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Adorable dînette

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Animaux, nature

Alpha chat

Les Alphachats sont une race à part : ce sont tout d'abord des chats (de race ou de gouttière) peints "au poil près" par l'illustratrice naturaliste Gabriella Gallerani, et bien rangés dans un ordre "alpha-bêtique". A chacun sa lettre, qui pour y grimper, se cacher, jouer, s'étirer, bailler ou simplement prendre la pose : A comme Angora, B comme Bengal, C comme Chartreux, ou encore G comme Greffier, M comme Maine Coon, P comme Persan, S comme Siamois... jusqu'à Zzz pour les 18 à 20 heures par jour qu'un chat passe à dormir. Les Alphachats sont aussi les chats qui ont fait l'histoire, la littérature, le cinéma, la BD, la musique et, naturellement, le bonheur des auteurs qui ont vécu en leur compagnie. Qu'ils soient tigrés ou écaille-de-tortue, roux ou noirs, avec ou sans pedigree, ces chats ont quelque chose en commun : chacun a un nom. En voici donc plus de 600 assortis d'autant d'anecdotes glanées par Paola Gallerani : sans Apollinaris, Bébert, Boise, Catarina, Giuseppe, Jellylorum, Murr et Tyke, est-ce que Twain, Céline, Hemingway, Poe, Morante, Eliot, Hoffmann et Kerouac auraient écrit les mêmes oeuvres ? Si nous sommes certains que c'est pour Pulcinella que Domenico Scarlatti a composé la fugue Le Chat pour clavecin, sans Elvis (le chat, what else) John Lennon aurait-il composé les mêmes chansons ? Et s'il n'y avait pas eu Spithead, Newton aurait-il inventé la chatière ? Sans parler du Fripouille de Klee, des Sam de Warhol et de la Polly de Kubrick... Les chats muses, dans le sens le plus traditionnel, mais aussi les chats comme Micetto qui se cachait sous la soutane du pape Léon XII, ou Brilliant, l'angora favori de Louis XV, Lucifer et Perruque, les éminences à fourrure de Richelieu, ou encore Jock, qui assistait avec Churchill aux conseils de guerre, et Socks "First Cat" à la Maison Blanche sous Clinton, tous ont contribué à inspirer bien des décisions. Et si Mitsou et Marcus sont les chats d'acteurs célèbres (Marilyn Monroe et James Dean), Orangey et Pyewacket montent eux-mêmes sur les podiums pour recevoir le PATSY Award (pour Diamants sur canapé et L'Adorable Voisine). Enfin qu'en serait-il d'Alice sans le chat du Cheshire, ou de Titi sans Gros Minet ? C'est pourquoi même les chats "de fiction" ont leur place ici. Et comme les derniers seront les premiers : CC, le premier chat cloné, Nadjem le plus ancien chat égyptien dont on connaisse le nom et All Ball, le premier chat adopté par une gorille. Voici donc un portrait inédit pour le style et la beauté des illustrations de ces fascinants "tigres de maison", en forme de recueil des faits et dits mémorables de tous les chats qui ont su se rendre dignes de leur nom.

