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Edwige Etetebe

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Travail du papier

Harry Potter la magie du papier

Avec ses 24 projets enchanteurs, voici le livre officiel d'activités pour invoquer chez vous toute la magie du monde des sorciers. Il propose des créations de différents niveaux pour les passionnés de tous âges et de tous niveaux, accompagnées d'explications claires et de croquis détaillés ainsi que de gabarits prédécoupés afin que même les débutants parviennent à des résultats époustouflants. A vous de réaliser : ? une réplique de Beuglante ; ? une baguette magique faisant apparaître un Patronus ; ? un Magicobus à propulsion en 3D ; ? une marionnette d'Hedwige à porter sur le bras ; ? une carte du Maraudeur ; ? et beaucoup d'autres créations ! Agrémenté d'anecdotes amusantes sur les coulisses de la saga, de citations et d'images issues des films, cet ouvrage vous ensorcellera en décuplant votre créativité. Préparez-vous à fabriquer des objets en papier tous plus magiques les uns que les autres !

11/2022

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Education et santé

Dard/Dard N° 8, printemps 2023 : Une seule santé !

Les dessins de ce numéro seront réalisés par Anne Derenne Dossier : Santé, écologie, lien social et territoire - Chocs écologiques, maux sociaux et santé : changer nos représentations de la santé par Lionel Fournier - Une ville vivable, désirable, habitable aux bénéfices de la santé par Lise Bourdeau-Lepage - Donner le pouvoir d'action aux collectivités territoriales et aux citoyennes et citoyens par Agnès Popelin-Desplanches - Des territoires anticipent les questions de santé : le cas de la Communauté Urbaine de Dunkerque par Maxime Verdin - Table-ronde autour d'une officiante et d'un ménageur de santé en 2053, un récit d'anticipation par Hervé Chaygneaud-Dupuy Entretien croisé : Désobéissance civile et pouvoir d'agir, avec Sandra Laugier par Eric Fourreau Territoires en transition : Malaunay par Maxime Verdin Hérauts en transition : - Le Moulin du Foulon, en Côte d'Or par Edwige Prompt - Ecocitoyenneté, démocratie participative, biodiversité, pollution... Philippe Chamaret par Sylvain Rotillon - Jeunesse, insertion sociale et professionnelle... Mathilde Loisil, présidente du collectif fondateur des écoles de la transition (Etre), par Axel Puig - Animaux sauvages, biodiversité, relation au non-humains... L'association Férus : comprendre l'ours dans les Pyrénées, par Simon Renou - Mar Menor en Espagne par Marine Yzquierdo Bibliothèque subjective : - Le jardin ensauvagé, de Louisa Jones (Vincent Piveteau) - La vie en large, manifeste écosocialiste, de Paul Magnette (Laurent Fussien) - Le principe territoire, d'Alberto Magnaghi (Laurent Lelli)

04/2023

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Sociologie

Journal 1992-2010

Le second tome du Journal d’Edgar Morin, dont la part inédite représente ici près de la moitié du volume. Illustration en acte de la « pensée complexe », les journaux d’Edgar Morin entrelacent esquisses d’analyses, observations objectives et impressions subjectives, considérations sur les choses vues, vécues ou lues, réflexions et jugements inspirés par l’actualité, interrogations et notations personnelles sur les événements frappants, comiques, heureux ou tragiques de l’existence comme sur ses détails et moments quotidiens. Attentif à saisir l’épaisseur du réel et les aspérités de la matière humaine, le diariste s’y montre en revanche peu soucieux de gommer ses faiblesses pour, à la manière classique du « journal littéraire », se « statufier dans des poses nobles ». Dans la continuité du premier tome du Journal, le second mêle opus déjà publiés et séquences inédites, avec, ici, près de la moitié du volume occupée par ces dernières et leur quasi-continuité sur une décennie complète (2001-2010). Débutant par le « Journal de Chine » (août 1992), relation d’un voyage effectué trois ans après le Printemps de Pékin, et continué par ces deux journaux de la fin d’un siècle que sont Une année Sisyphe (janv.-déc. 1994) et Pleurer, aimer, rire, comprendre (janv.1995- janv. 1996), il s’achève par le récit des « années cruelles » qui marquent pour Edgar Morin, avec l’ouverture du nouveau millénaire, l’ultime décennie d’Edwige, sa compagne, emportée par la maladie.

