Recherche

Mon père est parti à la guerre

Extraits

ActuaLitté

BD tout public

Le chant de mon père

Nous vivons dans une jolie maison traditionnelle que mon père avait construite de ses propres mains.

01/2012

ActuaLitté

Littérature étrangère

Les terres de mon père

" Si je pouvais m'élever comme un oiseau, je prendrais la route de l'ouest. Je verrais les coteaux monter et descendre avec leur châle aride jusqu'au moment où, écoeurée par le va-et-vient, j'arriverais à l'eau salée de l'océan. Une fois repue de la sensation du sable tiède sur ma peau et fatiguée de regarder l'écume effacer l'empreinte humide de mes pas, alors, le corps blanchi et raidi par le sel, je m'envolerais à nouveau. " Chili. Un hameau perdu de la cordillère de la côte, au début des années soixante-dix. Du fond de sa misère, une toute jeune fille raconte... ses interrogations, son désarroi, ses espérances. Dans une langue économe, épurée, proche de l'oralité, Beatriz Garcia-Huidobro offre au lecteur une vision implacable et glacée du Chili peu de temps avant le coup d'Etat de Pinochet.

01/2004

ActuaLitté

Littérature étrangère

Les larmes de mon père

Malgré le thème, l’enchantement est au rendez-vous. Ce recueil se lit presque comme un roman tant les voix, les personnages et les situations composent une trame narrative homogène. Tous retraités vieillissants, les protagonistes sont attachants par leurs ridicules avoués, leurs petites manies et coquetteries assumées. Au cours de rêveries nostalgiques, ils réinvestissent leur passé, les amours, les désirs sexuels, les ambitions, les nombreux voyages, et à partir des souvenirs de leurs lointaines enfances ils tentent de reconstituer l’histoire des couples de leurs proches, l’histoire de l’Amérique rurale, terre natale d’où ils se sentent irrémédiablement exilés. Quelques nouvelles empruntes de réflexions métaphysiques sont de belles variations libres sur la mort, ou encore la contemplation d’un monde en déréliction que l’homme sait qu’il va devoir bientôt quitter. Enfin, l’auteur nous fait lui aussi son récit sur l’attaque du 11 septembre des tours jumelles de New York, un récit choral ambitieux intitulé avec humour Variété des expériences religieuses.

03/2011

ActuaLitté

Critique littéraire

Conversations avec Adonis, mon père

" Crois-tu que l'on puisse survivre à un père comme toi ? Surtout avec un monde arabe en grave crise sociale, politique, religieuse et intellectuelle ? Un fanatisme bête et dévastateur ? Tu représentes pour moi une sorte d'espoir et de rempart contre cette décadence du monde arabe, contre ce fanatisme islamique qui n'a pour but que le pouvoir. Si tu n'étais plus là, j'ai le sentiment que je prendrais cette violence de plein fouet ! " Ninar Esber interroge son père, le poète Adonis, au cours de dix entretiens très intimes, sur sa formation, son rapport à l'Islam, à la poésie, à sa Syrie natale et au Liban, où ils ont vécu jusqu'à la guerre, sur les femmes, sur le voile, sur les monothéismes, sur le terrorisme. Adonis, très hostile à tout embrigadement religieux et, de manière générale, à tout fanatisme, parle avec simplicité de la sexualité, du désir, du mariage, de la fidélité, de l'amitié, de la sensualité et bien sûr de la création. Ninar, jeune femme provocante et sincère elle-même, est violemment critique par rapport à la façon dont les femmes sont considérées dans les pays musulmans. une double leçon de liberté.

03/2006

ActuaLitté

Littérature française

Une année avec mon père

Après un terrible accident de voiture, un homme rentre chez lui. Ayant échappé de peu à la mort (sa femme, elle, a disparu dans l'accident), il lui faut maintenant tout réapprendre. Sa fille, jour après jour, l'accompagne, et tente de tenir la main de cet homme intraitable. Inquiète ou joueuse, sa voix décrit les quatre saisons de ce retour à la vie. Elle raconte son histoire, celle d'un Français, juif laïque et républicain, né à la fin des années 20, amoureux des paysages de son enfance qu'il ne concevait pas de défendre autrement que les armes à la main. La guerre, la politique, le travail, les femmes, il a tout vécu sans jamais s'expliquer. Et il n'a pas l'intention de commencer. Lumineux, cocasse, bouleversant, ce livre est tout entier du côté de la vie. L'écriture engage avec la mort une course de vitesse, et rien ne dit qu'elle n'en sortira pas gagnante. Chacune - et chacun - y reconnaîtra l'essence même de ces liens si précieux qui se tissent entre les pères et les filles.

