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Lorène Güney

Extraits

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Sociologie

Lunettes noires

Imaginées il y a bien longtemps pour se protéger du soleil, les lunettes noires se sont imposées au XXe siècle comme l'accessoire essentiel de la garde-robe des stars (retournez donc ce livre pour regarder à nouveau sa couverture). Certains modèles collent pour toujours à la peau des vedettes qui les portent. Que seraient Audrey Hepburn, Ray Charles, Karl Lagerfeld ou Madonna sans leurs verres teintés ? Qui reconnaîtrait Michel Polnareff sans ses légendaires Télésol (portées d'abord par Sophia Loren)? "Avec mes lunettes de soleil, je suis Jack Nicholson. Sans elles, je suis gros et j'ai 60 ans", confiait l'inoubliable interprète de Shining. Un tel pouvoir exhausteur ne pouvait pas laisser insensible. La planète entière a fini par succomber. "Les solaires, c'est comme la barbe : c'est la revanche des moches ! Ca va à tout le monde", décrypte le journaliste Marc Beaugé. On les porte aussi bien pour dissimuler ses sentiments (tels les juges chinois du XIIe siècle) que pour séduire (n'est-ce pas Lolita ? ) ou pour effrayer (comme les dictateurs Pinochet ou Kadhafi). Chaque seconde, 30 paires de lunettes noires se vendent dans le monde. Et Elton John en aurait acheté 20 000 à lui tout seul... Mais que se cache-t-il derrière cette industrie lucrative (plus de 20 milliards de dollars de chiffre d'affaires annuel) et ses marques mythiques (Ray-Ban, Persol, Oakley...)? Pourquoi et comment porte-t-on des lunettes noires ? Qui les a vraiment inventées ? Quels progrès vont-elles encore accomplir ? C'est à ces questions et à bien d'autres que Michel Dalloni répond avec ce livre enquête unique en son genre, qui revisite des pans entiers de l'histoire du cinéma, du rock, de la littérature, de la mode, du sport, de la nuit et de l'érotisme.

05/2021

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Littérature étrangère

La nuit. Le sommeil. La mort. Les étoiles

Un grand roman de Joyce Carol Oates sur la destruction d'une famille par la violence du racisme de la société américaine Octobre 2010. John Earle McLaren - " Whitey " - a soixante-sept ans. Homme blanc et puissant, père d'une famille de cinq enfants, il est connu comme l'ancien maire respecté de la petite ville de Hammond, dans l'Etat de New York. Alors quand il aperçoit un matin sur le bord de la chaussée un individu à la peau foncée brutalisé par des officiers de police, il fait de son intervention un devoir moral. Il tente de ramener les policiers à la raison, mais des coups de Taser l'envoient au sol, de violentes impulsions électriques auxquelles il ne survivra pas. Selon la version officielle, Whitey est décédé dans un accident de la route, des suites d'une crise cardiaque. Que peut-il rester à une famille quand son seul point de ralliement était ce père aujourd'hui subitement enterré ? Il y a d'abord Jessalyn, qui a toujours vécu dans l'ombre de son mari. Désormais veuve, cette femme douce, éteinte, ne semble pas trouver en elle-même la force nécessaire pour tenir ensemble le foyer. Il lui faudra se relever et se reconstruire en tant que femme avant que de redevenir mère. Viennent ensuite les cinq enfants, Thom, Beverly, Lorene, Sophia et Virgil, aussi différents les uns des autres que peuvent l'être les membres d'une même fratrie. Des adultes englués dans leur quotidien, préoccupés par leur vie de couple, pris dans leurs ambitions et leurs regrets, leurs secrets et leurs fautes. Oates a écrit un roman magistral sur la dislocation d'une famille. L'une des grandes réussites de ce texte réside dans le portrait des enfants, affrontant chacun à leur façon le deuil de leur père, figure tutélaire, mais aussi dans la force et la résilience dont ils font preuve, notamment lors de la découverte de la falsification de l'acte de décès. Et puis il y a surtout l'étonnante figure de Jessalyn, la veuve anéantie à qui tout le monde prédit un avenir sombre, d'une tristesse insurmontable, et qui surprendra toute sa famille dans une évolution aussi spectaculaire qu'imprévisible... Au-delà d'être un roman bouleversant de vérité sur le trauma psychologique d'une famille, La nuit. Le sommeil. La mort. Les étoiles aborde aussi le racisme des forces de police aux Etats-Unis et la lutte des classes. Joyce Carol Oates ose ainsi faire le portrait complexe d'une nation en pleine crise identitaire, et place le lecteur face aux contradictions de la société américaine.

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Sociologie

Lorsque je me suis relevée j'ai pris mon fusil

" Oui c'est vrai je lui ai tiré dans le dos, eh oui, j'ai fait ça. J'ai pété les plombs et voilà. Je m'étais un peu reposée et lorsque je me suis relevée j'ai pris mon fusil, j'ai mis les cartouches, j'ai tiré et j'ai appelé le 18. Je ne vois pas ce qu'il y a à dire de plus". Jacqueline Sauvage Peu après les attentats de novembre 2015, nous découvrons l'histoire d'une femme condamnée à dix ans de prison pour avoir tué son mari qui la battait. Ce verdict indigne une partie de l'opinion, la grâce présidentielle va en scandaliser une autre. Par ces trois coups de fusil, Jacqueline Sauvage est devenue le visage des violences faites aux femmes. Pourquoi un tel déchaînement médiatique, s'interroge Valentine Faure ? Elle enquête sur le sens d'un tel geste, qui dit à la fois la puissance et l'impuissance, interrogeant ainsi le statut de victime. Ce crime en était-il un ? Que peuvent les femmes face à la violence des hommes ? Peut-on se libérer de la brutalité par une brutalité supérieure ? Et que faire de la violence des femmes alors que l'on n'a jamais aussi fermement condamné celle des hommes ? La criminalité féminine stupéfie et fascine. Valentine Faure éclaire ce qui au fil des siècles a pu être traité comme une pathologie, un mystère, une monstruosité ou le résultat d'une influence, rarement comme une menace réelle ou l'expression d'une colère légitime. Il est notamment question de Lorena Bobbitt, cette Américaine qui en 1993 tranchait le sexe de son mari, des empoisonneuses du XIXe siècle, du syndrome de la femme battue, du toujours très répandu "crime passionnel" ou encore de criminologie féministe... Valentine Faure relate aussi expériences et réflexions personnelles dans ce récit-essai original et stimulant qui ose démystifier la violence des femmes.