11/2012

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Littérature française

Les carnets buissonniers

maître et en orfèvre de l'imitation des grandes voix du théâtre et du Music-Hall. Sa vocation, il la doit au Paris de sa jeunesse, celui de l'Occupation, et plus précisément encore aux multiples cinémas des boulevards de Clichy et de Rochechouart qu'il fréquentait avec son copain François Truffaut. C'est là, et dans les théâtres alentour, qu'il découvre, encore enfant, tous les artistes illustres, de Mistinguett jusqu'à Danielle Darrieux en passant par Edwige Feuillère, Yvonne Printemps et Pierre Fresnay qui deviendront ses modèles. Il mémorise sans le savoir leur voix, leurs attitudes et il ne les oubliera plus jamais. Dans ces délicieux carnets, il nous rappelle combien, pendant la Guerre, le cinéma et le théâtre, le music-hall tenaient une place importante dans la vie des Français : il fallait saisir chaque instant de bonheur dans ce Paris occupé par les troupes allemandes. Un immense désir d'être ensemble et de se réaliser, se traduisait dans toutes les petites choses quotidiennes. Avec un rien pour s'habiller, les femmes se faisaient belles et, coquettes, dessinaient sur leurs jambes le fil de soie des bas qu'elles n'avaient pas. Le spectacle était le rêve, l'évasion, l'oubli de ces instants sombres. Par ses croquis tendres et poétiques, Claude Véga livre les souvenirs d'une enfance passionnée, à travers les affiches des pièces et des films qu'il dessinait et annotait au quotidien après les avoir vus.

03/2017

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Science-fiction

Riez Citoyens

Cela fait trente ans déjà que la dictature de l'Ultime Guide est en place dans l'hexagone. Kay, metteur en scène et écrivain, pratique son art en étroit lien avec le gouvernement, pendant qu'Eric, son ami d'enfance, et Hedwige organisent la résistance. Tout suivait son cour jusqu'à l'arrivée d'un haut représentant de la Milice, le Capitaine de Rémur, qui en veut particulièrement à Kay et au théâtre en général. Alors que les choix de la résistance semblent évidents, quels vont être ceux de Kay ? Va-t-il se servir de sa notoriété pour faire passer des messages par ses pièces ? Ou préfère-t-il continuer à exercer son métier comme on le lui a permis jusqu'ici ? Cette pièce amène à la réflexion sur la place de la critique politique dans l'art, notamment dans le théâtre. Faut-il forcément passer à l'action ? Peut-on avoir de l'impact tout en restant dans les rangs ? Qu'est-ce qui créera la différence attendue ?

06/2021

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Sciences politiques

Bloody Brexit

Le Brexit tient à la fois du cauchemar et de la farce. Parti du referendum organisé pour éviter que le Parti conservateur ne se déchire, il divise profondément les Britanniques, risque de faire voler en éclats le Royaume-Uni, d'infliger à son économie un recul sans précédent, de raviver la guerre en Irlande et d'afaiblir l'Europe. Largement alimenté par des mensonges, le vote a-t-il été manipulé par Moscou, orchestré pour de basses raisons spéculatives au profit de quelques initiés consrvateurs ou organisé par d'inconséquents apprentis-sorciers ? Quelles cicactrices vont laisser le Brexit en matière de cohésion nationale, de montée du populisme et de la xénophobie ? Comment le reste de l'Europe va-t-il dorénavant regarder la perfide Albion qui prétend à nouveau voguer seule de par le vaste monde ? L'Angleterre de demain sera-t-elle un havre de libéralisme et de dumping social aux portes de l'Europe, de fait le 51e Etat américain, une plaque tournante du commerce mondial ou rentrera-t-elle dans le rang de l'européanité, avec son contrat social et ses ambitions environnementales ? Le présent volume propose tout ce que vous auriez préféré ne pas devoir savoir sur le Brexit, une multitude de dystopies basées sur de multiples entretiens, des mises en perspective historique, des analyses géopolitiques, des tranches de vie, le tout avec un humour très British.

