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Rue des Pâquerettes

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Contes et nouvelles

Dis-moi plus que des mots damour

Le corps, le coeur, le corps... et l'amour, cet élément au centre des relations humaines, depuis toujours recherché de tous. Il n'est pourtant pas facile d'écrire une bonne romance, qui plaise et qui parle de manière unanime, bien que l'amour semble parler à tous ! La romance, l'un des genres littéraires les moins étudiés, et paradoxalement l'un des plus populaires, tant chez les auteur. ice. s que les lecteur. ice. s. Et pour la seconde fois cette année, les Editions Edilivre ont lancé le défi, aux écrivains professionnels et amateurs, d'écrire avec leur plume bien plus que des mots d'amour, et ce, sous toutes leurs formes. Dans ce recueil, vous trouverez les treize nouvelles sélectionnées à la suite de notre concours, qui explorent le mieux les formes multiples et variées de l'amour et du désir. Chaque nouvelle est unique et nous parle d'un amour platonique, sensuel, érotique, à travers les âges... Des histoires d'amour qui ne manqueront pas de vous faire, vous aussi, rêver.

12/2021

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Bricolage et création

L'atelier fleurs séchées

Dans son jardin ou au gré des promenades, Sandra cueille des fleurs qu'elle colore es fait sécher pour créer des objets aux allures féeriques ! En quelques étapes, apprends à sublimer pensées, pâquerettes et autres merveilles à pétales, pour obtenir des compositions uniques.

03/2022

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Romans historiques

La rue

La rue n'a-t-elle pas sa vie pittoresque et joyeuse ? Qu'est-ce donc par exemple, que cet homme habillé en officier supérieur, avec un képi à cinq galons, un pantalon tout frangé d'or, teint jaune, barbe grise, qui a dix-huit bagues à chaque main, des traînées de crachats sur la poitrine, et dont les doigts de pied trouent les souliers ? Chaque boulevard, chaque quartier, ce jardin, ce square, ont leurs habitués excentriques, entêtés, qui font retourner la tête à tous les passants. Leur biographie, si on la tenait, aurait une saveur sans pareille. Je choisirais, de préférence, je l'avoue, les endroits ignorés, les terrains populaires, et je rechercherais les tableaux émouvants, bizarres, contrôlant la légende, ressuscitant les drames. Les ouvriers, les malheureux, tous les laborieux et les souffrants auraient en moi non pas un avocat, mais un historien. Je ferais la statistique du salariat et si je n'avais pas peur d'effrayer, celle de la misère. Je suis du peuple, et ma chronique aussi.

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Critique littéraire

Rue Corneille

Un écrivain, et rien d'autre, ainsi se définit Denis Tillinac, en épilogue à ce récit d'une balade en zigzags sur les routes de son imaginaire. On le cherche dans sa maison d'édition au quartier Latin, on le surprend en Afrique où Kabila doit le rejoindre. On le croise en terre d'Ovalie avec Pierre Dauzier et André Boniface, on l'aperçoit à l'Elysée en conciliabule avec Chirac. Mais comme il se joue des frontières, le voilà dans l'avion de Sarkozy avant de reprendre son train pour la Corrèze. Puis de repartir à un autre bout de ses mondes intimes. Tout le passionne, surtout les coulisses et surtout les irréguliers. D'où ces scènes de genre et cette galerie de portraits, crayonnés avec autant d'ironie que de tendresse. Car si Denis Tillinac n'aime pas son époque, il a de la sympathie pour les personnages qui tâtonnent aux marches de la gloire. Ou aux frontières du désespoir. Entre les lignes d'une prose de styliste, miroir parfois cruel des moeurs contemporaines, on perçoit les désarrois d'un écrivain que l'Histoire a floué. Même s'il s'est bien amusé.

