ses yeux, de rendre compte de théories dont les constructions conceptuelles ne peuvent plus être considérées comme de simples résumés d'observations empiriques. Au fil d'une confrontation avec les diverses philosophies de la connaissance, classiques ou contemporaines, de Descartes à Husserl, en passant par le néokantisme et Bergson, Schlick défend ainsi un réalisme critique qui récuse aussi bien l'idéalisme transcendantal kantien que les " pensées de l'immanence " de Mach ou de Russell, et développe une position originale sur des questions comme celles de la nature de la connaissance, du rapport entre la logique et la psychologie ou de l'âme et du corps. Le livre exercera une grande influence sur les discussions philosophiques des années 1920 et 1930. Il constitue une contribution décisive au débat contemporain en philosophie de la connaissance.

10/2009

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Philosophie

Essai sur la philosophie de la guerre

Ces essais ont l'ambition de cerner chez les philosophes modernes, de Machiavel à Tolstoï, en passant par Kant, Fichte, Hegel et d'autres, les grandes thèses susceptibles de contribuer à l'élaboration d'une philosophie de la guerre. Mis en même temps ils veulent contribuer à une section de la théorie de la guerre dans la mesure où la stratégie classique ou encore conventionnelle redevient un problème fondamental. On s'étonnera certes que le philosophe dont la vocation est la recherche de l'Etre se penche avec soin sur la guerre. Mais le philosophe ne serait pas philosophe si ainsi il n'allait à la rencontre de l'homme saisi par la violence et en proie à l'angoisse, au destin, à la mort. On envisage de compléter ce volume par un second, déjà avancé et comprenant notamment une analyse de la pensée de Clausewitz, et des études consacrées à des aspects plus modernes de la philosophie et de la théorie de la guerre.

01/1988

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Que-sais-je ?

Les Théories de la connaissance

Elaborer une théorie de la connaissance, c'est s'attacher à démonter les mécanismes producteurs du savoir, identifier les présupposés théoriques et les implications métaphysiques qui en règlent l'exercice. C'est aussi interroger les dimensions métaphysiques et éthiques que révèle tout acte de connaître. Cet ouvrage présente les modèles épistémologiques qui rendent compte de l'acquisition des connaissances. Il situe l'apport contemporain des sciences cognitives dans le sillage des conceptions philosophiques traditionnelles.

03/2024

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Théorie, doctrine économique

Essai sur la théorie marxienne de l'argent

A la suite de ses travaux sur la théorie de la valeur de Marx, Isaak Roubine offre dans le présent ouvrage une analyse radicale du phénomène monétaire en tant que forme sociale spécifique du capitalisme. Il nous invite à penser la genèse et les fonctions de l'argent tout en les ancrant dans le contexte d'une société marchande généralisée. L'auteur nous propose une étude de l'argent qui est sous-jacente aux discussions politiques et économiques contemporaines. Elle est également incontournable pour penser les grandes transformations sociales - passées, comme la révolution d'Octobre, qui constitue le contexte de rédaction du livre, ou futures, comme la transition écologique. L'ouvrage présenté ici, demeuré à l'état de manuscrit, n'a fait l'objet d'une première publication en langue originale (russe) qu'en 2011.

05/2022

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Que-sais-je ?

Les théories de la connaissance. 4e édition

Elaborer une théorie de la connaissance, c'est s'attacher à démonter les mécanismes producteurs du savoir, identifier les présupposés théoriques et les implications métaphysiques qui en règlent l'exercice. C'est aussi interroger les dimensions métaphysiques et éthiques que révèle tout acte de connaître. Jean-Michel Besnier présente et explique les modèles épistémologiques qui rendent compte de l'acquisition des connaissances. Il situe l'apport contemporain des sciences cognitives dans le sillage des conceptions philosophiques traditionnelles.