05/2019

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Mystique

La Bilocation chez les mystiques au fil des siècles. Une anthologie de l'extraordinaire

Un des traits les plus surprenants de la vie du Padre Pio fut sa faculté de se trouver en plusieurs endroits en même temps, ce qu'on appelle le don de bilocation ou de double présence. Ce phénomène n'a jamais jusque-là été exploré de manière approfondie. Notre ouvrage comble généreusement cette lacune, étudiant le cas de plus de quarante mystiques chez qui il s'est manifesté, depuis François d'Assise au XIIIe ? siècle jusqu'au Padre Pio et d'autres figures moins connues du XXe ? siècle, comme Mère Yvonne-Aimée de Malestroit, Madre Speranza, Soeur Rita du Saint-Esprit, ou encore Edvige Carboni. Les récits sont d'autant plus intéressants qu'ils nous entraînent à la découverte de multiples facettes du prodige, depuis la bilocation autonome, le corps émané agissant en totale indépendance du corps principal, jusqu'aux répliques célestes, où c'est un ange ou la Vierge qui prend l'apparence d'un saint occupé ailleurs. En complément, nous avons recueilli plusieurs manifestations de phénomènes connexes, comme la téléportation et la traversée des murs. Au total, on trouvera ici un trésor d'une inestimable valeur pour quiconque s'intéresse à la mystique ou au paranormal.

09/2023

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Français 6e

Français 6e L'attrape-livre. Edition 2021

Un nouveau manuel de Français 6e novateur ! La lecture au coeur du projet : des textes avec des stratégies de lecture et des lectures d'images. L'élève acteur de ses apprentissages, toujours en activité. La collaboration entre les élèves mise à l'honneur par des projets finaux et des activités en groupes. Des parcours différenciés pour travailler à son rythme. Une place essentielle accordée au travail de l'oral. De nombreux compléments numériques (mises en scène, extraits de films, schémas et frises à compléter, textes supplémentaires)

07/2021

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Course à pieds

Panard N° 4, octobre 2023 : Ultra-trail : "Seuls face à l'immensité"

PANARD #4 La Barkley, la Terminorum, Aurélien Sanchez, Stéphanie Gicquel... Ultra-trail : "Seuls face à l'immensité" La revue qui met le sport en reÌcit et les deux pieds dedans Dans PANARD, des écrivains livrent leur histoire du sport, des sportifs racontent la façon dont ils le pratiquent et le ressentent, des chercheurs analysent l'évolution de ce phénomène de société, devenu incontournable. PANARD parle de la culture du sport, de ses événements mythiques et anecdotiques, du sport du haut niveau comme de caniveau, et propose un nouveau regard sur le sport. Au sommaire de ce numéro : - Sur les chemins de halage, au rythme lent de la course à pied par Stéphanie Gicquel - Aurélien Sanchez - De la Barkley à la Terminorum, l'ultra-trail comme source d'introspection par Théo Faugère et Orane Benoit - Ronda Rousey, pionnière du MMA - Fuck the stereotype par Ianis Periac - Te laisse Club en héritage par Valentin Deudon - Basketteurs de l'ombre - Quand le rêve américain s'enlise dans la France de seconde zone par Antoine Grenapin - Le vélo et les mots - Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le peloton sans jamais oser le demander par Paul Fournel - Dans la roue de Richard Virenque - Revoir Marie Blanque par Axel Puig - David Berty, face à la maladie - Remontador par Sébastien Vaissière - Deux siècles face aux préjugés- La difficile ascension du cyclisme féminin par Edwige Prompt Corpo - Ces invisibles du sport amateur - Les navétanes au Sénégal - Une prise de parole des quartiers par le foot par Christophe Blandin-Estournet - L'implantation du rugby à Toulouse - Le Midi en Capitale par Sébastien Vaissière - Manchester, le foot et la pop - Dans le sillon musical d'Eric "The King" par Claude Boli - La rubrique du sport écolo par Michaël Ferrisi

10/2023

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Economie (essai)