03/2009

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Littérature française

Rue Blondel

Près de la Porte-Saint-Martin, à Strasbourg-Saint-Denis, il y a la rue Blondel. Or dans la rue Blondel, y'avait une demoiselle. Elle avait l'uniforme que porte la profession : une jupette ultra courte et puis un boléro ayant peine à cacher un soutif en dentelle deux tailles trop étroit. Elle se postait toujours en haut de ses trois marches, dans le creux d'une porte. On aurait dit un peu comme une pauvre madone dessus son piédestal. Elle s'appelait Lucienne, mais on disait Lulu. Et puis y'avait Momo, le serrurier et ses mauvaises fréquentations et puis aussi Edmond, qui n'aimait pas son prénom, qui n'aimait pas ses parents, qui ne s'aimait pas trop non plus lui-même et qui partit en Grèce sans vraiment savoir pourquoi. Tout commença dans les années 50, rue Blondel, à Strasbourg-Saint-Denis.

05/2018

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Littérature française

Cette rue

Sur un des carrefours qui délimite la rue, un homme regarde passer les voitures. Il a l'air de venir de très loin. D'au-delà de tous les périphériques. De si loin qu'on l'appelle "L'Abyssinien". Sur l'autre carrefour, un magasin, épicerie et épicentre, où se croisent parfois les habitants. Un couple de vieux, un autre de jeunes. Une ancêtre plus que bizarre. Un solitaire de retour après quinze ans. Tout cela n'a l'air de rien. Mais aussi l'air inquiétant. Une menace semble monter, des caves jusqu'aux astres, comme une marée. Un grand dérangement se prépare, que tous ces gens sentent venir sans pour autant le comprendre. Roman fable, où l'intime sensation des corps rejoint l'infini cosmique, Cette rue évoque ce qui couve pour les hommes et pourtant dépasse leur entendement.

08/2007

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Littérature française

Rue Solitude

Erika l'a plaqué, Téo n'est plusau rendez-vous, Mario se fait attendre : Victor a dix huit ans, la vie lui file entre les doigts. Venu faire le deuil de Téo, c'est la mort qu'il croise partout au Mexique, intimement mêlée au quotidien, au détourde chemins hasardeux qui le conduiront vers lui même. Lazaro lui fait découvrir d'autres mondes, ils'embarque pour un voyage insensé au coeur de la Sierra Madre, connaît Lupita. Entre les trois se tisse une étrange relation. Rue Solitude, dans les bas-fonds de Mexico, Victor fera son apprentissage de la mort, pour en tirer une leçon de vie : il découvrira que les hommes ne sont pas si forts et offrent au monde le trompe-l'oeil de leur virilité, la poudre aux yeux de leurs éclats de violence.

06/2022

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Littérature française

Rue Darwin

Après la mort de sa mère, Yazid, le narrateur, décide de retourner rue Darwin dans le quartier Belcourt à Alger, où il a vécu son adolescence. « Le temps de déterrer les morts et de les regarder en face » est venu. Son passé est dominé par la figure de Lalla Sadia, dite Djéda, sa toute-puissante grand-mère adoptive, qui a fait fortune installée dans son fief villageois, fortune dont le point de départ fut le florissant bordel jouxtant la maison familiale. Né en 1949, Yazid a été aussitôt enlevé à sa mère prostituée, elle-même expédiée à Alger. Il passe une enfance radieuse au village, dans ce phalanstère grouillant d’enfants. Mais quand il atteint ses huit ans, sa mère parvient à l’arracher à l’emprise de la grand-mère maquerelle. C’est ainsi qu’il débarque rue Darwin, dans une famille inconnue. Il fait la connaissance de sa petite soeur Souad. D’autres frères et soeurs vont arriver par la suite, qui connaîtront des destins très divers. La guerre d’indépendance arrive, et à Alger le jeune Yazid y participe comme tant d’autres gosses, notamment en portant des messages. C’est une période tourmentée et indéchiffrable, qui va conduire ses frères et soeurs à émigrer. Ils ne pourront plus rentrer en Algérie (les garçons parce qu’ils n’ont pas fait leur service militaire, les filles parce qu’elles ont fait leurs études aux frais de l’État algérien). Le roman raconte la diaspora familiale, mais aussi l’histoire bouleversante de Daoud, un enfant de la grande maison, le préféré de Djéda, dont Yazid retrouve un jour la trace à Paris. Encore une fois, Sansal nous emporte dans un récit truculent et rageur expliquant la difficulté d’avoir deux mères : c’est le cas de Yazid, mais aussi celui de tous les Algériens… Il décrit la corruption, le « grouillement de la misère », l’absence de perspectives, la tristesse générale, l’ennui… Rue Darwin est le récit d’une inguérissable douleur identitaire, génératrice d’un chaos politique et social.

