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Ce que parler veut dire

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Lecture 6-9 ans

Ce que parler veut dire

Dans les quatre pièces de ce recueil, se mêlent rires, éclats de voix, apparitions furtives, répliques brèves. Tout un monde se dessine en arrière-plan. Le ton est souvent cocasse ou franchement burlesque, l'humour subtil et savoureux.

02/2013

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Linguistique

La Parole intérieure. Qu'est-ce que se parler veut dire?

Chacun d'entre nous se parle à soi-même : en son for intérieur ou à voix haute, sous forme verbale ou sous forme d'images. Pourtant, nous ignorons souvent comment fonctionne ce processus. Il arrive même que nous n'ayons pas conscience de nous parler à nous-mêmes. Mieux comprendre le fonctionnement et les différentes modalités de notre langage intérieur pourrait nous permettre de mieux nous connaître, de mieux nous adapter et de mieux communiquer avec autrui. L'enjeu ici n'est pas d'abord scientifique, il est personnel, interpersonnel et social. En un mot, il est humain. Cet essai retrace les formes et les fonctions positives de la parole intérieure comme du monologue à voix haute, avant d'aborder dans un dernier chapitre la question de la polyphonie et des voix autres qui traversent ma voix ou mes voix intérieures.

03/2021

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Sociologie

CE QUE PARLER VEUT DIRE. L'économie des échanges linguistiques

Le discours n'est pas seulement un message destiné à être déchiffré ; c'est aussi un produit que nous livrons à l'appréciation des autres et dont la valeur se définira dans sa relation avec d'autres produits plus rares ou plus communs. L'effet du marché linguistique, qui se rappelle à la conscience dans la timidité ou dans le trac des prises de parole publiques, ne cesse de s'exercer jusque dans les échanges les plus ordinaires de l'existence quotidienne : témoins les changements de langue que, dans les situations de bilinguisme, sans même y penser, les locuteurs opèrent en fonction des caractéristiques sociales de leur interlocuteur ; ou, plus simplement, les corrections que doivent faire subir à leur accent, dès qu'ils sont placés en situation officielle, ceux qui sont ou se sentent les plus éloignés de la langue légitime. Instrument de communication, la langue est aussi signe extérieur de richesse et un instrument du pouvoir. Et la science sociale doit essayer de rendre raison de ce qui est bien, si l'on y songe, un fait de magie : on peut agir avec des mots, ordres ou mots d'ordre. La force qui agit à travers les mots est-elle dans les paroles ou les porte-parole ? On se trouve ainsi affronté à ce que les scolastiques appelaient le mystère du ministère, miracle de la transsubstantiation qui investit la parole du porte-parole d'une force qu'elle tient du groupe même sur lequel elle l'exerce. Ayant ainsi renouvelé la manière de penser le langage, on peut aborder le terrain par excellence du pouvoir symbolique, celui de la politique, lieu de la prévision comme prédiction prétendant à produire sa propre réalisation. Et comprendre, dans leur économie spécifique, les luttes les plus éloignées, en apparence, de toute rationalité économique, comme celles du régionalisme ou du nationalisme. Mais on peut aussi, à titre de vérification, porter au jour l'intention refoulée de textes philosophiques dont la rigueur apparente n'est souvent que la trace visible de la censure particulièrement rigoureuse du marché auquel ils se destinent. P.B.

06/2016

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Philosophie

Ce que legiférer veut dire

Le pari principal sur lequel repose cet ouvrage est celui de combattre la conception vulgaire qui consiste à considérer le légiférer au sens commun spontané des hommes et des femmes libres, de sorte que tout homme a la capacité de légiférer une fois à l'âge adulte. L'homme d'aujourd'hui, tantôt pense que le légiférer est le domaine de tout homme majeur ; tantôt pense que le légiférer est l'affaire des experts. Mais qui ? L'enjeu décisif de ce livre est de montrer d'une part que le légiférer est plus un savoir qu'un art. Légiférer est une spécialité, un savoir méthodique réservé aux initiés, c'est un savoir explicite de devenir soi et simultanément d'édifier l'espace public. Et d'autre part la responsabilité politique de la philosophie, en montrant la fonction politique de la philosophie, une fonction politique qui ne lui est pas surajoutée ou forcée, mais plutôt une fonction politique qui lui est propre par essence. Et non pas une fonction politique d'ordre théorique, mais une fonction politique de l'ordre pratique permettant à la philosophie de bien jouer son rôle et d'être utile, voire très utile à l'homme ainsi qu'à la société.

