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La Cité sans nom

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Littérature étrangère

La Cité sans nom

Entre mysticisme et science-fiction, moralisme et exotisme, le prince Vladimir Odoievski n'a jamais su se fixer. Visionnaire, il invoque une sylphide lors d'une expérience d'alchimie, rencontre un architecte du XVIIIe siècle lors d'un périple en Italie, invente l'internet et les blogs ainsi qu'un système mondial de climatisation en se projetant en 4338, décrit par le menu l'actuelle crise financière qui aurait déjà ravagé le pays de Benthamie, et imagine ce qui arriverait si une comète s'écrasait sur la Terre. Vladimir Odoievski (1803-1869) est un des maîtres de la littérature russe. Il est pourtant peu connu, tandis que son oeuvre est d'une importance majeure par l'influence qu'elle a eue sur le fantastique et la littérature de son pays. La Cité sans nom regroupe l'intégralité des nouvelles d'Odoievski traduites au XIXe siècle, accompagnées de quelques textes inédits dont pour la première fois en français L'An 4338.

11/2014

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Science-fiction

La Cité sans nom

Au fin fond du désert d'Arabie, un explorateur à dos de chameau est sur le point de découvrir l'emplacement de la Cité sans nom. Mais son enthousiasme n'a d'égal que sa peur, a l'approche de ce lieu réputé maudit. Les légendes funestes qu'on raconte au sujet de cette cité antique sont-elles fondées ? Au gré de ses explorations, l'homme met au jour les vestiges d'une civilisation mystérieusement disparue et s'aventure dans les galeries ensevelies de la Cité sans nom. Celles-ci lui réservent des découvertes qui lui feront tutoyer l'horreur et la folie.

10/2019

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BD jeunesse

La cité sans nom Tome 3 : La Terre déchirée

Devenu général de Toutes-Lames après son coup d'Etat, Erzi détient également la formule du napatha, le feu destructeur des bâtisseurs de la Cité sans Nom. Le jeune homme en fait immédiatement usage contre l'armée yisun venue assiéger la Cité. Kaidu et Rate, impuissants face à cette démonstration de force, ont pourtant pris leur décision : quoi qu'il en coûte, ils arracheront la formule du napatha des mains d'Erzi. La tâche ne sera pas aisée, d'autant que l'énigmatique Mura se dresse sur leur chemin... La volonté de nos deux héros est mise à rude épreuve. Leur ruse sera-t-elle suffisante face à la soif de pouvoir d'Erzi et aux sombres desseins de Mura ? Une seule chose est sûre : ils sont le dernier espoir de la Cité sans Nom.

02/2019

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Littérature étrangère

La cité sans murailles

Fuyant un divorce douloureux, Ben Mercer, jeune archéologue diplômé d'Oxford, s'envole vers la Grèce où il espère se retrouver. Il atterrit à Métamorphosis, grill peu fréquentable de la banlieue d'Athènes, où il se laisse bercer quelque temps par le rythme épuisant des tâches quotidiennes. Mais un midi, alors qu'il se croyait à l'abri, loin de tout, Ben sert Eberhard Sauer, ancien collègue d'Oxford, qui lui parle d'une fouille à Sparte. Il n'en faut pas plus au jeune homme pour décider de se faire embaucher dans l'équipe et rejoindre le site. A l'arrivée, l'accueil est glacial. S'il se lie petit à petit avec les autochtones, le noyau du groupe le tient à distance. On les dit méprisants, cruels, chasseurs de chacals. Que cachent en réalité Max, Eberhard, Jason, Natsuko et Eleschen et leur amour pour " la cité sans murailles " ? Et jusqu'où Ben ira-t-il pour se faire accepter par ces nouveaux Spartiates ? Dans la lignée de Donna Tartt et John Fowles, Tobias Hill signe ici un roman puissant, à la fois élégant et sauvage, sombre et poétique, sur le poids du secret et les dangers de la perte de l'individualité. L'auteur y met également à jour les mécanismes de manipulation conduisant à une forme d'extrémisme et à une Ère de la terreur, qui trouvent un écho terrible en ce XXIe siècle.