08/2011

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Littérature étrangère

Rue Involontaire

Rien n'est jamais trop étrange pour Krzyzanowski. Voilà qu'un de ses grands textes - tout petit en nombre de pages - que l'on croyait perdu à jamais vient de réapparaître aux archives à Moscou, restitué en 1995 par le FSB (ex-KGB) puis oublié au fond d'une réserve. S'il n'a pas valu à son auteur d'être arrêté, c'est peut-être parce que celui-ci portait par hasard le même nom qu'un grand révolutionnaire, ou parce qu'il était un écrivain à ce point invisible que l'absence de reconnaissance dont il a tant souffert lui a pour finir sauvé la vie. Et l'on ne sait toujours pas de quelle "affaire" relevait ce dossier. S'agissait-il du texte original confié à une dactylo qui aurait été arrêtée ? D'un exemplaire donné à lire à un écrivain qui se serait fait confisquer ses écrits ? Mystère... Quant à la rue Involontaire, elle existait réellement à l'époque : quelques coudes zigzaguant dans le quartier de l'Arbat où vivait Krzyzanowski avaient "involontairement" formé une petite rue. Celle-ci figure aujourd'hui encore sur les cartes, mais... est introuvable dans la réalité. Rue Involontaire est composé de sept lettres écrites par l'écrivain et son coauteur, la vodka. N'ayant personne à qui écrire, Krzyzanowski les adresse au premier venu ou à la fenêtre qui reste allumée la nuit, et les expédie par la fente de son vasistas. Avec une noirceur joyeusement désespérée, il approche à pas grincés de l'autobiographie. Ce récit est accompagné de deux petits textes ivres et foutraques, et d'extraits des carnets de l'écrivain.

03/2014

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Romans historiques

Rue Bassano

Nommé attaché à l’ambassade de France à Bonn en 1954, j’y suis tombé amoureux d’Alissa, la jeune épouse d’un grisonnant baron prussien. Ce n’était pas très diplomatique, mais j’étais trop jeune pour m’en soucier. Pour ne rien arranger, l’amour se doubla d’une énigme quand j’appris qu’Alissa était française, juive, et qu’elle avait rencontré son mari pendant la guerre. Tandis que mon ambassadeur parlait d’avenir et de réconciliation, tout me ramenait une dizaine d’années en arrière, dans Paris occupé, plus précisément rue Bassano, où s’était joué, derrière la façade respectable d’un immeuble cossu, un des actes les plus méconnus et les plus troubles de la tragédie de la shoah en France.

05/2012

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Romans de terroir

Rue Paillassère

Dans un cadre autobiographique, un récit à plusieurs voix sur la vie béarnaise à Arette, avant et après le séisme de 1967, et sur la vie en Bigorre, à Aureilhan. Née après-guerre, Janette Ananos trouve sa place auprès de Pierre et Marie, son frère et sa soeur issus d'une première union. L'enfant met du temps à comprendre que sa mère a épousé en secondes noces le frère cadet de son premier mari mort à la guerre, le père de ses aînés. C'est l'histoire d'une famille béarnaise, des liens sociaux entre les habitants du village, voisins, amis et parenté, que s'attache à décrire avec beaucoup de douceur et de finesse, Janette Ananos. Une vie simple, tranquille où le quotidien est rythmé par des faits anodins et de menus plaisirs. Pour écrire ce livre de souvenirs et être au plus près de la réalité, Janette Ananos s'est livrée à une véritable enquête, recherchant les témoins de cette époque. Aucune nostalgie dans son propos, juste l'évocation d'un temps à jamais révolu, celui de l'enfance.

