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André Burguière, Roger Chartier, Philippe Joutard, Christophe Prochasson, Madeleine Rebérioux

Extraits

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Histoire de France

Histoire de la France. Choix culturels et mémoire

Histoire de la France sous la direction de André Burguière et Jacques Revel L'Espace français volume dirigé par Jacques Revel avec Patrice Bourdelais, Daniel Nordman, Jacques Revel, Marcel Roncayolo Héritages volume dirigé par André Burgière avec André Burgière, Daniel Fabre, Alain Plessis Choix culturels et Mémoire volume dirigé par André Burgière avec Roger Chartier, Philipe Joutard, Christophe Prochasson, Madeleine Rebérioux La Longue Durée de l'Etat volume dirigé par Jacques Le Goff avec Robert Descimon, Alain Guery, Jacques Le Goff Les Conflits volume dirigé par Jacques Julliard avec Solange Deyon, Patrick Fridenson, Jean-Pierre Hirsch, Christian Jouhaud, Jacques Julliard

06/2000

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Histoire de France

Histoire de la France. La longue durée de l'Etat

Histoire de la France Sous la direction de André Burguière et Jacques Revel L'Espace français volume dirigé par Jacques Revel Avec Patrice Bourdelais, Daniel Nordman, Jacques Revel, Marcel Roncayolo Héritages volume dirigé par André Burguière Avec André Burguière, Daniel Fabre, Alain Plessis Choix culturels et Mémoire volume dirigé par André Burguière Avec Roger Chartier, Philippe Joutard, Madeleine Rebérioux, Christophe Prochasson La Longue Durée de l'Etat Volume dirigé par Jacques Le Goff Avec Robert Descimon, Alain Guery, par Jacques Le Goff Les Conflits volume dirigé par Jacques Julliard Avec Solange Deyon, Patrick Fridenson, Jean-Pierre Hirsch, Christian Jouhaud, Jacques Julliard

06/2000

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Sciences historiques

Le corps, la famille et l'Etat. Hommage à André Burguière

Pour André Burguière, " les idées politiques ne flottent pas au-dessus des corps ". C'est dans celle ligne que s'est construit ce volume d'hommage à l'historien. Suivant une démarche qui est celle de l'Ecole des Annales, André Burguière a exploré les diverses dimensions du double lien, de parenté et national, sur qui se fonde la cohésion des sociétés d'Ancien Régime, peut-être aussi celle des sociétés contemporaines. La parenté apparaît alors comme une situation héritée ou comme un choix volontaire, et ses farines répondent à des constructions de l'esprit et à des élans affectifs autant qu'à des contraintes et des conjonctures. Les multiples facettes du mariage ou de la famille ici analysées témoignent de la faculté d'adaptation des communautés humaines. Les connivences entre l'imaginaire de la parenté et celui de la nation peuvent alors être interrogées à partir des pratiques de la citoyenneté et de la société politique, C'est donc une réflexion sur les corps physiques et les groupements familiaux, les contraintes qui pèsent sur eux et les conduites qui tentent de conjurer leurs diktats ou leurs menaces ; sur le genre, catégorie nouvelle apte à penser l'ordre social et ses partages ; sur le lien social, l'Etat, les pouvoirs, qui anime cet essai collectif en fidélité aux travaux d'André Rurguière.

12/2010

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Vie chrétienne

André Charlier, 1895-1971. Mémorial

Il y a cinquante ans, le 8 août 1971, André Charlier mourait à l'âge de 75 ans, dans la maison de retraite de la rue des Martyrs à Paris. Les textes qui composent ce Mémorial (extraits pour la plupart de brochures d'hommage), se veulent un témoignage de fidélité à la mémoire de celui qui fut pour leurs auteurs un frère, un ami, un maître ou un père spirituel. A propos d'André Charlier : Après avoir été blessé et fait prisonnier en Allemagne pendant la Première Guerre mondiale, André Charlier se tourna finalement vers l'enseignement. Devenu Directeur de l'Ecole des Roches de Maslacq, transférée ensuite à Clères, sa grande oeuvre sera la formation de la jeunesse. Son ami Paul Claudel voit en Charlier, beaucoup plus qu'un éducateur, un maître spirituel : "le maître idéal suivant l'Esprit de Dieu et le coeur chrétien" .