09/2018

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Histoire de la mode

La belle histoire du prêt-à-porter. 1950-2000

En 1935, dans un petit atelier en étage à l'angle des rues où sont construites maintenant les grandes boutiques démarrait une fabrication de prêt-à-porter. Quelques années après la guerre, deux des fils prennent l'affaire en main. A ce moment-là, les restrictions et la pénurie de matières premières se font cruellement ressentir. Ainsi la mode pour hommes consiste à se vêtir des surplus de l'armée américaine du genre battle-dress, flying-dress et autres. Qui précédera le style " Zazou ".Quand Joseph Farnel a intégré le petit atelier de son père, en 1950, pour apprendre le métier de tailleur, ses vues sont tout à fait autres : pas de vêtements tristes et lourds. Ainsi, il ira sillonner la France du textile, se glisser dans les stocks des usines et parviendra, non sans mal, à trouver des étoffes innovantes. Il dépose alors sa première marque " ORLY " l'envol de l'élégance masculine. Le succès est immédiat, les confectionneurs le suivent et, pour la première fois, le nouveau nom "Prêt à Porter" apparaît qui remplace celui de confection. Il va de nouveau sillonner la France mais cette fois pour convaincre les détaillants de l'hexagone et ça marche ! Les premiers salons européen de l'habillement masculin y contribue pour une grande part et principalement pour l'exportation... Quelques années plus tard son frère Henri le rejoint et forment à eux deux une redoutable équipe. Joseph s'occupant du style et des relations commerciales, Henri de la production. En 1965, les frères Farnel rencontrent les frères Renoma et achètent la concession. Joseph dessine une collection complète et monte un groupe réunissant tous les produits vestimentaires pour hommes. Le succès est foudroyant. Le lancement d'une ligne féminine, en 1970, qui attire des femmes célèbres, telles que Sofia Loren, madame Kennedy et beaucoup d'autres, suivi du lancement d'une nouvelle marque pour enfants, "Les enfants Terribles", qui sera suivit par "Les amoureux terribles", marque de sportwear...

06/2022

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Mode

Le détail qui tue. Petit précis de style de Marcel Proust à Rihanna

SOPHIA LOREN - PAUL BOWLES - FRANK SINATRA - AMELIA EARHART - MARGUERITE DURAS - THELONIOUS MONK - MARIANNE FAITHFULL - WILLY DeVILLE - JACKIE ONASSIS - KAREN BLIXEN - GRETA GARBO - MARVIN GAYE - CAROLE LOMBARD ET CLARK GABLE - WOODY GUTHRIE - LAUREN BACALL - THE KILLS - C. ISHERWOOD ET W. H. AUDEN - MILES DAVIS - BRIAN JONES - LOUISE BOURGEOIS - CURZIO MALAPARTE - AMY WINEHOUSE - CARY GRANT - JAMES BROWN - GRAM PARSONS - RIHANNA - MARLENE DIETRICH - LEONARD COHEN - MICHAEL CAINE - THE WHO - JIMI HENDRIX - DAVID CROSBY ET GRACE SLICK - MARTIN ET KINGSLEY AMIS - JEAN COCTEAU - BRYAN FERRY - JOHNNY ROTTEN - DIANA ROSS - JULIE CHRISTIE - JEANNE MOREAU - BIANCA JAGGER - DOLLY PARTON - YAYOI KUSAMA - GRACE JONES - STEVE McQUEEN - BILLIE EILISH - DANI ET ZOUZOU - CHLOË SEVIGNY - ELVIS PRESLEY - JANE RUSSELL - BRUCE SPRINGSTEEN - CARDI B - GABRIELE D'ANNUNZIO - FRANCIS SCOTT FITZGERALD - BOB DYLAN - PATTI SMITH - GRACE KELLY - ALAIN DELON - SIGOURNEY WEAVER - ANAÏS NIN - WILLIE NELSON - FRED ASTAIRE - CHARLIE PARKER - JACK LONDON - CHET BAKER - SACHA GUITRY - SIMONE DE BEAUVOIR - YUKIO MISHIMA - JOHN UPDIKE - MEL GIBSON - JANE FONDA - MARLON BRANDO - JAMES DEAN - PABLO PICASSO - DEBBIE HARRY - DENISE HO - CHRISTOPHE - ANDY WARHOL - ALBERT CAMUS - IRIS APFEL - PETER FONDA - ANDRE BRETON - FRIDA KAHLO - NANCY CUNARD - MARCEL PROUST - CARSON McCULLERS - PETER DOHERTY - MADONNA - PHARRELL WILLIAMS - FRANCOISE DORLEAC - NENEH CHERRY - RAYMOND ROUSSEL - JIM MORRISON - JANE BIRKIN - KANYE WEST - GEORGIA O'KEEFFE - AUDREY HEPBURN - JOAN CRAWFORD - DAVID BOWIE - ANNEMARIE SCHWARZENBACH - JEAN-PAUL GOUDE - JOANNE WOODWARD ET PAUL NEWMAN - NEIL YOUNG - KATE MOSS - FRANCOISE HARDY - JIM HARRISON - AVA GARDNER - FRANCOISE SAGAN ET ANNABEL SCHWOB - JAMES JOYCE - BALTHUS - KIRK DOUGLAS - ANGELINA JOLIE - TILDA SWINTON - RITA HAYWORTH - PJ HARVEY - MARILYN MONROE - JACK KEROUAC - PRINCE - ELIZABETH TAYLOR - URSULA ANDRESS - CHARLOTTE RAMPLING - ROMY SCHNEIDER - FAYE DUNAWAY - WILLIAM FAULKNER - THE BEATLES - TERENCE STAMP - LEE MARVIN - CHARLOTTE GAINSBOURG - SALVADOR DALÍ - JACQUES PREVERT - FOUJITA - JAMES TAYLOR - INGRID BERGMAN - ANDRE GIDE ET JEAN-PAUL SARTRE - LEONARDO DiCAPRIO - BRIGITTE BARDOT - JAYNE MANSFIELD - KATHARINE HEPBURN - JACK LEMMON - ANTHONY PERKINS - ERROL FLYNN - WES ANDERSON - EDWARD NORTON - G. B. SHAW - JACQUES DUTRONC - DAVE DAVIES - RAMÓN NOVARRO ET ROBERT MONTGOMERY - DENNIS HOPPER.