03/2010

ActuaLitté

Littérature française

Le silence de mon père

"Je ne sais pas qui est mon père. Je suis face à un reflet qui danse et tremble sur l'eau. Je tente de le capturer, je plonge la main, mais il se dérobe comme les bribes d'un rêve au matin. Il est pourtant là, si près. Insaisissable. Mon père, cet inconnu." C'est l'histoire d'un père enfermé dans le silence. De sa fille qui part à la recherche de l'homme qu'il fut. C'est une enquête intime menée comme un polar, un voyage dans les secrets de famille, les exils et la mémoire, de la banlieue du Mans aux ruelles de Hanoi. Un récit, un roman-quête en forme de puzzle, drôle et nostalgique à la fois.

03/2016

ActuaLitté

Livres 3 ans et +

Mon grand-père s'efface

Le grand-père du héros a bientôt cent ans, presque un siècle ! Il a tellement vécu qu'il ne sait plus trop où il en est. Alors quand son petit-fils vient lui rendre visite... il le prend pour son frère, et l'appelle Prosper ! Le garçon envisage de le détromper, mais décide finalement de jouer le jeu. Il suivra son grand-père dans le jardin de sa résidence, devenu pour l'occasion un véritable Far West, avec des canyons à traverser et des Sioux à attaquer. Car, malgré la maladie, c'est un grand-père qui a encore plein d'aventures en lui.

02/2019

ActuaLitté

Littérature française

L'ami de mon père

Mon père, journaliste au Petit Parisien, a été arrêté au mois d'août 1944 et condamné pour " intelligence avec l'ennemi ". Après jugement, il a été détenu à la maison centrale de Clairvaux d'où il a bénéficié le 11 novembre 1947 d'une libération conditionnelle. Tels sont les faits. Irréfutables. Mais " cet ami de mon père ", ce camarade de prison, cet homme dont j'ai appris qu'il s'était engagé à vingt ans dans la division Charlemagne pour combattre les Russes sous l'uniforme allemand... et que je vis arriver un jour de l'été 1961, dans notre maison du Midi, au volant d'une Triumph décapotable, je me demande si je ne l'ai pas, pour une part, imaginé, afin de lui poser les questions qu'adolescent je n'avais posées à personne. Jusqu'à ce que le temps adoucisse les blessures ou les impatiences de l'enfance. Ou que s'affirme le besoin d'écrire - cette façon cher à jamais du passé.

05/2000

ActuaLitté

Sports

L'Alfasud de mon père

L'Alfasud, plus qu'une voiture, une Alfa Romeo ! Et plus qu'une Alfa Romeo, une ambition industrielle pour le sud de l'Italie, qui donna naissance à une berline familiale, compacte, sportive et abordable. Présentée en 1971 sur un marché européen en pleine expansion, traction avant, moteur 4 cylindres boxer : ce fut une révolution pour Alfa Romeo. Au cours des douze années de production, la gamme fut complétée par un break et un coach sportif, par des motorisations plus vives, puis une fonctionnalité accrue avec 3 et 5 portes. L'Alfasud fut engagée dans de nombreuse compétitions, sur circuit lors du Trofeo Alfasud, ainsi qu'en rallye dans les groupes 2 et N. Malgré les troubles économiques et sociaux, la fabrication de plus de 900 000 exemplaires, jusqu'en 1983, aura contribué au doublement de la production d'Alfa Romeo.

10/2019

ActuaLitté

Romans historiques

Le Bois de mon père

Au soir de sa vie, Hélène marche dans les pas de ses 20 ans et entraîne sa nièce dans les méandres de l'été 1944 et des années de guerre : la défaite, l'armistice, la collaboration, la Résistance, l'épuration... Soixante-dix ans plus tard, sa mémoire ne se satisfait pas de l' "Histoire" officielle qui classe les bons d'un côté et les méchants de l'autre : qui sont les héros ? Qui sont les salauds ? Restent les questions, les tabous et, enfoui au coeur des bois de Sousceyrac, le mystère d'une vie qu'elle tente de reconstituer parce que mémoire, vérité et paix ne font qu'un. Avec tact et précision, par petites touches mais sans concession, Régine Laprade nous donne à voir de cette période troublée une facette bien différente, fort éloignée de l'Histoire désormais officielle et de ses "devoirs de mémoire" souvent si sélectifs. Un roman politiquement incorrect, une parole longtemps retenue et enfin libérée.

