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Jean Paulhan, Jean Guéhenno

Extraits

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Critique littéraire

Cahiers Jean Paulhan N° 2 : Jean Paulhan et Madagascar (1908-1910)

Présenté par Jacqueline Frédéric Paulhan

11/1982

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Critique littéraire

Cahiers Jean Paulhan N° 6 : Correspondance Jean Paulhan-Roger Caillois (1934-1967)

Qu'est-ce qu'une correspondance, si ce n'est un effort pour dissiper les malentendus, vérifier une entente, c'est-à-dire aussi la remettre constamment en jeu. Si Jean Paulhan et Roger Caillois ont correspondu si fidèlement, c'est sans doute dans la conviction que chacun appréhendait une face irréductible à l'autre de la même vérité. Et cette conviction n'a pas été sans raisons. Car, au-delà de ce qui oppose leurs intuitions, on ne peut qu'être sensible à ce qui les a réunies : à savoir, la contradiction elle-même. Car il y a beaucoup de profane dans le sacré de Paulhan, alors même que Caillois fait surgir une horreur et une fascination bien propres au sacré de la Nature profane. La symétrie de leurs positions est moins le signe d'une séparation radicale que celui d'une nécessaire ambiguïté de la vérité. C'est à l'élucidation de cette vérité que Paulhan et Caillois se sont assujettis. Et la rigueur qu'ils ont constamment exigée l'un de l'autre jusqu'à la fin marque assez qu'ils attendaient de leur dialogue une avancée commune dans l'entente de ce qui se dérobe à toute clarté.

05/1991

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Correspondance

André Chamson - Jean Guéhenno. Correspondance 1927-1961

La correspondance d'André Chamson et de Jean Guéhenno - 97 lettres échangées de 1927 à 1961 - est celle de deux amis et écrivains, celle de deux intellectuels des années 1930 qui ont compté dans les lettres et l'histoire idéologique de leur temps. Elle renvoie à la vie familiale et à la production littéraire de chacun, donnant à lire, en pointillés, une partie de leur itinéraire commun, notamment le travail éditorial dans diverses revues, l'aventure de l'hebdomadaire Vendredi cofondé avec Andrée Viollis en 1935, les échanges pendant la guerre et, en fin de parcours, l'Académie française. Les multiples facettes d'André Chamson (1900-1983) - écrivain traduit en plusieurs langues, guerrier créant la Brigade Alsace Lorraine en 1944 avec André Malraux, haut fonctionnaire de l'Etat, félibre, président du PEN Club international - font de lui un élément important de la période. Jean Guéhenno (1890-1978), écrivain engagé, directeur d'Europe, co-fondateur du CNE, est aussi un professeur réputé et un inspecteur général qui oeuvre, après 1945, pour la réforme de l'enseignement. Narrateur de son propre parcours, ce fils du peuple est aussi un analyste perçant de son siècle et de la littérature.

01/2024

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Critique Poésie

Jean Paulhan. La poésie, clef de la critique

La poésie est partout dans la pensée critique de Jean Paulhan. Il s'agit de montrer, en clarifiant les relations qu'il entretenait avec les poètes, puis en commentant certaines notions clés de son oeuvre, quels liens puissants unissent chez lui l'expérience poétique et la méthode critique.

08/2022

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Critique littéraire

Cahiers Jean Paulhan N° 9 : Correspondance (1918-1951)

"Les lettres ici rassemblées furent échangées entre André Gide et Jean Paulhan, et s'échelonnent de février 1918 à décembre 1950. Elles s'apparentent étrangement par leur ton, à la fois libre et prudent. On a le sentiment que chacun mesure ce qui est dit, mais dit toujours ce qu'il croit devoir dire. En trente-trois années, il s'agit de décider ce qui va, ou non, paraître dans La Nouvelle Revue Française. On ne perçoit pas ombre de conflits, mais chez chacun des deux interlocuteurs un respect certain pour l'opinion de l'autre. [... ] Le livre que voici va permettre au lecteur curieux muni du texte finalement obtenu de tourner, pour son propre compte, autour de deux portraits singuliers, involontairement tracés, rigoureux et passionnants, celui d'un écrivain célèbre établi dans sa célébrité, André Gide, et celui d'un écrivain encore masqué, Jean Paulhan, qui donne aux autres une attention constante et incroyable d'acuité, qui avance, recule, réfléchit, et conclut sans hésiter. Cela se fait à petit bruit, à brèves notes en quelques lignes, et se poursuit, troué de rares silences, malgré les censures et les guerres. Double portrait de chacun par soi-même, qui bouge et ne s'effacera pas". Dominique Aury.

