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La bataille de la Marne 1914. Circuit touristique de mémoire

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Guides de France

La bataille de la Marne 1914. Circuit touristique de mémoire

Dans les plaines de la Brie se déroulèrent les premiers combats de la bataille de la Marne qui dura du 5 au 12 septembre 1914. Depuis le déclenchement de la guerre en août, l'armée allemande a traversé la Belgique et poursuit les armées françaises et le corps expéditionnaire britannique qui reculent. Paris n'est plus qu'à 40 kilomètres ! Mais l'histoire va en décider autrement... C'est le "miracle de la Marne". Au départ du musée de la Grande Guerre, à Meaux, prolongez votre parcours dans les pas des soldats de la bataille de la Marne, à la découverte des lieux et des hommes qui ont fait l'Histoire. Une boucle touristique de 40 kilomètres à travers la campagne et dix sites à parcourir pour évoquer une bataille décisive de la Première Guerre mondiale, dans un paysage quasiment inchangé.

10/2019

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Histoire de France

Mémoires. Tome 1, La Bataille de la Marne

"L'Allemagne de 1914, lancée dans la Weltpolitik, n'eût jamais déclaré la guerre si elle avait posément compris son intérêt. Elle pouvait, sans faire appel aux armes, poursuivre dans le monde son développement économique. Qui eût osé se mettre en travers ? Formidable déjà, et soutenu d'ailleurs par une active propagande comme aussi par une puissance militaire reconnue sur terre et sur mer, qui garantissait à ses voyageurs de commerce comme à ses ingénieurs en quête de concessions à l'étranger un accueil des plus avantageux et par là une capacité de pénétration et d'acquisition incomparable, le développement allemand dans une marche constante distançait grandement celui des autres nations. Sans faire de guerre nouvelle, l'Allemagne conquérait progressivement le monde. Mais le gouvernement de Berlin, grisé par sa puissance et emporté par un parti pangermaniste aveugle, pleinement confiant d'ailleurs en son armée supérieure à toute autre, ne craignait pas de recourir aux armes et d'ouvrir une ère de lourdes hécatombes et de redoutables aventures pour hâter cette domination du monde qui lui était réservée, à son sens."

02/2012

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Histoire de France

Les batailles des monts de Champagne 1914-1918

à partir de documents d'époque et de dizaines témoignages inédits recueillis au début des années soixante- dix, Patrick Facon retrace l'histoire des batailles livrées en 1914 et 1918 pour la possession des Monts de Champagne, dont la ligne de crête domine et barre la plaine de Chalons. Des ba- tailles tombées dans l'oubli, bien moins connues que celles de Verdun, de Champagne, de la Somme, du Chemin des Dames certes, mais dont les noms (Cornillet, mont Blond, mont Haut, Casque, Téton, Perthois et mont Sans-Nom) n'en résonnent pas moins de façon sinistre dans l'histoire de la Grande Guerre.

12/2018

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Histoire internationale

Mémoires de la Grande Guerre (1911-1915)

Lorsque paraissent les deux premiers volumes des Mémoires de la Grande Guerre en 1923, l'écrivain Winston Churchill est bien plus populaire en Grande-Bretagne que le politicien. Le succès est immédiat : la Première Guerre mondiale est encore dans tous les esprits - elle n'est achevée que depuis cinq ans - et ces Mémoires traitent d'une période pendant laquelle Churchill était ministre. Premier Lord de l'Amirauté, il se trouve alors au coeur des affaires internationales, au plus près des leaders politiques et militaires du temps. Et ses écrits livrent donc un aperçu sans précédent des coulisses du conflit. Pendant près de cinq ans, il oeuvre aux préparatifs de la guerre, rencontre les différents responsables, tente d'imposer ses vues, est confronté aux différentes crises gouvernementales, attaqué à la fois par les conservateurs et les membres de son parti. Jamais inactif, il se rend en octobre 1914 à Anvers où l'armée belge est encerclée. Favorable à l'opération dans les Dardanelles, Churchill passe pour l'initiateur du projet ; son échec lui est alors imputé et il démissionne en novembre 1915. S'ensuit alors une douloureuse traversée du désert. Churchill se fait le chroniqueur des événements qui ont bouleversé l'Europe entre 1911 et 1915, et dont il a été le témoin autant que l'acteur. Un document irremplaçable sur l'histoire de la Première Guerre mondiale.