06/2019

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Littérature anglo-saxonne

Ce que combattre veut dire

Tout juste renvoyée de l'école, Swiv, neuf ans, écrit à son père absent pour lui raconter son quotidien hors du commun avec sa mère et sa grand-mère. Pas facile de trouver sa place face à ce duo où l'amour cohabite avec le conflit. D'un côté, les sautes d'humeur et l'état émotionnel de sa mère, de l'autre l'excentricité de sa grand-mère Elvira, qui approche la fin de sa vie avec un humour qui n'appartient qu'à elle. Alors que sa mère attend un nouvel enfant surnommé Gord, Swiv accompagne sa grand-mère en Californie pour rendre visite à des proches. Au cours de ce voyage, la petite fille découvrira l'origine des troubles de sa mère et en saura plus long sur une histoire familiale tenue secrète. Avec ce nouveau roman, Miriam Toews explore de manière sensible et personnelle les thèmes qui lui sont chers : le poids de l'héritage familial, les relations intergénérationnelles et ce qui donne du sens à la vie. En s'attachant au point de vue de la petite Swiv, qui étonne tant par sa grande maturité que par son sens de l'humour très singulier, l'autrice introduit une légèreté extrêmement touchante dans un roman qui pourrait sembler grave. Ce trio de femmes qui se battent chacune à leur manière contre la fatalité bouleverse le lecteur par sa justesse et sa vivacité. Un magnifique hymne à la vie et à la résilience.

10/2023

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12 ans et +

Ce que toujours veut dire

Joy, Zoe, Luce et Tali étaient les meilleures amies du monde, jusqu'à l'été de leurs 15 ans, passé au camp de vacances du lac Okahatchee. Depuis, sans explications, Joy a pris ses distances et leur belle amitié s'est délitée. Deux ans plus tard, Joy réapparaît et convie ses trois amies à la retrouver à la soirée de clôture du camp d'été d'Okahatchee. Alors que les jeunes filles entrent dans un photomaton pour prendre une photo d'elles quatre, comme elles l'avaient fait deux ans auparavant, un miracle se produit : les voilà renvoyées dans le passé, à l'été de leurs 15 ans...

09/2015

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Littérature sud-américaine

Ce que tomber veut dire

"Votre mère est très nerveuse". C'est ainsi que tout a basculé dans la vie de Clara. Un premier accroc dans le cours des jours qui depuis n'a cessé de s'élargir, comme les fissures dans la santé mentale de sa mère, clandestine en Argentine pendant la dictature, puis exilée au Mexique, qui fume cigarette sur cigarette au milieu des fantômes de son passé, le regard vide... Clara est la seule à pouvoir aider sa mère à obtenir la réparation promise par l'Etat argentin. Trentenaire pragmatique, mais paumée, partagée entre la tendresse et l'agacement, entre le Mexique et l'Argentine, elle s'efforce de s'occuper au mieux d'une figure maternelle tombée en morceaux et de trouver sa place, si tant est qu'elle existe, dans une capitale tentaculaire et terriblement embouteillée. Avec un remarquable sens de la langue, un humour parfois noir et un esprit toujours vif, Ana Negri explore le lourd héritage de l'exil tout en essayant de débrouiller les fils de son histoire et de tirer au clair sa propre identité. Elle signe un premier roman d'une rare délicatesse, où la mémoire traumatique de la dictature argentine agit comme une bombe à retardement tapie au plus profond de l'être.