10/2013

ActuaLitté

Littérature française

Mon grand-père de papier

Mais qui était vraiment Henri Delbrouck ? Claude Muguet retrace la vie de ce personnage haut en couleur, le grand-père de Raphaël, l'un des personnages de son premier roman "D'amour et de silences". De 1873 à 1957 et des Ardennes à Paris, de la Bretagne à la Bavière, plongez dans la vie des campagnes de cette époque charnière. Un cadre où les scènes bucoliques des moissons et des fenaisons ne suffisent pas à estomper l'âpreté et la rudesse des caractères...

08/2018

ActuaLitté

Littérature française

Le Nom de mon père

Un roman historique puissant sur le déracinement et la reconstruction par l'amour après la guerre du Liban dans les années 1980. Bassam Al Jallil a 19 ans en juillet 2006, lorsqu'éclatent les bombardements au Liban. Pour le jeune homme et les siens, le temps se fige, la mort s'abat partout. Six ans plus tard, Camille voyage en Italie avec une amie. A Naples, elle rencontre Bassam et est aussi fascinée par lui qu'il l'est par elle. C'est là, loin de ses terres d'origine, que le jeune homme essaie tant bien que mal de survivre au traumatisme qui l'a frappé. Sa rencontre avec Camille bouleverse son fragile quotidien, organisé entre les services à la pizzeria Giulia et les appels vidéo avec sa tante, Rabab, et ses cousins, Assem et Hicham, tous trois restés au Liban. Dès que Camille rentre en France, ils continuent de se découvrir à distance, jusqu'à ce que Bassam change de comportement : en arrêt de travail à la suite d'une blessure et invité au Liban pour le mariage de son cousin, le jeune homme appréhende de renouer avec les traumatismes de son passé et a soudain bien trop de temps libre pour fuir ses pensées. Lorsque Camille revient à Naples pour le voir, les deux jeunes gens remuent le passé douloureux, pour tenter de se construire ensemble. Seize ans après le conflit isréalo-libanais de 2006, l'autrice rend un hommage puissant à ses origines, au courage et à la résilience du peuple libanais.

06/2022

ActuaLitté

Littérature française (poches)

Mon père sur mes épaules

Un père a-t-il le droit d'être un homme comme les autres ? Vingt ans après la mort du sien, Metin Arditi tente de comprendre qui était ce père dont il cherche encore aujourd'hui l'estime. Au souvenir glorieux d'un homme admiré se mêle l'image d'un père fuyant et faible. Au fil d'un récit tantôt violent, tantôt tendre, un fils exprime sa colère et son amour immense.

08/2018

ActuaLitté

Littérature française

Je ferai payer mon père

Munich, 1974, une jeune orpheline de 17 ans nommée Lena, apprend qu'elle n'accédera peut-être jamais à la vérité sur ses origines, même lorsqu'elle atteindra sa majorité. Elle décide alors de dérober son dossier personnel et prend la fuite. Son unique objectif : découvrir enfin qui elle est pour combler ce vide affectif dont elle souffre cruellement depuis l'enfance. Mais cette quête s'avérera dangereuse et douloureuse, dès le moment où elle découvrira qu'un lien étroit existe entre elle et un criminel en cavale. Commettant l'irréparable, Lena va tout faire pour pousser celui qu'elle pense être son géniteur à purger sa peine, n'hésitant pas à se rendre à l'autre bout du monde pour le contraindre à payer pour ses crimes. En passant successivement de chemins tortueux en découvertes de nouvelles émotions, elle va, bien malgré elle, défrayer la chronique en réveillant une des affaires les plus effroyables de l'Allemagne d'après-guerre. Dans son nouveau roman, Pascal Riguelle présente un texte poignant et bouleversant, où les personnages vivent leurs sentiments avec intensité et passion. Le suspense nous tient en haleine jusqu'au bout. L'auteur livre un opus qui accompagne le lecteur aux limites de l'ignominie humaine, tout en ayant le subtil talent de faire régner un certain respect.