09/2009

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Religion

La cité sans Dieu

Une crise économique et sociale, mais avant tout éthique, s'est abattue sur nous. Ses ravages sont partout. Mais quand des hommes de foi appellent au partage des richesses, au respect des pauvres, à la dignité de toute personne, ils ne sont pas entendus. Les religions, pense-t-on, s'occupent de Dieu et n'ont rien à dire du monde comme il va. Et qu'importe s'il va plutôt mal... Pourquoi cet ostracisme? Jusqu'à quel point une cité peut-elle exister sans Dieu ? Tocqueville, en 1840, se posait déjà la question. Les religions ne sont-elles pas en effet plus nécessaires à l'heure où nos démocraties déboussolées se trouvent affranchies de toute tutelle? Prétendre chasser par la porte les Dieux et les Maîtres n'est-il pas la meilleure manière de se voir imposer, par la fenêtre, d'autres dieux et d'autres maîtres plus pernicieux? Pour faire écho à ce questionnement, Damien Le Guay a interrogé trois personnalités éminentes - Luc Ferry, le cardinal Barbarin et le grand rabbin Bernheim - toutes trois ouvertes aux interrogations spirituelles et conscientes de la profondeur de la crise éthique actuelle. Quelles solutions ont-elles à proposer? Comment aller plus loin dans l'analyse? Quand les forces de dispersion dominent, la puissance agrégative des religions peut-elle être utile? Et si oui, de quelle façon? Au terme de cet échange, l'auteur en appelle vigoureusement à un new deal qui permettrait aux religions de prendre enfin ouvertement part à la conversation commune et aux débats de société. II propose même un "Grenelle du symbolique" pour mieux préserver notre savoir-vivre. Dédaigner les religions n'est-ce pas la meilleure façon de faire le jeu du marché et des fondamentalismes?

11/2010

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BD jeunesse

La cité sans nom Tome 2 : Le secret du coeur de pierre

Après avoir déjoué une tentative d'assassinat sur le général de Toutes-Lames et son fils, Kaidu et Rate sont acclamés en héros. La vie reprend son cours au sein du Palais, tandis que le projet d'un Conseil où chacun pourrait participer aux décisions de la Cité se dessine. Mais les feux de la révolte couvent toujours, et tous ne sont pas prêts à siéger parmi leurs ennemis. La menace s'intensifie, décidant Kaidu et Rate à se lancer à la recherche du mystérieux pouvoir des bâtisseurs de la Cité sans Nom. Nos deux héros devront plus que jamais rester soudés et déterminés face à cette nouvelle menace qui plane sur la Cité sans Nom et pourrait bien l'engloutir dans les flammes et la destruction.

04/2018

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Littérature française

Moi, Gaspar, 20 ans dans la cité

Juin 1985, Gaspar, une vingtaine d'années, est assis devant la boutique que tiennent ses parents. Il sait qu'il va bientôt mourir alors il regarde encore une fois son quartier et dresse le constat des changements intervenus depuis son arrivée en 1965 dans ce coin du 20ème arrondissement de Paris. Il se souvient des gens qu'il a côtoyés pendant toutes ces années. Il trace une galerie de portraits et les modes de vie de cette population de français moyens avec leurs moments de vie drôles, tragiques ou même parfois dramatiques. Qui est ce Gaspar, ce personnage étrange ? N'est-il que le témoin, parmi d'autres, d'un quartier qui vit la fin des trente glorieuses et le début d'une autre époque très différente ? Mais n'est-il pas quelqu'un d'autre ?

