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Ma mère avait ce geste

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Littérature française

Ma mère avait ce geste

Ma mère avait ce geste, quand elle était soucieuse, la main contre la joue. Ce n'était pas pour elle, qu'elle se faisait du souci, elle avait un caractère tellement gai. C'était pour nous, ses dix enfants, surtout les plus jeunes, qu'elle se faisait du souci, comment arriver à nous nourrir, à nous vêtir, avec le peu d'argent qu'il y avait, surtout après la mort de mon père. Comment s'assurer que nous allions nous en sortir, faire des études, arriver à nous débrouiller. Pour les études, il y avait les bourses : il fallait passer un concours avant l'entrée en sixième, puis fournir, chaque année, des certificats attestant de bons résultats et d'une bonne conduite. Ma mère, chaque année, nous rappelait qu'il ne fallait surtout pas oublier ce certificat, qu'il fallait tout faire pour l'obtenir. Bons résultats et bonne conduite... Enfants, vers la fin du mois, nous disions à l'épicière : maman paiera demain, l'épicière savait ce que ça voulait dire, qu'il n'y avait plus d'argent jusqu'à la fin du mois, jusqu'à la paye de mon père. C'était pour moi la phrase magique, celle qui arrangeait tout. Maman paiera demain. Et puis voilà. Même si je voyais bien le regard des autres clients, qui savaient parfaitement, comme l'épicière, ce que ça voulait dire. Mais moi, je ne me faisais pas de souci. J'avais une confiance aveugle dans ma mère. Elle était forte, elle était courageuse, elle était gaie, tout le monde l'aimait bien, à Trans. Non, je n'avais aucune raison de me faire du souci.

09/2021

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Littérature française

Ma mère avait raison

Sans le doute le livre le plus drôle et le plus déchirant d'Alexandre Jardin. Celui caché derrière tous ceux qu'il a déjà consacrés à sa famille ; celui qui révèle la pièce maitresse : sa mère. Après le clan bizarre et merveilleux ( Le roman des Jardin ), le grand-père sombre ( Des gens très bien ), le père fantasque qui ignorait la peur ( Le Zubial), voici le portrait d'une femme qui s'autorisa à être entièrement elle-même. Car la mère d'Alexandre Jardin est le contraire de notre époque éprise de règles, de politiquement correct, de précautions : c'est l'antidote absolu de notre siècle timoré. Elle ose tout. Le monde la jugera, aimera son courage, la détestera, l'enviera, l'imitera, en rira, en parlera. Elle est dans les yeux de son fils l'héroïne-née, la tisseuse d'aventures, l'inspiratrice des hommes, la source jaillissante de mille questions, elle est le roman même. Un roman qui questionne, affole, vivifie et rejoint la joie du fils. Mais la touche de chagrin l'emporte au début comme à la fin car la magicienne n'est pas éternelle. Alexandre Jardin nous livre le texte qu'il aurait écrit après sa mort, en forme d'adieu. Certaines femmes ne devraient pas mourir. Par ce livre écrit en totale liberté, sa légende survivra.

10/2017

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Poésie

Le même geste

Lieu sans cesse prolonge le singulier projet que Fabienne Courtade a entrepris ces dernières années et qui consiste (entre autres) à réintroduire la narration dans l'écriture poétique : aussi a-t-on moins affaire ici à une suite de poèmes, au sens courant du terme, qu'à un " récit en vers ", plus elliptique bien sûr et plus lacunaire que celui de la prose ordinaire : les traces ici déposées s'interrompent, bifurquent, se reprennent, de grands blancs viennent trouer les ébauches narratives que les strophes recomposent ensuite, selon leur logique propre... Une histoire se déroule pourtant, plus resserrée que dans ses précédents ouvrages : plus soucieuse aussi du " monde du dehors " qui transparaît souvent " derrière les vitres " et vers lequel se risque la narratrice - à le toucher... Nouvelle étape d'une oeuvre qui s'édifie sans hâte, dans une forme d'ascèse, Lieu sans cesse confirme l'exigence et l'importance de Fabienne Courtade dans le paysage poétique actuel.