02/2020

ActuaLitté

Policiers

Le prix de mon père

Légionnaire, ouvrier en Andalousie, camionneur au Mexique, dealer au Maroc, à trente-huit ans, Ismael a déjà vécu plusieurs vies. Traqué par la police marocaine, il est contraint de revenir dans son pays basque natal. A bilbao, il se lance dans une nouvelle carrière. Celle de maître chanteur. Sa victime : son ami d'enfance Julen, qui a réussi en falsifiant ses diplômes. Ismael, lui, rate tout. C'est même sa spécialité. Sous la plume de Willy Uribe, le pays basque prend une allure surréelle et désenchantée, et les rues sombres de Bilbao ne sont pas loin de celles des romans de Goodis. Le prix de mon Père a été couronné "meilleur premier roman noir" à la semana negra de Gijon.

06/2012

ActuaLitté

Immigration

Mon père, ce harki (Réédition)

"Française, je suis née en 1973 derrière des barbelés dans un camp d'Aquitaine. Pendant 12 ans, ma famille a été persécutée par l'Etat français. Pourquoi ? Parce que mon père s'est battu pour la France pendant la guerre d'Algérie. Face aux mensonges officiels, je suis partie sur les traces de mon passé. Quand l'Etat attaque ses propres enfants, c'est une partie de la France qu'il abîme. Ma France. Ce livre est ma quête de vérité et de résilience sur le plus grand scandale d'Etat de la France post-coloniale". D. L Journaliste et scénariste, Dalila Kerchouche a adapté son livre pour France 2 et Arte, avec Leïla Bekhti, Smaïn et Frédéric Pierrot. Elle a réalisé son premier documentaire (France 3 Nouvelle Aquitaine), diffusé cet automne.

09/2022

ActuaLitté

Ouvrages généraux

C'était Georges, mon père

L'ancien président de la République raconté comme jamais. En 1989, Pierre Messmer se demandait ce qu'un jeune Parisien répondrait à la question : " Pour vous, que signifie le nom de Georges Pompidou ? " Il imaginait qu'on évoquerait, la plupart du temps, Beaubourg et les voies sur berge. Le jeune Parisien d'aujourd'hui ne donnerait sans doute pas une réponse très différente. Ses parents se souviendraient peut-être de l'affaire Markovic ou de son travail à la banque Rothschild. Ses grands-parents se rappelleraient mai 1968 et les accords de Grenelle. Pourtant, l'existence des Français est encore imprégnée de son action : la mensualisation des salaires, c'est lui ; le SMIC, c'est encore lui ; l'élargissement du congé maternité à toutes les salariées, c'est toujours lui. Président sensible et mesuré, loin du froid banquier parisien dépeint par ses opposants, il fut aussi un khâgneux dilettante et engagé, un professeur de français dynamique, un amoureux de la nature, un passionné d'art et de poésie, un mari, un père. C'est le quotidien de cet homme méconnu qu'a partagé Alain Pompidou, son fils unique. Avec lui, il a joué aux cartes les week-ends à Orvilliers, écouté du Bach en vacances à Cajarc, chassé chez les Rothschild à Ferrières, pris des petits déjeuners à Matignon et à l'Elysée... Retraçant sa vie, de son enfance dans le Cantal à sa mort après des années de maladie, il nous fait pénétrer dans l'intimité de son père et nous révèle quelle était la personnalité de ce président qui a tant marqué la France.

09/2023

ActuaLitté

Littérature française

Le château de mon père

" Vous ne la vendrez pas ! C'est compris ? Tant que je serais vivant, vous n'y toucherais pas ". Ces paroles qui nous tétanisèrent, mon père les prononça autour du grand-couscous, rituel familiale dominicale que nous célébrons chez nos parents. Cet être sublime, affaibli par l'âge, ces souvenirs confisqués par cette maladie qui fait perde la mémoire, était devenu l'ombre de lui-même. La simple évocation de la possibilité d'évincer sa maison construite au Maroc, il y a longtemps, lui redonna la force de rugir ! Pourquoi autant attachement à une vieille bâtisse située à trois mille kilomètres ? Ce jour-là je compris que cette maison tenait dans le coeur de mon père une place aussi importante qu'un de ces enfants ! Pour découvrir le lien entre mon père et ce nouveau membre de la famille, j'ai dû me replonger dans les méandres de l'histoire. Celle de mon enfance, de mon père mais aussi de la France et du Maroc...Recherches pleines de surprises et d'émotions.