03/2022

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Littérature française

Ce qu'elle veut dire

Françoise Renaud recueille ici ce qu'elle veut dire. Elle, l'amie jamais nommée dans ce récit, mais représentée par ce pronom si «personnel» et universel à la fois. Elle, humaine, ni plus, ni moins... Se sentant accompagnée et soutenue par l'écrivain, elle raconte, fouille son histoire pour comprendre. Peu à peu elle pénètre la broussaille, progresse à coeur. Toujours la présence insistante de la mort qui ramène dans le camp de la vie et rallume les lampes sur les berges du fleuve. La seule parole qui tienne est en train de s'écrire. La vérité est dans le livre... dans le livre...

03/2015

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Littérature française (poches)

Ce qu'aimer veut dire

En vérité, la proximité la plus grande que j'ai eue fut avec Michel Foucault et mon père n'y était pour rien. Je l'ai connu six ans durant, jusqu'à sa mort, intensément, et j'ai vécu une petite année dans son appartement. Je vois aujourd'hui cette période comme celle qui a changé ma vie, l'embranchement par lequel j'ai quitté un destin qui m'amenait dans le précipice. Je suis reconnaissant dans le vague à Michel, je ne sais pas exactement de quoi, d'une vie meilleure. La reconnaissance est un sentiment trop doux à porter : il faut s'en débarrasser et un livre est le seul moyen honorable, le seul compromettant. Quelle que soit la valeur particulière de plusieurs protagonistes de mon histoire, c'est la même chose pour chacun dans toute civilisation : l'amour qu'un père fait peser sur son fils, le fils doit attendre que quelqu'un ait le pouvoir de le lui montrer autrement pour qu'il puisse enfin saisir en quoi il consistait. Il faut du temps pour comprendre ce qu'aimer veut dire.

01/2013

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Philosophie

Ce qu'incorporer veut dire

La notion d'incorporation vise à échapper à une série de fausses alternatives telles que celle de l'individuel et du collectif. Elle se réfère à l'idée d'une inscription du social dans les corps. Bien qu'introduisant une rupture fondamentale avec les théories classiques de l'action, elle a paradoxalement été peu discutée dans ses soubassements philosophiques, comme dans ses implications méthodologiques et empiriques. Cet ouvrage à plusieurs voix entend explorer ce qu'incorporer veut dire en envisageant la question à différentes échelles d'analyse et d'instanciation. Il s'agit d'abord de revenir sur la genèse du concept d'incorporation en le situant dans l'espace des théories de l'action, avec et contre lesquelles il s'est construit. Il s'agit ensuite d'avancer dans la saisie des contextes et médiations qui conduisent concrètement à incorporer le monde social. C'est en tenant ensemble ce double mouvement de réflexion que l'ouvrage propose un horizon d'investigation permettant de mieux appréhender la façon dont le social habite les corps, s'incarne en eux.

02/2021

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Linguistique

Les Marocains et leurs langues . Ce que parler quatre ou cinq langues veut dire

Quelle langue parle-t-on au Maroc ? La question paraît anodine. La réponse, pourtant, est loin d'être évidente, tant il y a de langues dans ce pays. Chacune a un rôle bien spécifique mais toutes définissent des projets identitaires bien distincts, qui peuvent être antagonistes. L'auteur analyse chacune d'elles non sur le plan linguistique, qui n'est pas l'objet du livre, mais sur la place qu'elles occupent dans la société marocaine et dans la politique de l'Etat marocain. Au Maroc, on parle l'arabe, bien sûr, mais celui-ci se décline en différentes versions, dialectale ou classique - et tous les intermédiaires -, entre lesquelles l'intercompréhension n'est pas toujours assurée, mais une partie des Marocains s'exprime aussi en berbère (ou amazighe), langue qui possède plusieurs variantes régionales. Le français, voire l'espagnol, hérités de la colonisation, et même aujourd'hui, l'anglais, occupent toujours au Maroc une position incontournable... Ainsi, le jeune Marocain est confronté dès son plus jeune âge à cette surabondance linguistique avec laquelle il devra se débrouiller selon ses aspirations, ses études, sa classe sociale, la région où il vit... Cet empilement de langues est le fruit d'une multitude d'influences culturelles accumulées au cours de 2000 ans d'Histoire et entre lesquelles les Marocains n'ont pas encore su faire des choix définitifs.