10/2022

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Sports

La "Cornada" du miroir

La "cornada" du miroir, qui se déroule au coeur de l'univers si particulier de la tauromachie, propose une quête de spiritualité au travers d'un symbolisme varié. Elle incite notamment à une véritable réflexion sur les notions de mort et d'amour. La tauromachie y est abordée avec poésie, par le biais des cinq premiers Arts. "Cette mort l'obstinait et le tétanisait. Mais depuis peu, ce n'était plus le cas. Il avait finalement appris à vivre avec elle. Il avait enfin vaincu ses longues nuits d'insomnies à se demander si son heure était arrivée. Il pouvait désormais la regarder en face, poussant même parfois le jeu au-delà du raisonnable. Son corps d'ailleurs, portait les traces de ces moments d'inconsciente extase. Il était cousu de ces triomphes. Par chance, jamais il n'avait été blessé gravement, par chance, les médecins avaient toujours su réparer le torero autant que l'homme. Diego Montalbán avait fait le choix de ne pas aimer, de ne pas perdre son temps dans ces jeux futiles qui amusaient ceux de son âge. Une seule femme le fascinait vraiment. C'était Lorena, son amie d'enfance. Pourtant, il n'y avait pas de place dans son coeur pour l'amour. Il en était convaincu. Il avait trop souffert. Il regardait cette masse noire devant lui. Ses yeux brûlaient de plaisir. Il sentait l'air chaud du mufle sur son visage. Il aimait cette sensation de contrôle. C'est lui qui décidait, lui qui ordonnait et dominait. Il ferma les yeux un instant pour se délecter de ce moment de gloire. Il n'eut pas le temps de les rouvrir. La corne s'enfonça dans le visage de Montalbán avec une violence inouïe. Bousculé puis projeté en l'air tel un pantin, Diego retomba lourdement sur le sable, inconscient, sous les hurlements d'un public horrifié. Le torero de Séville, gisait inerte sur le sable des arènes. Il venait d'être expulsé en un éclair vers un monde inconnu, ni tout à fait vivant, ni tout à fait mort. Il y faisait nuit. Il y était seul."

09/2019

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Histoire internationale

La question sociale du "Vormärz" (1830-1848). Perspectives comparées, Textes en français et en allemand

L'expression "Question sociale" , présente dans les discussions menées en France dès le début du XIXe siècle, fait son apparition en Allemagne à l'époque du Vormärz. Souvent associée aux concepts de "matérialisme" et de "paupérisme" , elle traduit la volonté de cerner et d'expliquer les mutations sociales engendrées par les débuts de l'industrialisation. La conscience de crise qui domine la réflexion philosophique et politique de l'Entre-Deux-Révolutions 1830-48 oscille entre les extrêmes. Les prises de position vont d'une actualisation de l'Aufklärung (Heine) à la condamnation univoque de celle-ci au nom des traditions séculaires (F. J. Buß). Les propositions formulées pour remédier à la crise sociale engagent l'héritage laissé par l'Aufklärung, qu'il s'agisse de la théorie économique (caméralisme) ou de la théorie politique (libéralisme). Comment peut-on changer le statu quo des sociétés figées dans le paupérisme et l'immobilisme politique ? Des réformateurs sociaux se consacrent à l' "amélioration de la société" , de part et d'autre du Rhin : Karl von Rotteck, figure de proue du libéralisme bourgeois en Allemagne du Sud, Karl von Rotteck, défenseur du droit naturel et de la constitution badoise. Du même constat, d'autres doctrines socio-économiques tirent cependant des conclusions politiques autrement plus radicales : fouriérisme, saint-simonisme, proudhonisme, socialisme pré-marxiste etc. A partir de quelles représentations de la société ces réformateurs sociaux ont-ils essayé de répondre à la Question sociale et ainsi imbriqué enjeux socio-économiques, politiques, philosophiques... ? Pour mettre en évidence les changements de paradigmes entre siècle des Lumières et Vormärz, le volume prend appui sur des textes emblématiques de la protestation sociale de l'époque du Vormärz (Georg Büchner, Heinrich Heine, Franz Gräffer), explore l'ouverture de la littérature à l'engagement social chez Bettina von Arnim, et l'effort du roman social à saisir la nouvelle réalité du monde industriel. Les relations de voyages de Karl Gutzkow, séjournant à Paris de mars à mai 1842, puis de Theodor Mundt, en 1837 et 1838, enfin les essais de Rotteck et de Lorenz von Stein témoignent des efforts de conceptualisations socio-politiques du libéralisme et de son appréciation de la question sociale

