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La dernière bataille. Berlin, 2 mai 1945

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Ouvrages généraux

La dernière bataille. Berlin, 2 mai 1945

Lundi 16 avril 1945 : un formidable fracas d'artillerie signale le début de l'attaque russe contre la capitale du IIIe Reich. Dans quatorze Jours, le Führer sera mort. Dans vingt et un, la guerre sera finie. La Dernière Bataille nous fait revivre ces trois semaines apocalyptiques où Berlin, éventrée, fumante, terrorisée et pourtant miraculeusement vivante, est au centre de la vie de millions d'êtres : pour les Alliés, le symbole de leur triomphe ; pour les Allemands, la dernière défense ; pour Hitler, le dernier refuge. Et, pour les plus lucides, la préfiguration d'un avenir difficile.

02/2021

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Royaume-Uni

Le dernier ennemi. Bataille d'Angleterre, juin 1940-mai 1941

Lors de sa longue convalescence, il rédige ce récit dans lequel il livre avec détachement sa propre histoire. A travers les blessures, les fous rires et les drames, c'est le destin d'une génération d'aviateurs qu'il raconte, dont personne ne sort indemne. Soucieux de reprendre les vols après cette épreuve, Richard Hillary est tué le 8 janvier 1943 lors d'un exercice de nuit, en raison des mauvaises conditions météorologiques. Cet ouvrage, trop peu connu en France, est incontestablement un chef-d'oeuvre : un témoignage bouleversant et humain sur l'une des plus grandes batailles de la Seconde Guerre mondiale.

03/2021

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Royaume-Uni

La bataille d'Angleterre. Juillet 1940-mai 1941

La bataille d'Angleterre (juillet 1940-mai 1941) a changé le cours de la Seconde Guerre mondiale. En infligeant à Hitler son premier échec, elle a brisé le mythe de l'invincibilité nazie. Dans la mémoire collective, cette bataille marque le triomphe de la volonté sur la fatalité. Combat d'une nation pour sa survie et d'un peuple pour sa liberté, drame immense par sa portée (3o 000 morts, 2 millions de foyers détruits), elle apparait comme l'un de ces moments où, en quelques semaines, se joue le sort du monde. Loin de toute vision épique, ce livre présente le déroulement des événements - la bataille dans les airs, le plan d'invasion de l'Angleterre, le Blitz - et met en lumière les composantes techniques et logistiques de la bataille, les données politiques, en particulier le râle de Churchill et du peuple anglais, ainsi que les erreurs tactiques et stratégiques commises du côté allemand.

03/2021

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Histoire de France

La collaboration. Vichy, Paris, Berlin. 1940-1945

Le 24 octobre 1940, sur le quai de la gare de Montoire, Pétain serre la main de Hitler. La France a fait le choix de la collaboration. Mais qui a intérêt à collaborer ? Les Français ou les Allemands ? Qui en sont les acteurs ? Quel rôle louent les ultras ? Qui s'est enrichi ? Quelle est l'ampleur de la collaboration militaire ? Quel rôle a joué Vichy dans la déportation des Juifs de France et dans la répression de la Résistance ? A quel point intellectuels et artistes se sont-ils compromis ? Près de 600 documents — affiches, rapports, lettres, journaux intimes, insignes, tracts, procès-verbaux, mains courantes, pièces à conviction, registres d'écrou, albums photographiques, objets, etc — sont ici rassemblés et commentés, suivant une trame chronologique, de juin 1940 à avril 1945. Fonds exceptionnels des Archives nationales, séries du contre-espionnage encore inexploitées du Service historique de la Défense, dossiers des Brigades spéciales des Renseignements généraux à la préfecture de police, pièces d'un des collectionneurs les plus importants de la place de Paris : avec ces archives, pour beaucoup inédites, c'est la collaboration sous toutes ses formes qui est présentée. Une somme qui fera date.