06/1998

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Critique littéraire

Cahiers Jean Paulhan N° 4 : Correspondance (1925-1940)

La correspondance échangée entre Jean Paulhan et André Suarès apporte une importante contribution à l'histoire littéraire de l'entre-deux- guerres ; elle enrichit considérablement la connaissance de ces deux écrivains, dont le portrait s'affine et se précise au fil des lettres ; elle éclaire surtout une amitié exemplaire entre deux hommes fort différents l'un de l'autre mais tous deux attachés aux mêmes valeurs : amour de la liberté, goût de la vérité, souci de la beauté. Leur admiration pour les chefs-d'oeuvre du passé ne les enferme pas dans un étroit conservatisme esthétique ; avec une curiosité de bon aloi, ils s'intéressent passionnément aux jeunes écrivains. Leur intérêt, pour la littérature ne les éloigne pas de la vie du monde : devant la montée des périls, l'un et l'autre demeurent attentifs et vigilants. Ardente ferveur, vive sensibilité de Suarès, inlassable patience, admirable générosité de Paulhan : tous deux révèlent une qualité d'âme hors de pair.

10/1987

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Critique littéraire

Cahiers Jean Paulhan N° 5 : Correspondance (1921-1968)

Il est tout à fait exceptionnel que des relations littéraires se transforment en amitiés véritables, totales, profondes, plus fortes que les vicissitudes historiques adverses dont elles auraient pu sortir brisées. Tel fut pourtant le rapport qui rapprocha étroitement Jean Paulhan et Giuseppe Ungaretti pour près de cinquante ans. Français le premier, d'une famille appartenant aux milieux cultivés du Midi, philosophe et d'abord enseignant, puis écrivain et essayiste des plus compétents et aigus, calviniste tempéré par un scepticisme à toute épreuve, homme d'esprit à la curiosité piquante et inlassable mais de tempérament réservé, presque timide de sa personne, à la voix calme ; italien le second, fils de paysans lucquois à demi analphabètes que la misère familiale avait contraints à l'émigration en Afrique, catholique et croyant après une brève phase d'adolescence athée et libertaire, poète, exubérant de nature, parlant haut et roulant les R, les yeux enflammés, prêt par passion à se laisser aller à des transports de colère : qu'est-ce qui les poussa l'un vers l'autre, pour les tenir unis ensuite pour toujours ? Sans doute, à part l'attirance probable du contraire de soi, d'abord la commune générosité de coeur, un identique sentiment du caractère sacré de l'amitié, une même foi dans l'art et le respect réciproque sur le plan humain et professionnel ; en second lieu l'amour pour leurs deux pays, l'espoir (et le rêve) que dans une Europe à reconstruire de fond en comble, France et Italie, oubliant vieilles rancoeurs et rivalités, pourraient enfm s'avancer côte à côte, comme un exemple de tolérance et de collaboration entre les hommes.

10/1989

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Critique littéraire

Cahiers Jean Paulhan N° 3 bis : Les Paulhan. Histoire d'une famille nîmoise

Recherches d'archives et généalogie par Bernard Artigues

10/1984

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Histoire littéraire

Jean Paulhan après la guerre. Reconstruire la communauté littéraire

Cet ouvrage examine le rôle joué par Jean Paulhan dans la reconstitution d'une communauté littéraire mise à mal par les dissensions héritées de la guerre, ainsi que le questionnement mené par ce dernier sur la valeur littéraire après la guerre dans un champ intellectuel en profonde transformation.