09/2013

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Littérature japonaise

Au sud de la frontière, à l'ouest du soleil

Le tout premier roman du maître paru chez Belfond, dans une toute nouvelle édition ! Une oeuvre délicate et précurseuse des thèmes typiquement murakamiens, qui allait marquer le début d'une histoire commune de plus de vingt ans Au Japon, de nos jours. A douze ans, Hajime se lie d'amitié avec sa voisine, Shimamoto-san, qui boite un peu à la suite d'une atteinte de polio. Leur belle amitié est brisée le jour où les parents de Shimamoto-san déménagent. Quelques années après, au lycée, Hajime s'éprend d'Izumi. Lors de cette première relation amoureuse, il fait l'apprentissage de la sexualité, mais c'est dans les bras de la cousine de la jeune fille qu'il connaîtra ses premiers émois sexuels. Izumi, qui ne lui pardonnera pas cette trahison, le quitte, marquée à vie. A la fin de ses études, à l'université de Tokyo, Hajime travaille pendant huit ans comme correcteur chez un éditeur de manuels scolaires puis épouse Yukiko. Son père, un riche homme d'affaires véreux, lui offre la chance de sa vie : ouvrir un club de jazz. Hajime est métamorphosé, tout semble lui réussir. Il a une femme aimante, deux petites filles adorables, un commerce florissant, un métier qui lui plaît... Mais un jour, tout bascule. Accoudé au bar, en train de siroter un cocktail, une femme à la beauté envoûtante engage la conversation avec Hajime : c'est Shimamoto-san. Il lui raconte ses longues années de solitude et d'ennui, son récent bonheur, et sa joie de la retrouver enfin ; elle reste très évasive sur son passé. Dès lors, Hajime, rongé par l'amour, passe ses soirées à attendre les visites de cette femme mystérieuse et fascinante. Au cours d'une de leurs rencontres, Shimamoto-san demande à Hajime de l'accompagner au bord d'un fleuve pour y verser les cendres de son bébé mort à la naissance. A cet instant, Hajime sait que plus rien ne sera comme avant. Fou de désir, il choisit d'abandonner sa femme et ses deux filles contre la promesse d'une vie de passion avec celle qu'il aime depuis l'enfance. Mais après une nuit d'amour intense dans la maison de campagne familiale, Shimamoto-san disparaît. Lorsque Hajime rentre chez lui, brisé, sa femme comprend qu'il en aime une autre, et lui donne le temps de réfléchir. Hajime sait que sa maîtresse ne reviendra pas, et qu'elle avait été sur le point de les tuer tous les deux. Il décide donc de rester avec Yukiko, conscient que le souvenir étrange de Shimamoto-san ne s'estompera jamais...

11/2023

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Littérature française

Théa et les portes du soir

Suivez Théa, une jeune femme désabusée, dans une aventure onirique étourdissante au-delà de la Porte des Fées !C'est une révoltée, Une désabuséeElle a des convictions, Des rêves et des passionsMais croit que le mondeNe mérite pas ses idéesElle les garde pour elleEt s'invente un mondeDans lequel, elle s'enfermeEt aimerait vivre toute sa vieMais c'est impossible. C'est pourquoi elle erre, Parmi vous, parmi tousAu cour de ce monde, De futilités et d'hypocrisiePoursuivant sa quête, Sa recherche de la véritéEt priant pour découvrirAu tournant d'une rueAu bout d'un cheminUn passant comme elleQui lui tendra la main. Pour Théa, inventer est devenu une nécessité. Immergez-vous pleinement dans ce roman fantastique où les rêves prennent le pas sur la réalité pour mieux avancer vers la vérité !EXTRAITSacré conseil, me dis-je, ironique. Les créatures de ce monde étaient douées pour déclamer des discours ombrageux et philosophique. Je me rappelai les centaures de la Forêt interdite dans Harry Potter et riais sous cape, en me disant qu'à ce rythme-là, je ne retrouverai jamais le Génie. Dans un dernier sourire, je pressai mes talons contre le flanc de Calypso et elle bondit en avant. Un cri m'arrêta et je coupai net Calypso dans son élan. Je me retournais et vis la Babouchka qui me faisait de grands signes. Je reviens vers elle.- Théa ! Attends ! Ne bouge pas !Inquiète, je regardais les alentours m'attendant à un danger quelconque, tandis que la Babouchka prenait son panier de baies et rentrait le poser chez elle. Quelques minutes plus tard, elle ressortit, ferma à clé sa chaumière et se dirigea à l'arrière de sa maison. Elle revient un tenant une mule par la bride.- C'est très gentil, dis-je, gênée, mais l'Enchanteresse m'a prêté sa licorne.- Cette mule n'est pas pour toi ! Elle ne rivalise pas avec la monture de l'Enchanteresse. C'est la mienne. Elle se mit en selle à ma plus grande surprise.- Eh oui, Théa, je pars avec toi. Allons ensemble voir dans quel camp joue la Dame Blanche, et dans quel état d'esprit elle se trouve !- Vous devez rester, certains ont besoin de vous ici !- Qu'ils attendent ! Tu es bien plus importante. Si tu réussis, tout ira pour le mieux. Je préfère venir avec toi, plutôt qu'attendre seule ici. Tu es devenue ma priorité, et je dois m'assurer que tu arrives saine et sauve. Alors, je t'accompagne jusqu'au château. Après je verrai si je te suis ou si je fais demi-tour.- Merci, c'est vraiment adorable. Êtes-vous certaine que votre mule arrivera à tenir la cadence de Calypso ?À PROPOS DE L'AUTEURLaëtitia Creysson aime lire et écrire depuis toujours. Elle vit dans le Gard, en pleine campagne, entourée de ses livres chéris. Parfois, une lumière brille encore à sa fenêtre en pleine nuit. C'est l'auteure qui couche sur papiers d'autres mondes, d'autres histoires, dans lesquels elle espère vous plonger.