10/2020

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Littérature française

Selva ! La cité sans femmes

Ce livre est le récit d'un rite de table célèbre à la Légion étrangère, la «popote des lieutenants», raconté ici par l'un des participants, un aspirant médecin qui effectue son service militaire. La structure du récit suit l'organisation très protocolaire du dîner. Au cours de ce repas, l'animateur en chef ou «popotier» (le plus jeune des lieutenants engagés) est chargé de mettre l'ambiance en punissant les hôtes qui ne respectent pas le règlement (sous la forme de pots pendant lesquels la «victime» est sommée de «raconter»), tandis que le président (le plus âgé des officiers présents) dirige les débats d'une main de fer. L'objectif de la popote : la cohésion et l'aliénation des convives par l'expression des non-dits et la répression des initiatives personnelles, est bâti sur un tissu d'anecdotes rythmées par les «vos gueules là-dedans !» du popotier. Les digressions mentales du narrateur et le traitement systématique des pages comme autant de feuilles volantes tentent d'associer - dans ce texte à tiroirs - la cohésion (nécessaire à la compréhension du texte) et la liberté (ou «part féminine», tabou suprême de la popote).

08/2002

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Littérature étrangère

Dans la cité engloutie

"Il y a dans le fait d'être insulaire un poids métaphysique, écrit José Carlos Llop, car une île est déjà, en soi, un destin". Et c'est à approfondir ce poids métaphysique que s'attache ce livre. Dans la cité engloutie, chronique personnelle et familiale, est le portrait d'une ville, Palma, née dans cette Méditerranée où se croisent l'Occident et l'Orient, d'où ce fatalisme sans lequel on ne peut comprendre sa distance souvent ambiguë à l'Histoire. Elle fut en effet une terre d'exil, accueillant tour à tour les persécutés et les persécuteurs de la Seconde Guerre mondiale, sans états d'âme. Avec en toile de fond la mer, son omniprésence, une frontière qui éloigne, qui enferme et qui donne un intolérable sentiment d'étouffement. Mais c'est aussi parce qu'elle isole que l'île attire tant d'étrangers prestigieux, d'Albert Camus à Gertrude Stein ou Juan Miro, d'Ava Gardner à la 6e flotte américaine qui apporte des disques de jazz. Si tout continental considère les îles comme une promesse de paradis - une maquette du paradis, dit Llop -, le "temps retrouvé" de l'écrivain permet au lecteur de s'immerger dans un territoire secret rongé par la nostalgie, car il n'existe de paradis que perdus. Ce livre exceptionnel, dont le personnage est une île, a été loué par une critique espagnole unanime.

02/2013

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12 ans et +

Offense dans la cité

Dans son quartier de banlieue, Morgan, dit Momo traîne avec sa bande. Sa seule lueur d'espoir, c'est Pénélope qu'il regarde passer en bas de l'immeuble tous les samedis et à qui il ose des "salut" furtifs. Mais Momo a la rage : avec ses copains, il ne supporte plus Amédée, ce vieillard arrogant qu'il a surnommé Yoda. Momo n'a qu'une envie : lui faire peur. Car ici, dans la cité des Lilas, on doit baisser les yeux devant Momo et ses potes, c'est la règle. Mais ce qu'il ne sait pas c'est que Yoda connaît trop bien la peur pour s'incliner devant elle. Le vieillard ne craint rien ni personne !!! Momo va lui faire payer le prix de son audace…

04/2017

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Vie chrétienne

Chrétien dans la cité

Ce livre rappelle à ceux qui n'ont pas de culture chrétienne que l'enseignement laïc de Jésus imprègne qu'on le veuille ou non notre manière de vivre. Des mises en oeuvre de cet enseignement sont évoquées concrètement dans le cadre de la cité, celle-ci étant envisagée dans ses aspects humains, plastiques et environnementaux. C'est un remue-méninges qui est proposé ! Cet exercice de clarification et de réflexion pourrait servir à renouveler dans notre pays les visions de la société sur la place de la religion aussi bien dans les institutions publiques qu'individuellement.