09/2012

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Littérature française

Ma Grand-mère avait raison

Aux yeux de son entourage, l'aïeule Ma Kimoko est la gardienne du savoir ancestral, la personnification même des traditions congolaises. S'y référant constamment, elle prodigue remèdes et astuces autour d'elle. Mais depuis quelque temps, Ma Kimoko ne comprend plus les nouveaux modes de vie de ses proches. Emu par cet égarement, son petit-fils observe à son tour ces changements, et tente de répondre pour elle à cette éternelle question : peut-on réellement conjuguer traditions et modernité ? Dans ce roman-choral, C. -S. Moukouta nous invite à réfléchir avec lui au poids des traditions, tout en nous rappelant que modernité ne rime pas toujours avec liberté.

12/2013

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Littérature française

Ce qui reste

On disait, c'est le progrès ; le bruit courait qu'on ne l'arrêterait pas. Etrange, tout de même, de dire à propos du progrès ce qu'on disait propos d'un cheval emballé, d'un balai ensorcelé ou d'une maladie incurable ; personne ne se demandait d'où fa venait ; personne ne savait au juste ce qu'il disait lorsqu'il disait qu'on n'arrêterait pas le progrès. Au fond, ce n'était qu'un bruit, une espèce de boutade qui n'empêchait pas nos parents de répéter que ce qui n'est pas nécessaire attendra, que celui qui veut quelque chose doit travailler pour l'avoir, ou qu'on n'a rien sans effort, ce qui revenait au même.

01/2021

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Littérature française

Ce qui reste

"Juste, avant de continuer, je voudrais remettre quelque chose en place : je construis malgré moi mon image à vos yeux, ne soyez dupes d'aucun de mes livres. Je me suis résigné depuis longtemps à laisser mes sentiments précéder mon esprit. Je me vois, spectateur complice, guider mes désespoirs et mes euphories comme un peintre compose un portrait. Si je ne sais pas vivre, je sais au moins en donner l'illusion et afficher une apparence qui a quelque chose de celle d'un personnage de roman".

01/2003

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Littérature française

Ce qui reste

Que reste-t-il des souvenirs dansants des feux follets, des extraits de carnets inflammables, des ombres terrifiantes du bûcher, du feu de la mitraille dans une tranchée de boue, de la flamme verte du drapeau de la plage où court un chien, des reflets miroitants de la marmite, de la pourpre étincelante d'un rideau de cirque, d'un feu de brindilles de noisetier un jour d'été ? Presque rien... L'escarbille.

06/2009

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Littérature française

Ce qui me reste…

Dominique Chavanoz, professeur de littérature qui partage sa vie avec Carlina, sa compagne italienne, est victime d'un grave accident de ski qui le contraint à vivre dans un fauteuil de handicapé. Encouragé par Carlina, il entreprend, après bien des hésitations, d'écrire un roman, par le truchement d'une étudiante en lettres, Julia, qui se révèle une excellente auxiliaire, dotée de capacités littéraires remarquables. Bouleversé par sa dépendance physique, perturbé par une jalousie qu'il ne maîtrise pas, Dominique trouvera-t-il les ressources pour supporter cette rivalité imaginaire ? Comment dépassera-t-il un antagonisme qu'il est le seul à percevoir ? Sa compagne et son ami vénitien Gildo pourront-ils l'y aider ? Un roman écrit à la première personne, qui emporte le lecteur dans des villes mythiques : Grenoble, Nice et la Sérénissime Venise.

06/2013

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Policiers

Ce qu'il reste

1978, nord de l'Italie. Elia a seize ans. C'est un jeune homme solitaire, en proie aux tourments de l'adolescence - ses amitiés fragiles, ses questionnements, ses premiers émois amoureux. Cet été-là, dans le petit village de Ponte, comme tous les étés, la chaleur est étouffante. Mais si l'atmosphère est particulièrement pesante, c'est que le père d'Elia a un comportement étrange depuis quelques temps, depuis qu'il s'est fait licencier de l'usine pour laquelle il travaillait. Persuadé d'avoir été victime d'un complot, il s'isole des heures dans le garage de la maison, à son van, rentrant parfois tard dans la nuit, sans explications. La mère d'Elia ferme les yeux. La mère d'Elia est une femme amoureuse. Un jour, le village est secoué par la disparition d'une jeune femme, montée à bord d'une fourgonnette qui s'est enfoncée dans les bois. A Ponte, tout le monde se connaît, tout se sait. Mais il y a des choses que personne ne peut imaginer. Trente ans après les faits, Elia raconte cet été où tout a basculé, et ce qu'il en reste.