04/2019

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XIXe siècle

L'orpheline de Manhattan Tome 1

New York est leur terre promise. En quittant leur Charente natale à l'automne 1886 pour embarquer sur un paquebot direction le Nouveau Monde, Guillaume et Catherine sont avides d'une nouvelle existence. Pourtant leur rêve de liberté va vite se transformer en cauchemar. Bientôt, leur fille Elisabeth est livrée à elle-même au coeur de l'immense cité américaine. Après une nuit d'errance dans Central Park, la fillette est renversée par la calèche des richissimes Woolworth. Le couple la soigne et décide de garder auprès d'eux cette adorable enfant qui semble issue de nulle part. Elisabeth grandit choyée, telle une princesse. Mais lorsque celle qu'on appelle désormais Lisbeth Woolworth apprend à son seizième anniversaire la vérité sur son adoption, le choc est terrible. La jeune fille n'a plus qu'une idée en tête : découvrir le mystère de ses origines qui la rattache encore à la France. Elisabeth parviendra-t-elle à démêler le vrai du faux et à connaître l'amour sincère des siens ? Ecrivain aux multiples talents, Marie-Bernadette Dupuy signe une oeuvre extrêmement riche et variée, traduite jusqu'en Russie, ayant conquis de très nombreux lecteurs. Cette nouvelle saga pleine de suspense nous transporte de la Charente jusqu'au coeur de New York, au moment où sont érigés les premiers buildings de Manhattan. A travers les aventures trépidantes d'Elisabeth, où souffle le vent de la liberté, Marie-Bernadette Dupuy rend un magnifique hommage à toutes celles et ceux qui ont choisi de croire en leurs rêves. Note de l'auteure Un soir d'été à New York, alors que depuis le pont de Brooklyn, je regardais s'allumer les millions de lumières de la formidable cité, j'ai été frappée par l'idée d'un roman inspiré de faits authentiques, dont l'action empreinte d'intrigues et de suspense se déroulerait en partie ici. Le point de départ serait le destin souvent tragique des hordes d'orphelins qui déferlaient sur les marches du Nouveau Monde à l'époque charnière de l'immigration massive, entre le xixe et le xxe siècle. Par la suite, mes promenades matinales dans Central Park m'ont confortée dans ce projet. Je voyais l'image d'une fillette endormie sur un banc. Une enfant perdue, au coeur brisé par un sort cruel. Dès mon retour en France, je me suis lancée dans cette nouvelle aventure, avec les terres viticoles d'un vieux château de Charente comme seconde toile de fond, où j'ai donné naissance à la petite Elisabeth, dont je vous invite à suivre la tumultueuse destinée, ponctuée par les cauchemars lourds de sens dont elle s'éveille effrayée, même devenue jeune fille... Mais je ne veux pas en dire plus, vous le savez. J'espère que vous apprécierez ces pages et que vous aurez plaisir à voyager avec moi dans le passé, depuis la France jusqu'à la fascinante ville de New York, que j'aime tant et où je me sens si bien. C'est son atmosphère unique qui m'a inspiré cette histoire, où grondent les orages du coeur et de l'âme. Je vous en souhaite une belle lecture, Avec toute mon affection, Marie-Bernadette Dupuy