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Philosophie

Mathématisation et philosophie de la connaissance de Galilée à Euler

Galilée disait que l'univers est un vaste livre écrit en langage mathématique. Cette conception a donné son cadre philosophique à la révolution scientifique initiée en Europe au XVIIe siècle. L'utilisation systématique de raisonnements mathématiques pour travailler sur des phénomènes physiques a décuplé en quelques décennies la capacité de comprendre, prédire et utiliser les lois de la nature. Cette connaissance des lois physiques a amené à son tour des développements technologiques très importants, dont notre société actuelle est l'héritière. Comment cette révolution s'est-elle déroulée ? De Galilée à Euler en passant par Newton et Leibniz, comment ces nouvelles visions du monde ont-elles coexisté avec les idées philosophiques sur l'espace, le temps et la connaissance ?

01/2021

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Philosophie

Hérésies. Essais sur la théorie de la sexualité

La littérature et les différents domaines de la réflexion théorique ont souvent été des champs de bataille où les dissidents de l'ordre sexuel ont cherché à faire entendre leurs voix. Ce sont quelques-uns des moments de ce grand affrontement que Didier Eribon entend restituer ici, à travers des lectures de Gide et de Jouhandeau, de Foucault et de Dumézil notamment. Mais il décrit également comment les pensées novatrices ou hérétiques peuvent rester engluées dans les valeurs dominantes (comme chez Gide) et même, parfois, cohabiter chez un même auteur avec un discours réactionnaire voire raciste (comme chez Jouhandeau). C'est de cette complexité qu'il s'agit de rendre compte dans ce livre. Ces discours " hérétiques " doivent bien sûr affronter la résistance acharnée des tenants de l'orthodoxie sociale et des défenseurs de l'ordre sexuel, toujours prompts à les renvoyer à la " folie " ou à la " perversion ", à les accuser de " mettre en péril les fondements de la civilisation ", comme on le voit, de manière quasi caricaturale, chez des idéologues comme Lacan et Mounier, et chez leurs héritiers. Il faut alors donner toute sa force à l'affirmation de Barthes selon laquelle " dans ce qu'il écrit, chacun défend sa sexualité ". Ce livre se veut un plaidoyer en faveur de la pensée critique, de l'" hérésie ", une incitation à élargir l'espace de la liberté et des modes de vie possibles face à tous les conformismes, à toutes les pensées rétrogrades et répressives, qu'elles s'avancent sous le masque de la morale, celui de la Raison ou celui de la Science.

11/2003

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Littérature française

Essai sur l'homme, ou Accord de la philosophie et de la religion

Le problème religieux au XIXe siècle / par J.-E. Alaux,... ; précédé d'une préface par Jean-Paul ClarensDate de l'édition originale : 1890Sujet de l'ouvrage : Christianisme et philosophie -- 19e siècleLe présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces œuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces œuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur sur le site hachettebnf.fr

05/2013

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Philosophie

L'influence de Darwin sur la philosophie et autres essais de philosophie contemporaine

Darwin est le nom d'une révolution. Mais pour le philosophe américain John Dewey, né l'année de la publication de L'Origine des espèces, en 1859, et mort près d'un siècle plus tard en 1952, il ne s'agit pas seulement d'une révolution scientifique concernant notre compréhension des espèces végétales et animales. Il s'agit d'une révolution intellectuelle dont on n'a pas encore suffisamment pris la mesure philosophique ni tiré toutes les conséquences théoriques et pratiques : "En touchant à l'arche sacrée de la permanence absolue, et en considérant comme ayant une origine et un terme les formes qui avaient été conçues comme des types de fixité et de perfection, L'Origine des espèces a introduit une manière de penser qui, finalement, ne pouvait que transformer la logique de la connaissance, et ainsi le traitement des questions morales, politiques et religieuses". Il n'est pas question d'appliquer telle quelle la théorie darwinienne aux problèmes que posent la connaissance, la morale, la politique ou la religion, mais d'opérer dans ces domaines le même type de volte-face intellectuelle qu'il a fallu à Darwin pour accoler ensemble les deux termes d'"origine" et d'"espèce". Ces essais que Dewey réunit en 1910 montrent le caractère obsolète et inadapté d'une grande partie de notre bagage intellectuel et posent les premiers jalons, avant les grandes oeuvres de la maturité, pour reconstruire les outils conceptuels dont nous avons besoin pour vivre et penser dans un monde post-darwinien. Dans leur injonction à reconstruire la philosophie en abandonnant toute quête de certitude, ils ont valeur de manifeste de l'oeuvre tout entière.