La renaissance industrielle

En France et en Europe, le débat public s'est emparé de la question industrielle, sous l'angle de la "ré-industrialisation" , de la "re-localisation" ou de la reconquête des marchés. Ce qui domine, c'est l'idée d'un retour ou de la réparation d'un passé qui aurait mal tourné, notamment dans les territoires dits "désindustrialisés" . Mais il est temps de dépasser les statistiques et les approches strictement économiques fondées sur la distinction entre grands secteurs (industrie, services et agriculture) héritée du passé, car c'est l'ensemble de l'économie et de la société qui est industrialisé. Il faut analyser les métamorphoses en cours et se tourner vers le futur. Non seulement l'industrie hybride toutes les activités, mais elle se transforme radicalement avec la "révolution numérique" et l'ardente obligation écologique. Ce qui émerge, ce sont de nouvelles configurations, de nouvelles articulations entre techniques, organisations et imaginaires productifs, qui redéfinissent en profondeur l' "industrie" . L'enjeu est de comprendre et de maîtriser ces mutations et d'inventer l'industrie de l'avenir, et non pas simplement de faire revenir des productions réalisées en Chine ou ailleurs, voire d'assurer la survie de secteurs traditionnels issus de la mécanisation du XIXe siècle. Cet ouvrage collectif permet d'éclairer "la Renaissance industrielle" déjà à l'oeuvre. Il analyse les récits et imaginaires qui se construisent avec la nouvelle industrialisation du monde tout en questionnant les limites à y apporter pour préserver l'habitabilité de notre fragile planète. Ouvrage conçu sous la direction de Pierre Musso avec les contributions d'Edwige Armand, Anne Asensio, Astrid Fontaine, Danouta Liberski-Bagnoud, Jean-François Lucas, Sébastien Massart, David Massé, Pierre Musso, Alban Ouahab, Thomas Paris, Arnaud Plagnol, Muriel Rouyer, Andreu Solé, Nestor Souq, Patrick Tudoret, Pierre Veltz, Michel Volle.

10/2022

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Littérature anglo-saxonne

Projet Décaméron

Quand la réalité dépasse l'imagination, seule la fiction peut lui redonner un sens. En 1353, Boccace écrivait le Décaméron, recueil dans lequel un groupe d'hommes et de femmes se racontent cent histoires pour passer le temps après avoir fui la peste qui ravage Florence . En mars 2020, les éditeurs du New York Times Magazine lancent le Projet Décaméron : rassembler des récits de tous horizons au moment même où le monde se confinait. Vingt-neuf auteurs et autrices ont répondu à l'appel. Ces "nouvelles nouvelles " , selon l'expression consacrée, varient dans leur ton, leur forme, leur sujet : l'une nous plonge dans l'algorithme de Google, une autre dans un immeuble de New York peu à peu déserté, une autre encore nous fait quitter la planète Terre. Mais, par-delà leurs différences, chacune est un vibrant hommage au pouvoir de la fiction aux heures les plus incertaines. Avec : Victor LaValle, Mona Awad, Kamila Shamsie, Colm Tóibín, Liz Moore, Tommy Orange, Leïla Slimani, Margaret Atwood, Yiyun Li, Etgar Keret, Andrew O'Hagan, Rachel Kushner, Téa Obreht, Alejandro Zambra, Dinaw Mengestu, Karen Russell, David Mitchell, Charles Yu, Paolo Giordano, Mia Couto, Uzodinma Iweala, Rivers Solomon, Laila Lalami, Julián Fuks, Dina Nayeri, Matthew Baker, Esi Edugyan, John Wray, Edwidge Danticat.

03/2023

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Photographie

Kazal. Mémoires d'un massacre sous Duvalier : une approche photographique, édition français-anglais-créole

Ce livre est un travail sur la mémoire du massacre de Cazale. Accompagnés par le photographe Nicola Lo Calzo auteur entre autre de l'ouvrage "Regla", huit photographes haïtiens ont oeuvré à travers leur travail photographique et la prise de témoignages, à questionner les mémoires plurielles de la communauté de Cazale et le rapport complexe des Cazalais à leur passé. Le livre CAZAL sortira à l'occasion de 50éme anniversaire du massacre, une exposition sera présentée à Port au Prince, à Montreal et à Bruxelles Le 5 avril 1969, 500 soldats et macoutes se rendent à Cazale et commencent la tuerie. A la fin de la journée, 25 corps sont retrouvés mais 80 autres individus "sont disparus" pour ne jamais être retrouvés, ce qui représente la plus large disparition forcée sous les Duvaliers. Oublié dans les archives, les livres et les manuels d'histoire, l'évènement et son sinistre arithmétique restent vifs dans la mémoire et l'imaginaire des habitants de ce petit bourg et des Haïtiens.