12/2018

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Non classé

Mon ennemi, c'est la finance, une campagne pour Friponnes rpg

Mon ennemi, c'est la finance est une grande campagne pour le jeu de rôle Friponnes rpg. Elle comporte dix scénarios complets, chacun jouable en deux à quatre séances, dans compter les voyages qui rythment les passages d'une île à une autre. Elle peut donc vous occuper longtemps ! Néanmoins, à une exception près, chacun de ces scénarios peut aussi être joué isolément pour ceux qui n'ont pas le temps ou la possibilité de se lancer dans une campagne ou long cours. Elle contient la description de plus de cent PNJ et de maints lieux pouvant être mis en scène dans vos propres créations. Elle a pour ambition de vous faire voyager dans presque toutes les Folandes (Libreterre, Borène, Mina-Roka, Rahajida, Entreville - plusieurs fois -, Lanareta, Xejogue, les Milîles et Verrou), telles qu'elles qu'elles sont décrites dans les romans d'Etienne Bar. Vos friponnes se mesureront aux terribles Steffy et Julie d'Armale, à des démons, des Sangrelin, des barbares cannibales, des assassins, des pirates, des banquiers et leurs sbires, des sorciers et naturellement des Verougues. - Une campagne de Friponnes rpg sans Verougues manquerait de sel ! -. Elles seront confrontées à des administrations tatillonnes, des flics incorruptibles (et d'autres plus souples), des servants de l'Unique plus ou moins bornés, des elfes libertins et d'autres empêcheurs de friponner tranquillement. Ce faisany, les friponnes auront à affronter diverses injustices et situations dangereuses et ne tarderont pas à se rendre compte que, le plus souvent, elles sont dues à une même cause : une cupidité sans limitesn si opposée aux valeurs libreterrannes. D'où son litre : Mon ennemi, c'est la finance. Cependant, n'allez pas y voir un manifeste politique Friponnes rpg reste un jeu, qui n'a pas d'autre objectif que de vous permettre de passer de bons moments entre amis ! Tout le plaisir sera de vivre et de défendre une utopie positive, où la paix, la douceur de vivre... et la joie de s'aimer finissent toujours par l'emporter. Pour cela, il faudra botter quelques culs de vilains qui veulent contrarier ces plaisirs simples et qui ont parfois des points communs avec des personnes de notre monde dont les postérieurs sont malheureusement hors de portée de nos bottes.

05/2019

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Ethnologie

Essais d'anthropologie philosophique

Arnold Gehlen (1904-1976) est l'un des principaux représentants de l'anthropologie philosophique allemande apparue au début du XXe siècle. Le premier article de ce recueil la définit comme la science de l'être humain, de concert avec la morphologie, la physiologie, la psychologie, la linguistique, la sociologie, etc. Science philosophique systématique et interdisciplinaire, elle est fondée sur des hypothèses exemptes de toute métaphysique ". L'homme. Sa nature et sa position dans le monde (1940) présente les plus fondamentales. Deux articles publiés en 1951 et en 1968 leur ajoutent des éléments du pragmatisme anglo-américain et des éléments de la psychanalyse freudienne. L'idée essentielle de Gehlen est que " l'action et les transformations prévues du monde, dont la quintessence porte le nom de "culture", font partie de l"essence" de l'être humain, et [que], à partir du point d'approche que constitue l'action, on peut en construire une science globale ". Influencé par Kant, Herder et Fichte, mettant ses pas dans ceux de Jakob von Uexküll et de Konrad Lorenz, l'homme est selon lui une créature qui se maintient en vie par la transformation et l'amélioration permanente des données de la nature. Sa défectuosité biologique est compensée par l'invention technique. Dépourvu de " niche écologique ", il s'adapte à tous les milieux, il est capable en dépit d'une pression intérieure immédiate d'ajourner son action; cette espèce d'hiatus lui permet de la planifier, d'anticiper l'avenir. Ces thèses ont nourri la réflexion de Jürgen Habermas, Hans Blumenberg, Ernst Tugendhat, Theodor Adorno. Mais elles n'ont guère retenu l'attention de la France. Son indifférence à l'oeuvre d'Arnold Gehlen s'explique en partie par le fait qu'il a adhéré dès 1933 au Parti national-socialiste et que, jusqu'à sa mort, ses positions ont été très réactionnaires mais aussi par son désintérêt traditionnel pour l'anthropologie philosophique en général. Quand les pollutions, le dérèglement climatique, etc., menacent l'avenir de l'humanité, mais quand aussi s'expriment partout le souci de sa préservation, alors il est temps de découvrir l'anthropologie d'Arnold Gehlen.