01/2018

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Poésie

Ce qui reste encore

Nouvel opus de Roland Giraud. Nous entrons en poésie. Tantôt l'auteur chante ses poèmes, tantôt il les déchire. Ici nous suivons le fil de ses sentiments, de ses pensées, nous entrons dans un réel suspendu. Nous sommes celle fine bulle d'instant qui nous apprend à suspendre notre respiration et à savourer les rapides délices de notre existence.

02/2022

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Littérature étrangère

Mon père et ma mère

C'est l'été 1938 en Europe centrale. Et comme chaque année ils sont là, sur la rive, en villégiature. Il y a Rosa Klein, qui lit dans les lignes de la main. Mais peut-on se fier à ses prédictions ? Et Karl Koenig, l'écrivain. Pourquoi fréquente-t-il les autres vacanciers au lieu de consacrer toute son énergie au roman qu'il est en train d'écrire ? Qui sont vraiment " l'homme à la jambe coupée " et la jeune femme amoureuse que tous les Juifs appellent par l'initiale de son prénom ? Et le père et la mère d'Erwin, l'enfant si sensible à l'anxiété de ceux qui l'entourent ? Dans ce roman magistral publié quelques années avant sa mort, Aharon Appelfeld tisse les questions intimes, littéraires et métaphysiques qui l'ont accompagné toute sa vie. Sous sa plume, ces dernières vacances avant la guerre sont le moment où l'humanité se dévoile dans ses nuances les plus infimes, à l'approche de la catastrophe que tous redoutent sans parvenir à l'envisager.

10/2020

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Humour

35 ans (dont 15 avant internet). Tout ce qu'il me reste d'avant Instagram

Des cigarettes en chocolat à la clope électronique, du Nokia 3310 à l'Iphone, de Snake à Instagram, elle nous livre le récit de son passage à l'âge adulte sans passer par la case Tinder. Partagée entre l'envie d'avoir des likes et la nostalgie du temps d'avant les réseaux sociaux, elle se demande comment évoluer sereinement dans un monde où tout ce qui nous entoure n'existait pas à l'époque où nous avons grandi. Parfois mélancoliques, souvent acides et toujours drôles, ses chroniques dressent un portrait-robot sans fard de nos névroses à tous.

11/2022

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Romans historiques

Les vengeurs. Un même geste désespéré

Samuel Schwartzbard, Herschel Grynszpan : un même geste, deux destinées. Juifs, ils ont tué pour venger les leurs, victimes de persécutions. Révoltés, prisonniers de lois sourdes et d'un monde indifférent, ils ont braqué leur arme pour dire " non " à l'injustice et à l'horreur absolues : les pogroms d'Ukraine au début du XXe siècle, l'enfer nazi. Le 25 mai 1926, à Paris, en pleine rue, Samuel Schwarztbard, ancien combattant de la Grande Guerre, anarchiste convaincu, abat de plusieurs coups de feu l'ataman Simon Petlioura. Douze ans plus tard, le 7 novembre 1938, dans un bureau de l'ambassade parisienne d'Allemagne, Herschel Grynszpan, âgé de dix-sept ans à peine, fait feu sur un obscur secrétaire, Ernst von Rath. Son acte servira de prétexte à Goebbels pour déclencher la tragique " Nuit de cristal ". Un homme mûr, un enfant. Le premier a choisi sa cible, mûri sa vengeance. L'affaire Dreyfus est encore dans tous les esprits : Samuel sera acquitté au terme du spectaculaire " procès des pogroms ", magistralement conduit par le héraut des prétoires, Me Henry Torrès, l'homme à la voix d'airain. Herschel, en revanche, ne sera jamais jugé. On le laissera pourrir plusieurs années en cellule avant de le déporter. Jean Nainchrik, saisi par leur désespoir, superpose les époques. Avec, pour trait d'union, Me Henry Torrès, figure emblématique de la liberté. Parce qu'il fallait rappeler, aujourd'hui, dans quelle tourmente ont été emportés ces hommes qui ont résisté.