12/2021

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Littérature française

Jean-Jean

Jean-Jean, par Albert Brasseur et Frantz Jourdain,... Date de l'édition originale : 1886 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

02/2020

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Critique littéraire

Cahiers Jean Paulhan N° 3 : Cahier du centenaire (1884-1984)

A peine nous ont-ils quittés, ils passent. Ils changent. Ils ont des moments difficiles. Des noirs. Des aurores ? L'oeuvre forte a plus de vie posthume devant elle qu'elle ne pouvait en recevoir de notre existence. Qu'on ne la perde pas de vue : celle qui n'est plus aimée est morte. S'il y a un tribunal de l'histoire (y en a-t·il un ?), nous en sommes les juges, mais, à défaut d'omniscience, juges de sentiment. Et puisque les morts passent vite, nous ne les veillerons, nous ne les surveillerons jamais assez : chaque jour refaire le point. Où en sommes-nous aujourd'hui avec Jean Paulhan ? Telle était la question qu'il nous semblait souhaitable de poser à l'occasion du centenaire de sa naissance. A sa mort (1968), beaucoup d'articles furent écrits : à les relire on marquerait déjà des différences. Par rapport à ceux que l'on va lire. La personnalité de Jean Paulhan était si "singulière" , ou "curieuse" , qu'elle a déconcerté amis et ennemis. Elle représentait (n'ayons pas peur des "lieux communs" dont il était le défenseur) une puissance, "l'éminence grise des lettres" , en un temps où (Malraux l'a exactement rappelé) la littérature l'emportait sur la politique dans l'intelligentsia française. D'où une situation ambiguë : l'avenir posthume de Jean Paulhan dépendait d'une part de ceux qui n'aspiraient qu'à être publiés dans la N. R. F. , d'autre part de ceux qui dépérissaient à ne pas l'être. Puis la guerre, l'Académie : applaudissements et rancunes. Profitons des derniers témoins. Etudions un texte dont la clarté devient de plus en plus intelligible.

10/1984

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Critique littéraire

Correspondance 1926-1968

Paulhan se juge "tout à fait banal" , se range dans "le parti des gens qui s'intéressent, qui sont à chaque instant épatés" . Guéhenno a la conviction d'appartenir à "une espèce commune de l'humanité" , celle de "ces hommes de série" , que désemparent les événements. Coquetteries d'intellectuels et d'écrivains qui savent trop bien qu'on ne les prendra pas au mot, que leurs oeuvres disent tout le contraire ?Leurs lettres incitent à ne pas répondre trop vite. A côté de la Grande Guerre, du Front Populaire ou de l'Occupation, il y est beaucoup question de divers petits événements, que l'on appelle trop vite "fait divers" . L'un, "esprit insaisissable" , se méfie des professeurs, auxquels il reproche "d'avoir leur siège fait, leur système" . L'autre en veut aux "joueurs" et a parfois soupçonné son ami "d'aimer les idées, pour le plaisir, à tous risques, et dût le monde s'écrouler" . Pourquoi, dans ces conditions, leur amitié n'a-t-elle jamais connu de ces "vacances" qui séparent des esprits pourtant mieux faits pour se comprendre et s'estimer ? Parce qu'ils partagent une conviction : "Nous ne sommes pas le centre du monde, nous ne valons, nous ne sommes dans la vérité qu'à condition de nous négliger nous-mêmes pour autre chose" . Cette autre chose peut être la politique, la métaphysique ou la résistance à l'oppression. Dans tous les cas, elle passe par cet amour de la littérature qui, seule, peut expliquer le monde et donner un sens aux faits divers dont il est question dans cet entretien de quarante ans.