04/2023

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Droit

Ce que déclarer des droits veut dire : histoires

Les droits de l'homme nous ont été transmis sous la forme de Déclarations. Malgré l'immense popularité du thème, l'histoire des Déclarations n'a pas été faite. Produites dans des circonstances variées, à l'occasion d'événements politiques majeurs : indépendances, révolutions ou guerres, les Déclarations des droits répondirent à chaque fois à des situations singulières. Elles furent le fruit des expériences collectives qui entourèrent la formation des Etats-nations mais inspirèrent aussi les formes juridiques de supranationalité dont le XXe siècle s'est doté en abondance. Les Déclarations des droits de l'homme ne sont pas des textes d'auteurs et leurs attributions obéirent souvent à des mises en scène tardives. A la question : qui a rédigé la Déclaration universelle des droits de l'homme de 1948, Christine Fauré apporte une réponse nuancée en prise directe avec le contexte politique de l'époque, textes à l'appui. Cet ouvrage a reçu le prix Henri Texier I de l'Académie des sciences morales et politiques.

04/2011

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Sociologie

Casseroles, amour et crises. (Ce que cuisiner veut dire)

La table est le petit théâtre des familles. Avec ses jeux de rôles, ses répertoires imposés (raconter sa journée), ses délices et ses crises. Le repas est aussi le temps fort de la vie familiale. Tout n'est pas simple cependant. Car si la famille rêve aujourd'hui de moments fusionnels, elle est désormais composée d'individus soucieux de leur propre liberté. Quand le fameux cri de ralliement est lancé, "A table !!!" (amoureusement au début, puis plus nerveusement à mesure qu'il est répété), cela signifie aussi : chacun arrête ses activités personnelles pour venir prendre place dans le cercle familial. Or certains (notamment les ados, mais pas seulement) ne sont pas pressés de le faire. Entre désir de proximité et de distance personnelle, trouver le bon ajustement exige désormais des compétences subtiles. Ce qui se passe autour de la table révèle comment une famille fonctionne.

04/2015

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Sciences politiques

Des princes et des gens. Ce que gouverner veut dire

A peine nommé secrétaire général de l'Elysée par François Hollande, Pierre-René Lemas a dû constituer une équipe prête à faire tourner l'appareil d'Etat. Il a ainsi recruté comme adjoint un jeune ambitieux, alors totalement inconnu : Emmanuel Macron. C'est dire si Lemas est l'un des plus fins connaisseurs de notre personnel politique. Passé par l'ENA dans la fameuse promotion "Voltaire", les expériences de ce grand préfet sont aussi diverses que prestigieuses. Son livre est un récit de voyage dans les contre-allées de l'Etat. On y croise des princes — de Gaston Defferre, avec lequel il a débuté, à Pierre Joxe, ou Nicolas Sarkozy — et des gens — ouvriers du livre en grève, agriculteurs désemparés ou mineurs de Florange en colère. Des dorures des palais nationaux aux rassemblements de "start-uppers", Pierre-René Lemas livre la réflexion lucide d'un haut fonctionnaire humaniste qui mesure la dangereuse distance existant entre les élus et les citoyens dans nos démocraties.

10/2019

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Littérature érotique et sentim

Ce que femme veut...

Une grande histoire d'amitié unit six copains d'enfance : Lola, Anaïs la rebelle, le doux Jean-Robert, la sensible Chloé, la "it-girl" lesbienne Zoé et Frank le "golden-boy" tombeur de filles. De Miami à Paris, en passant par New York et la Côte d'Azur, chacun traverse notre époque en essayant de trouver un sens à son existence, mais aussi l'amour. Tout s'organise autour du personnage principal, Lola, le jour où elle décide de "faire un bébé toute seule" par insémination artificielle. Toutefois, suite à un concours de circonstances, il se pourrait bien que le donneur de sperme ne soit pas si anonyme que cela et qu'il puisse s'agir de Frank, avec qui Lola a eu une brève liaison quelques années plus tôt.

10/2013

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Manga

Ce que veut dieu !