06/2021

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Religion

André Charlier, le prix d'une oeuvre

"Je remercie Dieu de ce qu'Il m'ait fait comprendre que je ne devais pas être un compositeur ni un écrivain. Mon mode d'expression était certainement la musique, mais il est non moins certain que je ne devais pas en user". Cette confidence d'André Charlier à ses trois filles lève le voile sur la vie d'un converti, baptisé à l'âge de dix-huit ans, qui désira dès l'adolescence "accomplir une oeuvre inspirée de Dieu... faire quelque chose de beau pour Dieu". Après avoir été blessé et fait prisonnier en Allemagne pendant la Première Guerre mondiale, André Charlier se tourna finalement vers l'enseignement. Devenu Directeur de l'Ecole des Roches de Maslacq, transférée ensuite à Clères, sa grande oeuvre sera la formation de la jeunesse. Son ami Paul Claudel voit en Charlier, beaucoup plus qu'un éducateur, un maître spirituel : "le maître idéal suivant l'Esprit de Dieu et le coeur chrétien". Et Monseigneur Henri Brincard résume ainsi cette oeuvre de formation de la jeunesse : "un élan de toute l'âme vers "la Lumière"". John Keith, un jeune américain venu étudier pendant quelques mois à Clères, confiait y avoir trouvé "une Ecole simple et non pas prétentieuse", où l'on se "trouve face-à-face avec Dieu". L'instrument de cette rencontre avec Dieu était André Charlier lui-même, comme Antoine de Lévis-Mirepoix l'explique dans la Préface. Mais cette oeuvre exigea d'André Charlier qu'il renonce, après la mort de sa première femme en 1940, à redonner un véritable foyer à ses propres filles, sacrifice douloureux à son coeur de père et sur lequel il revient souvent dans le Journal qu'il écrivit à leur intention : "Vous avez eu [à Maslacq] une vie fort agréable en somme, et je pense qu'elle restera pour vous comme un beau souvenir. Pas un vrai foyer sans doute, mais qu'y puis-je ? J'ai dû sacrifier cela à l'Ecole, et ce n'est pas moi qui ai voulu assumer cette charge". Par ces sacrifices librement consentis, André Charlier fut un "témoin de l'Eternel", comme il se définit lui-même. Son ami Gustave Thibon l'avait compris, qui lui écrivait : "Je pense souvent, très souvent à vous comme à l'un des derniers témoins des choses qui demeurent." C'est ce témoignage de toute une vie que nous livre cette première biographie d'André Charlier.

09/2019

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Sports

Philippe Chatrier. Le cour(t) d’une vie

Chaque année, depuis 2001, pendant la quinzaine de Roland-Garros, les médias martèlent le nom de Philippe Chatrier. D'abord champion de tennis, journaliste, entrepreneur puis patron du tennis français et international, membre du CIO, il a su transformer son sport et faire d'un petit tournoi d'amateurs de la porte d'Auteuil, un des plus prestigieux du monde. A l'occasion des vingt ans de sa disparition et de l'inauguration du court Philippe Chatrier entièrement repensé, nous avons voulu retracer le cours de son existence. Nous nous sommes adressés à sa famille, ses amis, anciens dirigeants internationaux et collaborateurs les plus proches, joueurs... Les grands champions de "l'ère Chatrier" qui l'admiraient et le respectaient ont également apporté leur contribution : Björn Borg, Ilie NÄstase, Stan Smith, Yannick Noah, Guy Forget, etc. Les droits d'auteur de ce livre sont reversés à la Fondation Philippe Chatrier qui lutte contre la maladie d'Alzheimer, le mal qui l'a emporté en 2000.

09/2020

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Sciences historiques

Générations historiennes. XIXe-XXIe siècle

C'est à une nouvelle histoire des historiens que nous convie cet ouvrage, à la lumière d'une notion dynamique et féconde, celle de génération. Les 58 auteurs réunis dans ce volume explorent pour la première fois l'évolution de leur discipline à l'aune des "générations historiennes" qui l'ont façonnée. De Jules Michelet à nos jours... Trois grandes parties forment la trame de cet ouvrage choral. La première fait revivre deux siècles d'historiographie française en dressant le portrait de 14 générations qui se sont succédé depuis le début du XIXe siècle. La deuxième partie donne la parole à une trentaine d'historiennes et historiens nés entre 1942 et 1983, invités à retracer leur propre itinéraire. Ont-ils eu le sentiment d'appartenir ou non à une génération et de s'inscrire en rupture par rapport aux précédentes ? Enfin, à partir d'une quinzaine d'études de cas (la Révolution française, l'histoire coloniale, l'histoire des femmes...), la troisième partie revisite, sous l'angle générationnel, les grands débats qui agitent le champ foisonnant du travail historique. Avec les contributions de : Solal Abélès, Eric Alary, Christian Amalvi, Etienne Anheim, Philippe Artières, Laurent Avezou, Lucien Bély, Stéphane Benoist, Jean-François Bonhoure, Patrick Boucheron, Raphaëlle Branche, Guillaume Calafat, Jacques Cantier, Roger Chartier, Elisabeth Crouzet-Pavan, Laurence De Cock, Christian Delacroix, Anne-Emmanuelle Demartini, Aude Déruelle, Olivier Dumoulin, Patrick Garcia, Claude Gauvard, Jean-Charles Geslot, Pascale Goetschel, Anita Guerreau-Jalabert, François Hartog, Vincent Heimendinger, Thomas Hirsch, Paulin Ismard, Sabine Jansen, Laurent Joly, Philippe Joutard, Jean-Marie Le Gall, Nicolas Le Roux, Antoine Lilti, Jean-Clément Martin, Virginie Martin, Florian Mazel, Charles Mercier, Vincent Milliot, Claudia Moatti, Bertrand Müller, Christel Müller, Bibia Pavard, Manon Pignot, Olivier Poncet, Yann Potin, Christophe Prochasson, Jacques Revel, Nathalie Richard, David Schreiber, Anne Simonin, Pierre Singaravélou, Jean-François Sirinelli, Françoise Thébaud, Marie-Pierre Ulloa, Sylvain Venayre, Michelle Zancarini-Fournel.