02/2014

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Histoire de France

La folie au front. La grande bataille des névroses de guerre (1914-1918)

Camptocormie, qui fait inexorablement se pencher en avant, tremblements persistants interdisant toute activité, surdi-mutité détruisant le rapport au monde, états confusionnels ou amnésiques..., tels sont les symptômes nouveaux qui apparaissent chez les poilus confrontés à la violence inouïe de la première guerre moderne. D'emblée, face à ces blessés sans blessure, les médecins sont soupçonneux : ne serait-on pas en présence de simulateurs qui tentent de se soustraire à leur devoir patriotique ? Afin de les confondre, certains, tels Clovis Vincent ou Gustave Roussy, n'hésitent pas à recourir, parmi d'autres thérapies, à la méthode forte : le "torpillage", traitement électrique agressif et particulièrement douloureux, une véritable torture. La collusion médicomilitaire entraînera bien des excès : elle transformera ces soldats en ennemis de l'intérieur, et plusieurs, considérés comme des déserteurs, seront fusillés. Après la guerre, hormis les " morts vivants " recueillis dans des asiles, des milliers de traumatisés psychiques seront laissés sans soin et ne recevront aucune pension d'invalidité. Malgré cela, et au-delà des dérives, des procès intentés à des médecins trop zélés rendront justice à quelques combattants, et le concept même de "trouble psychique de guerre " naîtra durant ce conflit mondial. S'appuyant sur des archives inédites, Laurent Tatu et Julien Bogousslavsky reconstituent le vif débat qui eut lieu autour de ces pathologies mal connues et qui, en définitive, fera progresser de façon décisive la psychiatrie.

09/2012

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Histoire de France

Franchise militaire. De la bataille des frontières aux combats de Champagne, 1914-1915

Les lettres que le capitaine (puis chef de bataillon) Benjamin Simonet a adressées à sa femme entre le 6 août 1914 et le 26 mars 1915 ont été écrites au jour le jour, presque toutes au crayon, souvent dans les tranchées, sous la pluie ou sous les obus. Elles ne savent jamais rien du lendemain. Elles nous font revivre un an de guerre sur le front, aussi loin des historiens postérieurs que de la presse de l'époque. Elles nous donnent aussi la mesure d'un homme et nous montrent les ressources d'une singulière droiture en proie à des exigences contradictoires. Benjamin Simonet est né le 30 octobre 1872 à Nancy, treizième enfant d'une famille de commerçants. Après de bonnes études dans les établissements catholiques de sa ville natale, il s'engagea au 101 ? Régiment d'infanterie, où il devint rapidement sous-officier. Admis à l'Ecole militaire d'infanterie de Saint-Maixent, il en sortit, le 1 ?? avril 1897, sous-lieutenant au 4 ? Bataillon de chasseurs à pied. Son passage dans l'Infanterie de marine en décembre 1900 l'amena à effectuer deux séjours outre-mer, en Cochinchine d'abord, puis à Madagascar, avant de réintégrer l'Infanterie métropolitaine, en 1909. Au moment de la déclaration de guerre, en 1914, le capitaine Simonet servait au 142 ? R. I. à Lodève (Hérault), où il exerçait les fonctions de capitaine adjoint au colonel chef de corps. Il avait donc près de quarante-deux ans. Il était père de quatre enfants : René (1905), Yvonne (1906), Jean (1909), Madeleine (1913).

02/1986

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Histoire de France

Mémoires de guerre. La vie malgré tout (1914-1918)

Le 6 août 1914, le 6e Hussards, régiment de cavalerie dans lequel Fernand Thomas effectue son service militaire lors de la déclaration de guerre, quitte Marseille. C'est le début d'un long chemin de souffrances, combats, nuits sans sommeil, épuisement. L'auteur affronte l'ennemi sur les différents fronts, Lorraine, Champagne, Belgique, et surtout Verdun, où il revient encore et toujours, comme si cette ville en ruines et les tranchées qui l'entourent étaient désormais, avec leurs promesses de mort, le lieu obligé de toute vie. A côté des mouvements d'un front à l'autre qui donnent à voir les mêmes horreurs, les mêmes paysages dévastés, l'auteur raconte le voyage libérateur, celui qui se fait d'âme à âme, à travers l'amitié, la bienveillance, la camaraderie, la musique. Le chemin entrepris se termine en Allemagne où l'auteur est interprète jusqu'à sa démobilisation en août 1919.