05/2016

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Histoire et Philosophiesophie

La matière et l'esprit. Sciences, philosophie et matérialisme

" La science ne pense pas " disent les uns, qui répètent sentencieusement les paroles inspirées du Maître. " Les questions métaphysiques sont dénuées de sens ", répondent les autres. Guerre absurde que reproduit notre système d'enseignement, qui voue la philosophie aux séries littéraires et réduit à la portion congrue la réflexion critique proposée aux scientifiques. La philosophie n'existerait pas si elle n'avait dès l'origine fait couple avec l'interrogation scientifique du réel : elle ne saurait, sous peine de virer au pur " supplément d'âme " à destination des autruches qui ignorent tout ce qui se découvre et de la manière dont on le découvre, délaisser par exemple les questions fondamentales soulevées par la physique quantique ou les théories de l'hérédité. Il s'agit de bien plus que d'intégrer ou de réintégrer à la philosophie l'élucidation des énoncés de la science : il y va de l'accomplissement même du programme de pensée ouvert depuis la Grèce antique. Point d'avenir sans reprise du dialogue de la philosophie et des sciences, et sans redécouverte de la pertinence de la position matérialiste. Celle-ci s'enracine chez Démocrite, n'a cessé depuis de constituer aussi, par-delà ses manifestations propres, le contrepoint critique et l'aboutissement sensé des efforts idéalistes pour penser le monde, et représente désormais la seule option ouverte à une pensée effective.

04/2004

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Notions

La métaphysique et après. Essai sur l'historicité et sur les époques de la philosophie

Qu'est-ce que la philosophie ? Cette question, chaque génération de philosophes débutants doit se la poser. Mais, comme les réponses théoriques divergent trop pour convaincre, il vaut mieux se demander comment se pratique la philosophie. Et de ce point de vue, les choses s'éclairent. En trois directions. D'abord, on ne peut, au contraire des sciences positives, pratiquer la philosophie sans pratiquer, en profondeur, l'histoire de la philosophie, dans ses textes et selon ses langues : pour atteindre les choses mêmes, il faut les voir, et on ne peut rien voir si l'on manque des mots pour le dire. Ces mots, encore faut-il les apprendre. Ensuite, ces mots pour voir, ont pris, pendant plusieurs siècles, une figure dominante devenue un standard sous le titre de métaphysique. Cette figure a une origine, une constitution, des principes et, elle le proclame elle-même, des limites. A l'intérieur de ces limites elle triomphe toujours, et encore aujourd'hui. Mais, en vertu de ces limites, elle ne comprend que ce qu'elle rend objectif, que ce qu'elle parvient à constituer comme un objet. Or nous savons par expérience pouvoir connaître des choses qui ne se réduisent pas en objets. Nous sommes entrés dans de nouveaux espaces. A la fin, pour les explorer, il faut donc doubler et dedoubler la métaphysique. En fait, la philosophie vraiment créative ne pense plus, au moins depuis Nietzsche et Heidegger, dans les limites de la pure métaphysique - même si elle n'en a pas toujours une claire conscience. Fixer les modes d'une pratique post-métaphysique de la philosophie, la phénoménologie l'a déjà entrepris. A condition de redoubler aussi la phénoménologie elle-même. J. -L. M.