02/2010

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Non classé

Peut-être, n° 6, 2015. Revue poétique et philosophique

Ce sixième numéro de Peut-être s'ouvre avec le souvenir de Daniel Vigée, qui s'est éteint au début du mois de novembre 2013. Il aurait eu soixante et un an à la fin de novembre 2014. Tous ceux qui ont côtoyé Daniel, tous ceux qui l'ont connu à travers les poèmes de Claude Vigée, partagent une grande tristesse et s'associent pleinement au deuil de sa famille, et tout particulièrement de son épouse Jola et de ses enfants, Nathalie (et son époux) et Raphaël. Nous reproduisons la brève allocution que Claude avait dictée à Nathalie pour la cérémonie de Bischwiller ainsi que le discours de Claude Heymann, Rabbin de la communauté de Haguenau. Nous associons Evy à son fils dans notre souvenir. Les essais de Claude Vigée ici repris, partiellement pour "L'annonce d'un matin d'hiver" , et dans son intégralité pour "Esclaves et étrangers : Flaubert et Chateaubriand à Jérusalem" , permettent de bien mettre en relief la complémentarité de ces lieux, l'Alsace et Jérusalem, dans l'existence et dans l'oeuvre de Claude ainsi que dans la vie de sa famille. Blandine Chapuis dédie à Evy son étude fouillée, très sensible et pertinente, sur l'oeuvre de Claude Vigée : "La poésie comme promesse d'avenir" . Il est aussi beaucoup question de cette oeuvre qui nous rassemble dans le dossier qu'Oleg Poliakow a réuni pour nous autour d'une réflexion sur le verset de la Genèse concernant la création de l'homme (Genèse 2, 7) associée à cette belle expression du philosophe Paul Ricoeur : "L'homme, c'est la Joie du Oui dans la tristesse du fini". Nous traversons une période de commémorations multiples. L'année 2014 marquait le centenaire de la naissance de Dylan Thomas, que célèbre Jean Migrenne, mais inaugurait également une double perspective historique, le centenaire du début de la Grande Guerre s'associant avec le soixante-dixième anniversaire de la Libération. Nelly Carnet s'est entretenue avec Nelly Leviandier-Coulon, résistante. Je poursuis mon travail de réflexion sur les poètes de la Grande Guerre. Pierre Brunel nous parle de Rimbaud et établit un lien particulier avec l'oeuvre de Claude Vigée. Le cahier de création s'ouvre avec des poèmes inédits de Claude. Marc Sagnol nous initie par ses traductions à l'oeuvre d'Alexandre Guelman, poète russe, et d'Inna Fridkina. Je propose, en version bilingue, des poèmes très célèbres de Wilfred Owen, Charles Hamilton Sorley, Isaac Rosenberg, Ivor Gurney et Robert Graves. On retrouvera ensuite, ou on découvrira, Gabrielle Althen, Beryl Cathelineau-Villatte, Marc Kauffmann, Pénélope Sacks-Galey et Marc Sagnol. Jean-Luc Hohl-Muller nous donne à lire un essai sur la langue alsacienne, sous forme de nouvelle, "Les écureuils" . Lydie et Guy Baranton, fille et fils du peintre dont nous présentons l'oeuvre, Roger Baranton, évoquent pour nous leur père et sa joie de peindre, qui transcenda pour lui toute autre difficulté d'existence. Il se situe dans cette école de Paris d'après la Seconde Guerre mondiale.

12/2014

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Histoire de France

Le général Bonaparte et le renseignement : la période révolutionnaire et la première campagne d'Italie

L'utilisation du renseignement dans les campagnes de Napoléon est restée longtemps un sujet peu et mal connu. Certes de nombreux livres ont été consacrés au fameux Schulmeister, cet espion peut-être aussi fabulateur que Vidocq, son contemporain dans le monde du crime. En tout cas Schulmeister a éclipsé d'autres agents secrets comme Le Lorgne d'Ideville ou Thiard de Bissy dont l'activité est plus facile à cerner. La vision du renseignement chez Napoléon est réduite, car l'Empereur ne définit-il pas l'agent du renseignement comme "un bon général d'avant-poste" ? Il suffit d'avoir reconnu le terrain et d'être instruit sur l'importance des effectifs ennemis et sur leurs mouvements. Le diplomate en poste chez l'adversaire joue un rôle capital avant la campagne et l'éclaireur à cheval, généralement un aide de camp, fournit le renseignement à chaud. Il y a aussi les interrogatoires de prisonniers et les courriers interceptés. Napoléon a compris l'intérêt du renseignement dès la première campagne d'Italie comme on va le découvrir dans ce livre. Pour étudier ces débuts de l'espionnage moderne, il fallait un spécialiste doublé d'un érudit. C'est le cas d'Alain Montarras. Il parle de ce qu'il connaît, mêlant son expérience d'officier à la DFL à une connaissance approfondie des archives. Il pressent, devine, imagine et le document vient confirmer ses hypothèses. Ne fut-il pas le collaborateur de Roger Warin dit Wybot, ancien chef du service de contre-espionnage de la France libre à Londres puis directeur de la Direction de la Surveillance du Territoire ? Alain Montarras, après avoir été sous-directeur de la DST se verra nommé en 1971 à la direction des Services des voyages officiels et de la protection des hautes autorités. La façon de déjouer un attentat n'avait pas de secrets pour lui. Il terminera sa carrière à la direction du Service de coopération technique internationale de la police. Il voulait, avant la vaste fresque qu'il était seul en mesure de brosser - son décès prématuré en 2008 l'en aura empêché -, commencer par la première campagne d'Italie. C'est là que Bonaparte rode des méthodes qui vont faire merveille à l'époque de la Grande Armée. D'étonnantes figures sortent de l'ombre comme Toli ou Pico, sans oublier Landrieux, plus connu comme inspirateur des massacres de Vérone qui permirent à Bonaparte de mettre la main sur la République de Venise. La chance de Napoléon fut ensuite d'avoir d'excellents espions, souvent hérités de la Révolution française.