10/2004

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Littérature russe

Merle, merle, mûre

Au fin fond de la Géorgie, dans une ville entourée de collines, Ethéro, quinquagénaire célibataire, s'occupe tranquillement de sa petite épicerie dans un quotidien monotone. Depuis toujours, elle mène une vie sans histoire. Jusqu'au jour où un incident vient bouleverser sa vie bien rangéeâ- En partant à la cueillette de mûres, Ethéro manque tomber dans le fleuve Rioni ! Prise soudain d'une peur bleue de la mort, elle se met à prendre des décisions qu'elle n'aurait jusque-là jamais envisagées. Chaque parcelle de son existence est désormais sens dessus dessous. Elle regarde son entourage avec un oeil nouveau, et notamment le livreur de lessive, qui l'approvisionne régulièrement, et qui semble l'observer avec un drôle intérêt. Ignorant les conventions et les ragots du voisinage, Ethéro va se noyer dans une relation amoureuse passionnelle qu'elle n'espérait plus. Dans ce roman plein de tendresse, Tamta Mélachvili, l'une des plus grandes voix féminines caucasiennes contemporaines, bouscule

10/2023

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Littérature française

Mon Père avait raison

C'est un ouvrage autobiographique ou je parle de moi, dès ma naissance jusqu'en 2017. Je présente une grande expérience de vie à partager car je dois un grand merci à un coach qui n'est autre que Mon Père pour qui je dois tout. Il a été un modèle et u mentor pour mon parcours bien que, pour ce dernier, parsemé de nombreuses embûches. En quatre chapitres, je vous relate ma petite vie dont le chemin a été tracé par un coach à qui je dois tout.

08/2020

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Littérature étrangère

Ce qui reste de la nuit

Paris - juin 1897. Trois jours dans la vie du jeune Constantin Cavafy. En son fort intérieur, il mûrit une oeuvre poétique mais les entraves personnelles sont nombreuses : sa poésie est encore incertaine, le carcan de la rime le corsète, son homosexualité le tourmente, et la tyrannique affection que lui témoigne sa mère l'empêche de se réaliser. Sans compter la faillite familiale qui l'humilie depuis son enfance. Ces trois jours à Paris seront la pierre de touche, le catalyseur décisif pour la vie et l'oeuvre du grand poète alexandrin.

08/2016

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Littérature étrangère

Ce n’était que la peste

Moscou, 1939. Le biologiste Rudolf Mayer a parcouru plus de huit cents kilomètres pour présenter aux autorités ses recherches sur une souche hautement virulente de la peste. Ce n'est qu'après cette réunion qu'il comprend qu'il a été contaminé, et que toutes les personnes qu'il a croisées peuvent l'être également. La police soviétique déploie alors un très efficace plan de mise en quarantaine. Mais en ces années de Grandes Purges, une mise à l'isolement ressemble à une arrestation politique, et les réactions des uns et des autres peuvent être surprenantes. Dans ce texte datant de 1988, Ludmila Oulitskaïa donne à voir ce qui peut se passer lorsqu'une épidémie éclate au coeur d'un régime totalitaire. Découvert en Russie au printemps 2020, ce texte inédit, plein d'humour et d'humanisme, résonne singulièrement dans le contexte mondial de la pandémie de coronavirus.

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Littérature russe

Ce n'était que la peste

Moscou, 1939. Le biologiste Rudolf Mayer a parcouru plus de huit cents kilomètres pour présenter aux autorités ses recherches sur une souche hautement virulente de la peste. Ce n'est qu'après cette réunion qu'il comprend qu'il a été contaminé, et que toutes les personnes qu'il a croisées peuvent l'être également. La police soviétique déploie alors un très efficace plan de mise en quarantaine. Mais en ces années de Grandes Purges, une mise à l'isolement ressemble à une arrestation politique, et les réactions des uns et des autres peuvent être surprenantes. Dans ce texte datant de 1988, Ludmila Oulitskaïa donne à voir ce qui peut se passer lorsqu'une épidémie éclate au coeur d'un régime totalitaire. Découvert en Russie au printemps 2020, ce texte inédit, plein d'humour et d'humanisme, résonne singulièrement dans le contexte mondial de la pandémie de coronavirus.