11/2022

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Histoire de l'Eglise

Intellectuels dans la cité

C'est dans le but de contribuer à apporter des solutions à la crise de la culture occidentale que l'auteur analyse la pensée de quatre intellectuels français de la période de l'entre-deux-guerres (Nicolas Berdiaeff, Etienne Gilson, Emmanuel Mounier et Jacques Maritain), alors que, dans des circonstances similaires aux nôtres, ceux-ci formulaient des propositions pour tenter de surmonter la crise. Certaines de leurs lumières peuvent encore servir aujourd'hui pour illuminer les recoins obscurs de notre culture européenne, vivante et ouverte dans ses racines, mais sclérosée et enfermée en d'étroites limites dans certaines de ses expressions.

04/2022

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Poésie

De la cité du oui à la cité du non

Depuis Maïakovski, aucun poète soviétique n'a eu à travers le monde une audience aussi large qu'Eugène Evtouchenko. Né en 1933, Evtouchenko est devenu très tôt célèbre pour la liberté de ses écrits et de ses propos. On peut dire qu'il est le poète de la " déstalinisation ". Son oeuvre, dans laquelle passe un grand souffle lyrique et prophétique, contient des éclats de polémique fulgurante qui ne sont pas sans rappeler le Victor Hugo des " Châtiments ". Evtouchenko dénonce l'oppression idéologique, politique, sociale, qui est le grand fléau de notre siècle à l'échelle planétaire. Il n'est pas, pour autant, un poète " engagé " au sens étroit du mot. La nostalgie de l'enfance, la méditation sur le sens de la vie et de la mort, les impulsions obscures du coeur et de l'esprit, les sortilèges de la solitude et de l'amour, voire un appel caché au divin, font de son oeuvre une poésie de l'homme total. Ecrits dans une langue aux accents variés, qui vont du symbolisme le plus intimiste aux grands développements épiques, en passant par l'humour noir et la dénonciation brutale, ses poèmes ont de quoi étonner le lecteur français qui se fait de la littérature soviétique une image figée dans l'académisme réaliste socialiste.

01/1970

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Littérature française

La gare sans nom

" Chacun court après le bonheur... ", comme David et Marie qui ne cessent passionnément de vouloir se rejoindre. Mais l'amour ne va pas de soi dans la France effondrée d'après 40, surtout lorsque Vichy-l'Etat édicte des lois très spéciales et que certains deviennent du gibier pour les nazis. C'est le temps où un Etienne se perd dans le fascisme, où une Inès se livre à trafic de faux Turner destinés à Goering. Celui aussi où une mère, un fils, Hortense, Pascal, unissent leurs forces et se lancent dans la Résistance. Au risque d'affronter la mort, ou pire, de débarquer un jour du train, sans passeport et sans visa, sur le quai de La Gare sans nom...

04/1998

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Science-fiction

La montagne sans nom

Cette nouvelle visionnaire et pleine d'imagination illustre à merveille l'art de Robert Sheckley. Pourfendeur acerbe de la société américaine et de son American Way of Life, il s'attaque ici à l'arrogance du productivisme capitaliste et de ses serviteurs, et à la soif d'expansion de l'humanité qui ne peut s'étancher qu'au détriment des minorités, des cultures locales et de la nature."La montagne sans nom" (titre original : "The Mountain Without a Name") est parue aux Etats-Unis en 1955 et en France en 1969 dans la revue Fiction, n° 192. Elle a été reprise en 1981 dans le recueil collectif intitulé La montagne sans nom et autre récits sur la nature (Gallimard, Folio Junior), qui comprend aussi des nouvelles de Ray Bradbury, Christian Grenier, Gérard Klein, Robin Scott, Alfred Eton Van Vogt...