11/2002

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Théâtre

JEAN

Plus encore qu'une pièce de théâtre, Jean est un jeu présenté dans un lieu fictif par des comédiens qui eux-mêmes jouent à se nommer Jean, Pierre ou Chérie, transformant ainsi le texte en un univers de sons, bruits, silences. Si l'on ne tient pas compte de cet univers particulier, la lecture du texte devient pratiquement impossible : il n'est pas question d'y trouver une histoire à raconter, mais uniquement le support d'une action. "L'acte théâtral ne peut pas être n'importe quoi, mais dans n'importe quoi il peut prendre son prétexte", écrit Jean Genet. Le "n'importe quoi", c'est ici la cour d'un immeuble misérable où vivent Jean, sa femme, son père et ses voisins. L'apparente banalité soudain se brise : par amour, Jean jette sa femme dans la cage de l'escalier, trahit son meilleur ami, se débarrasse de son père puis d'une jeune fille, pour se retrouver ensuite encore un peu plus seul, comme si rien n'avait eu lieu. Mais tout cela n'est qu'une possibilité de fiction : les comédiens l'interprètent en simulant le rire et les cris, la mort ou l'amour, car en fait le théâtre n'est qu'apparence : rien ne se passe, mais tout peut arriver grâce aux intervalles entre les mots et les silences, donnant ainsi naissance à une signification capable de rendre visible ce qui ne l'est pas.

11/1967

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Littérature française

Jean

Jean vient de mourir. Devant le crématorium, Mathieu, l'ami, Sophie, l'amour ; et Jean qui parle encore à travers eux. Dans ce récit court et dense où se mêlent les temps (enfance, adolescence, maturité), les voix (dans la tête de qui sommes-nous, qui écrit, qui devons-nous croire ?) le lecteur, sans que cela ne soit jamais dit, est confronté aux questions les plus fondamentales, les plus intimes. Jean - tel un Rimbaud du XXIème siècle - a tout vu, tout connu, tout rencontré, la gloire et la vanité de la gloire, l'amour et l'amitié, la tentation du départ et l'impossible ailleurs. A travers trois personnages, Frédéric Cosmeur - dont c'est le premier récit publié - parvient à concentrer avec l'évidence de la poésie l'essentiel de la quête éternelle de l'humain, ce " bleu fondamental recherché en pure perte, mais non en vain " .

05/2001

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Critique littéraire

Choix de lettres / Jean Paulhan Tome 1 : La Littérature est une fête

Lorsque Jean Paulhan disparut, en 1968, il laissait un domaine immense, celui de sa correspondance : des milliers de lettres. A force de les lire et de les relire, il a paru possible d'en dégager trois massifs. Trois grandes périodes. Ainsi de 1917 à 1936 la littérature - et ce sont les grandes années de La Nouvelle Revue Française. Ainsi de 1937 à 1947 ce qu'il faut bien appeler une activité publique même lorsqu'elle fut clandestine. Et de 1948 à 1968, avec la composition de la suite et de la conclusion des Fleurs de Tarbes, une concentration farouche sur l'énigme du langage, secret poursuivi depuis l'âge de dix-neuf ans. Et sans doute ni l'activité de directeur de revue ni les difficultés du combat politique n'ont jamais occulté la recherche spirituelle. Pourtant c'est un fait que chaque période se définit naturellement par son accent propre, ou plutôt majeur. Chacune offre la matière d'un volume. Chacune offre même un titre qui existait déjà dans l'oeuvre, dans les lettres ou dans le souvenir des propos familiers : pour 1917-1936 La littérature est une fête. Pour 1937-1947 Traité des jours sombres. Pour 1948-1968 Le Clair et l'Obscur. Ces trois volumes proposent finalement de l'auteur trois portraits différents et semblables, d'autant plus fidèles qu'il ne savait pas qu'il les traçait, d'autant plus vivants qu'ils sont vus de biais dans un miroir, comme il est de règle pour les portraits de l'auteur par lui-même - mais ici c'est le lecteur qui tient le miroir, et fait bouger l'image.

02/1986

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Littérature française

Jean-Luc et Jean-Claude

Dans le café de ce petit bourg où Jean-Luc et Jean-Claude ont la permission, tous les jeudis, de venir boire un verre (sans alcool), les choses prennent ce jour un tour inhabituel. D'abord, il y a ce jeune gars aux cheveux si blonds, il émerveille les deux amis parce qu'il vient d'Abbeville. Et puis demain c'est vendredi, le jour des soins redoutés par Jean-Luc qui sent en lui quelque chose gronder. Peut-être un écho de la tempête qui vient de balayer tout le canton, mettant en danger les phoques de la baie et pour lesquels Jean-Claude se fait tant de souci. Il suffira d'un rien, un billet de loto qu'on refuse de valider à Jean-Claude, pour que tout se dérègle.