01/2023

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Contes et nouvelles

Ce qui reste de la lumière

Ce qui reste de la lumière est une oeuvre de l'auteur Guéladio Sall. Un passionnant recueil de nouvelles qui nous présente les histoires de personnages angoissés, confrontés à des situations qui pourraient en ébranler plus d'un. Mactar, Walter, Modibo et tant d'autres, des gens simples et vulnérables qui mènent de douloureux combats existentiels mais refusent de baisser les bras. Ils finissent par découvrir que l'espoir ne doit jamais nous quitter, que rien n'est définitivement et irrémédiablement compromis lorsqu'on cherche à garder la plus grande force en nous : notre propre lumière.

10/2023

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Littérature française

Ce siècle avait 102 ans

Né en 1896, dans un bocage de l'Ouest, Francis Angeneau est doté d'une force de caractère avec une âme charitable, mais toujours droite comme tous les gens attachés à la terre. Homme de courage, d'espoir, de consensus, il trouvera toujours son salut, même au travers de tous les grands conflits les plus effroyables qu'il a vécu, qui ont jalonné et marqué son époque à tout jamais. C'est grâce et à cause de la Grande Guerre de 14/18 que se nouera son aventure familiale, mais qui ne sera révélée partiellement que 50 ans plus tard. Finalement et au fil des générations ayant connu leurs révolutions et des évolutions émaillées de péripéties humaines, cette histoire mettra 102 ans pour livrer son tout dernier dénouement. Au travers de ce vécu, porté par une lignée de courageux paysans remontant jusqu'à la révolution de 1789, c'est surtout le petit peuple que l'on sent vibrer. Depuis si longtemps et sans bruit, il défend avec enthousiasme et opiniâtreté, les valeurs du travail et de la générosité avec beaucoup d'humilité. Mêlant des rencontres, des opportunités se croisant avec des contraintes ou des coups du sort dans la joie et dans les peines, ce roman fait revivre 250 ans d'Histoire et de vie qui sont retracées au-delà de ce qui est gravé dans la pierre.

12/2021

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Littérature érotique et sentim

Ce qui reste à Vegas

Réfléchissez avant de vous engager ! Emma est sur le point de se marier, c'est la dernière ligne droite avant le jour J. Malgré le stress des derniers préparatifs, elle devrait se réjouir à l'approche de ce qui s'annonce comme le plus beau moment de sa vie. Pourtant, elle a des doutes : son fiancé est-il vraiment le bon ? Quand elle se réveille le matin du grand jour avec au doigt une bague qu'elle n'a jamais vue, elle panique : qui a-t-elle bien pu épouser la veille ? Une comédie romantique drôle, émouvante et absolument déjantée, qui ravira les lectrices de Lindsey Kelk !

02/2020

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Policiers

Ce qui reste de candeur

Thomas Boral était l'homme de main de Franck Miller, un individu véreux en cavale suite à de nombreuses malversations. Il est aussi le témoin capital à son procès qui doit avoir lieu prochainement. Ayant fait main basse sur l'argent amassé par Miller, Boral est devenu un repenti pour sauver sa peau et échapper à une vengeance inéluctable. En attendant le procès, il est protégé par les autorités, mis à l'abri, reclus, au pied de la montagne Noire. Mais pour combien de temps ? Dans cette région on dit que le vent rend fou et que les gouffres attirent et ne rendent jamais les imprudents tombés dans leurs entrailles. Et plus dangereuses que le tueur lancé à ses trousses, il y a là des rancoeurs accumulées... D'ailleurs on dit aussi de Delphine qu'elle est si belle que les hommes pourraient tuer pour elle...