04/2019

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Bricolage et création

L'atelier des créations magiques. Dans l'univers des films Harry Potter. Le livre officiel des loisirs créatifs Harry Potter

Harry Potter : L'atelier des créations magiques est le livre officiel des loisirs créatifs qui apportera dans votre foyer la magie du monde des sorciers. Vous y trouverez plus de 25 activités pour tous les niveaux, de débutant à confirmé, avec des instructions détaillées et illustrées étape par étape afin que toute la famille puisse participer. Fabriquez votre baguette de sureau et rangez-la dans une boîte de chez Ollivander, créez votre Retourneur de Temps, construisez une Chocogrenouille ou la Coupe de Feu en pop-up, et bien d'autres choses encore. Ce livre contient également des anecdotes de tournage, des photos et des dessins préparatoires des films Harry Potter afin de vous replonger au coeur de la saga et ainsi enflammer votre créativité. Préparez-vous, la magie est entre vos mains ! Des activités réparties en quatre chapitres amusants : voyage à Poudlard, en classe, clubs et compétitions et Noël à Poudlard. 16 pages de modèles prédécoupés et faciles à plier pour vous lancer sans attendre. Reproduisez des accessoires comme la plume à papote de Rita Skeeter, Le Monstrueux Livre des Monstres et le Retourneur de Temps d'Hermione Granger et découvrez des activités inspirées comme un Patronus avec un encadrement lumineux et un mobile à l'effigie d'Hedwige avec ses lettres d'admission à Poudlard.

05/2021

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Littérature française

Les enfants de la nuit

Après Innocence, le roman de l'enfance, voici celui de l'adolescence et de toutes les premières fois. De manière rêvée, parfois crue, Eva Ionesco retrace une existence violente dans le monde de la nuit, à la fin des années 1970. Vendue par sa mère en Lolita dénudée sur des couvertures de magazine, l'enfant trop en avance erre seule et sans but, jusqu'au collège et à la découverte de l'amitié avec Christian Louboutin. Elle l'aime ; lui, homosexuel, va désormais la protéger et faire avec elle les 400 coups. Puis viendront Vincent Darré, la belle Edwige, Alain Pacadis et enfin, au bout de la nuit et des rencontres parfois limite, frôlant le danger et la mort, ce sera la découverte de l'amour fou, Charles Serruya. Il a 29 ans et elle 13. Christian, Eva, Vincent, la bande traverse le Paris mondain, celui de la mode et des grandes fêtes mythiques du Palace, mais aussi, plus populaire et secret, celui de Pigalle, de Montparnasse ou de la Main bleue à Montreuil. Travailleurs immigrés, militants homosexuels, sapeurs africains, travestis, journalistes à Libération, c'est un Paris divers, mêlé, sans tabous qui se côtoie. Avec les copains, on michetonne, on vole, on se drogue, on fait des strip-teases forains, en groupe c'est si amusant. Paris est une fête, on y danse, la foule est joyeuse, c'est l'aventure, la vie devant soi... Mais en arrière-fond trône la mère d'Eva, l'inquiétante Irène, accusée par le juge pour enfant d'avoir fait mener une existence contre nature à sa fille et de la vendre. Une assistante sociale mène l'enquête et Eva se mure dans le silence, terrifiée à l'idée de voir la petite bande menacée par la police. Poétique, rocambolesque, le récit restitue l'âme d'un Paris disparu. Quête éperdue de l'amour, il est aussi une adresse à l'amitié, à la tendresse, à ceux qu'on a chéris depuis l'enfance et qu'il est impossible d'oublier.