10/2019

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Sciences politiques

Voyage d'un historien à l'intérieur de l'état

L'histoire aime faire des héros des intellectuels qui s'opposent au pouvoir, laissant dans l'ombre la contribution parfois majeure de ce qu'on pourrait appeler les " intellectuels de gouvernement ". Et pourtant, nul n'imagine que le pouvoir puisse s'affranchir de la contribution du savoir. Historien, puis recteur de l'Académie de Caen, et enfin conseiller du président de la République François Hollande pour l'éducation, l'enseignement supérieur et la recherche, Christophe Prochasson a fait personnellement l'expérience de cette délicate articulation entre science et action publique, idéal de neutralité théorique et engagement au service de l'Etat. Il en dresse dans ce livre un bilan exigeant, convaincu que la société politique doit demeurer (ou, dans certains cas, redevenir...) une société de savoir si elle veut assurer la justice.

08/2019

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Histoire de France

Les années électriques (1880-1910)

Christophe Prochasson nous guide dans les salons où l'on fait - et défait - l'art du temps, dans les revues où se publient les avant-gardes, dans les théâtres où le coquin cotoie la satire, dans les instances politiques et universitaires où s'élabore la pensée et où s'affrontent les idéologies. La France " fin-de-siècle " est loin d'être, contrairement à des clichés qui ont la vie dure, joyeuse et insouciante. La Belle époque est celle d'une société qui travaille dur, épargne et vit chichement. C'est le temps de l'inquiétude et du nihilisme. Des anarchistes et des grèves ouvrières. De l'affaire Dreyfus et de scandales politico-financiers. C'est une France hésitante entre l'industrie et l'artisanat, la ville et la campagne, la foi catholique et la laïcité, la rente et le profit, l'Empire et ses départements, etc. Pourtant, c'est elle qui enfante L' intellectuel, personnage complexe, exigeant et parfois exaspérant. En Europe, Nietzsche, Dostoïevski, Unamuno et, en France, Barrès, Gide et Claudel constatent, comme l'écrit ce dernier, que " le monde n'est pas infini, il est inépuisable ". Ce faisant, ils contestent la scientificité de la science, la rationalité de la raison et fondent leur système et leur art sur le moi, le désir, l'instant, l'opposition, l'aventure personnelle, l'acte " gratuit ", etc. Face à ces " immoralistes " volontaire, les divers académismes imperturbablement se manifestent en publiant qui un roman social, qui une philosophie de la certitude ou en peignant une nature morte aussi fidèle que possible. Christophe Prochasson, pour mieux nuancer son tableau d'une époque si contradictoire, nous guide dans les salons où l'on fait - et défait - l'art du temps, dans les revues où se publient les avant-gardes, dans les théâtres où le coquin cotoie la satire, dans les instances politiques et universitaires où s'élabore la pensée et où s'affrontent les idéologies. Ces créateurs enjambent le siècle avec la vigueur de leur jeunesse, la puissance de leur individualité et la conviction que les sentiments l'emporte sur la raison. Ils sont survoltés, y compris pour certains, dans leur désespoir : ce sont bien les années électriques.

03/1991

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Ouvrages généraux

Histoire & Mesure Volume 36 N°1/2021 : Varia

C'est l'usage de la quantification dans la démarche historienne qu'illustrent en priorité les articles de cette livraison, un seul d'entre eux relevant de l'histoire de la mesure. L'ouverture géographique est indéniable, quatre contributions sur six se déployant hors de l'espace français. S'appuyant sur un riche corpus archivistique florentin, C. Maitte revisite l'historiographie de la rémunération du travail très qualifié à l'époque moderne en montrant une hiérarchisation complexe des échelles salariales et en insistant sur la nécessaire prise en compte du temps de travail. P. Castejón mobilise des ressources prosopographiques pour étudier la transformation du cursus honorum des magistrats des institutions impériales espagnoles tardives, laquelle valorise l'expertise des affaires ultramarines. C. Ducourthial et H. Tronchère-Cottet relèvent le défi de retrouver, au service de l'histoire autant que de l'archéologie urbaine, un repère altimétrique qui permette d'insérer dans un SIG des cartes anciennes de Lyon P. -Y. Lacour questionne la manière dont se construit, à l'occasion des expositions industrielles en France, le crédit des instruments scientifiques et de l'horlogerie de précision. Mobilisant la lexicométrie pour analyser le discours d'un diplomate français en poste à Tunis, J. Hammami entend montrer l'agenda colonial sous-jacent à ce discours. Enfin P. Le Roux propose aux historiens un appui sur des relevés ethnographiques dans le sud de la Thaïlande contemporaine pour approcher une métrologie propre à l'Asie du Sud-Est antérieure aux influences indiennes, chinoises ou occidentales.