10/2020

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Théâtre

RUE NOIRE

Cette Nathalie, sur qui l'âge ne semble pas avoir prise, apparaît dans La Rue noire comme quelque Père éternel. Elle tient en ses mains de femme d'affaires - vieilles mains, mais fermes - le destin de toute une famille, sa famille, sur laquelle elle règne et entend régner jusqu'au bout, se plaisant au spectacle de tant d'ambitions, petites ou ridicules, qu'elle peut à son gré satisfaire ou décevoir. Nathalie joue, de tout et de tous, avec la même insolente et cruelle impassibilité que ce Dieu vers qui les héros d'Armand Salacrou se tournent souvent, pour lui demander des comptes. Mais Nathalie n'a pas de comptes à rendre, sinon à elle-même. Nathalie a, sur l'Eternel, un terrible avantage : elle a fait partie de cette humanité qu'elle régente aujourd'hui, elle en connaît les tristesses, les humiliations ; dans la "Rue noire" où s'est déroulée son enfance, et qu'elle n'oubliera jamais, elle a fait le pari de découvrir la lumière. C'est de ce pari qu'il est question dans la nouvelle pièce de Salacrou. Quant à la lumière sur laquelle Nathalie débouchera, elle est crue et féroce.

05/1967

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Littérature étrangère

La rue

La rue, roman inclassable, se situe quelque part entre Joseph Roth, Kafka, Bruno Schultz et Hermann Ungar, entre Otto Dix, Chaïm Soutine et Georg Grosz. Récit d'un soldat démobilisé vers 1920, après quatre années de guerre contre les armées prussiennes d'abord et bolchéviques ensuite, c'est une longue errance hallucinée à travers une ville, à travers la mémoire, à travers un univers où la frontière entre le rêve et la réalité est brouillée, où le fantastique, le grotesque, le macabre se mêlent. Pour échapper à la rue, le narrateur se réfugie dans des caves moisies, dans des hospices louches où grouille une humanité constituée de monstres et de fous des enfers de Bosch. Pour échapper à la faim, il va s'engager comme homme-sandwich dans un cirque dont l'arène devient le symbole du monde. Pour tromper la solitude il va côtoyer des clowns moribonds, des athlètes entre amour et mort, des poètes suicidaires, venant la nuit réciter leurs vers dans des théâtres vides. Chacun lui fera le récit de sa vie. Cauchemars savamment distillés par une voix narrative, toujours la même et toujours différente, dont on ne sait si elle est celle des personnages qui peuplent le roman ou les hallucinations, du héros anonyme. Espaces clos disloqués par la parole qui entraîne le lecteur dans des périples insensés à travers le monde. Temps déchiqueté par des oscillations incessantes entre présent et passé, faisant surgir des scènes de guerre, de chevaux éventrés, d'hommes ensanglantés pris en croix par le gel dans l'immensité de la steppe d'Ukraine. R. E.

01/1992

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Poches Littérature internation

Rue Katalin

Ils s'étaient soudain rendu compte que le temps avait désagrégé leur passé, alors que durant leur enfance et leurs années de jeunesse, ils l'avaient considéré comme un ensemble compact bien cimenté". Budapest. Des années après la disparition d'Henriette en 1944, les membres de trois familles demeurent sous l'emprise ténue de sa présence. Et, d'outre-tombe, la jeune fille nous introduit dans la vie naufragée de ceux qui furent ses amis : Bálint, Irén, Blanka, M. et Mme Elekes... Qu'est-il arrivé pendant la guerre, rue Katalin ? Quels événements ont bouleversé l'existence de ses habitants pour toujours ?