02/2023

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Littérature française

La Théorie de l'homme moyen, essai sur Quételet et la statistique morale

La Station hivernale d'Ajaccio en 1872-1873. Action thérapeutique du climat de la Corse, par le Dr Paul Picard,...Date de l'édition originale : 1872Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces œuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces œuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur le site hachettebnf.fr

06/2013

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Ouvrages généraux

Les théories de l'inconnaissable et les degrés de la connaissance

Les théories de l'inconnaissable et les degrés de la connaissance / par Gustave Derepas,... Date de l'édition originale : 1883 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

02/2023

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Religion

L'islam entre religion et idéologie. Essai sur la modernité musulmane

Le constat semble faire chaque jour l'unanimité : l'une des pires menaces qui pèserait sur l'Occident d'aujourd'hui résiderait dans l'islam politique. Le phénomène dicterait l'avenir des sociétés musulmanes, déstabiliserait l'ordre mondial et ruinerait les valeurs attachées à l'expérience historique occidentale - comme hier, au tournant des XIXe et XXe siècles, le panislamisme avait convaincu les chancelleries d'une inéluctable confrontation entre islam et civilisation. Pour comprendre l'islam politique contemporain, il convient de revenir à ce que Nadine Picaudou définit comme le moment moderne de l'islam. Entre les années 1860 et 1930, l'islam devient un régime de croyances et de pratiques qui s'objectivent dans les univers politique et social : loin de s'accompagner d'un désenchantement du monde, la modernité musulmane rationalise le message révélé et l'émancipe de la scolastique du savoir établi. Référence disputée dans le débat public, l'islam entre dans de nouveaux dispositifs de gouvernement à l'heure où les pouvoirs sont confrontés à la nécessaire redéfinition des formes de la souveraineté, de la législation et de la légitimité. Enrôlé dans toutes les mobilisations politiques contre la domination étrangère, l'islam nourrit dans le même temps de nouveaux répertoires de l'action collective. Le moment moderne de l'islam est ainsi celui de la transformation du religieux en idéologie, préalable à toutes les politisations contemporaines.

05/2010

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Histoire des idées politiques

Essai de théorie sur le gouvernement monarchique

Essai de théorie sur le gouvernement monarchique Date de l'édition originale : 1788 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

03/2021

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Notions

La théorie pragmatiste de la connaissance de Clarence Irving Lewis

Le livre se propose d'étudier la philosophie de Clarence I. Lewis (1883-1964), auteur méconnu dans l'histoire de la pensée. Toutefois, à son époque, il était un des philosophes les plus populaires aux Etats-Unis. Plusieurs des idées de ses disciples célèbres (Quine, Goodman, Sellars) sont déjà présentes dans ses écrits. Lors de leur arrivée en Amérique, les néopositivistes ne rencontrèrent pas seulement en sa personne un avocat du pragmatisme, mais aussi un interlocuteur intéressé par leurs sujets et versé dans leur méthodologie logique. L'étude propose l'analyse détaillée de sa position épistémologique. La compréhension du donné dans le sens préépistémologique comme expérience immédiate (contre le mythe du donné), l'entente fonctionnaliste des a priori (nécessaires pragmatiquement, mais sans statut ontologique privilégié) et la conception de la connaissance comme activité (l'interprétation comme interaction, contre la théorie copiste), faillible, mais capable d'assurer la vérité nécessaire pour la vie pratique, constituent un sujet d'étude passionant aujourd'hui.

02/2021

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Philosophie

Les raisons de l'art. Essai sur les théories de la peinture

Nietzsche ne s'y est pas trompé : "Toujours le créateur s'est trouvé en désavantage vis-à-vis de celui qui ne faisait que regarder sans mettre lui-même la main à la pâte". Triste privilège de la peinture : les philosophes énoncent des propositions sur la technique picturale et l'histoire de cet art indépendamment de tout critère empirique de validité, sans mobiliser aucune connaissance ni expérience, à l'encontre des philosophes qui, écrivant sur la musique - Nitezsche, Schopenhauer, Adorno ou Jankélévitch -, s'appuient toujours sur un savoir et sur un savoir-faire. Pourquoi la peinture, objet d'un discours philosophique sans objet, autorise-t-elle les interprétations sans contrôle, les analyses purement auto référentielles ? Jacqueline Lichtenstein date du coup de force théorique de Kant, posant la double autonomie du jugement de goût par rapport au jugement de connaissance et de la théorie esthétique par rapport à la pratique artistique, la plupart des impasses philosophiques de l'esthétique. En regard, elle restitue, à partir de l'étude des conférences de l'Académie royale de peinture et de sculpture de 1667 à 1793, l'importance de l'analyse artistique - l'explication de l'oeuvre, chose mentale et matérielle tout à la fois, par les peintres. Ils y puisaient l'occasion de soulever un problème précis touchant à l'une des "difficultés" rencontrées - le sujet et la correction du dessin ; la répartition des lumières ; les libertés que le peintre peut prendre par rapport à l'histoire ; l'expression des passions. Dans ce qu'on appelle philosophie de l'art, écrivait Friedrich Schlegel, il manque habituellement l'une ou l'autre : ou bien la philosophie, ou bien l'art. S'il fallait choisir, Jacqueline Lichtenstein soutiendrait sans doute aucun l'art contre la philosophie. Ou plutôt contre une certaine philosophie.