11/2018

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Histoire de France

Comment perdre une bataille. Mai 1940

Au fil des pages de ce classique de l'histoire militaire, Alistair Horne retrace la chronique des batailles des mois de mai et de juin 1940 - de la " drôle de guerre " à la bataille de Dunkerque en passant par le franchissement décisif de la Meuse - qui menèrent l'armée française à la débâcle face aux panzers de la Wehrmacht. Historien britannique, il ne craint pas de froisser l'amour propre des Français et analyse en détail les différents facteurs de cette dramatique défaite : impréparation et démoralisation des troupes françaises face à l'organisation sans failles, la puissance et la volonté de conquête des Allemands. Au-delà de la chronique militaire, Comment perdre une bataille rend compte du climat de cette époque, l'une des plus tragiques de l'histoire de France.

04/2010

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Histoire internationale

La bataille de Stalingrad (1942-1943)

La bataille de Stalingrad s'étend sur environ six mois, dont trois d'offensive allemande, puis trois de siège par les troupes russes. Elle s'achève par la capitulation de la 6e armée allemande du général Paulus, en février 1943. C'est la première défaite majeure de l'armée allemande, avec un retentissement dans le monde entier. A partir de cette date, le cours de la Seconde Guerre mondiale change complètement, car l'initiative change de côté : plus jamais l'armée allemande ne sera capable de repartir à l'offensive, pas plus à l'Est qu'en Afrique du Nord, puis à l'Ouest.

05/2018

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BD tout public

Wotan Intégrale : Tome 1, 2 et 3 : 1939-1940 ; 1941-1943 ; 1943-1945

Louison un enfant amnésique, Etienne un soldat français séduit un temps par les mythologies aryennes et Yin-Tsu une photographe japonaise chargée d'espionner l'Ahnenerbe de Himmler, traversent la guerre et ses événements les plus terribles : la Shoah par balles sur le front de l'Est, les camps de concentration, les sinistres recherches médicales des "docteurs" SS dans les camps. A travers cette fresque sans concession et très documentée, Eric Liberge plonge dans les méandres les plus noirs du nazisme et de l'âme humaine, tout en développant une réflexion philosophique sur les thèmes du choix, de l'engagement et du courage. Explorant les zones d'ombre de chacun de ses personnages, loin de tout manichéisme, il les confronte à l'innommable et montre les conséquences qui en découlent. Eric Liberge déroule la mécanique complexe d'une fiction, où, en dépit de l'horreur, le courage et l'espoir surgissent. Les 162 pages de bande dessinée sont complétées par un dossier historique, présentant notamment des archives familiales de l'auteur.

04/2014

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Beaux arts

Neufchatel en Bray, tome 2, ville occupée 1941 1942 1943 début 1944. Tome II Éphéméride 1941-1942-1943-début 1944

Après les terribles bombardements du 7 juin 1940, vouloir redonner "une vie" à notre ville encore groggy s'avère une tâche bien délicate, surtout "quand on a dans les pattes" , une armée d'occupation qui s'ingénie à contrarier le moindre de nos projets. Ajouter à cela la prétendue "relève" de nos prisonniers qui s'apparente vite à une nouvelle mascarade montée par l'Etat collaborationniste de Vichy, juste avant que "le couple diabolique Pétain-Laval" mette sur pied le Service du Travail Obligatoire. Aux réquisitions, restrictions, convocations et pressions en tout genre, notre municipalité est parfois amenée à opposer un "non" catégorique, certes avec diplomatie, mais un "non" tout de même, qui engendre quelques épiques affrontements verbaux. A l'inverse, comment vouloir toujours demander à une "jeunesse neufchâteloise" au "sang chaud" de garder en toutes circonstances son "sans froid" ? Fort heureusement la Résistance locale, qui réalise un précieux "travail" , doit parfois faire office de "soupape" en abritant et en fournissant des papiers à nos jeunes réfractaires. Tout comme elle doit s'évertuer à "réparer" les dégâts causés par l'efficace D. C. A. allemande, en cachant au péril de sa vie des aviateurs alliés. En tournant les pages de cette nouvelle éphéméride de Neufchâtel-en-Bray - années 41, 42, 43 et les deux premiers mois de l'année 44 - nous allons redécouvrir les "frasques" et aussi, la face cachée de l'occupation allemande. Dans cet ouvrage : témoignages exclusifs de Marcel Deveaux, Noël des Robert, Renée Hébert, Rolande Alleaume et Jacques Bove.