01/2015

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Histoire de France

La bataille de la Somme. 1916

"En juillet 1916, les forces franco-britanniques lancent dans la Somme une puissante offensive, autant pour tenter de percer le front allemand que pour soulager les défenseurs de Verdun. Commence alors une bataille gigantesque que certains ont décrite comme un " bain de sang ". Quelles sont les forces en présence ? Comment cette bataille s'est-elle déroulée ? Quels en ont été les résultats et les conséquences ? Ce guide propose un tour d'horizon complet de cet événement essentiel de la Grande Guerre."

02/2018

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Histoire de France

Mémoires. Tome 2, La Bataille des Flandres, Les armées du Nord Octobre 1914-novembre 1916

Après les événements, on a baptisé cette seconde partie de la guerre qui a suivi la bataille de la Marne : la Course à la mer. Le mot était d'un joli effet, il donnerait à lui seul une idée fausse de la manoeuvre qui était entreprise, il ne répond en rien à la pensée qui dirigeait les opérations militaires. C'est à l'ennemi que nous avons couru ; nous avons tenté de le déborder et d'envelopper son aile droite, ou, quand il prenait de l'avance, nous avons paré à son développement, car lui aussi cherchait par plus de vitesse à réussir une manoeuvre analogue de débordement. De là résultait une course à l'aile, à l'aile nord des armées opposées. Il nous fallait en même temps l'arrêter et l'immobiliser sur le reste du front qui s'allongeait de plus en plus. C'est cette manoeuvre symétrique qui a fait rapidement remonter cette aile, à une allure des plus accélérées, à travers l'Île-de-France, la Picardie, l'Artois, la Flandre, jusqu'à la mer du Nord. Le mer en fut ainsi le terme sans jamais en avoir été le but.

07/2012

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Première guerre mondiale

La guerre navale 1914-1918. De la bataille de Coronel au raid sur Zeebrugge

Un guide détaillé des opérations navales durant la première guerre mondiale, un combat de 4 années pour le contrôle de la haute mer, à l'échelle planétaire. Illustré par 200 visuels détaillant les navires de combat, les sous-marins, leurs équipages, les batailles-clés et les figures navales importantes de belligérants. Contient plus de 20 cartes illustrant les principaux théâtres d'opération et les batailles navales : Falkand, Dardanelles, Jutland... Expose la stratégie allemande de "guerre sous-marine à outrance" avec ses nombreuses victimes civiles. Elle provoquera l'entrée en guerre des USA contre l'Allemagne.

10/2021

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Histoire de France

Louis Caujolle. Mémoires de guerre 1914-1918

Historien bigourdan, Claude Larronde présente les Mémoires de guerre d’un valeureux combattant de Vic-en-Bigorre.Valeureux, il le fut, tant dans son engagement patriotique que dans sa manière de servir comme caporal, chef de section, au 83e R.I de Toulouse, d’août à octobre 1914, comme sergent, chef de section, au 209e R.I d’Agen, d’octobre à décembre 1914, comme sous-lieutenant,au front, jusqu’au mois d’août 1916. Attaques répétées à la grenade, blessures aux jambes. Repli sur Orléans, arrivée au séminaire, transformé en hôpital, de Saint-Pé-de-Bigorre dans les Hautes-Pyrénées. Convalescence chez lui, à Vic-en-Bigorre. Rappel à Toulouse. Peloton de l’École des Officiers de Réserve. Mutation au 209e R.I d’Agen et retour au front, fin août 1916. Il est fait Chevalier de la Légion d’Honneur pour sa brillante conduite au feu. Ses états de service lui permettent d’entrer au 2e Bureau de la 158e Division d’infanterie du général Humbert (IIIe Armée). Agrégé d’allemand et artiste peintre, Louis Caujolle est fort estimé au service cartographique. Ses visites comme officier d’Etat-Major, en première ligne, pour repérer les nouvelles positions allemandes, étonneront plus d’un Poilu. Un témoignage exceptionnel.

03/2012

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Histoire de France

Marine française. Faits de guerre 1914/1918

Cet ouvrage constitue le recueil des rapports et témoignages relatifs aux faits de guerre ayant motivé les citations à l'ordre de l'Armée parues au journal officiel, des formations et bâtiments de la marine française de guerre et de commerce lors du premier conflit mondial. Au fil des pages, découvrez l'abnégation de ces Hommes qui ont contribué à faire de cette guerre La Grande Guerre. Ce que nos marins ont vécu, avec tant de patriotisme et de courage, force respect et admiration. Leur sens du devoir, leur esprit de sacrifice, nous émeuvent toujours et restent à jamais gravés dans la mémoire de nombreuses générations.