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Théâtre

L'ombre de Stella. Avec 1 CD audio

Rares sont les stars qui, après avoir éclairé une époque, défient le temps. Leurs noms s'éteignent comme des étoiles mortes. Stella Marco, dont le sien, connu de tous hier encore, a brillé en lettres de feu aux frontons des cinémas et des théâtres, est une héroïne de fiction, un amalgame de ces grandes vedettes qui, bien réelles, ont ému, fait rire et pleurer des générations. Leurs vies privées, plus facilement secrètes jadis qu'aujourd'hui, défrayaient la chronique en alimentant des rumeurs, parfois vraies et souvent fausses. Stella Marco a traversé trois décennies sur la corde raide, et survécu aux années maudites de l'Occupation qu'illustrèrent pour exemple Edwige Feuillère, Gaby Morlay, Elvire Popesco qui étaient alors des idoles nationales vénérées de tous les publics. Aujourd'hui oubliée, Stella s'éteint dans l'anonymat. Seule... enfin presque. Tapie à ses côtés, il y a Mylène Janvier (de son vrai nom Josette Puchaud), le témoin des bons et des mauvais jours, l'obscure, la sans grade, la groupie, tiraillée entre la passion et la jalousie que lui inspire son idole, l'ombre de Stella qui, dans un flot d'aveux se trahit et se délivre d'un secret qui l'étouffe. Denis D'Arcangelo, qui a imposé le personnage mythique de "Madame Raymonde", incarne avec maestria celui de Mylène Janvier (de son vrai nom Josette Puchaud), ombre de Stella Marco, la grande vedette qu'elle hait pour l'avoir trop aimée. Enfermé dans sa solitude par la mise en scène épurée de Thierry Harcourt, Denis D'Arcangelo ressuscite cette espèce de comédiens qui n'existe plus, jouant du coeur et des tripes, ceux que Jean Cocteau appelait les "monstres sacrés". Il change de sexe comme on change de costume, mais la métamorphose est intérieure, profonde, sans la moindre afféterie. Il pousse au paroxysme la confession de son héroïne, gouailleuse et tragique, sans jamais la travestir. Ne faisant qu'une avec elle, il l'incarne avec une vérité déchirante, donnant à la fois vie à deux personnages qu'elle oppose et fait revivre. Du grand art. Pierre Barillet

07/2017

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Religion

Religions et développement. Mutations en Afrique et au sud de la Méditerranée

En France plus qu'ailleurs, la rencontre entre les sujets religieux et les questions de développement s'effectue avec appréhension et prudence. Pourtant, en Méditerranée comme en Afrique, le religieux est omniprésent : qu'il s'agisse des événements de 2012 et 2013 au Mali, en Centrafrique, au Niger ou au Nigéria, ou des révolutions arabes et de leurs soubresauts de l'été 2013, difficile de négliger la place de l'islam et, plus généralement, du religieux, dans la politique. Le 5 décembre 2012, pour la première fois, professionnels du développement et de la politique, responsables religieux et diplomates, ont répondu à l'invitation de Dov Zerah, directeur général de l'Agence française de développement (AFD) et de Michel de Virville, directeur du Collège des Bernardins lors d'un colloque ayant pour thème : Religions et développement : mutations en Afrique et au Sud de la Méditerranée. Parmi ces personnalités, on peut citer: GuyAurenche, Mahmoud Azad, Hedwige Badou, Christian Bonnet, Isabelle Chapellière, Paul Dembinski, Roland Dubertrand, Catherine Giboin, Mario Giro, Pascal Gollnisch, Jacques Huntzinger, Bruno Joubert, Haïm Korsia, Rachid Lahlou, Christian Larcher, Marc Laroche, Emmanuel Maïna, Soeur Marie-Luc, Eliott Mourier, Abdelfattah Mourou, Beddy Ould Ebnou, Tareq Oubrou, Christian Schmitz, Daniel Verger, Michel de Virville, Dov Zerah. Ces actes reprennent ces riches échanges sur : les ONG confessionnelles, leur contribution spécifique au développement, leurs partenariats ; la finance éthique, inspirée des préceptes de l'islam ou éclairée par les principes bibliques, et son apport aux défis du financement du développement ; les discours et les pratiques des religions, ainsi que les conditions de travail commun avec les développeurs, en matière de procréation et de santés sexuelle, maternelle et infantile. Enfin, la place de la religion dans la Cité, en passant de l'islam politique aux "faiseurs de paix" de Sant'Egidio. La qualité de ces premiers échanges devra permettre leur poursuite ; l'actualité en a montré l'impérieuse nécessité, sur le terrain économique, politique, du développement humain, et, de plus en plus, d'un développement durable. François Jay, chargé de mission Religions et développement à l'Agence française de développement (AFD)

02/2014

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Cinéma

Le cinéma des années trente par ceux qui l'ont fait. Tome 2, L'avant-guerre : 1935-1939