10/2021

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Sciences historiques

François Furet. Les chemins de la mélancolie

Historien à l'oeuvre puissante, universitaire d'institution, citoyen engagé dans la politique de son temps, journaliste : François Furet (1927-1997) a été tout cela à la fois. Le modèle même de l'intellectuel français, en somme, comme le XXe siècle en a connu d'illustres. Les convulsions de ce siècle, ses tragédies et ses espoirs, ont été la toile de fond de toutes les réflexions de François Furet. Qu'il s'agisse de ses travaux fondateurs sur la Révolution française à l'aube de sa carrière, de son activité de commentateur de l'actualité dans France Observateur puis dans Le Nouvel Observateur, ou de son dernier grand livre consacré à l'illusion communiste, Le Passé d'une illusion, François Furet n'a cessé en fait de s'efforcer de déchiffrer l'énigme qu'aura été le siècle dans lequel il a vécu. Ce siècle, il l'a parcouru à grandes enjambées, sans rien négliger de ce qu'il a comporté d'important, autant sur le plan intellectuel que sur le plan politique. Ses livres ont été abondamment lus et commentés, ils ont d'ailleurs donné lieu à des interprétations opposées. Mais le récit de sa vie restait à faire ; il n'est pas moins éclairant ni moins passionnant que l'oeuvre, et il jette sur elle un singulier éclairage. Car, et c'est peut-être l'apport principal de cette biographie, de la vie à l'oeuvre de François Furet, et de son oeuvre à sa vie, la fécondation aura été la règle.

04/2013

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Actualité et médias

La gauche est-elle morale ?

"La question morale est devenue l'un des aspects, et non des moindres, de la question sociale. Pour le pire et le meilleur, on peut même s'attendre à ce que la première s'installe à la place de la seconde. De la même façon que la question sociale prit progressivement, au cours du XIXe siècle, les teintes chatoyantes de la politique, la question morale est en train d'absorber, sous nos yeux, toute la politique, son langage comme son horizon, ses ressorts émotionnels comme son répertoire d'actions collectives. On l'a vue surgir au centre de la dernière campagne présidentielle de 2007 durant laquelle s'affrontèrent d'ailleurs moins deux morales que deux moralismes. Porté tout à la fois par les deux adversaires du second tour, à gauche Ségolène Royal, à droite Nicolas Sarkozy, le discours sur de prétendues "valeurs", où se mêlent dans le plus grand désordre l'égalité, la fraternité, le travail, la famille voire l'économie de marché et le contrôle des frontières, tend à éliminer les controverses d'idées. Faut-il s'en réjouir, faut-il le déplorer ? C'est à quoi s'emploient à répondre les pages qui suivent en s'appuyant sur l'histoire ". Un essai original et musclé, qui éclaire l'actualité par l'histoire dans une langue aussi fluide que rigoureuse.

10/2010

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Sciences historiques

HISTOIRE DE LA VIE PRIVEE. Volume 3, De la Renaissance aux Lumières

Histoire de la vie privée 3. De la Renaissance aux Lumières " La situation de départ sera la fin du Moyen Age. Nous y trouvons un individu encadré dans des solidarités effectives, féodales et communautaires. La situation d'arrivée est celle du XIXe siècle. La société est devenue une vaste population anonyme où l'on ne se connaît plus. Le travail, le loisir, le séjour à la maison, en famille, sont désormais des activités séparées par des cloisons étanches. L'homme a voulu se mettre à l'abri du regard des autres. Comment est-on passé du premier au second des modèles ainsi grossièrement esquissés ? " Philippe Ariès Sous la direction de Roger Chartier, avec les contributions de Philippe Ariès, Maurice Aymard, Nicole Castan, Yves Castan, Roger Chartier, Alain Collomp, Daniel Fabre, Arlette Farge, Jean-Louis Flandrin, Madeleine Foisil, Jacques Gélis, Jean-Marie Goulemot, François Lebrun, Orest Ranum et Jacques Revel. Histoire de la vie privée , dirigée par Philippe Ariès et George Duby. 1. De l'Empire romain à l'an mil 2. De l'Europe féodale à la Renaissance 3. De la Renaissance au Lumières 4. De la Révolution à la Grande Guerre 5. De la Première Guerre mondiale à nos jours