02/2019

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Faits de société

Ould Haram. L'enfant du péché

Jamil, s'angoissait, il allait rencontrer pour la première fois sa mère Latifa, une grande bourgeoise marocaine, qui l'avait échangé à la naissance contre sa tranquillité, lui l'enfant du pêché, et qu'il avait retrouvée et piégée sur les réseaux sociaux, 20 ans après. Il pensait avec tendresse à la bonne Khadija, dont il savait maintenant qu'elle n'était que sa mère adoptive. Une maîtresse femme, la Mouille l'avait élevé avec amour, dans cette banlieue française, selon les principes berbères les plus rigoureux mais aussi les plus archaïques, en résistance au mode de vie des " gwères ". Il s'agissait avant tout de ne pas donner prise au persiflage des commères voisines, que ne manquerait pas de relayer, jusqu'au bled, le téléphone arabe. Jusqu'ici, Khadija et son époux avaient réussi à construire une réputation sans faille qui suscitait le respect du voisinage. Pour Jamil et ses soeurs, tiraillés entre deux cultures qu'un gouffre sépare, le difficile combat pour l'intégration s'amorçait. D'autant qu'à cinq ans, à l'heure de ses premiers pas à l'école, Jamil ne parlait encore que le berbère ancien. A douze ans, il avait été troublé par le chaleureux sourire dugendarme quinquagénaire qui l'avait pris sous son aile dans le camp disciplinaire où il avait été envoyé. A quinze ans, en vacances au bled, il découvre l'amour charnel avec un cousin éloigné, le bel Abdelkeb, le " toubib aux plantes ", un quadragénaire de la vallée de Zagora. Dans la cité son copain de classe, Abdou le Gazou, le caïd et tombeur de filles aux yeux de gazelle le prend en affection et devient son protecteur. Il lui avouera son amour. Hélas, Jamil n'aime que les hommes en pleine maturité. Il en rencontre beaucoup, tous des " gwères " cultivés et influents, dans la force de l'âge. Une inclination pour les amours masculines qu'il est impossible d'avouer dans le contexte de la cité. Et surtout pas à sa famille. Latifa arriva très en retard dans le salon de thé. Elle, toisa l'intrus, visiblement venu directement des cités françaises dont il portait l'uniforme. Elle jeta un regard méprisant à la casquette posée sur la banquette et prit place avec un sourire contraint. D'entrée, elle doucha ses espoirs : nous appartenons à deux mondes différents. Tu n'es pas le bienvenu ! Jamil était dévasté. Deux mondes différents, certes. Il réalisa que l'un d'eux était celui de la dissimulation, de l'hypocrisie, du renoncement de soi par peur du regard des autres. Il n'en voulait plus. Bientôt, il rencontrerait Bertram, l'homme de sa vie, son Pygmalion. Ensemble, ils feront le voyage en Californie où naîtront leurs deux adorables bambins, les enfants de l'amour.