02/2020

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Littérature française

Ce qui reste des hommes

Diane, qui a atteint un âge qu'on n'avoue plus, se rend dans une boutique de pompes funèbres pour acheter une concession. La seule qu'on puisse lui vendre est destinée à accueillir deux cercueils... Au fil de sa vie bohème d'écrivaine et de poète, elle a vécu de nombreuses histoires d'amour, des joyeuses, des douloureuses, des passionnées, des surprenantes, mais aujourd'hui elle est seule. La voilà qui recherche parmi ses anciens amants, du moins ceux qui ne sont ni morts ni mariés, celui qui serait prêt à devenir son compagnon du grand sommeil. Ce roman aussi grave que fantasque, qui mêle la vie et la mort, l'amour et la solitude, l'émerveillement et le chagrin, offre deux portraits de vieilles dames indignes (Diane la tragique et son ami Hélène, la croqueuse d'hommes) délicieuses, bouleversantes et merveilleusement inspirantes.

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Romans noirs

Ce qui reste de candeur

Thomas Boral était l'homme de main de Franck Miller, un individu véreux en cavale suite à de nombreuses malversations. Il est aussi le témoin capital à son procès qui doit avoir lieu prochainement. Ayant fait main basse sur l'argent amassé par Miller, Boral est devenu un repenti pour sauver sa peau et échapper à une vengeance inéluctable. En attendant le procès, il est protégé par les autorités, mis à l'abri, reclus, au pied de la montagne Noire. Mais pour combien de temps ? Dans cette région on dit que le vent rend fou et que les gouffres attirent et ne rendent jamais les imprudents tombés dans leurs entrailles. Et plus dangereuses que le tueur lancé à ses trousses, il y a là des rancoeurs accumulées... D'ailleurs on dit aussi de Delphine qu'elle est si belle que les hommes pourraient tuer pour elle...

02/2022

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Poésie

Ce qui reste de nous

Avec Ce qui reste de nous, Fabienne Raphoz continue à creuser son sillon tout en se renouvelant. Depuis toujours attentive à la beauté et à la fragilité du vivant qu'elle s'ingénie à rendre dans sa poésie, elle cherche dans ce nouveau livre à dépasser la tension de son précédent recueil, entre hymne et élégie, tension que l'utilisation de l'espace dans la page vise aussi à traduire. Le temps nous étant compté, à nous individus comme peut-être à nous, espèce humaine, il importe de voir, d'entendre et de louer ce à quoi nous tenons, ce à quoi nous sommes intimement liés sur l'échelle des temps. La poète nous convie aussi bien sur le terrain, dehors - où l'émergence d'une libellule, le regard d'un renard nous ravit, invite, comme une rencontre simple et directe -, que dans nos mémoires. Suivant l'injonction de Marlen Haushofer : "Aussi longtemps qu'il y aura dans la forêt un seul être à aimer, je l'aimerai, et si un jour il n'y en a plus, alors je cesserai de vivre" , consciente de ce "sursis d'aurore" qui nous est encore offert, Fabienne Raphoz partage ce "sens de la merveille" que l'on attribue, souvent, aux seuls enfants. Ce livre, conçu en cinq mouvements, s'emploie à retrouver ce lien perdu.

09/2021

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Policiers

Ce qui reste en forêt

Un homme a disparu. Aux abords de la station scientifique de Japigny, en pleine foret amazonienne, les équipes de la gendarmerie sont à sa recherche. Le temps presse. Dans ce milieu hostile, la survie d'un homme seul est une question "heures. Guides par des coups réguliers portes sur un arbre. technique de survie enseignée à tout nouvel arrivant. les gendarmes ont la stupeur de découvrir un cadavre. Un cadavre en pleine foret, dont le légiste ne va pas tarder à découvrir qu'il a les poumons remplis d'eau. Oui a noyé Serge Feuerstein ? Pourquoi avoir naine son corps jusqu'à ce gouffre dissimulé dans les arbres ? Et qui a guidé les gendarmes jusque'là? Les orpailleurs dont le chantier clandestin est installé non loin se sont-ils attaqués au chercheur ? La découverte énigmatique en Guyane d'une dépouille d'albatros, oiseau des terres australes, a-t-elle un lien avec la mort du naturaliste ? Le capitaine Anato et le lieutenant Vacaresse sont confrontés à un faisceau d'éléments contradictoires et une nouvelle tragédie ne va pas tarder à compliquer davantage leurs investigations. Sous le choc de la révélation de l'existence d'un frère inconnu. Anato est plus que jamais déchiré entre les conflits d'ordre personnel et les turbulences d'une enquête qui répand le chaos. Colin Niel signe un roman prenant, tendu de fausses pistes, dans lequel l'intrigue policière croise le récit d'aventure sur l'un des derniers territoires vierges de la planète.