10/1999

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Poésie

Quarante-neuf poètes

Anne-Marie Albiach. Gabrielle Althen. Auxeméry. Jean-Christophe Bailly. Philippe Beck. Mathieu Bénézet. Pascal Boulanger. Stéphane Bouquet. Gilbert Bourson. Raymond Bozier. Martine Broda. Jean-Luc Caizergues. Gérard Cartier. Bernard Chambaz. Philippe Clerc. Fabienne Courtade. Jean. Daive. Henri Deluy. Ariane Dreyfus. Jean-Michel Espitallier. Marie Etienne. Isabelle Garron. Liliane Giraudon. Jean-Luc Hérisson. Jacques Izoard. Franck André. Jamme Christophe. Lamiot Enos. Armelle Leclercq. Jérôme Lhuillier. Matthieu Messagier. Jean-Paul Michel. Claude Minière. Emmanuel Moses. Sandra Moussempès. Bernard Noël. Florence Pazzottu. Nicolas Pesquès. Pascale. Petit. Hervé Piekarski. Paul Louis Rossi. Hélène Sanguinetti. Jean-Luc Sarré. Eric Sautou. Olivier De Solminihac. Lucien Suel. Anne Talvaz. Esther Tellermann. Guy Viarre. Bénédicte Vilgrain

01/2004

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Autres éditeurs (U à Z)

André André André

C'est l'histoire de trois frères. Le premier s'appelle André. Le deuxième s'appelle André. Et le troisième s'appelle André. Quel cafouillage quand ils viennent tous les trois dès qu'on en appelle un ! Ou qu'ils répondent au téléphone alors que ce n'est pas pour eux ! Franchement, impossible de savoir qui est qui... Il va falloir prendre les choses en main. Cet album parle avec justesse et humour du fait de trouver sa place dans une fratrie.

11/2021

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Phobies

Psychologie de la peur (Résumé et analyse du livre de Christophe André)

De la classique peur du noir à la peur de rougir (éreutophobie), en passant par la peur des araignées (arachnophobie), ou encore la peur du sang (hématophobie)... dans Psychologie de la peur, Christophe André donne de nombreux exemples tirés de ses thérapies qui sont riches d'enseignements : ses conseils sont d'affronter ses peurs plutôt que de les éviter.

02/2022

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Livres 3 ans et +

Madeleine

Il y longtemps, à Paris, dans une vieille maison aux murs recouverts de vigne vivaient douze petites filles. La plus petite s'appelait Madeleine.

01/1985

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Critique littéraire

La correspondance. Les usages de la lettre au XIXe siècle

Le XIXe siècle est un temps décisif pour la correspondance en raison des progrès de l'alphabétisation et du désenclavement économique et social qui multiplie les circonstances où écrire une lettre est une obligation. Ce livre se veut donc exploration d'une pratique qui devient ordinaire, l'écriture d'une lettre, et qui institue une manière nouvelle de penser et vivre le lien social. Pour la comprendre, notre démarche propose plusieurs étapes. La première vise à mesurer et à expliquer, grâce à l'immense enquête menée en 1647 par l'Administration des Postes, les inégalités de la pratique épistolaire. Puis vient, conduite dans la longue durée, à partir du Moyen Age, l'étude de l'invention et de l'imposition de la norme épistolaire et celle des secrétaires, présents dans la librairie de colportage au XVIIe et XVIIIe siècle, édités en masse au XIXe siècle. Après avoir analysé les représentations de la lettre, écrite ou reçue, dans les récits de vie "populaires" du XIXe siècle, le livre s'achève avec l'étude de trois ensembles de lettres, illustrant des situations très contrastées ; la correspondance intime, secrète, féminine ; la lettre adressée au journal — en l'occurrence celui des employés de la Poste — ; le tout-venant du courrier tel que le révèle l'échantillon des lettres conservées pour leur marque ou leur timbre au Musée de la Poste à Paris. Des mesures aux modèles, des représentations aux traces, tel est le cheminement de cette enquête qui espère éclairer l'entrée en écriture de toute une société.

12/1991

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Histoire de France

Les origines culturelles de la Révolution française

Les révolutions ont-elles des origines culturelles ? Ce livre en forme d'essai, tout en reconnaissant la dynamique propre de l'événement, s'attache à identifier les innovations et les ruptures qui l'ont rendu possible. Ce qu'il s'agit, avant tout, de comprendre, est le double paradoxe de la Révolution qui connaît le surgissement d'une violence multiple au sein d'une société pourtant largement pacifiée et qui achève un siècle soucieux des plaisirs et des devoirs de l'existence privée par un extraordinaire investissement dans la chose publique.