09/2023

ActuaLitté

Littérature française

Le garçon de mon père

Le récit s'ouvre un dimanche de septembre 2019, un dimanche où le père "concret et nébuleux à la fois" d'Emmanuelle Lambert, se prépare à mourir d'un cancer de l'ampoule, un organe situé à la tête du pancréas. Et pourtant, ce livre est un livre de vie. C'est que, par une douce ironie des mots, il est à l'image de ce personnage de père à la "chaleur explosive" : "rétif à toute forme de rêverie fatiguée, car dans la fatigue se glisse un effritement possible, une voie pour la douleur et le doute". Le duo du livre-tombeau et du père illumine tout sur son passage. Il n'y a pas de gris ici, mais les couleurs éclatantes du souvenir, du mange-disques seventies aux yeux de Dalida. Poignant et solaire, émouvant et lumineux, mélancolique sans le poids du pathos, familial et universel, le récit d'une fille raconte le père : mais le père aurait peut-être voulu un garçon. A l'hyperactif soixante-huitard, au Dieu imprévisible de l'enfance, à l'ex-enfant triste qui joue jusqu'au bout de sa vie y compris en abordant aux rivages de la fin, répond une fille, qui se construit comme une femme.

08/2021

ActuaLitté

Poches Littérature internation

Mon père couleur de nuit

Le père d'Hannah est un survivant des camps de concentration. Il fait partager chaque jour à sa famille sa souffrance et les atrocités qu'il a vécues : les baraquements, la faim, les tortures, les maladies, le travail forcé... Peu à peu, cet univers de mort et de douleur s'empare de la vie de la jeune Hannah qui tente de dire l'indicible avec ses mots d'enfant, légers comme des bulles. Hannah parviendra-t-elle à arracher son père à la nuit de ses souvenirs ? La tendresse et l'innocence pourront-elles le sauver de la barbarie et le ramener à la vie ? Un roman d'une force étonnante.

01/2003

ActuaLitté

Faits de société

Mon père Francis le Belge

C'est au travers d'une vitre, dans un parloir de prison, que Sylvie a appris à connaître et à aimer son père, Francis Vanverberghe dit " Le Belge ", une légende du milieu marseillais. C'est au travers d'une vitre encore qu'elle l'a retrouvé à la morgue le 27 septembre 2000, tombé à cinquante-quatre ans sous les balles de ses assassins. Née dans un monde où mourir de mort naturelle est un luxe, bouclier humain à quatre ans, privée d'innocence, la fille unique du dernier parrain a vu disparaître les uns après les autres les hommes de sa famille, victimes de la guerre des gangs. Démolie par cette filiation peu commune, elle a sombré, adolescente, dans la spirale du couple infernal boulimie-anorexie et vécu entre terreur et séduction un étrange pas de deux avec ce hors-la-loi tout à la fois charmeur et violent, pingre et flambeur, qui se voulait patriarche à ses heures. C'est pour trouver la juste mesure entre dégoût et admiration, pour faire le tri des exigences de son cœur et de sa raison, et tenter d'exorciser les gènes qui l'ont marquée d'une angoisse indélébile, qu'elle a voulu jeter sur le papier le roman noir auquel elle voudrait être sûre d'avoir échappé.

02/2005

ActuaLitté

Littérature française

Le départ de mon père

Un pays sur la rive de la Méditerranée. La justice est boiteuse. Le népotisme et le mépris gangrènent jusqu'aux plus hautes sphères de l'Etat. De toutes parts, les institutions craquent, et telles des peaux lépreuses, elles tombent au sol, noires et desséchées. L'effet ravageur des religions prospère sur ces terreaux. A bout de souffle, l'Etat vacille puis se déchire. Partout dans le pays, la mort frappe. Anya, enseignante dans une école primaire, part à la recherche de son père disparu de leur village depuis le jour où un massacre a été commis par les islamistes armés. A-t-il été assassiné à cause de ses écrits d'homme de lettres engagé ou s'adonne-t-il réellement à l'ivresse et à la débauche dans la taverne du Temple Rouge ? Déterminée à élucider ce mystère, la jeune femme s'engage alors sur les chemins de la lutte armée, de l'amour puis de la détention dans un camp d'extrémistes religieux. Sillonnant villes et villages, elle découvrira les ravages de l'islamisme sur les gens et les biens, ainsi que la faim, la soif, la traite et l'exploitation sexuelle des femmes.