05/2011

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libération, capitulations

Dunkerque, la dernière forteresse nazie (1944-1945)

Dunkerque est la ville française la plus longtemps occupée par les Allemands pendant la Seconde Guerre mondiale, et une des dernières du IIIe Reich à capituler, après Berlin. A partir de septembre 1944, et huit mois durant, la cité portuaire a été transformée en véritable forteresse, dont Hitler ordonna qu'elle soit défendue coûte que coûte, jusqu'à la mort si nécessaire. Nourri par des archives inédites, cet ouvrage dévoile les dessous d'un siège où des centaines de civils français ont éprouvé la faim et la soif, avant d'être internés dans des camps sur ordre de l'occupant. C'est aussi l'épopée tragique et suicidaire d'une armée allemande coupée du Reich, déterminée à ne se rendre sous aucun prétexte. Les soldats de Dunkerque sont placés sous l'autorité d'un impitoyable vice-amiral, Friedrich Frisius, qui fait preuve d'un entêtement suicidaire et va même jusqu'à ordonner, en 1945, une ultime offensive, la dernière sur le territoire français de toute la guerre. Et de fait, alors que la plupart de la France est libérée, Dunkerque continue de résister, au grand dam du commandement américain. Voici le récit tragique et sanglant de cette aventure aussi folle que désespérée, dernier acte de la Seconde Guerre mondiale tombé dans l'oubli et qui constitue pourtant une tragédie française.

05/2023

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Histoire de France

Batailles d'Alsace. Hiver 1944-1945

De l'opération Nordwind à l'enfer des combats de la poche de Colmar, Hugues-Emmanuel Thalmann présente ici une sélection des plus remarquables clichés de ces batailles qui se déroulèrent lors de l'hiver 1944-1945. L'auteur présente également des images inédites de la bataille des Ardennes dont le déroulement est étroitement lié aux batailles alsaciennes. Cette sélection de photos, parfois dures, parfois cocasses, souvent impressionnantes, permettra au lecteur de mieux saisir l'ampleur et l'âpreté des combats.

10/2013

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Ouvrages généraux

Mémoires d'un Malgré-nous, rescapé de la bataille de Budapest (février 1943 - mai 1945)

Quand la Seconde Guerre mondiale éclate, René Debs a 14 ans. Il fera partie des quelque 130 000 incorporés de force à partir de février 1943 pour combattre aux côtés de l'ennemi. Ce qui frappe avant tout dans ce récit, c'est la capacité à se défendre coûte que coûte, à compter sur l'amitié de ses camarades, à crier son incompréhension devant tant de barbarie, tout en gardant la fraîcheur d'âme d'un jeune soldat malgré lui, qui partage ses émotions lors des rares moments de répit. Il sera l'un des rescapés de la terrible bataille de Budapest de décembre 1944, et fêtera ses 20 ans quatre mois après son retour de guerre.

04/2021

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Histoire de France

LA GUERRE EN PROVENCE 1944-1945. Une bataille méconnue

Le 15 août 1944, les alliés débarquent sur la côte varoise. Vingt jours plus tard, la Provence est libérée et Lyon investie, alors que les troupes allemandes au sud de la Loire sont en pleine retraite. L'opération du Sud, complétant celle de Normandie, est l'aboutissement de laborieuses tractactions stratégiques et arrière-pensées politiques. Mais la libération assurée, la guerre n'est pour autant terminée en Provence : l'ennemi tient toujours la frontière des Alpes, tandis que le pays est devenu " zone d'étapes ", à la fois base logistique, camp d'instruction et centre de repos, où la sécurité doit être assurée et l'ordre maintenu, ce qui ne va pas sans confusion entre pouvoirs civil et militaire. Pour la première fois, cette guerre de Provence " inconnue ", de 1944 à 1945, et ses implications politiques et militaires, sont présentée grâce à l'ouverture d'archives inédites jusqu'alors tant en France qu'à l'étranger.