Hinata, étudiant à l'université, vit depuis que sa famille est morte avec Midori, qui a décidé de le prendre sous son aile. Il est terrifié à l'idée que Midori le quitte un jour, comme ses parents et sa grand-mère ; aussi préfère-t-il ne pas poser de questions sur les mystères qui entourent son existence. Qui est Midori, et qu'est-ce qui le relie à Hinata ? Pourquoi ne semble-t-il pas vieillir en dépit des années qui passent ? Pourquoi n'a-t-il parfois pas d'ombre, ni de reflet dans le miroir ? Hinata est-il prêt à entendre la vérité ?

09/2020

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Romance sexy

Ce que femme veut

A trente-cinq ans, en plus de traverser une crise existentielle et de digérer une (autre ! ) rupture amoureuse, Laurence Cartier-Dubois veut plus que tout devenir écrivaine. Son rêve ultime : signer un roman érotique qui reflète la réalité des femmes et leur fait du bien. Le hic, c'est que pour parler de sexe, d'amour et de désir féminin, elle a bien peu vécu... Elle a beau avoir la plume agile et l'imagination fertile, ses quelques ex ne lui ont jamais permis de vivre des émois particulièrement renversants. La passion, la vraie, c'est possible, non ? Lorsqu'elle rencontre Emmanuelle Lanthier, une conseillère en amour qui fait sensation, le destin frappe fort : cette "cupidonne" délurée lui offre sur un plateau d'argent une occasion inespérée de mener son projet à terme : l'accès privilégié aux histoires intimes et assez-pimentées-merci de ses clientes. Au fil de ses entretiens avec les protégées d'Emmanuelle, la jeune auteure posera un nouveau regard sur ce que veulent vraiment les femmes, au lit et... dans la vie. Et sur ce qu'elle veut elle aussi, pourquoi pas ?

04/2022

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Théâtre

Ce que baleine veut

Mais qu'arrive-t-il donc à Philibert ? Quelque chose ne tourne plus tout à fait rond. Il est la plupart du temps ailleurs, disparaît longuement dans sa chambre, ou encore – et c'est bien là le plus étrange, voire le plus inquiétant – adopte des comportements complètement inhabituels : tantôt agressif et grossier vis-à-vis de ses parents, tantôt serviable à l'excès au point de récurer la maison jusque dans les moindres recoins... En dehors du fait que Philibert est un enfant turbulent détestant les épinards, ses parents ne remarquent rien, ou presque. Seule sa grande soeur, Capucine, s'aperçoit de la déconcertante métamorphose et s'en alarme. Elle décide de prendre plus de temps à l'observer et à tenter de comprendre ce qui peut motiver ses comportements incohérents. C'est d'ailleurs elle qui nous raconte ce curieux et tragique épisode dont la famille ne sortira pas indemne.

01/2021

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Romans de terroir

Ce que Fanny veut...

Paris, fin du XIXe siècle, entre la butte Montmartre et les quartiers chics de la capitale, Fanny, jolie fleur ambitieuse et maligne de bientôt seize ans, met tout en œuvre pour s'extraire de sa condition. Elevée par une fille-mère, ancienne prostituée et alcoolique, elle gagne sa vie en posant pour des peintres en mal de gloire en espérant un avenir meilleur. Pour parvenir à ses fins, elle mise sur sa beauté, son culot, et trois hommes : Geoffroy, le bel aristocrate,  Nathan, le médecin philanthrope, et Sam, compagnon de route de toujours… Elle parviendra à se hisser à la condition enviée de nourrice dans une belle maison bourgeoise, en sacrifiant sa propre famille, mais Fanny, imprévisible, n'en a jamais assez…

04/2015

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Littérature française

Pour ce que ça vaut

Edouard, 18 ans, étudiant, orphelin, a un penchant pour la bouteille. Avec des relations amicales et amoureuses en fil rouge, ce récit aborde des thèmes tels que la mort, l'amour, l'amitié ainsi que l'autodestruction.