08/2022

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Critique littéraire

JEAN PAULHAN, LE CLAIR ET L'OBSCUR. Colloque de Cerisy-la-Salle 1998

Voici plus de trente ans que Jean Paulhan est mort et que le nombre de ses écrits ne cesse de grandir. On a rassemblé des chroniques, des "traités", des carnets, des fragments autobiographiques ; et chaque année qui passe fait un peu moins incomplète son immense correspondance. Face à tant d'écrits nouveaux et d'informations inédites, il était temps d'essayer de faire le point, et d'interroger sur de nouveaux frais l'œuvre encore méconnue d'une figure illustre et secrète. Car ce subtil (à qui l'on a parfois reproché trop de subtilité mais qui sut, après Munich ou aux jours sombres de l'Occupation, faire les choix simples que les temps exigeaient) ne s'est pas contenté d'être, un demi-siècle durant, au centre de la vie littéraire et intellectuelle française, d'éclairer la voie du jeune Éluard ou celle de Joë Bousquet, d'être le "grand juge" de Michaux, d'aider Ponge à accoucher du Parti pris des choses, de favoriser l'essor de Blanchot, ou encore de saluer le génie de Braque ou de Dubuffet. Il a également donné (avec le Guerrier Appliqué, les Progrès en Amour assez lents ou Les Fleurs de Tarbes) quelques récits et essais parmi les plus singuliers de ce siècle : avec une précision incisive et joueuse, ennemie de tout pédantisme, il y invite son lecteur à considérer quelques-uns des paradoxes auxquels notre modernité littéraire, politique, picturale, continue de se heurter, et que les actes de ce colloque - le premier qui ait été consacré à Paulhan depuis 1973 - voudraient essayer d'éclairer, à l'aide de contributions venues de plusieurs disciplines et d'horizons intellectuels très divers. Le présent volume porte le numéro 9 bis de la "Série Jean Paulhan ".

12/1999

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Littérature française

« Jean le Retrouvé ». Jean-François Caracci dit « Jean le Retrouvé »

Jean-François Caracci de par sa naissance est lié à la Maison royale de Roumanie. Royaume de Roumanie est le rêve d'un Prince de sang de voir le Royaume de ses ancêtres renaître. Jean-François Caracci souhaite que la Roumanie redevienne puissante et prospère en tant que Monarchie restaurée et ce livre explique sa vision. Royaume de Roumanie est l'Idéal de Jean le Retrouvé.