05/2014

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Littérature Italienne

Le Conformiste ; La Romaine ; La Désobéissance ; La Ciociara

Ce volume regroupe quatre des plus grands et plus célèbres romans d'Alberto Moravia, qui témoignent de la force de l'imaginaire et du talent de portraitiste, habile à créer des archétypes, auxquels il dut sa gloire, tant dans le registre politique, historique et social que dans la tonalité intimiste et même psychanalytique. Il était temps que le plus grand romancier italien, celui qui a acquis à travers le monde une notoriété exceptionnelle, par ses fictions romanesques, son art de la nouvelle, son esprit d'observation de la société et de la politique mondiale, ses récits de voyage figure en bonne place parmi les grands auteurs de Bouquins, "La collection". Nous avons choisi, dans la grande période créatrice (1947-1957) d'Alberto Moravia, quatre romans représentatifs de son imaginaire, nourri de son expérience autobiographique : La Belle Romaine, La Désobéissance, Le Conformiste et La Ciociara. Il s'agit de quatre portraits (deux femmes et deux hommes) qui appartiennent désormais pleinement à la légende de l'écrivain. Dans La Belle Romaine, Alberto Moravia s'est souvenu d'une jeune prostituée qu'il avait rencontrée avant la guerre et qui exerçait avec l'assentiment et l'aide de sa mère. En décrivant sa vie, Alberto Moravia dresse un tableau de toutes les classes de la société auxquelles ses clients appartiennent. Et à travers la diversité de la sexualité humaine, le romancier approfondit sa connaissance et ses analyses du comportement des hommes, dans la période fasciste et dans la confusion de l'après-guerre. Dans La Désobéissance, Moravia laisse s'exprimer sa veine intimiste et offre une sorte de " fausse autobiographie ", en imaginant un enfant qui pourrait être son double et qui exprime tous les élans de révolte qui l'ont animé jusque dans l'âge adulte. Dans Le Conformiste, que le film de Bernardo Bertolucci, une vingtaine d'années plus tard, devait rendre célèbre, l'écrivain donne de la tragédie de ses cousins résistants Rosselli, victimes des services secrets fascistes, une version transfigurée, en refusant tout manichéisme et en tentant cependant de comprendre les mobiles du mal et de la perversion. Inventant un personnage ambigu de fasciste, il pénètre dans le labyrinthe de la genèse de la trahison, du meurtre, de la persécution. Enfin, avec La Ciociara, qu'un autre film rendit populaire (grâce au double génie de Vittorio De Sica son réalisateur et de Sophia Loren qui incarna la protagoniste), Moravia raconte " sa guerre ", dans le sud du Latium, où fuyant avec sa femme Elsa Morante les persécutions raciales, il découvrit tout un monde paysan arriéré, mais aussi généreux. Plutôt que de proposer un récit autobiographique, il modèle un nouveau personnage féminin de femme simple, fuyant avec sa fille, et se heurtant à une tragédie sans visage et sans nom.

04/2023

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Autres

Philosophie N° 149, mars 2021 : Raymond Ruyer

Ce numéro est tout entier consacré au philosophe français Raymond Ruyer (1902-1987). Il s'ouvre sur une lettre de Ruyer à Piaget du 16 octobre 1965. Elle fait suite à la sévère critique que Piaget avait faite de ses Eléments de psycho-biologie où, tout en reconnaissant dans l'ouvrage un certain effort d'information, celui-ci opposait une fin de non-recevoir aux explications des faits par une métaphysique du potentiel et condamnait le recours, jugé purement verbal, à des notions telles que "finalité", "potentiel", "psychisme". On y lira les arguments que Ruyer oppose à la thèse selon laquelle la philosophie n'apporte aucune connaissance véritable, ce privilège étant réservé à la science expérimentale. Dans "Ruyer et les leçons de l'instinct", André Conrad s'attache au problème de la différence anthropologique. Pour l'éthologie compréhensive (Fabre, von Uexkiill, Buytendijk), l'instinct est une embryologie continuée selon une action thématique, et non selon le mécanisme à "déroulements autonomes" (Lorenz, Tinbergen) ou des "comportements régulés". Si l'homme est séparé de l'animal par l'originalité de la fonction symbolique (Cassirer, Langer), l'action thématique ne sépare pm l'embryologie sociale (culture et politique) du mystère de la vie, ce qui fait à la fois comprendre 1a différence et la communauté des vivants. Dans "Etre ou avoir son corps : à propos de trois genres de multiplicités chez Ruyer", Benjamin Berger s'attache à éclaircir le statut du corps dans la philosophie de Raymond Ruyer. Ce dernier se situe au carrefour de deux axes cruciaux, celui de la manifestation et celui des multiplicités, et constitue le lieu de connexion entre la phénoménologie et l'ontologie, de même qu'entre une philosophie de l'incarnation et une philosophie du corps vivant. Dans "Raymond Ruyer et la cybernétique", Alix Veilhan s'intéresse à la lecture ruyerienne des théories rybemétiques, notamment à la façon dont le dialogue avec les thèses formulées par Norbert Wiener permet à Ruyer de soutenir l'hypothèse d'une origine "transspatiale" de l'information et de démontrer l'inadéquation du mécanisme pour élaborer une pensée du vivant. Ruyer invite alors à l'établissement d'une cybernétique renouvelée, en accord avec "éo-finalisme". Dans Rayer, Leibniz et l'unité des corps o, Bertrand Vaillant s'attache à un problème que Rayer hérite de Leibniz, celui de l'unité des corps, et examine à la lumière de cet héritage lebniziu sa résolution au sein de la métaphysique panpsychiste de Ruyer, conçue par ce dernier comme une "monadologie corrigée". L'auteur cherche à montrer que cette philosophie, pensée pour échapper aux difficultés de la monadologie leibnizienne, n'y parvient pas réellement. Dans "Le rapport de Rayer à Whitehead", Fabrice Colonna cherche à établir quelle est la présence exacte de Whitehead dans l'oeuvre de Ruyer. Les points de rapprochement incontestables entre les deux penseurs concernant l'importance de la métaphysique, la critique du schème matérialiste et la pertinence d'un platonisme renouvelé ne doivent pm faire oublier les différences d'accent, qui se manifestent tant au sujet de la question des composés que de certains principes de la théologie spéculative, à laquelle l'un et l'autre auront frayé des voies originales. D. P.