09/2014

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Littérature française

Ce qu’on ne peut pas dire

Caroline Lefèbvre, enseignante expérimentée, fait sa rentrée en classe de CE1. Cette année, elle accueille à mi-temps dans sa classe un petit garçon autiste qui sera suivi par Martine, son AVS, qui démarre dans le métier. Caroline doit faire face à une classe très difficile et hétérogène, dans laquelle les élèves fragiles ou un peu différents, comme la petite Nadia, enfant précoce et sensible, auront beaucoup de mal à vivre. Un des enfants les plus perturbateurs est le petit Tanguy, un enfant mystérieux, que Caroline n'arrive pas à cerner. A travers les voix de Caroline, Martine et Nadia, nous suivrons l'année scolaire qui se déroule dans un climat de plus en plus lourd et tendu.

08/2018

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Psychologie, psychanalyse

Que veut dire "faire" l'amour ?

Pourquoi dit-on "faire" l'amour alors que cet événement nous fait plutôt que nous le faisons? Un peu, beaucoup, passionnément... ou pas du tout, nous y sommes poussés par une force plus grande que nous. Ce livre explore les puissances qui animent ce moment, des plus pulsionnelles aux plus culturelles. Il montre comment le choix du genre - se sentir femme ou homme - est loin d'être conforme à l'anatomie et s'appuie sur une bisexualité psychique souvent méconnue. Chacun se choisit un genre en refoulant l'autre qui devient le lieu d'une attirance et d'un conflit, d'une "guerre des sexes" dont les péripéties animent le désir. Cette guerre se retrouve dans toutes les formes de sexualité, y compris - curieusement - dans les homosexualités. Les mêmes corps savent ou ne savent pas jouir ensemble selon des circonstances qui provoquent l'excitation sexuelle comme sa conclusion. Mais d'où tiennent-ils un tel savoir? Sans les fantasmes dans lesquels un corps est pris, la jouissance s'interrompt. Comment la puissance du désir s'oriente-t-elle, marquée par la répétition, bien au-delà du vouloir et de la conscience? Comment, enfin, existe-t-il une dimension de perversité latente dans la normalité du désir et de l'érotisme? Car ce sont les perversions qui donnent une clef, le mot de passe oublié d'une apparente normalité. Dans ce rapport des sexes, la question du "devenir femme" prend une importance de premier plan, tant la féminité est l'occasion d'un refoulement puissant, y compris pour les femmes elles-mêmes. Après avoir démonté les rouages de la "machinerie sexuelle", ce livre aborde sa partie la plus importante et la plus novatrice, celle qui concerne l'orgasme. Ce moment si fascinant, au point d'aveugler, est resté de ce fait largement méconnu. Si la recherche de ce Souverain Bien commande beaucoup plus que le rapport entre les hommes et les femmes, on mesure qu'il y a dans cet essai un enjeu politique, centré sur un ressort secret qui anime la Cité.

03/2010

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Psychologie, psychanalyse

Que veut dire "faire" l'amour ?

Ce livre explore les puissances qui animent l'acte sexuel, des plus pulsionnelles aux plus culturelles. Il montre comment le choix du genre – se sentir femme ou homme – est loin d'être conforme à l'anatomie et s'appuie sur une bisexualité psychique souvent méconnue. Chacun se choisit un genre en refoulant l'autre qui devient le lieu d'une attirance et d'un conflit, d'une « guerre des sexes » dont les péripéties animent le désir. Les mêmes corps savent ou ne savent pas jouir ensemble selon des circonstances qui provoquent l'excitation sexuelle comme sa conclusion. Mais d'où tiennent-ils un tel savoir ? Sans les fantasmes dans lesquels un corps est pris, la jouissance s'interrompt. Comment la puissance du désir s'oriente-telle, marquée par la répétition, bien au-delà du vouloir et de la conscience ? Comment, enfin, existe-t-il une dimension de perversité latente dans la normalité du désir et de l'érotisme ? Car ce sont les perversions qui donnent une clef, le mot de passe oublié d'une apparente normalité. Après avoir démonté les rouages de la « machinerie sexuelle », ce livre aborde sa partie la plus importante et la plus novatrice, celle qui concerne l'orgasme. Ce moment si fascinant, au point d'aveugler, est resté de ce fait largement méconnu. Si la recherche de ce Souverain Bien commande beaucoup plus que le rapport entre les hommes et les femmes, on mesure qu'il y a dans cet essai un enjeu politique, centré sur un ressort secret qui anime la Cité.