02/2014

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Histoire de France

Marine marchande française de 1914 à 1918

« On ne peut, sans la mer, soutenir la guerre ». Rarement la formule de Richelieu fut plus adaptée qu'à la France de la Première Guerre mondiale. De 1915 à 1918, le rôle principal n'appartint pas aux cuirassés mais aux cargos, dont les missions d'approvisionnement et de ravitaillement l'emportèrent sur toutes autres contingences. Année après année, cet ouvrage couvre les événements liés à l'approvisionnement de la métropole, à l'avitaillement des armées et au soutien de la flotte de guerre. La flotte de pêche y est traitée à parité avec la marine marchande comme un élément essentiel de cette logistique. Rédigé d'après les archives de la Marine nationale et de la marine marchande, il accorde une large place aux récits des événements majeurs, comme les pertes de navires, qui font l'objet de comptes rendus très détaillés.

10/2011

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Histoire de France

1914-1918 : batailles et campagnes méconnues

De la Grande Guerre, le grand public – français notamment – conserve une vision concentrée sur la souffrance des poilus dans leur tranchée, avec cette idée que le conflit ne s'est caractérisé que par des combats de position. Or, les fronts méconnus de Russie et du Moyen-Orient nous montrent que la Guerre de mouvement ne s'est jamais arrêtée. Et, selon le front, les belligérants — Français et Britanniques notamment — ont su s'adapter aux nouvelles données d'une guerre qui devenait plus technique et technologique. Ce livre opte pour une étude de batailles et campagnes de la Grande Guerre sous des angles plus stratégiques et techniques. L'idée de fond est d'inciter le lecteur à " sortir des tranchées " pour se lancer dans une exploration de plusieurs fronts de la Première Guerre mondiale. Et apporter un éclairage différent dans une optique de vulgarisation.

10/2019

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Histoire de France

La bataille aérienne de Verdun. 1916

En février 1916, les Allemands élaborent un plan soigneusement préparé sur le front de Verdun. Sur une ligne de 40 kilomètres, dans les tranchées comme dans les airs, des millions d'hommes sont pris dans un duel géant où 400 000 soldats et pilotes français tomberont. Derrière ce chiffre colossal se trouvent des vies, des hommes. Et au milieu des furieuses batailles entre avions à cocardes et avions à croix noires naissent de grands pilotes, dont beaucoup trouvent la mort comme les capitaines de Beauchamp et Lafont ou le sous-lieutenant Boillot... Pilotes et poilus voient leur nombre diminuer jour après jour, mais continuent à combattre avec courage jusqu'à la victoire ! Dans cet ouvrage, l'auteur nous donne une vision globale de cette bataille décisive de la Grande Guerre qui a impliqué autant les aviateurs et les poilus que les hommes de l'ombre : les mécaniciens, le personnel hospitalier et les femmes qui, à l'arrière, ont joué un rôle important dans la fabrication des munitions et des avions... Aucun sensationnalisme dans ce livre, uniquement les faits de ce bouleversant drame.

05/2014

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Royaume-Uni

Mémoires de la Grande Guerre. Tome 1, 1911-1915

Premier lord de l'Amirauté en 1911, Churchill se trouve au coeur des affaires du monde. Ses écrits livrent un aperçu sans précédent des coulisses de la Grande Guerre. Pendant près de cinq ans, Churchill oeuvre aux préparatifs de la guerre, rencontre les différents responsables, tente d'imposer ses vues, est confronté aux crises gouvernementales. Jamais inactif, il se rend en octobre 1914 à Anvers où l'armée belge est encerclée. Favorable à l'opération dans les Dardanelles, Churchill passe pour l'initiateur du projet ; son échec lui est alors imputé et il démissionne en novembre 1915. Dans ses Mémoires, Churchill se fait le chroniqueur des événements qui ont bouleversé l'Europe, et dont il a été le témoin autant que l'acteur.