06/1998

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Histoire de France

Les Poches de l'Atlantique. Janvier 1944-mai 1945, Les batailles oubliées de la Libération

6 juin 1944 : les Alliés débarquent en Normandie. Après 80 jours de combat, ils libèrent Paris. Fin mars 1945, la bataille est terminée dans l'Est de la France, mais pas à l'Ouest, où 75 000 soldats allemands, sur ordre d'Hitler, sont déterminés à défendre les forteresses dans lesquelles ils se sont réfugiés : Dunkerque, Lorient, Saint-Nazaire, La Rochelle, Royan et la pointe de Grave. Après le déclenchement de la campagne de l'Atlantique le 14 avril 1945 et des combats acharnés, les troupes françaises, formées essentiellement de combattants FTP et FFI, obtiennent la reddition de l'ennemi. Les poches sont réduites les unes après les autres. Stéphane Simonnet lève ici le voile sur des batailles oubliées, infligeant des conditions de vie éprouvantes à 60 000 civils alors que le reste du pays fêtait la Libération.

06/2019

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Littérature française

Lettres à Gerda. Septembre 1945 - Novembre 1946 - <em>précédé de</em> Carnets du retour en France (1945)

André, jeune instituteur, mobilisé en 1939, a été fait prisonnier par les Allemands en mai 1940. Après avoir traversé l'Allemagne, il va se retrouver finalement dans la région de Berlin pour être employé par un entrepreneur privé (électricien). A partir de mi-1942, il a une liaison clandestine avec Gerda, nièce de son employeur, institutrice dans la région de Bad-Freienwalde (à environ 60 km de Berlin). En mai 1945, André regagne seul la France et reste plusieurs mois sans nouvelles de Gerda. Ce n'est qu'en janvier 1946 qu'il va enfin recevoir plusieurs lettres. Ils vont alors continuer cet échange épistolaire plus régulièrement, non sans difficultés. Gerda est finalement autorisée à se rendre en France en décembre 1946 et ils se marient en janvier 1947. L'ouvrage comporte le journal du retour en France d'André (avril-octobre 1945) et les 62 lettres écrites à Gerda entre septembre 1945 et novembre 1946.

07/2022

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Histoire de France

La Bataille des Ardennes. 16 décembre 1944-31 janvier 1945

La dernière folie de Hitler. Durant six semaines, en décembre 1944 et janvier 1945, les Ardennes belges et luxembourgeoises sont le théâtre de combats furieux, dans la neige, la glace, le brouillard et le froid, mettant aux prises les combattants allemands et alliés. Elles sont alors le lieu de hauts faits individuels et collectifs : résistances héroïques dans des villages et des villes en flammes, arrivée providentielle de renforts, chevauchée des chars de Patton, retraite allemande assez étonnante d'efficacité malgré l'épuisement et le moral en chute libre. Le lieu, aussi, de terribles massacres à Baugnez, à Stavelot, à Bande et ailleurs. Le 16 décembre 1944 à l'aube, après plusieurs mois de préparatifs secrets, en un dernier coup de dés, Hitler lance trois armées sur les Ardennes belges et le nord du Luxembourg. Les objectifs de l'opération "Wacht am Rhein" sont clairs : foncer vers l'ouest et franchir la Meuse, s'emparer du port d'Anvers et avancer jusqu'à Bruxelles. Alors, espèrent les nazis, il sera possible de négocier avec les Anglo-Saxons. Le 31 janvier 1945, ces derniers sont de retour sur leur ligne de départ. Ils ont perdu près de 100 000 hommes et un millier de blindés ainsi que plusieurs centaines d'avions, autant de forces qui vont leur manquer cruellement au moment où leur pays sera envahi de toutes parts. Véritable épopée, la bataille des Ardennes a été la plus coûteuse de celles livrées par l'armée américaine en Europe au cours de la Seconde Guerre mondiale.

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ouvrages généraux

La bataille des Ardennes. 16 décembre 1944 - 31 janvier 1945

Le 16 décembre 1944, après plusieurs mois de préparatifs secrets, Hitler tente un dernier coup de dés face aux Alliés. Les objectifs de l'opération Wacht am Rhein dans les Ardennes sont clairs : foncer vers l'ouest, s'emparer du port d'Anvers et avancer jusqu'à Bruxelles. Guillaume Piketty livre un récit captivant de la bataille des Ardennes, qui a été la plus coûteuse en vies, prisonniers et désertions pour l'armée américaine dans l'Ouest de l'Europe au cours de la Seconde Guerre mondiale. Pendant six semaines, soldats allemands et alliés se livrent des combats acharnés dans la neige, la glace, le brouillard et le froid, malgré l'épuisement physique et moral. Le 31 janvier 1945, les Allemands ont perdu près de 100 000 hommes, un millier de blindés et plusieurs centaines d'avions. Autant de forces qui vont leur manquer cruellement au moment où leur pays sera envahi de toutes parts.