06/2015

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Littérature française

La Colonelle sans nom

5 septembre 1812. Nous sommes à la veille de la bataille de Borodino. Napoléon vient de recevoir le portrait de son fi ls et fait admirer le petit roi de Rome à son armée. Ses généraux ne partagent pas son enthousiasme. Depuis quelques semaines seulement, la Grande Armée s'est enfoncée à travers les plaines de Russie où commence à souffl er le vent aigre de l'automne. Cette nouvelle campagne s'annonce bien différente de celles que les soldats de l'Empire ont connues jusqu'ici. Autour du bivouac de Maman Briscard, en compagnie de son époux Clodomir, du chirurgien militaire Noël Francoeur, et de bien d'autres personnages pour le moins inattendus, nous allons partager la vie quotidienne, les affres, les privations, les souffrances des soldats en butte aux attaques continuelles des cosaques auxquels se sont ralliés des offi ciers royalistes qui ont fait serment de tuer l'Empereur qu'ils détestent. Nous subirons les attaques sans relâche du Général Hiver, puis fi nirons par découvrir l'identité de celle que tous ont surnommée La Colonelle sans Nom...

05/2016

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Policiers

La fille sans nom

Au retour d'un voyage épuisant, en descendant du train, une jeune femme se rend compte que son sac lui a été volé. Mais elle a un problème nettement plus grave : alors qu'elle veut déclarer le vol, elle ne se souvient plus de son nom. Elle a complètement perdu la mémoire. Son seul souvenir, c'est l'adresse de sa maison. N'ayant plus ses clés, elle frappe à la porte. Deux personnes inconnues lui ouvrent. Elle dit qu'elle habite là, dans cette maison. Tony et Laura affirment pourtant ne jamais l'avoir rencontrée. Quelqu'un ment forcément. Mais qui ? Et pourquoi ? Et la ressemblance de la jeune amnésique avec Jemma Huish, une dangereuse criminelle psychotique disparue depuis des années est pour le moins troublante. Seraient-elles une seule et même personne ? Que croire et à qui faire confiance quand on ne sait plus qui on est ?

03/2019

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Policiers

La femme sans nom

Juillet 1984. Une jeune femme est violemment agressée par trois individus dans une maison isolée, quelque part en Alsace. Trente ans après, un journaliste parisien est retrouvé mort dans une chambre d'hôtel de Sélestat, son corps mutilé selon un protocole parfaitement maîtrisé. Chargé de l'enquête, le commandant Jovard soupçonne un mobile de vengeance. Quelques jours plus tard, c'est au tour d'un directeur de banque d'être découvert assassiné dans ce que certains appellent la "maison hantée" de Saint-Hyppolite. S'engage alors la traque entre les policiers de Sélestat et celle qui s'avérera être l'instrument d'un implacable châtiment. Pour Jovard, qui s'interroge sur l'amour qu'il éprouve envers la femme de ses pensées, cette enquête se révélera être l'une des plus pénibles de sa carrière. Au coeur de la nuit, plusieurs questions viendront le hanter. Une telle férocité se justifie-t-elle au nom de la vengeance ? Les gens sont-ils toujours conformes à leur image ? Une faute passée doit-elle sans cesse se payer ?

12/2019

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Littérature française

La ville sans nom

Marseille et les Marseillais sont les héros aimés et haïs de ce roman. Sur un mode peu ordinaire, entre imprécation et chant lyrique, la démesure et l'excès de Marseille sont ici grandiosement mis en scène et c'est un clochard vitupérant qui décrit tout ce qu'il voit et entend ou croit voir et entendre, à travers un discours heurté, ordurier. Loin des blagues rituelles, le lecteur est convié, passant du tragique au comique, à un examen mouvementé de la ville.