01/2022

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Royaume-Uni

Mémoires de la grande guerre. Tome 2, 1915-1918

Ce second volume des Mémoires de la Grande Guerre s'ouvre en 1915, année de la démission de Churchill, et s'achève avec la victoire de 1918. C'est en tant que chef de bataillon réserviste que Churchill participe aux combats dans les tranchées des Flandres jusqu'en mai 1916. Nommé ministre de l'Armement en juillet 1917, il devient le Carnot de la Grande Guerre, tout en suivant le déroulement des opérations sur le terrain jusqu'à l'armistice final. Avec un ton épique, un style admirable et un humour omniprésent, Churchill nous livre des jugements bien tranchés sur les hommes politiques et les militaires de l'époque.

01/2022

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Régionalisme

Chroniques de guerres en Roannais 1814-1914-1944

Jean-Paul NOMADE, proviseur honoraire, historien régionaliste et écrivain public agréé par l'académie des écrivains publics de France [@epf], renoue, dans cet ouvrage, avec la grande tradition des chroniques historiques. Auteur de deux ouvrages consacrés à la Grande Guerre et à Napoléon Ier dans le Roannais, il vous propose de découvrir ou redécouvrir les grands événements qui se sont déroulés dans notre région en 1814, 1914 et 1944. Le bicentenaire de h résistance du Roannais face à l'invasion autrichienne en 1814, le centenaire du début de la Grande Guerre en 1914, le 70e anniversaire de la libération de Roanne sont autant de faits majeurs de notre histoire régionale qui éclairent notre histoire nationale. Durant l'année 2014, Jean-Paul NOMADE a livré quelques-unes de ces chroniques dans les colonnes de notre journal hebdomadaire Le Pays Roannais. Cet ouvrage Chroniques de guerres en Roannais relate, pour les années en 4 et par dates l'actualité du temps qui passe avec son cortège d'héroïsme et de drames : la défense de Roanne, le passage de l'Empereur Napoléon 1er, la visite de la fille de Louis XVI pour 1814... ; ma mobilisation, la mort du premier officier roannais, la disparition héroïque de Joseph Déchelette, les martyrs d'Ambierle-Vingré pour 1914...; les combats du Gué de la Chaux, de Neaux, les représailles allemandes à Renaison, la libération de Roanne pour 1944. L'auteur dresse le portait des cinq Compagnons de la Libération du Roannais et nous livre deux récits de vie : les commentaires de la correspondance du poilu pradinois Marius Passos en 1914 et le parcours du Savoyard et Costellois Jean Gilbert, engagé dans la Ire Division Française Libre en 1944. Jean-Paul NOMADE termine en dressant la liste exhaustive des rues et lieux de mémoire à Roanne concernant ces trois années historiques. Les chroniques courtes et synthétiques, écrites dans un style journalistique, peuvent se lire de façon chronologique ou par centre d'intérêt en fonction de la période considérée. Une riche iconographie, dont Certains documents inédits, illustre les articles.

12/2014

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BD tout public

Putain de guerre ! Tome 1 : 1914-1915-1916

Du fond de nos tombes, on a compris qu'on était là pour un long moment. Les Alboches n'étaient pas décidés à rentrer chez eux et on était encore assez loin de Berlin. Pour Noël, la trêve a tourné en fraternisation, surtout entre les Anglais et les Allemands. Ca partait d'un bon sentiment. Quelques heures à s'échanger des clopes et des bonbons, avant de retourner chacun dans son trou pour recommencer à s'entretuer. Moi, tout ce que je comprenais, c'est qu'on s'installait dans la guerre.

11/2008

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Histoire de France

La violence de guerre. 1914-1918

La Grande Guerre a été beaucoup photographiée, c'est une évidence. Elle l'a été de manière "officielle" par les reporters-photographes de la Section photographique de l'Armée, créée au printemps 1915 ; elle l'a été aussi à des fins de renseignement militaire. Mais la guerre fut bien davantage photographiée "au ras du sol", par ceux qui combattaient, gradés ou simples soldats. Les clichés de trois jeunes sous-officiers, promus officiers au cours du conflit, occupent une place de choix dans cet ouvrage. Henri Pétin. Jean Pochard et Robert Musso ont vécu au quotidien avec leurs hommes et ne se sont pas pensés comme des "reporters" mais comme des soldats, ponctuellement photographes amateurs. Pas d'héroïsme dans leur vision. L'historien Stéphane Audoin-Rouzeau présente et commente 120 photographies inédites, issues des fonds privés du Service historique de la Défense. Un témoignage juste et émouvant sur l'expérience combattante et la violence de guerre.