09/2013

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Littérature étrangère

Ce qui reste de nous

Alors que les tours du World Trade Center s'effondrent sous leurs yeux, Gabe et Lucy se rencontrent pour la première fois. Leur attirance est immédiate, comme une force irrésistible. Ce n'est pourtant qu'un an plus tard qu'ils se revoient et plongent cette fois-ci dans un amour qui dépasse tout ce qu'ils ont connu. Ils vivent, respirent, pensent à deux. Mais l'intensité de leur relation les amène aussi à s'interroger sur d'autres désirs profonds : tous deux veulent que leur vie ait un sens, une résonance, une valeur à la hauteur de leurs sentiments. Face à cette exigence, Lucy et Gabe vont devoir faire des choix, prendre des risques, avec l'espoir d'accorder leurs rêves à la réalité. Alors qu'ils assouvissent chacun leurs ambitions, leurs vies se croisent puis se perdent pendant près de treize années, jusqu'à ce qu'un nouvel événement les confronte à cette question : quelle place souhaitent-ils véritablement accorder à leur amour ?

05/2018

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Mondes futuristes

Ce qu'il nous reste

Jamie vit reclus dans le chalet qu'il a un jour partagé avec sa mère. Depuis que la quasi totalité de l'humanité a été rasée de la surface du globe par un virus, il l'a bien compris : la solitude est sa seule chance de survie. Mais lorsque Andrew débarque sur son perron, blessé, misérable et visiblement suicidaire, une autre vérité fait surface : il est incapable d'appuyer sur la détente. Pourquoi lui fait-il si spontanément confiance ? Lorsque le danger les force à prendre la route, Jamie se méfie avant tout des survivants désespérés (et des fusils). Mais petit à petit, sa suspicion change de camp. Les incohérences dans le récit du passé d'Andrew se multiplient. Jamie a-t-il bien fait de renoncer à son isolement ? Quel secret cache Andrew ? Doit-il se fier à son instinct ou à ses sentiments ? Erik J. Brown est basé à Philadelphie. Ce qu'il nous reste est son premier roman. Il instille de la fraîcheur et de la nouveauté au sein des récits de pandémie et mène avec brio l'alternance de points de vue, dans une histoire d'aventure poignante.

03/2023

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Littérature française

Ce qui reste des hommes

Diane, qui a atteint un âge qu'on préfère taire, se rend dans une boutique de pompes funèbres pour acheter une concession et se retrouve avec un emplacement prévu pour "deux" cercueils... La voilà qui recherche parmi les hommes qui l'ont aimée celui qui serait prêt à devenir son compagnon du grand sommeil. Un roman aussi grave que fantasque, qui mêle la vie et la mort, l'amour et la solitude, l'émerveillement et le chagrin.

04/2023

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Littérature étrangère

Nous avant tout le reste

Sur cette photo, ce sont elles avant tout le reste. Elles ? Cinq amies d'enfance réunies pour quelques jours dans la maison d'Anna en plein Massachusetts. Tout le reste ? C'est ce qu'elles ont traversé, chacune, parfois ensemble, des quatre cents coups de l'adolescence jusqu'aux femmes qu'elles sont devenues, c'est-à-dire la vie et son cortège de mariages, séparations, enfants, drames et joies. Aujourd'hui le temps a passé et Anna, la forte tête du groupe, est malade. Mais pour l'heure, il y a encore cette amitié qui a survécu à tout et qui est, elle, plus vivante que jamais. Avec ce roman dont la forme éclatée en fragments fait écho au "puzzle de la mémoire" que nous portons en chacun de nous, Victoria Redel signe une très belle ode à l'amitié à travers cinq portraits de femmes plus vraies que nature et réveille les questionnements qui nous traversent à toutes les étapes de la vie.

04/2018