02/2000

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Critique littéraire

Les usages de l'imprimé. (XVe-XIXe siècles)

Après Gutenberg, toute la culture d'Occident se trouve transformée par la possibilité de reproduire l'écrit plus vite et moins cher. De là, un changement d'échelle dans la circulation des textes, présents dans l'intimité comme sur la place publique, maniés pour la foi ou le plaisir, le savoir ou le pouvoir. De là, également, des pratiques inédites, des habitudes neuves qui constituent une véritable "culture de l'imprimé". Elle est au coeur de ce livre qui s'attache aux plus humbles des produits des presses (du placard au livret), aux plus répandus des genres typographiques (la vie de saint, le livre d'heures, l'occasionnel, le livre bleu), aux plus communes des lectures. Inscrits dans le rituel religieux, supports de la polémique politique ou de l'exhibition du pouvoir, porteurs d'histoires édifiantes ou terrifiantes, ces objets imprimés, où l'image souvent accompagne le texte, dont la lecture souvent est faite à haute voix, habitent durablement la culture du plus grand nombre. C'est leurs emplois multiples, entre le temps des incunables et celui du journal quotidien, que cet ouvrage tente de comprendre.

12/1987

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Théâtre

Cardenio entre Cervantès et Shakespeare. Histoire d'une pièce perdue

Comment lire un texte qui n'existe pas, représenter une pièce dont le manuscrit s'est perdu et dont on ne sait pas avec certitude qui fut son véritable auteur ? C'est l'énigme que pose Cardenio - une pièce jouée en Angleterre pour la première fois en 1612 ou 1613 et attribuée quarante ans plus tard à Shakespeare (et Fletcher). Elle a pour trame une " nouvelle " insérée dans Don Quichotte, oeuvre qui circula dans les grands pays européens où elle fut traduite et adaptée pour le théâtre ; en Angleterre, le roman de Cervantès était connu et cité avant même d'être traduit en 1612 et d'inspirer Cardenio. Mais cette énigme a d'autres enjeux. C'était un temps où, grâce notamment à l'invention de l'imprimerie, proliféraient les discours : la crainte de leur excès conduisait souvent à les raréfier. Tous les écrits n'avaient pas vocation à subsister, et particulièrement les pièces de théâtre qui, très souvent. n'étaient pas imprimées - le genre, situé au plus bas de la hiérarchie littéraire. s'accommodait fort bien de l'existence éphémère des oeuvres. Mais qu'un auteur devienne fameux, et la quête de l'archive inspirait l'invention de reliques textuelles, la restauration des restes abîmés par le temps, voire, pour combler des manques. parfois la fabrication de faux. C'est ce qui arriva à Cardenio au XVIIIe siècle. Retracer l'histoire de cette pièce conduit alors à s'interroger sur ce que fut, dans le passé, le statut des oeuvres jugées aujourd'hui canoniques. Le lecteur redécouvrira ici la malléabilité des textes, transformés par leurs traductions et leurs adaptations ; leurs migrations d'un genre à l'autre : les significations successives qu'en construisirent leurs différents publics. Pour nombre de ses lecteurs, Don Quichotte fut longtemps un répertoire de nouvelles. bonnes à publier séparément ou à porter sur la scène, aux dépens de la cohérence des aventures du héros éponyme. et Shakespeare un dramaturge qui, à l'instar de nombre de ses confrères, écrivait en collaboration, recyclait des histoires empruntées à d'autres écrivains et dont certaines oeuvres ne rencontrèrent pas d'éditeur. Ainsi, grâce à Roger Chartier, s'éclaire le mystère d'une pièce sans texte niais non sans auteur.

08/2011

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Critique littéraire

Cahiers de recherche N° 17 : Les pratiques de l'écriture ordinaire dans les sociétés d'Ancien Régime

Le dossier ici proposé comprend trois parties. L'ouverture en est donnée par une question : pourquoi le thème des écritures ordinaires a-t-il si fortement retenu en ces dernières années l'attention des historiens, des sociologues et des ethnologues ? Le cœur du dossier est ensuite consacré aux problèmes de l'autobiographie à la Renaissance sous la forme d'un texte intitulé : " Écrire sa vie à la Renaissance ". Enfin, dans une sorte d'amplification et au-delà de ce genre spécifique qu'est l'autobiographie, sont proposées quelques réflexions plus larges sur les problèmes liés au pouvoir de l'écriture et au pouvoir sur l'écriture - par exemple, la délégation de l'écriture, l'expertise judiciaire sur les écritures, ou les modes d'apprentissage de l'écriture. L'approche critique de ces questions permet de dessiner les lignes de force d'un domaine de recherche original et fécond, à savoir l'histoire des usages sociaux de l'écriture.