02/2022

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Littérature étrangère

Nouvelles de Corée

Un lapin ! Alerté par un bruissement, l'homme se retourne pour jeter un coup d'oeil du côté du buisson. Il y a là une boule de poils blancs. Ce qu'il a d'abord cru être un chien blanc le regarde fixement de ses yeux rouges. Il n'aurait jamais su qu'il s'agissait d'un lapin s'il n'avait vu ses yeux. Subjugué par leur couleur, il s'accroupit devant l'animal. A force de regarder, il se sent envahi par un profond sentiment de réconfort : il existe donc au monde des êtres aussi fatigués que lui, aussi las, au point d'avoir les yeux tout rouges ! Pas une seconde il ne songe que c'est la nature qui a doté de la sorte certaines espèces. Mais en même temps il ressent un goût amer : l'animal a dû être abandonné dans ce sombre parc, il a dû survivre là plusieurs jours et son pelage blanc est devenu épouvantablement sale. Aucun doute, cet animal n'est pas dans son milieu naturel : il a certainement été abandonné. Fut un moment où l'élevage de lapins faisait fureur parmi les enfants des villes. Aujourd'hui, le temps est venu où les parents se débarrassent subrepticement de ces animaux. S'il n'est pas facile d'expliquer précisément d'où est venue cette vogue de l'élevage des lapins - comme bien des choses en ce monde d'ailleurs -, ce qui est sûr, c'est que les propos d'un éminent professeur de médecine ont joué un rôle déterminant. Cet homme dynamique et en pleine forme physique malgré son âge, expliquait qu'il avait adopté un régime végétarien en s'inspirant du mode d'alimentation d'un lapin qu'il élevait, lequel était de cette espèce particulière qui ne grandit que très peu en prenant de l'âge. A également joué un rôle ce lapin excentrique aux yeux malicieux, intelligent et adorable, héros de dessins animés à succès. Et aussi ce livre illustré, drôle d'un bout à l'autre, contant les aventures de lapins suicidaires ; ces animaux voulaient mourir non pas parce qu'ils étaient fatigués de la vie, mais par jeu, pour tromper l'ennui. Les enfants en avaient ras le bol des chiens et des chats, des poussins qui crevaient pour un oui pour un non, ou des hamsters qui se multipliaient à une vitesse effarante. Les marchands de plein vent devant les écoles, qui naguère vendaient des poussins éclos en couveuse, proposaient désormais dans leurs cartons des lapereaux pas encore sevrés, qu'ils présentaient comme des lapins nains. Pour apaiser les inquiétudes des parents, ils expliquaient que leur élevage n'était pas compliqué, il suffisait de leur donner des croquettes. De plus, un universitaire de renom assurait que nous aurions bien des choses à apprendre d'eux. Ainsi rassurés, des parents ont fini par permettre à leurs rejetons d'élever des lapins à la maison : quelques bambins ont d'abord eu leur lapin, puis les autres enfants du voisinage ont insisté pour avoir le leur eux aussi, et les parents n'ont plus trouvé d'excuse pour refuser. Selon un sondage réalisé par une société distributrice de fourrage alfalfa, le nombre de ménages possédant un lapin comme animal de compagnie s'est trouvé multiplié par huit par rapport aux années précédentes...

10/2014

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Manga

Pack Boy's Love n° 35. Avec 5 mangas

Ce pack manga contient : Un Baiser au goût de Mensonge (176 pages - Volume : 2 / 3) : Wachi, jeune homme brillant en affaires mais qui manque cruellement de sensibilité, est à présent captif de Makio, un ancien escroc reconverti en barman. Bien qu'ils vivent tous les deux dans l'appartement de Wachi et qu'ils couchent très souvent ensemble, le comportement de Makio, qui déteste les contraintes, reste un mystère. Un beau jour, alors que Wachi tente de découvrir où son amant se rend presque tous les soirs, un inconnu l'agresse en pleine rue ! Retrouvez ce couple atypique et leurs nouvelles mésaventures, où se mêlent à la fois amour et sournoiserie.Pure Fetishism (160 pages - Volume : One Shot) : "Laisse-moi tripoter tes fesses !! "Itaru, responsable du restaurant Tsujiya dont son frère est le propriétaire, a un penchant un peu particulier... C'est un fétichiste des belles fesses ! Un jour, il fait la rencontre de Natsu, étudiant à la recherche d'un travail à mi-temps, et qui possède les fesses de ses rêves ! Lorsque Natsu se met à travailler pour eux, Itaru, obligé de réprimer ses envies, a un mal fou à se concentrer sur son travail...Can't i hate you (160 pages - Volume : One Shot) : Aki et Jin font partie du même groupe d'amis d'enfance mais ne peuvent s'empêcher de se disputer à chaque fois qu'ils se voient. Aki est un jeune homme obstiné et sérieux qui travaille dans une poste, tandis que Jin, avec ses allures de coureur de jupon, est le fils d'une grande et riche famille. Tous deux très proches de leur ami Hina, adorable et toujours de bonne humeur, aucun ne veut se résoudre à laisser l'autre sortir quelque part seul avec lui. Leur situation a beau ressembler à ce qu'on appelle un triangle amoureux, un beau jour, lorsque Jin et Aki sont seuls, l'ambiance devient... étrange. Malgré leur haine l'un pour l'autre, les battements de leurs coeurs s'accélèrent... et il finissent même par s'embrasser... ! ? Same Difference (176 pages - Volume : 4 / 6) : Dans les tours jumelles d'une certaine compagnie, deux éternels rivaux, chacun au top de l'élite de sa propre tour, ne peuvent s'empêcher de se chamailler. D'un côté Ozaki, autoproclamé super beau gosse, et de l'autre Tsuburaya, l'ingénieux et sadique prince charmant. Si leur relation amoureuse avait jusque-là pu être gardée secrète, le vicieux chef du département des affaires générales n'hésite pas à la dévoiler à l'ensemble du personnel de l'entreprise. Comment Ozaki et Tsuburaya vont-ils se sortir de cette situation désespérée... ! ? Comment je me suis fait adopter (174 pages - Volume : One Shot) : Miyajima, d'un caractère plutôt timide et ouvertement gay, est le fils des propriétaires d'une auberge traditionnelle japonaise. Depuis tout petit, il éprouve en secret un amour à sens unique pour son ami d'enfance Takeuchi, beau garçon taciturne qui exerce le métier de cuisinier. Conscient de susciter la réprobation des autres à cause de son homosexualité, Miyajima vit en demi-teinte, à essayer de ménager les sentiments de Takeuchi et de ses propres parents. Mais lorsque son père, chef cuisinier de leur auberge, tombe malade, et que Miyajima décide de retourner chez ses parents pour les aider, il ne s'attend pas du tout à ce que Takeuchi débarque peu de temps après pour lui proposer de travailler pour lui !