Pendant vingt ans j'ai interviewé plus de cent cinquante personnalités du Cinéma des années 20, 30, 40 et 50, c'est-à-dire celles qui avaient connu l'apogée du cinéma muet, avaient ensuite franchi le cap du parlant, puis celles qui avaient œuvré pour le 7e Art jusqu'à l'apparition de la Nouvelle Vague, aux environs de 1957-1958, date symbolique et pourtant charnière qui marque le début d'un autre cinéma, d'une autre époque, certes plus récente, plus proche de nous - mais dans le temps seulement. Au fil des ans beaucoup s'en sont allés. J'ai eu la tristesse de les voir partir, certains étaient devenus des amis, des références de ma vie personnelle. Et je me prends de nostalgie ! Que d'anecdotes il y aurait encore à raconter ! Comment j'ai réussi à les rencontrer - les hasards miraculeux qui me faisaient retrouver telle comédienne dont je n'avais pas les coordonnées -, des détails sur les entretiens eux-mêmes, sur les liens qui ont souvent continué par-delà les années. Beaucoup sont partis, c'est vrai, mais on ne peut pourtant parler d'absence. Il suffit de revoir un film, de retrouver des photos pour constater que tous sont bien là, présents. Fin 98, quand le décès d'Edwige Feuillère a suivi celui de Jean Marais, un ami m'a dit : " Je ne peux " croire " à leur absence, je ne peux pas me faire à l'idée qu'ils soient " morts "... Comme il a raison ! On pourrait d'ailleurs imaginer qu'il existe un au-delà qui les réunit, où ils continuent de tourner des films ! Après vingt ans de rencontres passionnées et passionnelles, j'ai relu cette somme d'interviews retranscrites il y a cinq, dix ou quinze ans. J'ai décidé de n'y rien changer. Quelques notes d'admiration béate m'étonnent parfois mais je retrouve intact le désir ardent d'avoir voulu traduire par des mots certains " moments ", parmi beaucoup d'autres, sur la feuille blanche. Je ne voulais pas perdre la mémoire de ces instants précieux, uniques, privilégiés. Mémoire aussi d'un sourire, d'un regard, d'une émotion. Je sais que, pour beaucoup - les ingrats du souvenir (combien sont partis sans même que leur soit rendu le plus infime hommage) ce cinéma paraît bien lointain. Pour d'autres - les Gardiens du Temple - il est encore leur Vie même. J'espère avoir rendu justice à chacune d'entre elles, à chacun d'entre eux, un hommage que j'estimais devoir accomplir. Un acte de foi important, en remerciement des joies incomparables qu'elles et ils m'avaient procurées. Ces livres ont eu du mal à voir le jour. Et j'en étais presque arrivé au désir qu'ils ne se fassent plus. Garder secrètes ces rencontres qui après tout ne regardaient que moi - cela avait un sens, aussi ! Maintenant il est trop tard, et je laisse au lecteur ce trésor de ma vie à sa libre appréciation. (Christian Gilles)

01/2001

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Cinéma

Le cinéma des années quarante par ceux qui l'ont fait. Tome 3, Le cinéma de l'Occupation : 1940-1944

Pendant vingt ans j'ai interviewé plus de cent cinquante personnalités du Cinéma des années 20, 30, 40 et 50, c'est-à-dire celles qui avaient connu l'apogée du cinéma muet, avaient ensuite franchi le cap du parlant, puis celles qui avaient œuvré pour le 7e Art jusqu'à l'apparition de la Nouvelle Vague, aux environs de 1957-1958, date symbolique et pourtant charnière qui marque le début d'un autre cinéma, d'une autre époque, certes plus récente, plus proche de nous - mais dans le temps seulement. Au fil des ans beaucoup s'en sont allés. J'ai eu la tristesse de les voir partir, certains étaient devenus des amis, des références de ma vie personnelle. Et je me prends de nostalgie ! Que d'anecdotes il y aurait encore à raconter ! Comment j'ai réussi à les rencontrer - les hasards miraculeux qui me faisaient retrouver telle comédienne dont je n'avais pas les coordonnées -, des détails sur les entretiens eux-mêmes, sur les liens qui ont souvent continué par-delà les années. Beaucoup sont partis, c'est vrai, mais on ne peut pourtant parler d'absence. Il suffit de revoir un film, de retrouver des photos pour constater que tous sont bien là, présents. Fin 98, quand le décès d'Edwige Feuillère a suivi celui de Jean Marais, un ami m'a dit : " Je ne peux " croire " à leur absence, je ne peux pas me faire à l'idée qu'ils soient " morts "... Comme il a raison ! On pourrait d'ailleurs imaginer qu'il existe un au-delà qui les réunit, où ils continuent de tourner des films ! Après vingt ans de rencontres passionnées et passionnelles, j'ai relu cette somme d'interviews retranscrites il y a cinq, dix ou quinze ans. J'ai décidé de n'y rien changer. Quelques notes d'admiration béate m'étonnent parfois mais je retrouve intact le désir ardent d'avoir voulu traduire par des mots certains " moments ", parmi beaucoup d'autres, sur la feuille blanche. Je ne voulais pas perdre la mémoire de ces instants précieux, uniques, privilégiés. Mémoire aussi d'un sourire, d'un regard, d'une émotion. Je sais que, pour beaucoup - les ingrats du souvenir (combien sont partis sans même que leur soit rendu le plus infime hommage) ce cinéma paraît bien lointain. Pour d'autres - les Gardiens du Temple - il est encore leur Vie même. J'espère avoir rendu justice à chacune d'entre elles, à chacun d'entre eux, un hommage que j'estimais devoir accomplir. Un acte de foi important, en remerciement des joies incomparables qu'elles et ils m'avaient procurées. Ces livres ont eu du mal à voir le jour. Et j'en étais presque arrivé au désir qu'ils ne se fassent plus. Garder secrètes ces rencontres qui après tout ne regardaient que moi - cela avait un sens, aussi ! Maintenant il est trop tard, et je laisse au lecteur ce trésor de ma vie à sa libre appréciation. (Christian Gilles)