02/2013

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Ouvrages généraux

Qu'est-ce que lire ?

Lire est l'affaire de tous. Naturel en apparence, le geste n'en est pas moins complexe et même, souvent, difficile. Aussi faut-il s'y affairer et, avant tout, apprendre - à déchiffrer, à assimiler, à interpréter, à poursuivre les textes de ses propres pensées et actions. Très vite en effet le naturel se fait ouvrier et, avec l'effort, viennent les risques et les échecs en même temps que les succès de la glose. Savons-nous vraiment lire ? Serait-ce donc que nous nos interprétations ont toutes quelque valeur de connaissance et d'action ? Et donc qu'elles se vaudraient ? Chose bien incertaine. Et que faisons-nous d'ailleurs, dorénavant, sur les réseaux qui nous inondent de mots et d'images ? Lisons-nous encore ? Il faudrait donc que le geste de tenir un livre et de fixer un écran soient les mêmes, ce à quoi personne ne s'accorde. Lire est donc bien l'affaire de tous, mais à l'intention de chacun.

02/2022

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Philosophie

Ce que social veut dire. Tome 1, Le déchirement du social

Ce que social veut dire est un ouvrage en deux tomes, destiné au seul lecteur français. Il entend permettre à ce dernier de comprendre, à travers quelque vingt-cinq textes échelonnés sur vingt ans, l'évolution théorique d'Axel Honneth, représentant de la troisième génération de l'École de Francfort. Le premier volume (Le déchirement du social) rassemble les contributions dans lesquelles Honneth, à travers la confrontation avec des auteurs classiques (Kant, Fichte, Hegel) ou contemporains et la philosophie sociale (Sartre, Lévi-Strauss, Merleau-Ponty, Castoriadis, Bourdieu, Boltanski et Thévenot), précise les caractères constitutifs de la "lutte" sociale pour la "reconnaissance". Le second (Les pathologies de la raison, à paraître) appliquera la théorie de la reconnaissance au vaste domaine du diagnostic des injustices et des pathologies sociales (confrontations avec Adorno, Benjamin, Neumann, Mitscherlich, Wellmer, mais aussi la psychanalyse et la théorie de la justice). Ces deux aspects de l'évolution théorique, éclairer les causes des conflits sociaux et étudier comment ils peuvent être justifiés et jugés sur le plan normatif, sont ici distingués en deux volumes pour un souci de lecture, bien qu'ils se soient toujours chevauchés et mutuellement fécondés, dans un projet global très précis : rapporter toute vie sociale au désir des sujets de valoir aux yeux de leurs semblables comme des personnes à la fois dignes de considération et dotées d'une individualité unique. Ce qui exige que nous comprenions toujours les régulations centrales de la vie sociale comme des ordres de la reconnaissance, mais aussi comme la manifestation sociale d'un devoir-être moral. Prises ensemble, ces deux idées signifient également que la sociologie et la philosophie pratique ne peuvent s'exercer indépendamment l'une de l'autre.

11/2013

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Sociologie

Ce qu'embrasser veut dire. Raison, sexe et sentiments

La crise sanitaire semble avoir servi de révélateur à ce qui était une tendance de fond : la mise à distance de l'autre, l'évaluation préalable des conséquences de la prise de contact, nous projetant dans un monde de sécheresse, de froidure et de solitude émotionnelle et physique. En réalité, on observe que cette évolution a provoqué une résistance, comme une révolte, où les baisers occupent à nouveau une place de choix : pour vivre plus chaleureusement ou intensément, il nous faudra prendre le risque de nous embrasser. Revisitant toute l'histoire du baiser, qui fut longtemps une pratique plus politique et religieuse qu'amoureuse, et s'appuyant notamment sur une récente étude sociologique, Kaufmann analyse l'émergence étonnante d'une nouvelle forme de romantisme dans nos sentiments.