10/2016

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Critique littéraire

La Nouvelle Revue Française N°286, octobre 1976

N.R.F. , "Comment s'accorder sur ce que représente une lettre ? Est-ce le premier pas..."André Suarès, Lettres à Marie Dormoy ; Lettres à sa soeur Léon Bloy, Lettres au baron Albert Lumbroso John Cowper Powys, Lettres à Llewelyn Powys Gustave-Charles Toussaint, Lettres à Jean Paulhan Paul Valéry, Lettres à Jean Paulhan Pierre Reverdy, Lettres à Jean Paulhan Giuseppe Ungaretti, Lettres à Jean Paulhan Marcel Proust, Lettres au baron Albert Lumbroso ; Lettre à Julien Benda André Malraux, Lettres à Marcel Arland Francis Jammes, Lettre à Jean Paulhan André Harlaire, Lettre à Marcel Arland Max Jacob, Lettres à Jean Paulhan ; Lettres à Jean Denoël Joë Bousquet, Lettres à Francine Georges Rouault, Lettres à Marcel Arland Jean Schlumberger, Lettres à Marcel Arland Paul Claudel, Lettres à Jacques Borel Jean Paulhan, Lettre à Paul Eluard ; Lettre à Pierre Drieu la Rochelle ; Lettre à Gonzague Truc ; Lettre à Jean Fautrier ; Lettre à Jean Guéhenno ; Lettre à Henri Pourrat ; Lettre à Marcel Jouhandeau Jacques Audiberti, Lettre à Marcel Arland ; Lettre à Jean Paulhan André Gide, Lettre à Anne Heurgon Gaston Chaissac, Lettre à Gaston Gallimard ; Lettre à Louis Cattiaux ; Lettre à la Galerie de France Henri Matisse, Lettre à Henry Clifford Jacques Chardonne, Lettres à Marcel Arland Georges Braque, Lettres à Jean Paulhan Albert Camus, Letttres à Pierre Moinot Henri Thomas, Lettres à Dominique Aury ; Lettres à Marcel Arland Michel de Ghelderode, Lettres à Alain Bosquet Jean-Philippe Salabreuil, Lettres à Marcel Arland Yves Régnier, Lettre à Marcel Arland Janine Aeply, Lettre à Dominique Aury Armen Lubin, Lettre à Jacques Brenner Georges Perros, Lettres à Marcel Arland ; Lettres à Jean Grosjean Dominique Aury, Lettres de Cécile à Georges pour un roman collectif Michel Léturmy, Lettre à un évêque Jean Bastaire, Lettre à une comédienne Guy Rohou, Lettre à Irène et François Gachot sur le marron du Balaton Boris Schreiber, Lettre à son père Jean Blot, Lettre à Marcel Arland sur un péché véniel (ou sur les spectacles qu'on se donne) André Dhôtel, Lettre au jeune Martinien Alain Bosquet, Lettre à Marcel Arland Jacques Chessex, Lettre à Bertil Galland sur la rencontre d'une prairie Jude Stéfan, Lettre aux soeurs Julia Kristeva, Lettre à Dominique Aury Roger Judrin, Lettre sur la lettre.

10/1976

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Romans de terroir

Petit Jean

Dans les années soixante, en Corrèze, Marie a quitté la ferme de ses parents pour la ville voisine et une place d'ouvrière dans une scierie industrielle. La jeune paysanne rêveuse a du mal à s'adapter à l'univers rugueux de l'usine et à sortir de son isolement car ses camarades de travail, plus âgées, sont accaparées par les contraintes de leur vie conjugale et familiale. Marie n'est pas prête pour autant à payer n'importe quel prix pour échapper à la solitude. Et certainement pas disposée à céder aux avances du patron de l'usine, Danssault. Elle croit trouver le grand amour quand elle rencontre Jean, fils de bourgeois qui disparait du jour au lendemain en lui laissant un enfant, Petit Jean. Pour assurer le bonheur de Petit Jean, Marie devra faire des choix déchirants...

10/2019

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Littérature française

Jean-Jacques

" Etre fan est un trou dans la tête que l'on comble de la lumière d'un autre. " Enfant des Stones et de Bowie, elle n'aurait pas dû s'enticher d'un chanteur de variété française. Envers et contre tous, Goldman est resté l'idole de son adolescence, le frère, l'oncle, l'ami venu animer sa vie intérieure. Comme tous les fans, elle s'est sentie incomprise, possessive, torturée. A bientôt quarante-quatre ans, l'âge où l'on s'accepte, l'âge où grandir n'est en théorie plus un concept, Carine H. , scénariste parisienne fraîchement établie dans la cité phocéenne, s'est donné pour mission de rencontrer Jean-Jacques Goldman - son dieu intime - et de filmer cette quête. Car Marseille, ville rugueuse de son exil tardif, abrite, dit-on, son chanteur préféré. Et c'est pour elle providentiel. De la Corniche au palais Longchamp, une traque burlesque, tendre et poétique qui, à défaut du vrai Jean-Jacques, mais à grand renfort de mauvais sosies et avec la perspicacité d'un Philip Marlowe, va conduire une femme à aller au bout de ses rêves. Et qui sait si cette amoureuse du cinéma, qui voit dans chaque scène de sa vie un peu de James Ivory ou de Billy Wilder, ne finira pas par apprivoiser sa propre histoire... A propos de l'autrice Diplômée d'HEC, Carine Hazan a d'abord travaillé dans la publicité avant de devenir scénariste. Elle est aussi réalisatrice de courts métrages et autrice pour la jeunesse. Son dernier album, La Petite Vague bleue, a paru chez Gallimard en 2020.