04/2018

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Poches Littérature internation

La rue

Des rues comme la 116e, réservées aux Noirs, ont tué Mom, fait de Pop un ivrogne, poussé Mrs Hedges au bordel, et broyé des milliers d'autres avant eux. Mais cela ne lui arrivera pas à elle, Lutie : parce qu'elle a la volonté de lutter. Contre l'argent-roi, qui manque toujours, contre la folie des hommes, qui abusent inlassablement des femmes, contre la loi de la rue, qui tôt ou tard risque de lui prendre son fils. Et quel choix peut avoir une jeune femme noire, pauvre, mère célibataire, piégée dans le ghetto de Harlem au cœur des années 1940 ? Celui de livrer un combat acharné pour tenter de déjouer sa condition, et rêver du meilleur, en espérant ne pas récolter le pire... Ode aux âmes fortes, ce roman paru aux Etats-Unis en 1947 est un morceau de bravoure – noir, brut, poignant. Un chef-d'oeuvre à découvrir absolument.

09/2018

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Romans noirs

Rue Mexico

" Les gens qui habitent dans des ports gardent toujours espoir ". Des voitures brillent aux quatre coins du monde. A Hambourg également. Dans l'une d'elles, on retrouve le cadavre d'un fils du clan Saroukhan. Ces anciens mercenaires de l'Empire ottoman sont devenus de puissants trafiquants installés à Brème. Qui a tué Nouri Saroukhan ? La procureure Chastity Riley est de retour avec son collègue Ivo Stepanovic. Doivent-ils chercher la mystérieuse jeune femme qui observait la voiture du toit d'un immeuble ? La vérité se cache-t-elle au sein de l'entreprise d'assurances où Nouri travaillait et gagnait beaucoup d'argent ? Rue Mexico raconte comment deux jeunes, tels Roméo et Juliette, tentent d'échapper à leur milieu et à sa violence. De son côté, la vie de Chastity Riley est bouleversée par le retour d'un ancien amant... Simone Buchholz cartographie les différents visages de la criminalité, dans les gangs comme dans les grandes entreprises.

02/2023

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Policiers

Rue sombre

Dans une rue sombre d'une ville de province, deux adolescents voient passer une voiture dont le coffre laisse dépasser des cheveux. Quelques heures après, une alerte signale la disparition d'Ambre Libois. L'enquête est confiée au commissaire Berthier, un homme prudent et efficace, mais qui piétine jusqu'à ce que Anna accepte de lui dire ce qu'elle a vu. Philippe est arrêté, mais est-il le vrai coupable ? Quels sont ses liens avec la jeune femme ? A partir d'un fait réel, Bénédicte Rousset a construit plus qu'une histoire policière. C'est la vie d'une ville de province qu'elle nous raconte par le prisme de ses personnages.

05/2017

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Littérature classique

Rue Bouboulina

1967, pour toute une génération en Europe, c'est l'année des Colonels. Un coup d'Etat fomenté par une junte d'officiers supérieurs renverse le gouvernement et installe une dictature. Comme beaucoup d'autres jeunes Grecs, Maro Douka, alors étudiante et militante est arrêtée à Athènes et emprisonnée rue Bouboulina, au siège de la Sûreté générale. Elle a vingt ans. Elle écrira le récit de cette arrestation cinq ans plus tard, il ne sera publié qu'en 1974, après la chute des Colonels. Curieusement, il n'avait jamais été traduit en français. C'est chose faite avec le texte de Laurence Maire-Maison. Maro Douka a reçu en mai 2020 le Prix National grec de Littérature pour l'ensemble de son oeuvre.

03/2023

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Littérature française

La rue

La rue n'a-t-elle pas sa vie pittoresque et joyeuse ? Qu'est-ce donc par exemple, que cet homme habillé en officier supérieur, avec un képi à cinq galons, un pantalon tout frangé d'or, teint jaune, barbe grise, qui a dix-huit bagues à chaque main, des traînées de crachats sur la poitrine, et dont les doigts de pied trouent les souliers ? Chaque boulevard, chaque quartier, ce jardin, ce square, ont leurs habitués excentriques, entêtés, qui font retourner la tête à tous les passants. Leur biographie, si on la tenait, aurait une saveur sans pareille. Je choisirais, de préférence, je l'avoue, les endroits ignorés, les terrains populaires, et je rechercherais les tableaux émouvants, bizarres, contrôlant la légende, ressuscitant les drames. Les ouvriers, les malheureux, tous les laborieux et les souffrants auraient en moi non pas un avocat, mais un historien. Je ferais la statistique du salariat et si je n'avais pas peur d'effrayer, celle de la misère. Je suis du peuple, et ma chronique aussi.