10/2021

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Livres 3 ans et +

CP, ça veut dire quoi ?

CP, ça veut dire quoi ? Camionnette de pirates ? Coin de la page ? Classe de pingouins ? Très peu d'élèves de CP connaissent la signification de ce sigle qui symbolise pourtant pour eux le passage vers la cour des grands. Avec la virtuosité et l'humour qu'on lui connaît, Edouard Manceau décline ces deux initiales à l'infini pour nous proposer un inventaire à la Prévert aussi beau que ludique.

09/2020

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Animaux, nature

Tout ce que mon chat veut me dire. Mimiques, sons, langage corporel

Un miaulement timide, des yeux verts au regard insondable... Le chat mérite bien sa réputation de créature énigmatique et pourtant, en étudiant ses mimiques et son langage corporel, il est assez facile de le comprendre. Ce livre vous donnera les outils pour mieux interpréter ce que disent vos compagnons à quatre pattes. Les mimiques : le regard, la position des vibrisses et le jeu très expressif des oreilles suffisent souvent à se faire une idée de son humeur. Les sons : il miaule, crache, ronronne ou chantonne aussi pour s'exprimer. Le langage corporel : la queue du chat est un baromètre de son humeur, comme la moindre partie de son corps.

03/2020

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Essais

Le paradigme Fukushima au cinéma. Ce que voir veut dire (2011-2013)

Qu'a-t-on "vu" de la catastrophe de Fukushima ? Ce volume sur le cinéma de Fukushima, le premier du genre, interroge les conditions de visibilité et d'invisibilité de la catastrophe, dans les ?lms tournés sur place immédiatement après et durant les deux années qui l'ont suivie. Première étude sur la (re)présentation cinématographique de l'une des catastrophes majeures de l'histoire contemporaine, ce livre retourne la thèse sur l'impossibilité de représenter la catastrophe nucléaire. L'hypothèse centrale est ici que "Fukushima" ouvre sur un monde durablement abîmé qui requiert de nous de nouvelles capacités d'attention et de présence au monde. Et que les ?lms de Matsubayashi, Hamaguchi, Fujiwara (entre autres), peuvent nous y éduquer. La lecture philosophique des ?lms réalisés depuis Fukushima met en évidence, ?nalement, nos dénis et aveuglements contemporains face aux violences lentes et aux catastrophes ordinaires.

06/2022

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Philosophie

Ce que social veut dire. Tome 2, Les pathologies de la raison

Le tome I de Ce que social veut dire (2013), centré sur "Le déchirement du social", dégage, par le biais notamment d'une confrontation avec la tradition de la philosophie sociale (Sartre, Lévi-Strauss, Merleau-Ponty, Castoriadis, Bourdieu, Boltanski et Thévenot), le modèle du conflit mis en oeuvre par la théorie de la "lutte pour la reconnaissance". Mais se pose alors le problème de la justification normative de ce modèle. Deux possibilités s'offrent, qui ont longtemps paru s'exclure mutuellement : soit la valeur normative des luttes pour la reconnaissance est appréciée selon ce qu'elles apportent à la réalisation d'une "vie bonne" parmi les membres de la société ; soit leur rôle normatif se mesure à leur contribution à l'instauration de la «justice» sociale dans la société. Dans le premier cas, c'est la réalisation individuelle de soi qui constitue le critère normatif, et, dans le deuxième, la répartition équitable des libertés individuelles entre tous les membres de la société. Renouant avec la tradition de la Théorie critique, Honneth se confronte ici avec Adorno, Benjamin, Neumann, Mitscherlich, Wellmer, mais aussi la psychanalyse et la théorie de la justice ; il établit qu'à la différence d'autres terminologies morales qui peuvent être mobilisées pour juger de l'état normatif des sociétés - que ce soient les concepts "d'aliénation" ou de "réification" d'un côté, de "discrimination" ou "d'exploitation" de l'autre, mais qui ne relèvent que de la philosophie sociale ou de la philosophie politique -, la lutte pour la reconnaissance est à la fois l'indicateur d'une pathologie sociale et l'indice d'une injustice.

01/2015