05/2014

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Esotérisme

Les loges de Saint-Jean et la philosophie ésotérique de la connaissance

Trois grands thèmes sont développés dans ce livre : La franc-maçonnerie obédientielle s'est organisée en Angleterre. Elle est devenue un Ordre initiatique avec l'apparition en France des premières instructions de langue française qui soulignent la nécessité de chercher la lumière et le rôle des Maîtres pour la répandre . Initier, c'est transformer et faire renaître. Tel est le rôle des rites maçonniques dans les loges symboliques.
Mais ils ne sont efficaces que si celui à qui l'initiation est conférée possède un don particulier, " s'il comprend bien l'Art ". Le langage de la franc-maçonnerie est celui des symboles. Ils ne doivent pas faire l'objet de commentaires car ils sont destinés à être montrés et transmis, non à être expliqués. Chacun en fait l'usage qu'il peut . Au milieu du XVIIIe siècle les Irlandais introduisent la notion selon laquelle les Trois Grandes Lumières de la franc-maçonnerie seraient le Volume de la Loi Sacrée, l'équerre et le compas, alors que les plus anciennes instructions maçonniques connues, en anglais comme en français, attribuaient ce rôle à la lune, au soleil et au Maître de la loge.
C'est alors qu'un certain ton, plus voisin des églises que des chantiers, est apparu dans les rituels. Sa connaissance incomparable des sources obscures de la franc-maçonnerie fait des travaux d'Alain Bernheim une référence indispensable pour les historiens. Il fait siens les mots de Pierre Chevallier : " Le rôle de l'historien n'est ni de condamner les uns, ni d'acquitter les autres. L'historien, contrairement à une opinion reçue, n'a pas à juger, mais à expliquer et à faire comprendre ".

11/1999

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Philosophie

Introduction à la philosophie de l'histoire. Essai sur les limites de l'objectivité historique

La vérité scientifique se détache de la conscience qui l'a élaborée puisque, à un certain degré d'approximation, elle vaut éternellement. En va-t-il de même pour la reconstitution historique ? L'historien ne s'exprime-t-il pas, lui-même et son époque, dans sa vision du passé ? Est-ce l'homme d'un temps ou un moi transcendantal qui est le sujet de cette science ? Cette dernière est-elle séparable de toute philosophie ? N'est-elle pas solidaire du présent historique et condamnée à changer avec lui ? En d'autres termes la science historique, comme les sciences de la nature, se développe-t-elle selon un rythme d'accumulation et de progrès ou, au contraire, chaque société récrit-elle son histoire parce qu'elle se choisit et recrée son passé ? Cette analyse devenue classique de l'historicité conduit Raymond Aron à une philosophie historique qui, s'opposant aux synthèses spéculatives en même temps qu'au positivisme, est aussi une philosophie de l'histoire. La philosophie de l'histoire, écrit-il, est une partie essentielle de la philosophie, elle en est à la fois l'introduction et la conclusion. Introduction, puisqu'il faut comprendre l'histoire pour penser la destinée humaine, d'un temps et de toujours, conclusion, puisqu'il n'y a pas de compréhension du devenir humain sans une doctrine de l'homme. Double caractère qui serait contradictoire si l'on se représentait la philosophie selon le schéma des théories déductives, mais qui devient intelligible dès qu'on la rattache à la dialectique de la vie et de l'esprit, qui s'achève dans la conscience de soi de l'être qui se situe dans l'histoire et se mesure à la vérité. Près de cinquante ans après sa première parution, cet ouvrage devenu célèbre sans vieillir fait l'objet d'une édition nouvelle, revue et annotée par Sylvie Mesure.