08/2010

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Littérature anglo-saxonne

Rue Krochmalna

Varsovie, début du XXe siècle. Après avoir fait fortune en Argentine, Max et Flora rentrent au pays chercher de la "marchandise" pour leur fabrique de sacs à mains, qui n'est autre que le bordel local. La marchandise - c'est-à-dire des filles -, Flora, experte en la matière, la choisira, et Max s'assurera qu'elle a bien toutes les qualités requises... A peine arrivés, ils renouent avec leurs vieux amis, Meir et Leah, membres éminents de la pègre de Varsovie, tout disposés à les aider dans leur recherche. Quand Meir présente à Max une très jeune fille innocente et pleine de grâce, Rashka, Max est sous le charme. Le seul problème étant que, finalement, il aimerait bien la garder pour lui seul. Flora, sentant venir le danger, renoue avec un ancien amant tandis que Max promet mariage et enfant à Rashka - passant sous silence le fait qu'il est déjà marié - et la convainc de s'enfuir avec lui à Paris. Paris, qui se transforme très vite en Otwock, petite bourgade sans intérêt à deux pas de Varsovie. Malgré les qualités de sa jeune maîtresse, Max ne tarde pas à s'ennuyer de ses amis truands, de leurs combines louches et des tavernes de la rue Krochmalna, et décide de rentrer à Varsovie, quitte à devoir affronter la justice et l'ire de Flora. Est-ce-que tout cela peut bien finir ? Non, certainement pas, sinon ça ne serait pas du Singer ! Dans ce nouveau roman inédit, Singer renoue avec ses thèmes de prédilections et signe un texte foisonnant et haut en couleurs - avec le noir en dominante - qui n'est pas sans rappeler l'univers de Keila la Rouge. Traduit de l'anglais par Marie-Pierre Bay et Nicolas Castelnau-Bay

02/2022

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Romans policiers

Rue Legendre

Les premiers secours traversent les rues de Paris, éclairant les façades de leurs gyrophares. Les sapeurs-pompiers vont tenter de réanimer une femme qui se serait pendue. Dans l'appartement, Etienne de Kerlève, leur capitaine, a un étrange sentiment. L'enquête dirigée par le commissaire Maussard lève le voile sur un secret de famille aux répercussions inattendues. Un roman haletant à la poursuite d'un malfrat dans un triangle Rennes-Paris-Lille.

04/2022

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Littérature française

Rue Amélie

Rue Amélie est le parcours initiatique de l'auteure. Il est le témoin de la force mystérieuse qui l'anime depuis sa naissance, se manifestant par les turbulences de sa petite enfance au début de la Seconde Guerre mondiale, puis par la violence de son adolescence dans les ruines de Düsseldorf, jusqu'à la jubilation et la résilience à l'âge adulte en Corse et à Paris. Elle vous livre ici le film de sa vie, telle une tragi-comédie dont les séquences sont extatiques et burlesques ; une palette émotionnelle dont seule l'existence a le secret. . .

04/2022

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BD tout public

Les enquêtes du commissaire Raffini : Rue des souvenirs

Raffini se souvient des jours heureux... Sa jeunesse à Besançon, ses débuts comme jeune inspecteur et, surtout, son mariage avec Denise, l'adorable Nini... Après trente longues années, il reçoit un faire-part annonçant le décès de son ex-épouse... Comment ne pas rendre un dernier hommage à celle qui fut le grand amour de sa vie ? Mais c'est une fois sur place, à Besançon, qu'il découvre que la mort de cette dernière est bien étrange... Voire suspecte ?

06/2018

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Lecture 6-9 ans

Eloi & Dagobert Tome 2 : Mystère rue des Poteaux

Si le bon roi Dagobert et le grand saint Eloi étaient des enfants, voici à quoi ils ressembleraient : le premier est curieux et gaffeur, le second méticuleux et réfléchi.