10/1996

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Critique littéraire

Inscrire et effacer. Culture écrite et littérature (XIe-XVIIIe siècle)

" Art happens, a déclaré Whistler, mais l'idée que nous n'en finirons jamais de déchiffrer le mystère esthétique ne s'oppose pas à l'examen des faits qui l'ont rendu possible. " Parmi ces " faits " évoqués par Borges, les relations nouées entre les créations esthétiques et la culture écrite de leur temps constituent l'un des plus essentiels. Mieux que d'autres, les auteurs avec lesquels ce livre chemine ont fait de la matérialité de l'écriture un objet littéraire. Pour plaire, amuser, faire rêver ou penser, Baudri de Bourgueil, Cervantès, Ben Jonson, Cyrano de Bergerac, Goldoni et Diderot ont introduit dans leurs textes, avec réalisme ou à titre de métaphores, les tablettes de cire, les presses à imprimer, les écrits à la main, les écritures brodées et tissées. En ne séparant pas les discours des formes matérielles qui assurent leur publication, ils rappellent que les pratiques des copistes ou les tâches dans l'atelier typographique donnent aux ouvres non seulement leur corps, mais aussi une part de leur âme. Entre les auteurs et les lecteurs, entre l'écriture autographe et la page du livre, elles sont une médiation obligée et décisive. En s'attachant à des œuvres poétiques, dramatiques. romanesques, où les objets et les usages de l'écrit sont devenus littérature. ce livre entend mieux comprendre la tension entre l'inscription et l'effacement, entre l'archive durable et l'écriture éphémère. Elles ont exprimé avec une singulière acuité deux soucis contradictoires, largement partagés par les sociétés d'Occident entre le Moyen Age et la modernité : conjurer la disparition des textes. toujours menacés par la perte ; juguler le désordre créé par l'excès des discours.

04/2005

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Critique littéraire

La main de l'auteur et l'esprit de l'imprimeur

Tout comme l'histoire, la littérature est attachée à la résurrection des morts. Souffle inspiré de l'épopée, minutie narrative et descriptive du roman historique, ou bien réincarnation des acteurs de l'histoire sur la scène du théâtre - certaines oeuvres de fiction donnent au passé une présence souvent plus forte que celle proposée par les livres des historiens. Mais Roger Chartier nous met en garde : lorsqu'il les lit, l'historien ne doit jamais oublier l'historicité de ces oeuvres et leur mode de circulation. Si le XVIIIe siècle fonde la littérature sur l'individualisation de l'écriture, l'originalité des oeuvres et le sacre de l'écrivain, il n'en allait pas du tout de même auparavant : fréquence de l'écriture en collaboration, réemploi d'histoires déjà racontées, lieux communs partagés, formules répétées, ou encore, continuelles révisions et continuations de textes jamais clos. C'est dans ce paradigme de l'écriture de fiction que Shakespeare a composé ses pièces et que Cervantès a écrit Don Quichotte, à une époque de faible reconnaissance de l'écrivain comme tel : ses manuscrits ne méritaient pas conservation, ses oeuvres n'étaient pas sa propriété et ses livres, dans leur matérialité (ponctuation, divisions internes, paragraphes, etc. qui en fixaient le sens), étaient d'abord l'oeuvre des correcteurs, des typographes et de l'imprimeur. Lecteur des textes littéraires, l'historien se doit plus que jamais de savoir faire la part entre la main de l'auteur et l'esprit de l'imprimeur.

03/2015

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Histoire littéraire

Cartes et fictions (XVIe-XVIIIe siecle)

Bilbo le Hobbit, les Chroniques de Narnia et Le Seigneur des anneaux ont habitué leurs lecteurs à rencontrer dans le livre une ou plusieurs cartes des territoires qu'ils décrivent. En allait-il de même pour les lecteurs des fictions de la première modernité, entre les XVIe et XVIIIe siècles ? L'introduction de cartes n'allait pas de soi. Leur impression augmentait le coût des ouvrages, et la capacité des mots à produire des images mentales les rendait inutiles. Néanmoins, les cartes apparurent dans les oeuvres d'imagination. Initiée avec les cartes des itinérances de don Quichotte et menant jusqu'aux éditions vénitiennes d'oeuvres de L'Arioste et de Pétrarque, cette enquête s'est principalement attachée à deux généalogies. La première, anglaise, donne à voir les périples d'un voyageur imaginaire présenté comme bien réel : elle conduit des Voyages de Gulliver de Jonathan Swift à L'Utopie de Thomas More. La seconde, française et allégorique, a pour origine la Carte de Tendre, insérée dans la Clélie de Mademoiselle de Scudéry, et inclut les cartes galantes ou polémiques qui l'ont imitée. Selon les époques et les lieux, les cartes des fictions ont assumé divers rôles. Elles ont représenté des mondes à l'envers, satiriques, critiques ou utopiques ; elles ont brouillé la distinction entre le monde du livre et celui du lecteur ; elles ont nourri la raison et les rêves, au-delà même de la lettre du texte. Cheminant d'oeuvre en oeuvre, Roger Chartier offre dans cet essai une nouvelle approche de la mobilité des fictions et de leurs interprétations.