03/2021

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Ingénierie

BIM computationnel, des données vers l'IA. Ingénierie et architecture, enseignement et recherche

Les défis auxquels l'environnement bâti doit répondre sont de plus en plus nombreux. Entre contextes sociaux complexes, programmes économiques sous pression et nécessité de construire et d'habiter de manière performante et durable, les attentes qui reposent sur l'AECO (Architecture, Ingénierie, Construction et Opération) sont cruciales. Le BIM, ses processus et ses outils visent depuis de nombreuses années à soutenir ces pratiques exigeantes. Aujourd'hui, la multiplication des données accumulées et les avancées technologiques permettent des pratiques computationnelles de plus en plus avancées. Récemment, le succès rencontré par certains algorithmes d'Intelligence Artificielle comme ChatGPT ou MidJourney a démontré comment ces approches computationnelles pouvaient présenter des potentialités multiples sur des champs d'application toujours plus larges. Rarement interrogées de façon transversale, les évolutions du BIM et du computationnel portent pourtant de fortes potentialités pour l'industrie. Elles entraînent avec elles de multiples changements et répercussions du point de vue des pratiques, des organisations, des acteurs et de leurs missions, mais aussi : de la gouvernance des données, du green IT, des algorithmes et des biais de données. Les nouveaux rôles et nouvelles compétences, les nouveaux rapports à la simulation, à l'optimisation, à la conception en général, à l'automatisation, à l'industrialisation et à l'open source, sont autant d'enjeux à discuter dans l'évolution de ces pratiques BIM computationnelles. Sous un angle ouvert et multidisciplinaire, les textes rassemblés ici exposent diverses perspectives sur les pratiques actuelles du BIM. Les pratiques informationnelles de l'industrie de la construction y sont interrogées, chaque texte amenant une nouvelle perspective propre à ses auteurs sur le sujet. Thématiques de l'ouvrage Cette édition inclut les thématiques suivantes (sans y être restreinte) : BIM et pratiques computationnelles : design génératif, optimisation, form finding, intelligence artificielle, pratiques data-driven, BIM et sciences des données ; BIM et collaboration, BIM et interopérabilité, données liées, dictionnaires de données ; Transition numérique, processus d'adoption, maturités BIM, nouvelles compétences et nouveaux rôles, nouvelles pratiques de projet, nouvelles organisations ; BIM et durabilité : efficacité énergétique, empreinte carbone, Analyse du Cycle de Vie, économie circulaire ; BIM et open source ; Intégration du BIM dans le contexte urbain et dans le territoire : CIM, smart cities, interopérabilité avec les SIG ; Jumeau numérique, BIM et exploitation maintenance, IoT, Heritage BIM ; BIM et construction industrialisée, BIM sur chantier, BIM et préfabrication. Cet ouvrage interroge la grande diversité des recherches et points de vue autour du BIM et des outils numériques, au regard notamment des enjeux posés par ces nouvelles pratiques computationnelles. Ont contribué à l'ouvrage : - Nihel ALLOUCHE (Université de Carthage) - Joseph AZAR (Université de Franche-Comté) - Samia BEN RAJEB (ULB Bruxelles) - Selsebil BENELHAJ SGHAIER (Université de Bourgogne) - Aurélie de BOISSIEU (Université de Liège) - David CAMARAZO (Université de Bourgogne) - Charlotte DAUTREMONT (Université de Liège) - Sana DEBBECH (IRT Railenium) - Mohamed-Anis GALLAS (Université de Mons) - Annabelle GILLET (Université de Bourgogne) - Thibaud HULIN (Université de Franche-Comté) - Ahmed ISMAIL (ENSA de Grenoble, EPFL) - Vasilina IVANOVA (Université de Mons) - Mihaela JUGANARU (Mines Saint-Etienne - IMT) - Sesil KOUTRA (Université de Mons) - Younes LAMSAOUGAR (Université de Franche-Comté) - Eric LECLERCQ (Université de Bourgogne) - Maxime LEFRANCOIS (Mines Saint-Etienne - IMT) - Philippe MARIN (ENSA de Grenoble) - Thamer MECHARNIA (Mines Saint-Etienne - IMT) - Ana ROXIN (Université de Bourgogne) - Léa SATTLER (ENSA de Paris la Villette) - Gregorio SAURA LORENTE (Université de Mons) - Aida SIALA (ENSA de Nancy) - Federico TAJARIOL (Université de Franche-Comté) - Antoine ZIMMERMANN (Mines Saint-Etienne - IMT)

02/2024

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Grands textes illustrés

La Reine des neiges

Kay et Gerda s'aiment comme un frère et une soeur. Ensemble, ils adorent jouer dans le jardin et écouter des histoires... Mais un soir d'hiver, le jeune Kay, reçoit un éclat de miroir maléfique dans l'oeil, qui lui glace le coeur. Envoûté, il disparaît peu après dans le sillage du traîneau de la reine des Neiges... Gerda, sa tendre amie, part alors à sa recherche pour le ramener à la maison. Elle parcourt le monde, vaillante pour le retrouver. Sa quête la mènera jusqu'aux terres glaciales du grand nord, au château de la reine des Neige.