01/2001

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Cinéma

Le cinéma des années cinquante par ceux qui l'ont fait. Tome 5, La qualité française : 1951-1957

Pendant vingt ans j'ai interviewé plus de cent cinquante personnalités du Cinéma des années 20, 30, 40 et 50, c'est-à-dire celles qui avaient connu l'apogée du cinéma muet, avaient ensuite franchi le cap du parlant, puis celles qui avaient œuvré pour le 7e Art jusqu'à l'apparition de la Nouvelle Vague, aux environs de 1957-1958, date symbolique et pourtant charnière qui marque le début d'un autre cinéma, d'une autre époque, certes plus récente, plus proche de nous - mais dans le temps seulement. Au fil des ans beaucoup s'en sont allés. J'ai eu la tristesse de les voir partir, certains étaient devenus des amis, des références de ma vie personnelle. Et je me prends de nostalgie ! Que d'anecdotes il y aurait encore à raconter ! Comment j'ai réussi à les rencontrer - les hasards miraculeux qui me faisaient retrouver telle comédienne dont je n'avais pas les coordonnées -, des détails sur les entretiens eux-mêmes, sur les liens qui ont souvent continué par-delà les années. Beaucoup sont partis, c'est vrai, mais on ne peut pourtant parler d'absence. Il suffit de revoir un film, de retrouver des photos pour constater que tous sont bien là, présents. Fin 98, quand le décès d'Edwige Feuillère a suivi celui de Jean Marais, un ami m'a dit : " Je ne peux " croire " à leur absence, je ne peux pas me faire à l'idée qu'ils soient " morts "... Comme il a raison ! On pourrait d'ailleurs imaginer qu'il existe un au-delà qui les réunit, où ils continuent de tourner des films ! Après vingt ans de rencontres passionnées et passionnelles, j'ai relu cette somme d'interviews retranscrites il y a cinq, dix ou quinze ans. J'ai décidé de n'y rien changer. Quelques notes d'admiration béate m'étonnent parfois mais je retrouve intact le désir ardent d'avoir voulu traduire par des mots certains " moments ", parmi beaucoup d'autres, sur la feuille blanche. Je ne voulais pas perdre la mémoire de ces instants précieux, uniques, privilégiés. Mémoire aussi d'un sourire, d'un regard, d'une émotion. Je sais que, pour beaucoup - les ingrats du souvenir (combien sont partis sans même que leur soit rendu le plus infime hommage) ce cinéma paraît bien lointain. Pour d'autres - les Gardiens du Temple - il est encore leur Vie même. J'espère avoir rendu justice à chacune d'entre elles, à chacun d'entre eux, un hommage que j'estimais devoir accomplir. Un acte de foi important, en remerciement des joies incomparables qu'elles et ils m'avaient procurées. Ces livres ont eu du mal à voir le jour. Et j'en étais presque arrivé au désir qu'ils ne se fassent plus. Garder secrètes ces rencontres qui après tout ne regardaient que moi - cela avait un sens, aussi ! Maintenant il est trop tard, et je laisse au lecteur ce trésor de ma vie à sa libre appréciation. (Christian Gilles)

01/2001