02/1989

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12 ans et +

La fille sans nom

Ballottée de déménagement en déménagement, Camille, quinze ans, ne compte plus les endroits où elle a vécu. Ses parents semblent fuir, mais elle ne sait pas quoi.Tout ce mystère l'étouffe. Et puisque personne ne daigne écouter ses désirs, elle décide de fuguer. Enfin la liberté! Quand elle aperçoit le petit écriteau déposé par deux marins : "Recherche garçon à tout faire contre gîte et couvert", Camille voit l'occasion idéale de commencer sa nouvelle vie. Mais ce que la jeune fille ignore, c'est qu'en signant le drôle de contrat que le propriétaire de la péniche lui tend, elle deviendra son esclave... pour l'éternité. Afin de se libérer de l'emprise de son nouveau maître, Camille devra faire face à de nombreux dangers. Au cours de son périple, elle découvrira Ether, un monde de magie qui pourrait bien la révéler à elle-même.

03/2019

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Sociologie

La prison dans la cité

" On m'a changé de cellule. Avant, de mon coin de fenêtre, je voyais un bout du bois, j'entendais les oiseaux... maintenant, j'aperçois le parking de Mammouth, les gens qui vont et viennent avec leurs caddies. A Noël, je voyais les familles qui faisaient leurs courses pour les fêtes ; ça m'a foutu le cafard. " Si le détenu guette depuis sa cellule les mouvements de la Cité, celle-ci semble plutôt ignorer les personnes qu'elle a fait incarcérer. Pourquoi s'intéresser d'ailleurs, comme on l'entend souvent, à des " étrangers à la communauté, qui non seulement la menacent, mais de surcroît lui coûtent cher " ? Que valent ces représentations ? Pourquoi méconnaît-on si souvent les liens complexes qui existent entre les établissements pénitentiaires et le macrocosme sociétal ? Que donne à voir la nouvelle politique d'ouverture pénitentiaire sur l'évolution de ces relations et sur la place exacte qu'occupe la population carcérale dans la Cité ? Toutes ces questions, les auteurs ont tenté d'y répondre en réinscrivant les prisons dans leur environnement local et national, les prisons, c'est-à-dire les détenus, mais aussi tous ceux qui les encadrent ou travaillent avec eux. Si l'on voit, selon eux, se dessiner progressivement un mouvement de réhabilitation civique des personnes emprisonnées, celui-ci ne peut néanmoins que se heurter à terme à l'opposition radicale qui a toujours existé dans les régimes démocratiques entre citoyenneté et privation de liberté.

09/1997

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Psychologie, psychanalyse

Le psychanalyste dans la cité

Nous communiquons, souvent follement, par la plainte, la justification, la démonstration, la provocation et la séduction (avoir raison ! ). Nous adhérons sans réflexion à ce qui nous plait dans les propos, les objets, tout ce qui nous attire et nous devient plus-value affichable. La gratification fugace masque les peurs ancestrales, l'héritage des redoutables secrets de famille et le sentiment commun de culpabilité et d'impuissance face à l'étrangeté du monde. Face à l'angoisse de nos limites et de notre finitude il faut cristalliser notre pensée entre espoir et menace sur nos " objets " phobiques ou fétiches. Comme les primitifs qui nous précédèrent, il nous faut alors sacraliser un espace totémique idéalisé et rituel borné de tabous protecteurs. Mais voici la psychanalyse autorisant les jeux du rêve. L'imaginaire peut errer, tracer et énoncer à sa guise combinant à l'infini les idées, les signes et les mots jusqu'à échapper aux normes et aux emprises.Voici naître l'esthétique, l'humour, l'élégance et même le panache. Le mythe infantile de chacun prend sens, s'énonce, peut s'écrire et chasse les vieux fantômes des héritages bornés. Les défenses répétitives s'effacent dans cette liberté d'énonciation comme dans les retraites spirituelles, les voyages aventureux et les longues incarcérations politiques... L'aliénation aux idéalismes sociaux et les hypothèques intimes se dissipent. La liberté de dire, l'audace de faire et même la tolérance à l'étrangeté d'autrui, nous font surprise. On n'en devient pas moins fou ou souffrant, mais moins sot et moins anxieux de la confrontation à une réalité rarement complaisante. Le peintre Dali et le psychanalyste Lacan nous suggèrent cette libération de l'emprise, toujours perverse, des systèmes quels qu'ils soient. L'assujettissement aux pouvoirs quotidiens, domestiques ou sociaux devient alors plus léger.