02/2014

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Histoire de France

Journal de la guerre. 1914-1919

La guerre ? "Un paysage qui vous tire dessus." Guy de Pourtalès (1881-1941) rapporte ces propos, qui l'ont frappé, de son ami Valdo Barbey. L'écrivain genevois, devenu français, mobilisé en 1914, n'a pas connu la tranchée, mais il a passé quatre ans et demi sous les drapeaux comme interprète militaire, propagandiste au Quai d'Orsay, officier informateur. Il a vécu de près les événements de la Grande Guerre, particulièrement ceux qui ont affecté les relations entre sa patrie d'adoption et son pays d'origine. Tiraillé entre des appartenances et des loyautés qu'il entend faire tenir ensemble, Pourtalès donne l'impression d'être toujours en porte-à-faux avec le rôle qu'il se choisit, ou qu'on lui attribue. C'est précisément cette position d'intermédiaire - symbolisée par le statut d'interprète - qui crée l'intérêt du Journal de la Guerre, parce qu'elle décale le regard, l'enrichit, et donne lieu à un récit à la fois original, informé et communicatif.

09/2014

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Histoire de France

Les mémoires de la guerre 1914-1918 du poilu Georges Savy

Ces "mémoires" ne sont pas une simple évocation ou compilation de souvenirs. Il s'agit bien au contraire du récit autobiographique, méticuleux et précis, tant dans la chronologie que dans la localisation géographique, de ce que Georges Savy, Français de Belgique, rappelé le 3 août 1914, a vécu dans les tranchées de Meurthe et Moselle, à Verdun, dans le Soissonnais ou dans les hôpitaux, pendant toutes les années de guerre ; il participa même à quelques mois d'occupation en Allemagne jusqu'à sa démobilisation en 1919. Toute cette précision, il la doit aux notes qu'il prenait soigneusement dans des carnets qui ne le quittaient jamais. Au printemps 1916, lors d'une période plus calme, il achète un appareil photo, avec les cuvettes et le matériel nécessaire pour le développement. Pendant les périodes de repos, il prend des dizaines de clichés (il n'y a donc pas de photos de scènes de combat), qu'il développe sur place et dont il revend certains à ses camarades. Il les utilisera pour illustrer son récit. Georges a réalisé trois copies successives de ses "mémoires" : la première, écrite sur un papier gris, constitue une sorte de brouillon ; la deuxième, inachevée, est calligraphiée à la plume sur papier quadrillé ; ces deux copies se complètent : de la première ne subsistent que les pages qui n'ont pas été recopiées dans la deuxième ; la troisième version, complète, réalisée bien plus tard à l'âge de la retraite, est retranscrite dans un cahier quadrillé, format A4. Il n'y a pas de différence majeure entre le texte des trois versions. Le récit utilise à la fois le passé simple, l'imparfait, ou le présent ; nous l'avons laissé tel quel. Le texte est monolithique, sans aucune césure de la première à la dernière ligne ; pour en faciliter la lecture, les repères et étapes chronologiques ont été mis en exergue. Ces "mémoires" débutent "ex abrupto" le jour de sa mobilisation à Bruxelles et son départ pour la France. Le récit se termine de la même manière à sa démobilisation. Il nous a donc paru nécessaire de le faire précéder par un bref chapitre "Avant...", qui explique le contexte familial ainsi que les étapes de l'établissement en Belgique, et de le conclure par un autre texte "Après...", encore plus succinct. May Verdickt, A Bon papa, mon Grand-père...

10/2018

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Poésie

1914, la mémoire de mes 20 ans

Au fond, 1914, la mémoire de mes 20 ans raconte une histoire très banale : celle d'un jeune homme, semblable à des millions de jeunes gens tombés au champ d'honneur. Respectueusement, nous l'accompagnerons, ce jeune homme anonyme, le récit a négligé de lui donner un nom, sur son chemin de croix. Comme un nouvel Evangile : la passion selon Saint Poilu. Les tristes stations en sont connues : le départ, la fleur au fusil ; le premier terrible face à face avec les réalités de cette guerre-là, inédite dans l'Histoire des Hommes ; la première blessure, le retour au pays natal consacrant l'infranchissable fossé qui séparera désormais ceux ayant vécu l'Enfer de tous les autres (une situation que le siècle passé ne cessera de ressasser comme un mauvais refrain) ; un retour au Front devenu l'unique place réservée à toute une génération, celle des amants de la Mort. Enfin, ça n'est pas déflorer le récit que d'annoncer une mort inéluctable, vécue comme une véritable Libération. 1914, la mémoire de mes 20 ans se voudrait le premier volet d'une trilogie consacrée aux tragédies du siècle passé. Donc, premier chapitre : "Mourir pour la Patrie". Le second sera dédié à ceux qui sont morts "au nom de la race". Enfin nous érigerons le monument promis lors d'un Congrès qui fit date, à ceux qui sont morts "au nom du Parti".