12/2015

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Faits de société

Nègre, qui es-tu ?

Le Grand Cataclysme nègrechronoholocauste Nègre, Qui Es-Tu ? , porte une attention particulière sur la cause de la Race Noire, étant toujours d'actualité au point de vue racial dans le monde actuel. Il examine les défis du changement de sa mission en tant que père et mère de l'humanité sur terre, et se penche sur les étapes de son abaissement, son asservissement, ses conditions et statuts de vie avant et après la révision de son statut, et le mandat qui lui a été réservé pour son développement dans le monde après l'esclavage ; ses réalisations et la contribution apportées au monde au fil du temps, en tant que patrimoine. Son texte traite de l'historicité humaine ; de la vérité historique des livres de la Bible, du créationnisme et plus largement de la perception humaine du monde invisible. Il est considéré comme un ouvrage de vulgarisation de l'histoire biblique au travers de l'histoire de la religion, et de la métaphysique. Hier nous étions terrifiés de nombreux actes effrayants de l'humanité ; et pas très loin, était le danger. Mais c'est ici notre monde, où règne la loi de nos péchés, ne méritant pas d'être humain, avec un coeur aimable. Hier, quand nous sommes arrivés ici, quelque chose s'est brisé en nous, quand ils nous ont sortis de notre adorable berceau, aux murmures de l'isolement d'un vaste océan, abritant une coquille décorée avec une haine concrète, qui nous entourait ; oui, nous avions peur de nombreux actes effrayants de l'humanité. Et la nuit jeta sa draperie ici et là ; le vent mythique alertant l'horreur, murmurant sa musique. Ainsi, hier, nous nous sommes réveillés de l'autre côté de l'océan isolé de terreur, la mort étant sous les vagues bleues empoisonnées, une tombe bien faite dans son abîme. "Je suis blanc, je peux te tuer et rien ne m'arrivera" et nous avions peur de nombreux actes effrayants de l'humanité. "Cependant, nous ne serons jamais vaincus par le racisme, nous nous écriâmes ; l'amour est ce que nous ressentons, des sentiments intenses d'amour". "Mais alors, l'âme répondit, soyez avertis, parce que l'amour peut être pire que la haine, et en soi, c'est une mauvaise volonté". Nègre, Qui Es-Tu ? , révèle sa narration philosophiquement ; et sa révélation religieuse commence avec l'Egypte ancienne et s'étend jusqu'à l'avènement de la Bible ; enfin, il inscrit une chronologie de la Bible, et où elle tire ses sources. Il est qualifié comme une histoire émouvante d'un homme qui veut un monde sans malice et sans haine, et fait quelque chose à ce sujet. Il explore comment au cours des siècles de l'esclavage, les Noirs ont subi des massacres, des génocides et d'autres formes de souffrance dans le monde entier ; et se noyant toujours dans un environnement hostile racial historique dans plusieurs parties du monde, depuis l'abolition de l'esclavage. Le mot "Race" est utilisé ici pour justifier la déportation de la race noire qualifiée d'inférieure pour la domination de la race blanche. Ce mot a été utilisé pour la première fois en Europe au Xe et au XIe siècle pour distinguer diverses communautés aristocratiques. Il est aussi inscrit dans la constitution des Etats-Unis depuis 1865. Il dévoile aussi quelques inventions cachées des Noirs, sans lesquelles le monde ne serait pas ce qu'il est aujourd'hui. Aujourd'hui encore en général, l'auteur déplore que le berceau de l'humanité – l'Afrique – soit davantage balisé jusqu'aujourd'hui par le reste des pays.