10/2021

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Cinéma

Charlie Chaplin, portrait inédit d'un poète vagabond

Charlot, le mythe, vu avec les yeux d'un ami et collaborateur de longue date : un portrait affectueux et insolite illustré par de nombreuses photos inédites. Ce livre rend hommage à un mythe du cinéma de tous les temps : Charles Chaplin. Le personnage du Vagabond, qu'il a créé et interprété dans de nombreux films à succès, est et restera une des figures les plus célèbres du spectacle, connue dans le monde entier. Mais de l'homme, de Chaplin tel qu'il était dans le privé, nous ne connaissions que très peu de choses. Cet ouvrage est le récit direct des dernières années, tumultueuses que Chaplin a passé à Hollywood et de sa vie en Suisse après qu'on lui ait refusé l'autorisation de rentrer aux États-Unis. Jerry Epstein fut le témoin direct de nombreux événements de cette époque-là, grâce à l'amitié qui le liait à Chaplin et leur collaboration artistique ; il a, en effet, travaillé pendant au moins treize ans, d'abord à Hollywood au Circle Theatre, théâtre d'avant-garde créé par Epstein, puis sur les trois derniers films de Chaplin : Les Feux de la rampe, Un roi à New York et La Comtesse de Hong-Kong. L'abondance des détails et anecdotes inédits révélés par Epstein nous font pénétrer dans les recoins de la vie de Chaplin et nous révèlent des aspects inconnus de son activité artistique : par exemple, on peut lire pour la première fois une description détaillée du travail (tenu secret pour le public) qu'il effectuait pour le Circle Theatre, où Chaplin faisait répéter les jeunes acteurs très tard dans la nuit : « Ma rétribution, plaisantait-il toujours, est de trente-cinq centimes et une tasse de café noir. » En feuilletant les pages de ce livre, on voit Chaplin créer avec une attention minutieuse les séquences comiques de ses films, y compris le fameux numéro de music-hall avec Buster Keaton dans Les Feux de la rampe. Epstein y décrit également la persécution par le FBI et la Commission des Activités anti-américaines dont Chaplin fut victime, la paix et la sérénité qu'il retrouvera finalement en Suisse, aux côtés de sa femme et de sa famille de plus en plus nombreuse. Errol Flynn, Sophia Loren, Kay Kendall, Buster Keaton, Marlon Brando et même Sylvester Stallone ne sont que quelques-uns des personnages que nous rencontrons au cours de ce voyage dans le monde du spectacle, mais la plus grande surprise de ce livre est sans aucun doute l'extraordinaire et inattendue publication de photographies absolument uniques – nombreuses d'entre elles étant même inédites – appartenant à la collection privée de Jerry Epstein, photographies qui feront la joie de tous les lecteurs et différencient cet ouvrage des traditionnelles biographies. Ceux qui pensent avoir entre les mains une biographie classique devront changer d'avis : à la lecture de ces pages de Epstein, où se succèdent les scènes d'un comique irrésistible et les grands moments d'émotion, Charlie Chaplin nous semble, l'espace d'un instant, encore vivant parmi nous. Jerry Epstein a été metteur en scène de théâtre, producteur de cinéma et scénariste. Pendant plus de dix ans, il a collaboré avec Chaplin dans le milieu du théâtre et du cinéma.

08/2012

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Livres 3 ans et +

Le Petit Poucet

Il était une fois un bûcheron et une bûcheronne qui avaient sept enfants, tous garçons. Quand le dernier vint au monde, il n’était guère plus gros que le pouce, ce qui fit qu’on l’appela le petit Poucet. Les parents, qui ne parvenaient plus à nourrir leurs enfants, décidèrent un jour de les abandonner dans la forêt noire et profonde…

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Livres 3 ans et +

Le Petit Poucet

Il était une fois un bûcheron et une bûcheronne si miséreux qu'ils décident d'abandonner leurs sept fils dont le plus jeune s'appelait le Petit Poucet. Avisé, ce dernier sauve ses frères en semant des petits cailloux sur le chemin de leur maison. Mais il échoue plus tard lorsqu'il sème des morceaux de pain. Alors que les sept frères trouvent refuge chez un ogre qui entend les dévorer, le Petit Poucet à l'idée d'échanger les bonnets de ses frères avec les couronnes des sept filles de l'ogre. Dupé, l'ogre tue ses filles tandis que le Petit Poucet et ses frères s'enfuient. Furieux, l'ogre part à leurs trousses. Mais le Petit Poucet a plus d'un tour dans son sac...

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Perrault

Miniconte le petit poucet

" Quand j'étais petite fille, j'ai lu le Petit Poucet en allemand. Ce conte me paraît maintenant très différent. Est-ce la langue française, ou bien les années qui ont passé ? Comment vais-je faire pour donner une âme à tous ces personnages ? L'ogre, gros, brutal, repoussant, mais aussi, niais et vulnérable. Le Petit Poucet, vif, agile, intelligent, qui va jusqu'à retourner la force de l'ogre contre lui-même ? Comment les sept frères peuvent-ils retourner vivre chez leurs parents après tout ce qu'ils leur ont fait subir ? Je prends mes pinceaux, mes couleurs et me lance à la poursuite de ce monde cruel, cherchant à répondre à toutes ces questions. " Katja Gehrmann

11/2022