03/2019

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Sciences historiques

L'historien dans la cité

L'historien est un citoyen comme tant d'autres, vivant et ayant des droits et devoirs, au sein de la cité. Mais il a en plus un rôle spécifique à y jouer, méconnu de beaucoup : établir les faits, puis les expliquer en montrant leurs causes et en les reliant à leurs conséquences, de façon rationnelle, afin qu'ils deviennent intelligibles. Le devoir de l'historien est donc de rendre témoignage fidèlement de ce qui est ou de ce qui fut. Ce devoir est devenu aujourd'hui d'autant plus indispensable que les années que nous venons de vivre ont donné en quelque sorte un brutal congé à l'histoire, une bascule de tout le passé dans un temps indifférencié. C'est exclusivement à cet objectif que tendent les textes ici rassemblés, conférences publiques au ton volontiers oratoire, n'ayant qu'un but, éveiller la conscience de nos concitoyens, en les incitant à lire le sens des événements. Car l'historien n'impose pas son jugement, il se contente de fournir la possibilité d'un véritable jugement sur la cité avec ses orientations et ses risques. Ainsi, l'histoire, loin d'être un réquisitoire, est davantage un guide pour l'action.

12/2015

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Religion

Un rabbin dans la cité

Lorsqu'il s'est présenté en 1994 à l'élection au grand rabbinat de France, Gilles Bernheim a suscité un immense espoir. Celui d'un judaïsme renouvelé et ouvert au dialogue : avec les non-juifs, à l'heure où les catholiques tendent la main à leurs frères aînés - avec les athées, qui désormais sont la majorité; avec tous ceux qui sont rejetés sur les marges d'une société de plus en plus dure - SDF homosexuels, malades du sida, etc. Aujourd'hui, c'est dans un livre qu'il a choisi d'exprimer une pensée jusque-là réservée à ses seuls élèves. Il montre que l'on peut être un rabbin orthodoxe sans être pour autant coupé de la cité dans laquelle nous vivons; que le judaïsme ne peut ignorer tout l'apport de la culture moderne, juive ou non; que le temps du ghetto est fini et qu'il faut bâtir un judaïsme vivant. Gilles Bernheim nous le dit sans détours : la dérive fondamentaliste menace en ce moment toutes les religions révélées et le judaïsme n'est pas plus que les autres à l'abri de ce mal. Le remède n'est pas dans le repli sur des pratiques vidées de leur exigence spirituelle, ni dans une auto-idolâtrie obstinée; il est dans un approfondissement de la réflexion et du dialogue, seul capable de fortifier l'adhésion du coeur.

03/1997

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Science-fiction

La cité dans les nuages

L’époque des festivités et de la grandeur est révolue… Actéon et Aréthuse vivent dans la misère et sous le joug d’un impitoyable roi, mais leur bonheur ne peut être plus complet depuis qu’ils ont recueilli Stitis, un enfant des nuages. Ce survivant est si petit, si fragile, et pourtant il devra faire preuve de courage et de détermination pour découvrir qui il est et d’où il vient, pour peut-être changer le cours des choses. Aidé de Nyx aux yeux de chat et de Daphnée la ravissante nymphe, Stitis va vivre une aventure qui va le mener au-delà de tout ce qu’il pouvait imaginer.