10/2015

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Critique littéraire

Claude Simon, la mémoire du roman. Lettres de son passé 1914-1916

Ce livre richement illustré rassemble les lettres adressées par Suzanne, la mère de Claude Simon, à sa soeur Jeanne ainsi que celles échangées entre Henri Carcassonne, oncle de Claude, et son épouse. Cette correspondance a principalement trait à la disparition du père, Louis Simon, mort en Flandres dès le 27 août 1914 mais dont la famille reste sans nouvelles : une période qui constitue le récit majeur de L'Acacia. Le premier intérêt de ces lettres est littéraire. Elles offrent la matière première de ce qui formera la base de nombreux romans du futur prix Nobel de littérature. C'est ce que Michel Butor, dans une préface suggestive, nomme joliment "la littérature dormante". Le second intérêt est historique. Au moment où les commémorations de la Guerre de 14 ramènent toute une mémoire enfouie, ces lettres font découvrir l'atroce incertitude dans laquelle furent plongées les familles des "disparus".

03/2014

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Beaux arts

Les monuments aux morts de la guerre 1914-1918 en Vendée. La mémoire des pierres

Une Victoire ailée, une Femme éplorée, un coq triomphant, un poilu l'arme au pied, ou une simple stèle : les monuments aux Morts Font partie du paysage de nos bourgs, en Vendée comme partout en France. Chaque 11 novembre notamment, édiles, enfants et Anciens combattants se rassemblent autour de ce haut lieu de la mémoire collective, qui rappelle aujourd'hui ce que furent la guerre de 14 et ses conséquences. Cette " mémoire des pierres " se rattache à des oeuvres pour lesquelles les meilleurs artistes ont été sollicités, et au sujet desquelles les discussions ont souvent été animées : choix de la forme du monument, de l'emplacement à lui attribuer, de la manière d'en financer la construction, etc. Ces choix, loin d'être anodins, révèlent les enjeux, parfois même les passions qui se sont développées autour des monuments aux Morts. Ou quand mémoire, politique et religion s'entrechoquent sur un sujet qui réveille la sensibilité de chacun, toute famille comptant dans ses rangs au moins un soldat tombé au champ d'honneur.

10/2018

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Histoire de France

Verdun 1916. Précédé de La Marne

Par sa démesure, sa durée et sa brutalité, la bataille de Verdun représente à elle seule toute  l'horreur et toute l'absurdité de la Première Guerre mondiale. Engagée par les Allemands le 21 février 1916, l'offensive durera toute l'année sur un terrain que l'artillerie transforme en antichambre de l'enfer. Bilan : Plus de 300 000 morts et un traumastisme national incurable. Georges Blond raconte en historien l'héroïque boucherie, mais en historien qui s'attache aux hommes plus qu'aux dates. Il semble, à le lire, qu'il a vécu avec les poilus les heures sombres dont les coteaux de Verdun, labourés par les obus et irrigués par le sang des hommes, ont été le théâtre. "Des secondes passent. Encore quelques grenades, mais à l'extérieur. Une mitrailleuse tire sur l'entrée, on entend les balles crever les sacs de terre et  même la toile des sacs s'enflamme, une fumée âcre et noire pénètre. Personne ne bouge. Des minutes. Plus de grenades. Plus de mitrailleuses. On entend toujours le bombardement et les éclats de 75, mais rien d'autre. Les hommes collés au sol et  le long des murs recommencent à bouger." Le récit est accompagné d'un autre, tout aussi célèbre, La Marne, rétrospective d'une autre bataille, victoire de légende dont il convient aujourd'hui de restituer les faits, au-delà de l'image bleu-blanc-rouge qu'on a longtemps trouvée dans les manuels.