05/2019

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Cinéma

42e rue. La grande histoire des comédies musicales

Nouvelle bible et ouvrage de référence en la matière, 42e Rue, La Grande Histoire des comédies musicales est une authentique balade à travers l'histoire, la chanson, la danse et la musique. Dans l'émission "42e Rue" sur France Musique, Laurent Valière, journaliste et producteur à Radio France, donne rendez-vous en passionné et fin connaisseur aux amoureux de la comédie musicale depuis 10 ans. Dans ce livre, il explore ce thème dans toutes ses dimensions : anecdotes, focus sur les artistes, les spectacles, les personnalités du théâtre musical, sans oublier l'actualité des spectacles à Paris, Londres et Broadway.

10/2018

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Lecture 9-12 ans

Le Mystère de la rue des Belles Feuilles

Dans un immeuble tranquille de la rue des Belles Feuilles a? Paris, des objets pre?cieux disparaissent myste?rieusement. La police est impuissante et l'on finit par attribuer ces vols a? un fanto?me. Cela intrigue e?norme?ment Boogie et Woogie, deux jumelles, qui questionnent sans cesse leur cher Papy. A? la fin, le re?cit est pimente? par des investigations et la re?solution de l'intrigue d'une fac?on inattendue. La perception innocente et pleine de frai?cheur du monde par les enfants et les relations inter-ge?ne?rationnelles ont e?te? les fils conducteurs de l'ouvrage. On leur donne le gou?t d'apprendre et surtout de de?velopper leur curiosite?, le ve?ritable moteur de progre?s de l'humanite?. Instructif et ludique en me?me temps. Bon pour un sce?nario d'un film d'animation.

01/2019

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Lecture 6-9 ans

Eloi & Dagobert Tome 4 : Exposé rue des Poteaux

Rien ne va plus entre Eloi et Dagobert ! La maîtresse leur a donné un exposé à faire ensemble sur le quartier des Poteaux. Mais les deux voisins ne sont pas d'accord sur la façon de procéder. Eloi, le premier de la classe, veut rendre un travail soigné et très documenté ; Dagobert, lui, râle et traîne des pieds : il préfère aller interroger les habitants du quartier. Et voilà comment un devoir d'école sème la zizanie au sein du duo.

03/2020

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Littérature française

Chroniques du 25 de la rue des Dames

Dans ce recueil de textes, Michel Delbos partage le quotidien et ses joies d'enfance puis d'adolescence. Ainsi de ce petit appartement familial situé au 25 de la rue des Dames, il livre tour à tour ses souvenirs, ses premiers amours, ses petits bonheurs qui marquent le quotidien, mais aussi la douloureuse période de l'Occupation. Dans ce récit intime, et non moins universel, Michel Delbos partage les saveurs d'antan et transmet avec tendresse la musique de la vie et les émotions que nous avons tous, plus ou moins, éprouvées. "Tu écris comme tu peins, à grands coups de brosse et on ressent la même émotion." C'est sans doute cette analyse d'un ami de Michel Delbos qui décrit le mieux la langue qu'il emploie ; une langue pleine de poésie, de tendresse et d'émotions, sans nostalgie et non sans humour. Un livre délicieux, riche de la musique des mots.

05/2018

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Science-fiction, heroic fantas

109, rue des Soupirs : Fantômes sur le grill

Elliot aimerait bien avoir une famille normale. Oui, mais voilà, ses parents ne sont jamais là. Et surtout, il habite au 109 rue des Soupirs, une maison lugubre, vraiment hantée par des fantômes ! Bon, c'est vrai que "hantée" est un bien grand mot, car ces fantômes sont plutôt sympas et ont adopté Elliot comme si c'était le petit dernier. Alors, quand débarque un inspecteur chargé de contrôler leur aptitude à terroriser, c'est la panique ! Les gentils fantômes doivent enfiler illico leurs costumes de spectres terrifiants...

09/2022

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Littérature française

Rue des Filles-Dieu, 56, ou L'Héautonparatéroumène

Société parisienneDate de l'édition originale : 1891Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces œuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces œuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur sur le site hachettebnf.fr

05/2016