04/1991

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Notions

Philosophie du tir à l'arc. Essai sur la conception stoïcienne de la valeur

On ne peut manquer d'être frappés aujourd'hui par la référence au terme et à la notion de "valeur(s)" . Evaluer c'est tout à la fois s'affirmer et s'exprimer, mais aussi se signaler sur une mappemonde sociale et politique, autrement dit s'exposer au double sens du terme comme le suggère Bernard Harcourt à propos des réseaux sociaux. Evaluer serait le nouvel avatar des technologies de pouvoir à l'ère digitale. Toute pratique de résistance, dès lors qu'elle se fonde sur la revendication et sur la promotion d'une (autre) axiologie, ne s'inscrirait-elle pas dans le jeu qu'elle entend dénoncer ? N'est-ce pas la possibilité même d'une résistance qui semble exclue ? A moins, peut-être, de déconnecter le jugement de la préférence. A moins, peut-être, d'admettre des valeurs indépendamment de l'appréciation subjective qu'en font les individus. C'est ce que se proposent de faire les stoïciens en leur temps et c'est à cette pensée stoïcienne de l'évaluation - reformulée ici en termes de "dispositif d'évaluation" - que le présent ouvrage s'intéresse. Il s'agit de savoir à quels concepts et à quelles pratiques spécifiques les stoïciens hellénistiques puis impériaux font référence en parlant de valeur et de jugement et comment ces deux aspects s'articulent, ce qui implique d'aborder des thématiques aussi riches que l'axiologie et la psychologie, la théorie de l'action et la doctrine des passions. Outre l'intérêt d'une telle analyse eu égard à l'absence de travaux spécifiquement consacrés à la question de la valeur au sein des études stoïciennes, cette enquête entend avoir aussi une portée philosophique susceptible de contribuer à la critique de nos manières de penser et d'agir.

01/2022

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Philosophie

Rêve, vérité. Essai sur la philosophie du sommeil et de la veille

On sait la perplexité d'Aristote devant le sommeil et le rêve dont seul l'éveillé se souvient et peut parler : " Le sommeil est pour ainsi dire aux confins de la vie et de l'absence de vie, et le dormeur paraît ni complètement ne pas être ni être. " Depuis lors, le problème demeure entier : la compréhension du rêve ne doit-elle s'attacher qu'aux scènes et images, conçues comme vestiges et travestissements des désirs qui nous hantent et dont nos rêves sont peuplés ? Sommes-nous, en rêvant, si radicalement exilés de toute vérité que l'unique moyen d'approcher le sens de notre rêve soit l'interprétation tardive de son éventuelle symbolique ? Le rêve frappe-t-il d'inanité, par son seul défaut d'être, tout ce qui se présenterait en lui : " Car d'où sait-on - demande Descartes - que les pensées qui viennent en songe sont plus fausses que les autres, vu que souvent elles ne sont pas moins vives et expresses ? " Peut-on veiller son propre rêve, ou ne peut-on que le rêver ? Poser, en philosophe, la question du sommeil, c'est penser ce que la philosophie occidentale n'a cessé de reléguer : depuis Platon jusqu'à Heidegger, qui la fait sienne, la différence entre l'homme qui philosophe et celui qui ne philosophe pas est tenue pour la différence entre la veille et le sommeil. La veille est le domaine de la conscience (Descartes, Leibniz, Kant) ou de la pensée (Hegel, Husserl, Heidegger), en sorte que sommeil et rêve en sont alors l'intime inquiétude, la mise à l'épreuve quotidienne de la raison humaine en son aspect nocturne. Examiner les différents concepts de vérité tirés de cette distinction permet d'éclairer le privilège accordé à la veille et le prix de la relégation, voire de la négligence, philosophique du sommeil. Car, au terme des aventures oniriques de la métaphysique que nous narre Pierre Carrique, la conclusion s'impose, évidente : penser, à la suite de la philosophie occidentale, une vérité de l'être qui ne nous dirait pas l'être du rêve, est-ce vraiment penser la vérité ?