02/2023

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Histoire de France

La bataille aérienne de Dunkerque 26 mai - 3 juin 1940

"Où est la RAF ? " Cette question est le leitmotiv des troupes encerclées dans la poche de Dunkerque et attendant leur rembarquement, alors qu'elles sont soumises aux raids aériens incessants de la Luftwaffe. Pourtant la RAF est bien là et ses pilotes accomplissent de véritables exploits, alors qu'ils pratiquent encore des tactiques obsolètes, contre des adversaires ayant déjà l'expérience de campagnes réussies contre les Polonais, les Belges et les Néerlandais. L'engagement sans faille de la Royal Air Force à Dunkerque, pour soutenir aussi bien le rembarquement des troupes britanniques que celui des troupes françaises, a permis d'éviter une défaite totale.

09/2019

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Histoire de France

La bataille de France jour après jour. Mai-juin 1940

Cet ouvrage passionnant, richement documenté d'archives et de témoignages souvent inédits, balaie toutes les idées reçues sur cette bataille, souvent présentée comme une simple promenade militaire pour l'armée allemande. C'est oublier que durant ces six semaines de campagne les pertes militaires allemandes ont été proportionnellement plus élevées que les six premiers mois de guerre sur le front russe en 1941 et que les trois mois de la bataille de Normandie en 1944. On découvre ainsi une suite de combats méconnus, soulignant la résistance héroïque des troupes françaises. Dominique Lormier met en évidence, chiffres et preuves à l'appui, que le sacrifice de l'armée française en mai-juin 1940 a en grande partie sauvegardé la Grande-Bretagne de l'invasion allemande, comme l'a reconnu Winston Churchill. À la fin de juin 1940, la Luftwaffe ne possède plus que 841 bombardiers opérationnels et un peu plus de 700 chasseurs. Près de 1 600 avions allemands ont été détruits ou endommagés du 10 mai au 25 juin 1940.

04/2010

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Histoire de France

Berlin 1943-1945. La chute vécue par un médecin prisonnier français

Il y a quelques années, Michel Bernot retrouve les carnets de son père décédé. Ceux-ci retracent la vie de son père lorsqu'il était médecin prisonnier français à Berlin de 1943 à 1945. De la période faste, culturelle et animée jusqu'aux bombardements massifs, la propagande et l'arrivée de l'armée rouge, Jaques Bernot, au delà de son histoire de prisonnier, retrace l'évolution de toute une ville durant la Chute du régime nazi. Ce témoignage historique apporte un éclairage nouveau et méconnue sur la Chute de Berlin.

11/2010

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Histoire de France

LES ALLIES ET LA CULTURE : BERLIN, 1945-1949. Essai de comparaison

Cette étude se propose de saisir un moment particulier de l'histoire européenne : la coopération, puis la confrontation culturelle entre les vainqueurs de la Seconde Guerre mondiale, sur le terrain de Berlin, ville qui deviendra à l'issue de la période l'un des enjeux, et le symbole de la guerre froide. L'originalité de ce travail est double : elle tient en premier lieu à la démarche comparative, puisque l'auteur, s'appuyant sur des archives et des sources nécessairement variées et asymétriques, s'est efforcé d'interroger de manière égale les pratiques culturelles respectives des Américains, des Britanniques, des Français et des Soviétiques chargés à Berlin d'administrer l'art de la rééducation. La seconde originalité de cet ouvrage vient de l'attention prêtée aux contenus des manifestations culturelles, ainsi qu'à leurs effets sur la population berlinoise, une attention qui tient en partie à l'expérience professionnelle de l'auteur, qui fut lui-même chargé d'une mission culturelle à Berlin, au lendemain de l'unification allemande. Cette enquête résolument narrative se situe à niveau d'homme, de lecteur, de spectateur. C'est ainsi que l'on a cherché à faire revivre une brève période de dialogue international, sur fond de renaissance de la culture allemande : bonnes volontés initiales, incertitudes, improvisations, mais aussi arrogance et susceptibilités de vainqueurs inégaux entre eux, humiliation et sentiment de culpabilité des vaincus, méfiances, soupçons, calculs, manipulations, ce sont aussi les émotions de l'immédiat après-guerre qui constituent le corps de ce récit.