05/2020

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Contes de toujours

Pinocchio

Il était une fois un vieux menuisier du nom de Geppetto, qui un beau jour taille un petit pantin de bois qu'il appelle Pinocchio. Soudain, le pantin prend vie. Geppetto y est si attaché qu'il le considère comme son propre enfant, mais le pantin se montre turbulent et bien désobéissant. Arrivera-t-il à devenir un enfant sage comme lui demande inlassablement la fée bleue ?

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Livres 3 ans et +

Pinocchio

Ce chef-d'oeuvre de l'écrivain italien, Carlo Collodi – traduit par Nathalie Castagné et revu par Jean-Michel Gardair – propose un voyage au coeur d'un imaginaire illustré entre légèreté et noirceur par Jérémie Almanza.

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Grands textes illustrés

Pinocchio

Né d'un morceau de bois doué de parole, Pinocchio a la langue bien pendue. Véritable garnement, il n'en fait qu'à sa tête, pour le plus grand malheur de son père Gepetto, qui souhaiterait simplement que la marionnette aille à l'école et se comporte comme un bon petit garçon. Partagé entre les bonnes résolutions et l'irrépressible envie de s'amuser, naïf, arrogant, souvent menteur mais toujours aimant, Pinocchio connaîtra bien des mésaventures avant de s'amender et de recevoir, des mains de la Fée Bleue, la plus belle des récompenses.