05/2002

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Ethnologie et anthropologie

Territoire et colonialisme. Essai sur le refuge et une théorie de la domination

Dans le dessein de réfléchir aux enjeux et préoccupations qui animent les Autochtones et les chercheurs, nous entreprenons un voyage en territoire autochtone à travers des recherches contemporaines. Ces recherches témoignent des effets à long terme des abus et de la maltraitance imposés au fil des ans aux membres des communautés autochtones, au Canada, en raison de l'emprise du colonialisme sur de très nombreux aspects de leur vie. Dans un tel contexte, comment comprendre la reproduction de comportements nocifs, du maintien de l'autoritarisme d'inspiration coloniale, de la continuité du machisme, du sexisme et du racisme autrement que par l'observation de structures qui se transmettent de générations en générations, de groupes en groupes, d'organisations en organisations ? Une invitation donc à proposer une théorie de la domination organisationnelle pour mieux examiner tout ce dont on veut s'affranchir, pour mieux faire face au patriarcat aussi, à l'hégémonie de la religion, à l'emprise du totalitarisme, aux idéologies fallacieuses… En somme, la notion de refuge dans ses multiples dimensions, celle que nous nous forgeons tous, de façon individuelle et collective, notamment face à la haine, face à la domination, ou encore face à l'autoritarisme sous toutes ses formes, constitue une occasion féconde de définir les luttes qui nous habitent.

06/2023

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Sociologie

Archéologie du signe. Théorie unifiée de l'information et de la connaissance

Notre sens commun reconnaît un lien entre connaissance et information, tout en les confondant parfois. Les théories concernant l'une ou l'autre s'ignorent le plus souvent. Or les sciences cognitives nous fournissent aujourd'hui matière à les faire converger vers une théorie unifiée. Il faudra pour cela mettre à l'épreuve le postulat selon lequel le cerveau serait un organe de traitement de l'information. La connaissance et l'information sont l'une et l'autre des inventions de l'évolution biologique. Nous les suivrons des insectes aux humains, à la fois sous leur forme subjective (mentale) et sous leur forme objective (culturelle). Le concept de signe sera notre fil conducteur. Au final, la théorie s'étendra à la mémoire et à l'intelligence, animales, humaines et artificielles.

11/2020

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Ouvrages généraux

L'invention de l'Afrique. Gnose, philosophie et ordre de la connaissance

Etrange destin que celui de la trajectoire du livre The Invention of Africa (1988), ici traduit par Laurent Vannini en français. Son auteur Valentin Y. Mudimbe, est reconnu comme l'un des plus fins analystes des sciences sociales, des humanités classiques et modernes et de la philologie ; Mudimbe est aussi un romancier hors pair. Il a pourtant fallu une génération pour traduire son livre dans la langue et les traditions intellectuelles francophones qui l'ont nourri. Mudimbe explore ici, trois territoires épistémologiques, la philologie grecque et latine, les bibliothèques religieuses et l'ethnographie coloniale, pour s'en prendre avec une certaine allégresse aux littératures en quête d'une Afrique " vernaculaire ", d'une modernité néo-pharaonique inaugurée par une Egypte ancienne triomphante, remise sur ses pieds africains, qui fit la leçon aux Grecs, pour établir une production intellectuelle décrochée du monde occidental. Le livre continue de faire l'objet de commentaires et de critiques. Il est probablement l' un des ouvrages les plus cités de la littérature africaniste. Sa lecture est obligatoire dans plusieurs disciplines enseignées dans les universités américaines.