06/1998

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Histoire de France

Les cheminots dans la Résistance. La Bataille du Rail 1940-1945

Les Cheminots dans la Résistance dont le titre original était Les Cheminots dans la Bataille du Rail est l'oeuvre ultime de l'historien de la Résistance Maurice Choury mort le 7 novembre 1969, moins de deux heures après avoir achevé le manuscrit. Basé essentiellement sur les témoignages directs des survivants de la Résistance Cheminots recueillis par l'Union des Résistants de l'ANCAC, l'ouvrage donne la parole aux patriotes de la base. Il montre les différentes formes de résistance, le travail dangereux des passeurs, la collecte d'informations avec le renseignement, l'efficacité des saboteurs et les techniques de sabotage. Le livre montre comment les cheminots noyautèrent les syndicats vichystes pour en faire une arme contre l'Occupant en combinant travail légal et action clandestine et en déclenchant des grèves revendicatives et patriotiques qui désorganisèrent les transports ennemis. Maurice Choury révèle comment fut organisée la grève du 10 ?août 1944 qui prit très rapidement un caractère insurrectionnel et fut décisive à la fois pour la libération de Paris et pour celle de tout le territoire. Dans ce combat ininterrompu de cinq longues années, les cheminots ont payé un lourd tribut : 730 morts à l'ennemi, 640 décès en service armé en 1939-1940, 819 fusillés et plus de 1 200 victimes des camps de concentration durant l'Occupation. A ceux-là le livre de Maurice Choury dresse un monument impérissable. Les Cheminots dans la Résistance, c'est l'hommage rendu à une corporation qui a su, dans les temps de malheur, faire preuve d'un ardent patriotisme et consentir de douloureux sacrifices, c'est aussi une contribution à l'Histoire de la Résistance et de la Libération que voudront lire tous ceux que passionne cette extraordinaire épopée.

03/2017

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Littérature française

La chambre de derrière. Pechbonnieu 1940-1944

Dans ses textes publiés, Edgar Morin a plusieurs fois évoqué son long séjour en 1943 dans la maison des époux Robéne à Pechbonnieu. Clara Malraux et Emeric Epstein ont également laissé des écrits relatifs à leurs passages récurrents dans ce refuge. Croisant les témoignages de sa mère Marguerite Robène-Denègre, témoin de ce feuilleton alors âgée de 10 à 14 ans, des écrits de sa tante, aujourd'hui décédée, des derniers acteurs de cette période encore vivants, exploitant diverses sources d'archives, l'auteur a reconstitué la chronique de la vie quotidienne de ce village et des nombreux pensionnaires clandestins de la maison Robène.

11/2018

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Militaire

Chasseurs du ciel. Bataille de France Mai-Juin 1940

"Chasseurs du Ciel" retrace au jour le jour la vie et les combats d'une des plus glorieuses Escadrilles dont puisse s'enorgueillir l'aviation de Chasse française : la "Spa 67" - filleule, de la prestigieuse "Spa 3 ? ", l'Escadrille de Guynemer, et devenue l'Escadrille 1/5. Durant la Bataille de France en Mai-Juin 1940, elle a totalisé 145 ? victoires, dont 105 homologuées, contribuant à placer son Groupe, le 1er ? Groupe de la 5e Escadre, en tête du palmarès des Groupes d'Aviation de Chasse, avec pour pertes, 3 tués et 5 blessés graves. Dans la liste des onze as ayant totalisé plus de dix victoires en six semaines, figurent cinq pilotes de la "? Spa 67" , dont son Commandant, le Capitaine Accart (qui dut abandonner le 1er juin le commandement de l'Escadrille à la suite d'une très grave blessure) et son Commandant en second, le Lieutenant Marin la Meslée, - tous deux tout à fait en tête du glorieux palmarès. Mais notre Aviation était loin d'être aussi nombreuse qu'il eût fallu ? ; et de même notre artillerie antiaérienne, collaboratrice indispensable de l'aviation. Nos aviateurs ont tenté de pallier ce grave défaut par un redoublement d'héroïsme, mais il ne compense pas certaines limites, d'autant que l'adversaire ne souffrait pas de son côté d'une insuffisance de moral ou de valeur de matériel. C'est la raison pour laquelle nos aviateurs, quels qu'aient été leurs efforts, leur bravoure, n'ont pu réussir à alléger, autant qu'ils l'auraient voulu, la lourde tâche de leurs camarades de l'Armée de terre. Le lecteur du livre du Capitaine Accart restera impressionné par la saisissante évocation de la vie, toute de fatigues, d'abnégation, de tous ces combattants du ciel. Ce récit n'ayant pas été réédité depuis la fin de la guerre et au moment même de la parution de la biographie du Général J. M. Accart, il est apparu nécessaire de rappeler aux nouvelles générations, le sacrifice de ces hommes pour faire honneur à la France face à la barbarie nazie.