04/2022

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Traduction

Editer et traduire. Mobilité et matérialité des textes (XVIe-XVIIIe siècles)

Notre monde devient chaque jour plus global et, pourtant, il n'est pas doté d'une langue universelle. Traduire est donc une nécessité pour que les destins partagés ne soient pas, en fait, des histoires cloisonnées. De là, l'importance des études portant sur la traduction et sur son envers, l'intraduisible. Elles permettent de dissiper les illusions anachroniques qui oublient la très grande inégalité entre les langues qui sont traduites et celles qui traduisent. Shakespeare connaissait Don Quichotte, mais Cervantès ne savait rien du dramaturge anglais. L'histoire des traductions doit s'écrire dans la tension entre l'hospitalité langagière, qui accueille l'autre, et la violence, qui le prive de ses propres mots. Ce livre voué à la première modernité, entre XVIe et XVIIIe siècle, s'attache d'abord aux mots eux-mêmes : ainsi, " sprezzatura " chez Castiglione ou " To be, or not to be " chez Shakespeare. Mais il montre aussi que la traduction ne se limite pas à faire passer un texte d'une langue à une autre. La modification des formes de publication transforme des oeuvres dont la langue reste inchangée. C'est en ce sens que l'édition peut être considérée comme une modalité de traduction et que se trouvent ici associées la matérialité des textes et la mobilité des oeuvres.

05/2021

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Histoire internationale

Christophe Colomb

Fils d’un modeste tisserand génois, Christophe Colomb (1451-1506) suscite, aujourd’hui encore, autour de sa vie et de sa fameuse découverte des Amériques, bien des passions. Des zones d’ombres et de mystères jalonnent l’existence de cet être contradictoire, complexe, mais toujours fascinant. Favorisée par sa culture scientifique et religieuse, l’idée de mission ne cesse d’habiter le « très magnifique seigneur don Cristóbal Colón, amiral de la mer Océane ». Elle l’accompagne tout au long de ses quatre voyages, durant lesquels il nous parle d’Indiens, d’or, de tempêtes, de mutineries ; et se poursuit au-delà, à travers l’élaboration de son Livre des prophéties, et la perspective quasi mystique de la conquête de la Terre Sainte. Colomb a découvert le Nouveau Monde parce qu’il le cherchait. Le trouvant, il a fait voler en éclats les frontières géographiques et mentales d’une Europe encore médiévale, et changé l’Histoire du monde.

05/2011

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Global Manga/type mixte

Christophe Colomb

En 1492, l'audacieux Christophe Colomb traverse l'océan Atlantique et découvre des terres inconnues, "le Nouveau Monde" . Originaire de Gênes en Italie, Christophe Colomb nourrit une passion pour la navigation et l'exploration depuis l'adolescence. A l'âge adulte, il propose à différents souverains d'Europe de trouver une nouvelle route vers l'Asie, autrefois appelée les Indes. Malgré les refus et les longues années d'attente, son plan se concrétise grâce à la reine de Castille et au roi d'Aragon. Il effectue ainsi son premier voyage à la tête d'une flotte de trois navires et débarque aux Caraïbes au bout de trente-six jours en mer. Trois autres voyages suivront durant lesquels il restera convaincu d'avoir atteint l'Asie, alors qu'il s'agissait d'un nouveau continent.

09/2021

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Récits de voyage

Christophe Colomb

En 1492, Christophe Colomb, soutenu par Isabelle la Catholique, reine d'Espagne, découvre le continent américain alors qu'il cherchait une voie maritime pour relier l'Europe aux Indes orientales. A travers le récit romancé de sa mission et de ses expéditions jusqu'à la découverte historique qui a changé le monde et sa mort à Valladolid, l'auteur de "Vingt mille lieues sous les mers" et de "Voyage au centre de la terre" dresse ici un portrait saisissant de ce simple navigateur devenu Amiral, Vice-roi et Gouverneur du Nouveau Monde. Pour ce premier des Conquistadores, il y avait un lien d'origine divine entre sa découverte géographique, la libération de la Jérusalem terrestre du contrôle musulman et l'établissement, comme le prophétisaient les "Révélations", d'une nouvelle Jérusalem qui, d'après l'Apocalypse et la dénonciation de l'Antéchrist inaugurerait une ère de félicité sans fin pendant laquelle toute l'humanité serait convertie à la Vraie Foi. Le texte est suivi d'une biographie de Jules Verne et d'une étude sur la découverte du Nouveau Monde par l'Europe chrétienne.

06/2023

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Généralités

Christophe Colomb

Un mix d'informations, de "Le sais-tu ? " , d' "Incroyable mais vrai ! " , de "Vrai ou faux" , de jeux, de photos et d'illustrations sur Christophe Colomb : sa jeunesse à Gênes, sa soif d'exploration, sa passion pour la navigation. Sa longue traversée de l'océan Atlantique à bord de sa caravelle et sa découverte de l'Amérique en 1492.

04/2022