10/2023

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Généalogie

Destins français. Essai d'auto-ethnographie familiale

Martine Segalen se livre à une enquête historique et généalogique de la " saga " de deux familles juives dont elle est issue, venues à la fin du 19e siècle à Paris. Entre démarche personnelle et professionnelle, très documentée, cet exercice de retour en soi est sensible, émouvant et représentatif d'une histoire de beaucoup de familles françaises ou qui le sont devenues. La photo sur le bureau Les albums de famille sont comme des petites machines à remonter le temps. Les photographies en sont les arrêts sur images, les moments figés d'un film muet sautillant et fragile. Jaunies, altérées par les plissures et les mauvais traitements elles disent peu d'elles-mêmes. Entre les photos il y a des blancs, des marges et parfois telle ou telle part écrite succincte, juste un mot, un lieu, un prénom, une date, un bref commentaire. C'est une matière que Martine Segalen (née Appel) connaît bien. Ethnologue connue par ses travaux de sociologie de la famille, sur le mariage, la parenté, la transmission dans les sociétés françaises, traditionnelles et contemporaines, elle se livre ici à un exercice de retour en soi, une sorte d'auto-ethnographie. Elle a pu le faire à partir d'une double dynamique : celle, personnelle, fortement motivée par le désir légitime de retrouver ses origines, d'explorer les archives et les traces de sa propre famille afin de s'assurer de la transmission ; l'autre, professionnelle, en utilisant la " boîte à outils " de son savoir anthropologique qui lui a permis de comprendre les mécanismes de composition familiale tels qu'elle a pu les observer et les analyser dans d'autres groupes sociaux. Cet ouvrage en est le résultat. Pour mener à bien cette enquête, l'ethnologue s'est faite historienne, elle est allée sur le terrain, dans les archives, a fait resurgir ses propres souvenirs. Son exigence méthodologique et cette pratique d'une ethnologie de soi ne cache pas l'émotion qu'elle a senti surgir à la vue des documents, des sites et des photographies qui la concernaient directement. Sagas familiales, exils croisés, destins d'exilés C'est une description historique de la " saga " de deux familles juives dont elle est issue, venues à la fin du xixe siècle jusqu'à Paris, symbole de la liberté de penser ; elles s'y intégrèrent au milieu professionnel des fabricants et commerçants du vêtement (principalement dans la branche de la casquette et de la fourrure). Martine Segalen a exploré minutieusement la trajectoire de ces exilés et enquêté sur le milieu socioprofessionnel judéo-parisien jusque dans les années 1930. Elle décrit les systèmes d'alliances et les stratégies mises en oeuvre au cours de plusieurs générations pour consolider les fruits d'un exode et fait le récit de ces trajectoires sociales ascendantes. Les premiers chapitres retracent le parcours des deux lignées, du côté du père et du côté de la mère. Chacune de ces lignées a connu une forme d'exil différente et d'ailleurs assez semblable aux lignées de la famille de Nathalie Heinich (voir Une histoire de France). Partis de la Pologne et de l'Autriche russe, une branche a rejoint l'autre lignée partie d'Alsace après 1870. Leur ressemblance est moins l'appartenance à un milieu social qu'une communauté religieuse. Dans un autre chapitre elle raconte aussi, de manière encore plus impliquée, cet épisode paroxystique du camp de Drancy où furent internés ses parents (Paul et Ginette Appel) durant deux ans (1942-1944), au moment de sa toute première enfance. Ce fut un moment très difficile où tous les rêves et les efforts des générations précédentes semblaient devoir se briser et s'effacer. Ce chapitre renvoie aussi à l'actualité des recherches historiques sur Drancy. 2022 est une année de commémoration de la terrible rafle du Vél d'Hiv et des exactions contre les juifs qui ont suivi et qui ont fait de la Cité de la Muette à Drancy un épicentre de la déportation vers Auschwitz et Birkenau. Parmi les témoignages réunis par les équipes du Mémoriel de la Shoah, il y a ceux des parents de Martine Segalen et c'est avec une grande lucidité et sans partialité qu'elle relate ces faits. " Ethnologie du chez soi " Cet essai aurait pu avoir pour titre Du train à la Péniche. Martine Appel-Segalen a suivi les traces de son grand-père, Israël Appel, depuis les voies ferrées où roulait le train qui le conduisit à la fin du xixe siècle de Katowice en Pologne jusqu'à Paris. C'est sur la " Péniche ", ce long banc en bois du hall de Sciences Po, qu'elle-même rencontra son futur mari Renaud Segalen, petit-fils de Victor Segalen. Cette période a constitué pour elle un drôle de départ dans la vie : elle est née en 1940. Mais tant d'opiniâtreté a abouti : Martine Appel a intégré Sciences Po, a eu une première vie professionnelle dans les hautes sphères commerciales, est devenue Martine Segalen par son alliance avec Renaud, se liant ainsi à une famille au parcours transnational, elle aussi. Puis elle a connu une trajectoire pleine de bifurcations et d'imprévus. Mère de trois enfants, elle a fait une brillante carrière d'ethnologue, devient une intellectuelle reconnue. Elle est en même temps une grande sportive qui accumule les coupes et les trophées de marathonienne et elle a souvent pris position publiquement pour la place des femmes dans le sport. L'histoire des Segalen et la biographie plus détaillée de Martine mériteraient des développements propres. Mais ce n'est pas le propos de son ouvrage, écrit juste avant sa disparition et auquel elle tenait beaucoup. Voyages, archives, enquêtes lui ont permis de reconstituer et mettre en récit une histoire accidentée et cicatrisée qui est celle de beaucoup de familles françaises ou qui le sont devenues. Le texte, articulé en plusieurs chapitres, est très documenté aussi bien par les récits de l'exil et les photos de famille que par des certificats de nationalité, des contrats de mariage, des demandes de naturalisation, des publicités pour les ateliers de confection, les en-tête d'entreprises. L'ensemble compose un tableau de familles dont les motifs sont les déménagements, les parcours résidentiels et professionnels au sein de la société française à chaque époque et dans les événements de la grande Histoire de France. Le livre nous fait pénétrer dans l'intimité des familles mais avec une très grande retenue, voire une distance critique, que la chercheure en sciences sociales qu'est Martine Segalen applique avec une certaine rigueur. L'ouvrage contribue ainsi à une réflexion déjà ancienne sur la réelle " identité de la France ", au sens de ce qu'est ce pays et ce qui s'y passe aujourd'hui en résonnance avec le destin d'exilés contemporains.

05/2022