01/2021

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Littérature française

Jean-Marie

"Que restait-il après avoir tout dit, tout fait, ressassé, écrit et réécrit, expliqué jusqu'au plus explicite, rameuté les images partout éparpillées, usé des poncifs jusqu'à la corde. Une vérité ? Une certitude ? Une évidence ? Une imprécation ? Non. Ce qui subsiste de tout ce vacarme c'est le rien". Jean-Marie aura vécu dans une société dont il ne comprit que tard le prix... Il dut se départir de sa jeunesse, ses idéaux et sa liberté, il sacrifia sa femme et son enfant pour la satisfaire. Par l'entremise de rêves éclairants, il saisit enfin ce qu'il était devenu et parvint à réaliser, dans un désarroi existentiel latent, la personne publique qui le représentait jusqu'à la caricature. Après avoir goûté aux joies de la notoriété et du paraître, il perdit les deux. Abandonné par un corps trop lâche et une mémoire en perdition, commence alors sa quête effrénée d'une identité égarée, ponctuée de quelques digressions philosophiques sur la société et les hommes. Belge d'origine albanaise, Bardhyl Alia prête ses talents de comptable et financier aux sociétés qui y recourent. L'écriture l'aide à mieux nommer les choses, à les identifier avec plus d'acuité, tout en libérant une imagination qui se déploie dans un lyrisme qui parfois le surprend.

09/2019

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Littérature française (poches)

Jean Barois

Barois (à l'appareil) : " Allô ! le commissaire ? Bien... Je suis le directeur du Semeur. Il y a une émeute, rue de l'Université, sous mes fenêtres. " Ah, déjà ? Bon, merci... " Je ne sais pas ; mille, quinze cents peut-être... " Le tapage continue : martèlement cadencé des semelles sur le pavé, dominé par une sorte de rugissement, d'où se détachent, en notes plus aiguës, des cris " Mort à Dreyfus ! Mort à Zola ! Mort aux vendus ! " Roger Martin du Gard (1881-1958), Prix Nobel, est l'auteur du célèbre cycle romanesque Les Thibault. " Ce qui me séduisit tout de suite dans, Jean Barois, ce fut la forme, si neuve et si imitée depuis, la sécheresse de ce découpage de film... Puis je fus conquis plus profondément par l'ouvrage, ce panorama de l'intelligence française " (Paul Morand). " Dans, Jean Barois, les individus sont intacts et la douleur de l'histoire toute fraîche " (Albert Camus).

11/2003

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Critique littéraire

Jean Potocki

De jean Potocki, on sait qu'il écrivit un livre appelé à devenir mythique, le Manuscrit trouvé à Saragosse, et qu'il polit son suicide comme son chef-d'œuvre, avec une minutie qui fascina Caillois et les surréalistes. Mais, où que l'on aborde dans la vie du comte jean, c'est l'étrangeté qui surgit. Ce grand seigneur polonais, richissime, peut se piquer de politique et de patriotisme, devenir député en son pays, le goût de l'aventure le jette bientôt à la découverte du monde, là où l'Histoire palpite : la France de la Révolution, où il fréquente Mirabeau et Mme de Staël, qui l'appelle son " beau ténébreux ", la Russie, où il devient conseiller privé du jeune tsar Alexandre 1er, la cour du sultan du Maroc, où il promène ses innombrables malles... Dans les salons aristocratiques, le désert d'Égypte ou les steppes du Caucase, le comte laisse derrière lui le souvenir d'un original, d'un érudit distrait et gaffeur. Car ce fils des Lumières, passionné de sciences et d'histoire, se livre corps et âme aux projets les plus fous : il se fait construire un ballon en son palais de Varsovie afin de survoler la ville, il échafaude pour le tsar l'annexion de la Tchétchénie, il crée une imprimerie pour diffuser ses livres, il imagine de fonder une ville nouvelle en Crimée... Et puis, en 1815, d'une balle dans la tête, le comte jean tire sa révérence au monde. Il a, en guise d'ultime pensée, jeté quelques dessins fantastiques sur une feuille de papier...