09/2020

ActuaLitté

Seinen/Homme

Le journal de mon père

Le décès de son père contraint Yoichi Yamashita à retourner dans sa ville natale après de longues années. Lors d'une veillée funèbre arrosée, son enfance refait surface : cet après-midi de printemps passé à jouer sur le plancher du salon de coiffure de son père, l'incendie qui a ravagé la ville et sa maison familiale, le divorce de ses parents... Au fil des confidences et des souvenirs partagés par ses proches, Yoichi redécouvre celui qu'il a toujours vu comme un père absent et froid.

11/2021

ActuaLitté

Littérature française

Le pays de mon père

En crise d'identité après une série de drames personnels, un jeune banlieusard décide de revenir dans son pays d'origine afin de prendre un nouveau départ. Ignorant absolument tout de ce qu'il qualifiait lui-même de "pays de son père", il se retrouve confronté à la dure réalité algéroise de la fin des années 90. Dans une société encore marquée par les violences islamistes, il essaie tant bien que mal de trouver sa place et de donner un nouveau sens à sa vie.

08/2020

ActuaLitté

Littérature française

Le cinéma de mon père

1940-1950 : un jeune garçon traverse en la vivant une période où le cinéma n'était pas numérique, où les vedettes toujours bien coiffées, couvertes de strass, de paillettes, évoluaient dans un monde qui faisait rêver un moment en cette période noire. Vedettes rencontrées lors de tournages, figurants en mal de devenir... L'auteur assiste son père dans ses tournées de projection de films dans les salles communales et paroissiales de campagne, cinéma plein de surprises, de joies, d'émotion... Cinéma disparu aujourd'hui de nos campagnes, cinéma drôle, émouvant avec une pointe de nostalgie !

11/2010

ActuaLitté

Littérature française

Le fusil de mon père

Je m'appelle Azad Shero Selim. Je suis le petit-fils de Selim Malay. Mon grand-père avait beaucoup d'humour. Il disait qu'il était né kurde, sur une terre libre. Puis les Ottomans sont arrivés et ils ont dit à mon grand-père: Tu es ottoman, et il est devenu ottoman. À la chute de l'Empire ottoman, il est devenu turc. Les Turcs sont partis, il est redevenu kurde dans le royaume de Cheikh Mahmoud, le roi des Kurdes. Puis les Anglais sont arrivés, alors mon grand-père est devenu sujet de Sa Gracieuse Majesté, il a même appris quelques mots d'anglais. Les Anglais ont inventé l'Irak, mon grand-père est devenu irakien, mais il n'a jamais compris l'énigme de ce nouveau mot: Irak, et jusqu'à son dernier souffle, il n'a jamais été fier d'être irakien; son fils, mon père, Shero Selim Malay, non plus. Mais moi, Azad, j'étais encore un gamin. "

02/2004

ActuaLitté

Littérature étrangère

Un mensonge sur mon père

Mon père a passé sa vie a dire des mensonges et, parce que je ne savais pas faire autrement, je les ai répétés. Mon monde était un tissu de mensonges, grands et petits, sur tout. L'infarctus qui l'a emporté l'a surpris au pub à Corby entre le bar et le distributeur de cigarettes. C'était un enfant trouvé, un fabulateur, un buveur morose et menaçant à la main leste, il n'avait pas revu son fils depuis des années. L'extraordinaire histoire de cette relation manquée est aussi l'évocation d'une enfance perdue et saccagée. C'est aussi l'histoire du monde du père, un monde où les hommes se définissaient par les quantités d'alcool qu'ils pouvaient boire et le degré de souffrance auquel ils pouvaient résister. Des hommes construits sur la culpabilité et le machisme. Symbole de tout ce qui n'allait pas, John était devenu le destinataire de la haine de soi paternelle sous la forme d'une violence furieuse et, pire, d'une humiliation mesquine et cruelle. Il a appris à mentir à son père, puis plus tard sur son père. Poussant le langage à ses limites, voici un texte inoubliable sur deux hommes perdus: le père et le fils. Sur la façon de pardonner sans rien oublier.