11/2014

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Faits de société

Un homo dans la cité

" Ma sortie du placard pleine et entière date d'à peine deux ou trois ans. Seuls ceux qui ignorent ce qu'être homosexuel veut dire dans ma culture s'en étonneront. J'ajoute à ce "handicap majeur" que je suis fils de mineur, que j'ai grandi à Saint-Étienne et que je suis l'aîné de sept frères et soeurs. Mais ce n'est pas le pire. " Brahim Naït-Balk a grandi dans la honte. Honte de lui-même, de ses désirs et d'une différence qui l'isolait dans sa propre famille : son homosexualité. Comment vivre avec une telle particularité quand on est musulman, aîné d'une famille marocaine pauvre et nombreuse ? Mais surtout, comment s'épanouir quand on grandit dans des cités de banlieue où la virilité est la valeur suprême et où règne la loi du plus fort ? Alors que Brahim, romantique et sensible, ne rêve que du grand amour, il va subir la violence, les agressions sexuelles et les humiliations quotidiennes que lui font endurer les petits caïds des cités. A la honte de Brahim va s'ajouter la peur. Terrorisé, il a longtemps rasé les murs avant de se révolter. A 30 ans, il décide de s'affirmer et de vivre ses préférences amoureuses au grand jour. Les difficultés se multiplient, mais cette fois, il les affronte. Un homo dans la cité retrace le long chemin parcouru par Brahim pour se muer en être libre, tenir debout et prendre son envol.

09/2009

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Romans, témoignages & Co

Break dans la cité bleue

Maxine et son frère Noé sont passionnés de breakdance. Accompagnés de leur ami Kassim, photographe talentueux, ils font chaque soir résonner le parc situé au pied de leur immeuble de la Cité bleu de Pantin, en Seine-Saint-Denis. Dans un quotidien marqué par les difficultés financières et familiales, la danse est leur refuge. L'annonce de l'ouverture imminente d'une école proposant des cours de breakdance à quelques rues de chez eux les remplit de joie. D'autant que les Jeux olympiques intègrent le breaking en tant que discipline officielle ! Mais leurs parents ne peuvent se permettre une telle dépense... Heureusement, dans leur ville, s'organise un concours où s'affronteront différentes crews locales. Un jury de professionnels départagera les danseurs pour ne désigner qu'un seul vainqueur. Kassim décide alors de mettre ses talents au service de leur cause et des réseaux sociaux. Leur objectif : montrer une facette méconnue de leur quartier pour séduire le public et les jurés. Jusqu'au jour où le rêve de Noé se brise dans un accident de voiture qui lui vole l'usage de ses jambes... . Maxine pourra-t-elle surpasser la douleur et porter la fierté familiale jusqu'aux battles des JO ?

03/2024

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Littérature française

Un papillon dans la cité

Quand Félicie apprend qu'elle va retrouver sa mère en France, elle comprend vite qu'il va falloir laisser seule sa grand-mère, Man Ya, qui l'a élevée. Quand, dans une cité de la banlieue parisienne, elle fait la connaissance de sa mère, de Papa Jo et de son nouveau petit frère, elle supporte un peu mieux sa nouvelle vie. Quand elle se lie d'amitié avec un camarade de classe venu, lui aussi, d'ailleurs, elle ne rêve que d'une chose : lui faire connaître son île lointaine. Un roman plein de tendresse, d'humour et de sensibilité qui enchantera aussi bien les jeunes que leurs aînés.

06/2010

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BD jeunesse

Terre de son nom Tome 1 : La cité enceinte

La nature n'est ni bonne ni mauvaise, elle est simplement en harmonie avec la vie, ce système qui a mis tant de temps à se construire risque de s'effondrer brutalement... Et nous avons de fortes chances de tout recevoir sur la tête. Comment préserver ce fragile équilibre ? Va-t-on devoir comme eux sous une immense cloche de verre ?!

11/2008

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BD tout public

La petite mosquée dans la cité

Quand auteurs de BD et sociologues de terrain s'amusent à décoder les dessous de notre société. Imam du quartier, Moussa doit jongler entre son boulot d'architecte, les attentes des fidèles et l'organisation de la vie de la mosquée. Lorsque la mairie annonce que les locaux vont fermer à cause du projet de rénovation urbaine, c'est la crise.

06/2018