04/2021

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Ouvrages généraux

Comment se pose le problème gnoséologique aujourd’hui ? De la philosophie de la nature... à la philosophie de la connaissance

L'Histoire nous enseigne que la gnoséologie s'est constituée comme science autonome, distincte de la logique, de la psychologie et de la métaphysique seulement à partir des " temps modernes ", et singulièrement avec Descartes. Avec les Modernes, la connaissance est une activité intègre, autonome et complète en elle-même, et son objet premier est, non pas l'être, mais la connaissance elle-même. Connaître, c'est d'abord et avant tout être conscient de soi-même. Pendant l'Antiquité, la vérité de la connaissance est l'être et, à l'époque moderne, la vérité de la connaissance est la connaissance elle-même. Ce problème est à la fois un problème historique, structurel, méthodologique, moderne et postmoderne. Aujourd'hui, il y a plus d'opinions que de convictions. Ainsi, l'histoire du problème gnoséologique se divise en trois phases nettement tranchées : antique, moderne et postmoderne. Pendant la première, la vérité de la connaissance est l'être ; dans la deuxième, la vérité de la connaissance est le connaître en soi ; et dans la troisième, enfin, affirme-t-on, il n'y a pas de faits, mais uniquement des interprétations. Aussi, le roman d'amour entre la philosophie et la connaissance est passé à travers trois moments. D'abord, l'Antiquité et le passage de témoin entre le mythos et le logos, signant ainsi au passage la naissance de la philosophie de la nature. Puis, le passage de la philosophie de la nature à la science de la nature vers la fin du 15e siècle et au début du 16e siècle. Enfin, sous l'impulsion de Kant d'abord, de Comte ensuite, le passage de la philosophie de la connaissance à l'épistémologie contemporaine au 19e siècle. Le problème de la connaissance est au fond le problème de la nature (caractéristiques, spécificité, origine et provenance à la fois), de la valeur et des limites de la connaissance humaine, puisqu'il s'agit d'établir la manière de porter un jugement de valeur sur les diverses formes de la connaissance humaine.

02/2022

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Schopenhauer

Cours exhaustif sur la philosophie. Tome 1, Théorie de la représentation

Cet ouvrage est la traduction en langue française d'un cours d'Arthur Schopenhauer consacré à la théorie de la connaissance, professé en 1820 à l'université de Berlin. Il apporte un complément important aux autres écrits du philosophe sur ce sujet déjà publiés en langue française.

04/2023

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Schopenhauer

Cours exhaustif sur la philosophie. Première partie, Théorie de la représentation

Cet ouvrage est la traduction en langue française d'un cours d'Arthur Schopenhauer consacré à la théorie de la connaissance, professé en 1820 à l'université de Berlin. Il apporte un complément important aux autres écrits du philosophe sur ce sujet déjà publiés en langue française.

04/2023

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Religion

Présence et pensée. Essai sur la philosophie religieuse de Grégoire de Nysse

Le cardinal de Balthasar (comme il aima, pendant les dernières semaines, signer son nom pour ses correspondants francophones) nous avait fait part de son vif désir de voir rééditer cet essai de 1942 ; il continuait, quarante-cinq ans plus tard, de le tenir pour nécessaire à la compréhension et au développement de son oeuvre ultérieure. Sa mort inattendue l'a empêché de réviser son texte. Présence et pensée. Essai sur la philosophie religieuse de Grégoire de Nysse se présente donc dans le respect du texte publié en 1942 ; cependant, afin de rencontrer le désir qu'avait l'auteur de restituer cet écrit dans son oeuvre et dans celle d'Adrienne von Speyr, qui lui est inséparablement liée, nous avons demandé à un de ses amis, l'abbé Jean-Robert Armogathe, maître de conférences pour l'histoire du catholicisme à l'Ecole Pratique des Hautes Etudes (Sorbonne), de rédiger une Note préliminaire et de compléter la bibliographie. Ainsi l'écrit réédité ici est loin d'être un exercice académique de circonstance ; ou plutôt, il est totalement circonstancié par les besoins intellectuels du monde contemporain, où l'oeuvre croisée d'Adrienne von Speyr et d'Hans Urs von Balthasar occupe désormais une place prééminente.

01/1988