02/2023

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Théâtre

Registres VIII, Les dernières batailles (1929-1949)

Le projet des Registres, à la fois oeuvre des souvenirs et souvenirs de l'oeuvre, tel que Jacques Copeau l'avait envisagé, répondait au besoin de questionner le sens de sa vie et de se racheter du sentiment de "n'avoir produit que des choses périssables, éphémères" . Les années qui vont de 1929 à la Seconde Guerre mondiale sont marquées par la profonde solitude de Copeau. A mesure que ses projets deviennent irréalisables, son regard sur l'état général du théâtre se fait lucide et incisif. La théorie de Copeau cherche à redessiner la place du théâtre et de ses institutions dans une culture du spectacle qui évolue rapidement (avènement du cinéma parlant et de la radiodiffusion, impulsion de grands mouvements sociaux et politiques culturelles des régimes autoritaires). L'ouvrage expose les rapports de Copeau avec la culture italienne des années 1930 - les mises en scène au Mai musical florentin - et revient sur la partie la plus controversée de sa carrière : la direction intérimaire de la Comédie-Française dans les premiers mois de l'Occupation de mai 1940 à janvier 1941. Après ce chapitre amer, de retour en Bourgogne, Copeau réalise en 1943 sa dernière tentative, réussie, d'expérimenter le modèle d'une représentation chorale et rituelle.

07/2019

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ouvrages généraux

Russie en guerre t2. De Stalingrad à Berlin 1943-1945

Le second tome de La Russie en guerre s'ouvre sur les premières lueurs de la victoire. Après la bataille de Stalingrad s'engage une fantastique campagne militaire qui conduira les troupes soviétiques jusqu'à la victoire fi nale à Berlin. Apre triomphe, toutefois : les pertes humaines sur les champs de bataille sont terribles, les Léningradois ont enduré un long blocus et, à Maidanek, c'est l'atrocité du génocide qui est découvert. Autant de souffrances qui constituent l'expérience de guerre vécue par toute une nation, militaires et civils confondus.

10/2022

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Guerre d'Indochine

La bataille de Diên Biên Phu. 13 mars - 7 mai 1954

A travers 165 images célèbres ou inédites, issues des archives de l'armée française, cet ouvrage raconte la célèbre bataille de Dîen Biên Phu - ou comment l'ordre donné par le gouvernement français au général Navarre de "trouver une porte de sortie honorable" à la guerre d'Indochine se concrétise par une terrible défaite... L'opération Castor (le largage des paras du lieutenant-colonel Bigeard dans la cuvette de Dîen Biên Phu), l'installation des soldats dans le camp, la vie dans les tranchées, les opérations de reconnaissance qui deviennent de plus en plus difficiles, la confrontation avec le Viêt Minh, qui débute le 13 mars 1954... Images de Dîen Biên Phu retrace toutes les étapes du dernier affrontement majeur de la guerre d'Indochine

03/2024

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Littérature française (poches)

Carnets. Tome 1, Mai 1935-février 1942

Dans ses Carnets, Albert Camus se confronte au monde autant qu'à lui-même. Curieux de tous et de tout, il raconte une anecdote, épingle une sensation, fixe pour y revenir idées et citations. Ce premier volume rassemble les notes prises de 1935 à 1942, alors qu'Albert Camus rédige, entre autres livres, Noces, L'Etranger et Le Mythe de Sisyphe.