05/2016

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Sciences historiques

Paris, Berlin : la mémoire de la guerre. 1914-1933

Peut-on discerner à Paris et à Berlin une mémoire spécifique de la guerre ? La Première Guerre mondiale a constitué une profonde rupture pour tous les belligérants. La mémoire, par sa faculté à révéler des conflits et à fonder des identités, est un observatoire particulièrement intéressant pour analyser les effets de cette guerre sur les sociétés. Les capitales offrent pour leur part des perspectives originales à une telle analyse: les différentes échelles, celles des quartiers, des villes et des pays s'y imbriquent plus étroitement qu'ailleurs, encourageant du même coup le croisement des angles d'approche. Prismes locaux des histoires nationales, les capitales présentent aussi d'un pays à l'autre des parentés structurelles qui facilitent leur confrontation et leur rapprochement par-delà les frontières. Paris et Berlin s'inscrivent pleinement dans leur cadre national respectif, alors que les traditions politiques, les structures sociales héritées, l'issue du conflit et la légitimité du régime en place débouchent de part et d'autre sur des mémoires nationales profondément divergentes. Pourtant, certaines convergences sont également frappantes entre deux villes qui, à la fois capitales et métropoles, se trouvent prises entre leurs dimensions nationale et locale et peinent à imposer une identité mémorielle qui leur soit propre. Il revient finalement à l'analyse des logiques locales d'action de surmonter la diversité des configurations pour montrer comment et pourquoi certaines communautés restreintes ont été plus pertinentes et plus efficaces que les villes elles-mêmes pour la construction d'une mémoire urbaine qui relève de Paris et de Berlin.

01/2010

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Histoire de France

Cimetières et lieux de mémoire du front ouest 1914-1918

"On oubliera. Les voiles de deuil, comme des feuilles mortes, tomberont. L'image du soldat disparu s'effacera lentement dans le coeur consolé de ceux qu'il aimait tant. Et tous les morts mourront pour la deuxième fois." Cent ans se sont écoulés depuis l'amer présage de l'écrivain Roland Dorgelès. Mais le temps de l'oubli n'est pas encore venu. Jamais même peut-être n'y a-t-il eu autant de visiteurs dans les cimetières et mémoriaux de la Première Guerre mondiale qu'au cours de la dernière décennie. Familles venant se recueillir sur les tombes de leurs chers disparus ou touristes avides de comprendre viennent ainsi entretenir la mémoire des morts au champ d'honneur. Alors suivons leur exemple et découvrons tout au long de ce qui fût le front de l'ouest quelques-uns de ces lieux chargés d'histoire et d'émotion. Et que l'avenir donne raison à Albert Schweitzer, prix Nobel de la Paix, qui assurait que "les tombes de guerre sont les plus grands prédicateurs de la paix".

02/2019

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Histoire de France

Lieux de mémoire canadiens (1914-1918). D'Ypres à Amiens

La première guerre mondiale a fait de la Belgique et des Hauts-de-France (Nord-Pas-de-Calais et Picardie) un lieu de mémoire canadien. Chaque parcelle de terre où les combats ont fait rage raconte l'histoire de ce pays. Car avec les soldats envoyés sur le front européen et, à l'arrière, l'effort de guerre soutenu par tout un peuple, émergea une nouvelle nation. En empruntant aujourd'hui les circuits de visite de chaque cimetière militaire, de chaque mémorial, nous replongeons au coeur des batailles de la Grande Guerre, d'Ypres à la Somme et de Cambrai à Mons. D'anciens témoignages de soldats et des articles de presse de l'époque viennent enrichir ce parcours du souvenir. Nous ne les oublions pas !

05/2018

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Histoire de France

Chemins de mémoires sur le Plateau. Circuit

Ce carnet n°3 du Lieu de Mémoire au Chambon-sur-Lignon propose de découvrir l'histoire du Plateau pendant la Seconde Guerre mondiale de manière originale. Partez à la découverte de sites qui témoignent de la richesse historique de ce territoire à pied, en vélo ou en voiture. Une trentaine de lieux offrent un aperçu d'une histoire complexe et variée. Une carte recense chaque site et les cinq itinéraires sont accompagnés d'une carte qui en retrace le parcours. A travers les magnifiques paysages, entre la Haute-Loire et l'Ardèche, ces itinéraires thématiques - résistance spirituelle, chemins de fuite vers la Suisse, résistance armée, monuments commémoratifs du Plateau - retracent les différentes formes de résistance qui se sont développées entre 1940 et 1944.

04/2019