08/2004

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Documentaires jeunesse

Jean Jaurès

Homme politique, brillant orateur, pacifiste convaincu, Jean Jaurès a lutté pour éviter le déclenchement de la Première Guerre mondiale. Quelle Histoire vous propose de retracer la vie de ce défenseur de la paix.

03/2019

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Sciences historiques

Jean Lafont

Eleveur de taureaux de Camargue, esthète éclairé et amateur d'arts, créateur d'un arboretum remarquable et d'une boite de nuit flamboyante restée gens les annales, initiateur d'opéras retentissants dans le cadre des arènes de Nîmes, Jean Lafont a laissé son empreinte d'homme libre et déterminé depuis son royaume de Camargue. Des proches, dont Sophie Calle, Benoît Duteurtre, Jean-Michel Othoniel et Jean-Claude commentent et prolongent l'album étourdissant de sa vie.

04/2019

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BD tout public

Jean-Louis

Chroniques d'un prof aussi bof que beauf Le job de Jean-Louis ? Prof. Le défi de Jean-Louis ? S'intégrer harmonieusement à l'équipe de son nouveau collège et, surtout, trouver l'âme soeur ! Le problème de Jean-Louis ? Il est gaffeur, lâche, fringué comme l'as de pique, lourdingue, réac à mort et dragueur lamentable. Heureusement Jean-Louis a son jardin secret : une Encyclopédie, dont il poursuit inlassablement la rédaction jour après jour. Parmi les sujets essentiels auxquels s'attaque notre prof d'exception, quelques questions centrales, comme "Qui a inventé la grippe ?" , "D'où vient le célibat ?" , ou encore "A quoi sert le saut en longueur ?" En compagnie de Fabcaro et de son invraisemblable sens de la trogne et de la réplique qui tuent, venez donc faire connaissance avec Jean-Louis, votre nouveau pire ami !

05/2018

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BD tout public

Jean-Jacques

Grands admirateurs de Rousseau, Jean et Jacques Chapelet n'ont qu'une obsession : inviter le philosophe chez eux, à Précy-sur-Oise. Tant pis si leur maison tombe en ruine ou si le jardin qu'ils dessinent en s'inspirant des paysages décrits dans La Nouvelle Héloïse est inculte. Il viendra ! Et s'il ne veut pas, ils iront le chercher. Par les pieds s'il le faut.

08/2009

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Histoire internationale

Jean Feuchère

Jean Feuchère. (Notice par J. Janin) Date de l'édition originale : 1853 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

01/2021

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Cinéma

Jean Eustache

Pour beaucoup, le nom de Jean Eustache est associé à un film mythique ; La Maman et la Putain, dans lequel une génération entière reconnut le ton juste du " discours amoureux " au début des années 70. Chaque fois qu'il est à nouveau présenté au public, La Maman et la Putain voit confirmée sa faculté de bouleverser de nouvelles générations de spectateurs. Jean Eustache est l'un des cinéastes importants apparus dans la mouvance de la Nouvelle Vague. Ce moraliste d'une exigence farouche et d'une indépendance souveraine sut se donner les moyens de réaliser les films qu'il avait envie de faire, même si ceux-ci n'entraient pas toujours dans les standards de la production. Longs métrages comme La Maman et la Putain (1973) ou Mes petites amoureuses (1974), moyens métrages comme Les Mauvaises Fréquentations (1963), Le Père Noël a les yeux bleus (1966) ou Une sale histoire (1977) ; films produits pour la télévision comme Le jardin des délices de Jérôme Bosch (1979) ou Les Photos d'Alix (1980), tournages en 16 mm ou 35 mm, l'œuvre de Jean Eustache, depuis son premier film en 1963 jusqu'à sa disparition en 1981, est ici mise en lumière dans toute sa richesse, sa cohérence et son importance au regard de l'histoire du cinéma français. Sa reconnaissance à l'égard de ceux qu'il appelait ses " cinéastes de chevet " - Dreyer, Mizoguchi, Guitry, Lang, Renoir, Bressan -, sa lucidité, son amour absolu du cinéma dessinèrent son parcours vers une esthétique éminemment personnelle, entre document et fiction, entre la vie et le cinéma.

03/2005