09/2013

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Histoire internationale

Hitler contre Berlin. 1933-1945

Le 2 mai 1945, Berlin dévastée tombe aux mains des Soviétiques. Avec la ville symbole du "Reich de mille ans" voulu par le Führer, c'est toute l'Allemagne nazie qui succombe. Pourtant, rien ne prédestinait la plus grande métropole allemande à jouer ce sinistre rôle, bien au contraire. Dès le lendemain de la Première Guerre mondiale, Berlin se signale par sa singularité. Creuset de toutes les tensions d'un pays vaincu, elle donne naissance à un bouillonnement politique et culturel qui fait d'elle l'avant-garde d'une Europe en quête de modernité. Aussi ni Hitler ni l'extrême droite allemande ne se reconnaissent-ils dans cette ville libérée, voire dépravée aux yeux de certains, où l'on peut côtoyer Thomas Mann et Marlène Dietrich, Brecht, Kandinsky, Feuchtwanger ou Fritz Lang. C'est à contrecoeur que le tout nouveau chancelier s'attaque à ce Berlin qu'il n'aime pas, et qui le lui rend bien. Dès son arrivée au pouvoir, il entreprend une mise au pas sanglante : incendie du Reichstag, autodafés, arrestations de masse arbitraires, camps de concentration, pogromes et Nuit de cristal. Dès lors, Berlin n'est plus dans Berlin, et c'est une ville vidée de ses personnalités les plus emblématiques et de ses audaces qui va se trouver précipitée dans une guerre totale où elle perdra tout, son originalité, son intégrité et jusqu'à son âme.

04/2015

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Policiers

Derniers jours à Berlin

Berlin, fin avril 1945. Le Troisième Reich vit ses dernières heures. Le commissaire Oppenheimer et sa femme Lisa se terrent dans le sous-sol d'une brasserie en attendant la capitulation. C'est leur ami Ed le Mastard qui les y cache. Mais le chaos de la défaite ne les épargne pas : quand les troupes soviétiques envahissent la ville, le couple est séparé, et Lisa, violée. Quelque temps plus tard, alors qu'Oppenheimer traque un homme qui a floué Ed, il découvre par hasard l'identité du violeur de sa femme, un certain Grigoriev. Mu par la haine et le désir de la venger à tout prix, il comprend vite qu'il n'est pas le seul à en vouloir à cet homme. L'Armée rouge cherche elle aussi à arrêter ce déserteur russe, à la tête d'une redoutable bande de pillards. S'ensuit une traque sans merci. L'enjeu est de taille : il s'agit de mettre la main sur du matériel primordial aux projets nucléaires nazis...

04/2018

ActuaLitté

Littérature française

Le dernier train pour l'apocalypse. 1942-1945

Ce fut un choc terrible qui me tombait sur la tête dès mon retour des camps, alors que je reprenais peu à peu du poil de la bête et que tout allait bien pour ma pomme. A la lecture de ce courrier fort mal venu, je fus totalement anéanti par cette tragique nouvelle, car je croyais vraiment revoir vivants mes vieux parents et pensais qu'ils avaient survécu à cette terrifiante guerre apocalyptique. Il fallait absolument que je me reprenne en main et que je reste réellement positif face à ce mauvais coup du sort. Finalement, c'était peut-être leur destin de finir ainsi... Les paroles du grand rabbin juif à la barbe fleurie, dans la file d'attente au camp de concentration d'Auschwitz II-Birkenau, me revinrent en mémoire : "Tu vois la haute cheminée qui crache de la fumée blanche, ce sont les corps de milliers de Juifs innocents qui brûlent, mais seules leurs âmes montent vers les cieux". Mes parents étaient peut-être au ciel avec mes amis ? Dès lors, j'en pris mon seul parti. A présent que tout est revenu presque à la normale, je reprends la marche de mon voyage avec courage. Seulement la route sera longue pour oublier définitivement les tourments impitoyables d'une terrifiante période, où la paix n'existait déjà plus dans ce monde bafoué par cette sauvagerie, où la bestialité l'emportait sur l'humanité, et surtout pour faire disparaître les cicatrices indélébiles gravées durablement dans la mémoire d'un homme terriblement égaré par ces effroyables années de guerre insensée.

10/2018