01/2009

ActuaLitté

Histoire internationale

Les rêves de mon père

- C'est vrai, Bar, disait-il, ton papa pouvait faire face à n'importe quelle situation, et c'est pour ça que tout le monde l'aimait. Tu te souviens de la fois où il a chanté au Festival international de musique ? Il avait accepté de chanter des chants africains, mais quand il est arrivé, il s'est aperçu que c'était pas n'importe quoi. La fille qui passait juste avant lui était une chanteuse semi-professionnelle, une Hawaiienne qui avait tout un orchestre derrière elle. Un autre se serait dégonflé, aurait expliqué qu'il y avait erreur. Mais pas Barack. Il y est allé et il a chanté devant tous ces gens qui le regardaient, et ça, je te jure, il faut le faire. Il n'a pas été formidable, mais il était si sûr de lui qu'il a récolté autant d'applaudissements que les autres. Mon grand-père secouait la tête et se levait pour aller tripoter les boutons de la télé. - Tu vois, il y a une chose que tu peux prendre chez ton père, me disait-il. La confiance en soi. Le secret du succès.

01/2018

ActuaLitté

Littérature étrangère

L'Ecriture de mon père

Roma Ligocka est la petite fille au manteau rouge de La Liste de Schindler de Spielberg, l'unique tache de couleur dans un paysage dévasté rendu en noir et blanc. C'est au lendemain de la projection de ce film dans lequel elle s'est reconnue qu'elle s'attelle à la rédaction de La Petite Fille au manteau rouge, ébranlée par cette évocation brutale de son passé. Son récit de survivante du ghetto de Cracovie est publié dans douze pays et rencontre un succès public et critique considérable. Une fois que l'on a raconté, est-on libéré ? Oui, mais le sentiment d'être peu faite pour le bonheur demeure, malgré les rencontres décisives - celle de David notamment, autre rescapé de la Shoah dont Roma tombe amoureuse. C'est un frère de destin, un infirme de la vie comme elle. Ne peut-elle finalement aimer que ses semblables, ceux qui portent en eux une douleur d'enfance jamais vraiment guérie ? La sienne va être ravivée par un coup de poignard inattendu. Alors que Roma Ligocka mène à travers le monde une tournée de lectures pour la promotion de son best-seller, elle reçoit un appel téléphonique mystérieux qui fait basculer sa vie. Un journaliste prétend que, en déportation, son père était un traître au service des nazis, un kapo. Comment vivre avec l'image de ce père, un héros dans sa mémoire, peut-être un traître dans la réalité ? Comment vivre avec le passé et vivre tout court, puisqu'une histoire d'amour se noue avec David, qu'elle ne peut mettre dans la confidence ? Plus d'une année s'écoulera avant que Roma Ligocka ne réponde à ces questions, sache si David tient toujours à elle et qui son père était vraiment. Un récit de vie très personnel qui met à jour ce qui restait tu dans La Petite Fille au manteau rouge et qui révèle combien le succès rend vulnérable, fait s'exposer aux coups et aiguise la tentation d'un repli sur soi finalement mortifère. Roma Ligocka se défend, cherche et trouve, et sa rage de vivre l'emporte sur tout le reste.

10/2007

ActuaLitté

Littérature française

Le figuier de mon père

Portrait haut en couleur d'une communauté discrète, dure au mal, travailleuse et solidaire, ces mémoires sont un hommage de l'auteur aux siens, à ses parents surtout, réfugiés en France au début des années 1920, après avoir perdu dans le génocide arménien de 1915 presque toute leur parentèle. Sa mère, Mayrig, femme au grand cœur, petite silhouette tout de noir vêtue, animée d'une douceur et d'une énergie hors pair, qui lui a inculqué le sens de l'effort et la valeur du travail. Son père, aussi, Hayrig, qui, ayant connu l'horreur des geôles turques, n'en a pas moins gardé sa joie de vivre et sa capacité d'émerveillement. Personnage biblique tout droit sorti d'un conte oriental, débordant de sagesse, ce père traverse le livre en posant sur sa famille un regard lucide et tendre, commentant les us et coutumes de cette terre d'asile, la France. Véritable hymne à l'amour filial, mais aussi roman d'apprentissage qui retrace la réussite du jeune Vartan devenu officier de Marine puis inventeur, cet ouvrage truculent nous donne une belle leçon d'optimisme.

01/2006